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Opinions - Page 55

  • De plus en plus de rats quittent le navire

    Énième défection à LaREM: Annie Chapelier, députée du Gard démissionne

    Annie Chapelier, députée du Gard démissionne de LREM: “Je ne me reconnais plus en rien dans ce mouvement”

    La charge est violente: "Alors que nous sommes venus pour changer les pratiques, renouveler la vie politique et mettre en œuvre une véritable intelligence collective dans un climat de bienveillance, nous avons vu se construire un mouvement hors sol, indifférent aux territoires et clivant les députés en deux groupes: d’un côté des apparatchiks, petits chefs plus ou moins autoproclamés et, de l’autre, une masse, insignifiante à leurs yeux à qui on demande une allégeance et une obéissance aveugles, "indique Annie Chapelier, dans un communiqué.

     […]

    France 3

  • Défoncés de la calebasse!

    vraiment basse, la calebasse!

     

    Le genre expliqué aux nuls!

    Envoyé par une amie médecin

    Dans le temps, on pouvait avoir mauvais genre, mais la notion d'être genré, n'existait pas et ne prenait pas la tète.

    J'ai du me  faire raconter cette histoire deux fois, pour être sûre d'avoir bien compris ( parce que c'était raconté un peu dans le désordre) et pourtant je suis assez au point sur le "genre".

    Il s'agit d'une très banale "histoire de genre" parfaitement loufoque comme on sait les faire maintenant

    Histoire drôle .... je vais remplacer Campagnol bientôt... :-)

    Un jeune homme part à Paris faire des études dans le "cinéma“.

    Au bout de quelques mois, il déclare à son père qu'il est finalement une fille, il se sent fille etc... Ce qui est possible après tout par les temps qui courent...

    Le père fait “gloup's“, puis se fait à l'idée.

    Le jeune homme fait une visite à ses parents à Noel, et leur avais dit "je vous amènerai mon copain"...

    Re-“gloup's“, mais quand on aime un enfant, on se fait à  l'idée qu'il pourrait être "homo" en quelque sorte, en plus de se sentir fille... donc les parents se préparent "mentalement"…

    donc le grand jour arrive... et les parents voient arriver: leur garçon (XY) habillé en garçon,  et son copain, mais il s'agit en fait d'une fille XX, mais qui se sent garçon.. et qui pour faire "joli" a mis une robe

    J'espère que vous avez tout suivi

    Donc, le père qui n'y connait rien à ses histoires de genre ne s'en remet pas ...

    Il y a un peu de quoi

    Ni l'un ni l'autre du couple, ne veut se faire opérer pour changer de sexe physique, et changent même de "genre"  quand ils veulent... si la fille se sent mec, elle est mec et vis versa.

    Ils sont gender fluid

     

    Tout ceci relève d'une "posture mentale", d'un " genre " qu'ils veulent se donner si je peux m'exprimer ainsi.

    (Opérationnellement et "médicalement", ou physiologiquement, ce sont une fille et un garçon)

    Bref: cela s'appelle du "déconstructivisme"  dont la pseudo théorie du genre n'est qu'une expression.

    Une pseudo-théorie perverse inventée par les féministes américaines sur aucunes bases scientifique, neurologiques, hormonales ou sociologiques (du bla-bla basé sur du vent)

    Si cette histoire vous rend bizarre, ou crée en vous de la dissonance cognitive, c'est tout à fait normal... :-)))) MDR

    Bon maintenant, comme toujours, il faut expliquer le plus drôle:

    Il y a le sexe "physique": XX ou XY, (ou assignation de genre: paf, t'est prisonnier d'un corps pas de chance :-) ), le genre, et l'orientation sexuelle

    Un garçon XY  peut se sentir fille, et se dire homosexuel: donc il couchera avec une fille...

    Au total, il y a 8 combinaisons

    micmac

  • Halte à la sempiternelle repentance de la gauchiasse...

    et des indigénistes à la con! s'ils avaient bien suivis les cours sur l'Histoire à l'école, ils seraient moins débiles...

    La France a colonisé des territoires sans valeurs, juste pour apporter la civilisation à des peuples inférieurs disait jules ferry

    Contrairement à l'Angleterre qui s’appropriait les diamants d'Afrique du sud, les épices d’Inde, les terres fertiles d'Amérique du nord

    Les français préféraient les cailloux du Tchad, les sables du Sahel, les marécages d'Algérie...

  • Quand le camp de la tolérance dévore ses propres enfants

    La lutte toujours plus liberticide des militants au nom du "bien" crée une hystérie au sein de la société. À tel point que personne, pas même ses plus fervents militants, n’est épargné par cette nouvelle Inquisition que n’aurait pas pu imaginer Orwell.

    Le 7 janvier 2020, à l’occasion des cinq ans des attentats perpétrés par les frères Kouachi, le journal Charlie Hebdo a publié un édito dans lequel il dénonce les formes de censure qui se sont développées ces dernières années.

    Appels au boycott, suppressions "fortuites" de certains contenus sur les réseaux sociaux, criminalisation des opinions, mise à mort sociale – voire atteinte à l’intégrité physique – de ceux qui les professent, les méthodes sont diverses, mais ont toutes pour finalité de confisquer le débat et imposer une seule idéologie comme "vraie".

    Le Camp du Bien, nouveau clergé à la poursuite d’hérétiques

    Depuis quelques années, le militantisme de gauche, par une grille de lecture néo-marxiste de la société, mène une lutte sans merci contre les " fachos " et les " oppressions systémiques ", à savoir tout ce qui est lié au " capitalisme patriarcal et blanc " (autrement dit, la société occidentale), qui par nature oppresse les femmes et les transgenres, les minorités "racisées" (tous ceux qui ne sont pas blancs), les démunis, les handicapés, ou encore les animaux.

    Si initialement ces thèses extrêmes se limitaient à quelques milieux d’ultragauche, elles se sont installées dans les sphères intellectuelles. À tel point qu’elles sont la norme dans les facultés américaines, et commencent à s’implanter en toute impunité en France, non seulement dans les facultés classiques, mais aussi dans des institutions censées être prestigieuses.

    Universitaires qui avouent biaiser leurs travaux pour qu’ils collent à leurs idéologies quitte à créer des dérives graves, recours au sentimentalisme et rejet de la logique, campagnes de destruction de l’ennemi considéré "facho" par les activistes de gauche, les méthodes ne manquent pas.

    Or la bonne morale n’est pas l’apanage des militants purs : nombreux sont les membres de la sphère médiatico-culturelle à afficher leur bonne morale et leur tolérance… quitte à se couvrir de ridicule lorsque le public réalise à quel point ils sont détachés de la réalité, ce que n’a pas manqué de souligner Ricky Gervais lors des derniers Golden Globes. Tout plutôt que le risque d’être considéré comme un hérétique par les adeptes de ce nouveau clergé.

    "On est souvent puni par là où on a péché"

    Néanmoins, afficher sa bonne morale dans la sphère publique est à double tranchant ; pour peu qu’à un moment on ose se montrer sceptique à propos d’un aspect de cette religion du progrès, l’on risque de se heurter à la police du net prête à vous trainer dans la boue. Avoir été à un moment un porte-parole du Camp du Bien ne permet pas d’éviter qu’une telle situation ne se produise ; pire, ces défenseurs autoproclamés du Bien se montrent encore plus intransigeants à l’égard des hérésies.

    Preuve en est, la déferlante dont J.K Rowling a récemment été victime après avoir publiquement soutenu la scientifique Maya Forstater, virée pour avoir affirmé que le sexe biologique était immuable. Ce qui il y a encore quelques années était une évidence pour tout le monde est devenu la quintessence de la pensée transphobe.

    Critiquer cette nouvelle Religion du Progrès est devenu risqué, et l’étiquette " facho " ou " extrême droite " plane sur ceux qui osent faire preuve de bon sens et l’exprimer. À tel point qu’aujourd’hui, il devient presque impossible de réfuter les nouvelles thèses loufoques qui germent dans les hautes sphères intellectuelles. Phénomène prouvé par les sociologues Peter Boghossian, James Lindsey et Hélène Pluckrose par la création de fausses thèses à la fois absurdes et très biaisées.

    Si le résultat de cette expérience s’avère particulièrement drôle, il n’en demeure pas moins inquiétant : elle a prouvé que dans ces milieux, aucune idée, si terrible soit-elle, n’est jamais remise en question, pour peu qu’elle prêche le dogme du Camp de la Tolérance. Quiconque ose le faire risque une mise à mort sociale, comme ce fut le cas pour Rowling.

    Le parallèle avec les écrits d’Orwell est tentant. Non seulement car il ne faut pas oublier que "celui qui a le contrôle du passé a le contrôle du futur; celui qui a le contrôle du présent a le contrôle du passé", mais aussi car " en ces temps d’imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire. "Et il est plus que temps de se dresser et défendre les libertés d’expression et d’opinion. Car leur disparition est un pas de plus vers une dictature qui nous attend de pied ferme.

    https://www.contrepoints.org

     

    Sabine Lula

    Libertarienne égarée à Sciences Po, issue de prépa littéraire histoire-géographie, Sabine Lula est une jeune journaliste amateur qui a vécu dans plusieurs années dans des pays anglo-saxons.

  • Bravo, il a raison!!!

    Hauts-de-Seine: le patron d'un restaurant propose un “stage de pénibilité” aux cheminots

    Par Auteur valeursactuelles.com

    Excédé par le mouvement social qui lui fait perdre de l’argent, cet entrepreneur cherche également à échanger son établissement contre un poste à la RATP.

    Il a dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas.

    Sur Le Bon Coin et son compte Facebook, un restaurateur de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) a passé une annonce pour le moins particulière à l’attention des grévistes, rapporte notamment Ouest-France. Excédé par le mouvement social qui lui fait perdre de l’argent, il leur propose ironiquement de venir effectuer un "stage rémunéré de sensibilisation à la pénibilité".

    Sur le même sujet SNCF: pour les cheminots, une salle de détente “accessible au mérite”

    "Viens faire un stage chez moi, tu pourras parler de pénibilité"

    Dans un message publié sur le compte Facebook de son restaurant, le dénommé Mathias Danjou donne sa vision de la pénibilité aux cheminots qui la revendiquent tous les jours.

    Pour lui, la pénibilité, c’est "une perte de 20 000 euros de chiffre d’affaires à cause de personnes qui paralysent un pays", c’est aussi "lorsque tes salariés dorment sur leur lieu de travail" ou qu’ils "se lèvent à 4h30 du matin pour ne pas être en retard", mais aussi "lorsque tes salariés, qui font déjà un bon 50 heures par semaine (chose que toi ami cheminot ne vivra jamais) continuent de perdre leur temps par ta faute".

    "Donc viens faire un stage chez moi, tu pourras alors parler de pénibilité cher ami cheminot", conclut le restaurateur qui indique qu’il "[le] paierait".

    Dans le même temps, Mathias Danjou a publié cette annonce, sur le même ton, sur la plateforme Le Bon Coin: "Recherche des cheminots grévistes pour stage rémunéré de sensibilisation à la pénibilité".

    Interrogé par le site Actu.fr, l’homme se dit, plus sérieusement, "révolté" par un mouvement qu’il ne juge "pas légitime".

    A la suite de la chute de son chiffre d’affaires, il a d’ailleurs dû cesser de se verser son salaire et retarder le règlement de ses fournisseurs afin de pouvoir continuer à payer ses salariés.

     

  • Royalement stupide!

    Ségolène Royal cite une phrase de Voltaire... qu'il n'a jamais écrite

    Par Auteur valeursactuelles.com 

    “Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire”, a écrit la future ex-ambassadrice des pôles.

    Loupé. Souhaitant s’exprimer sur sa probable éviction du poste d’ambassadrice des pôles, notamment pour manquement à son devoir de réserve, Ségolène Royal, philosophe, a voulu citer Voltaire dans un tweet. Problème: la citation qu’elle a postée sur le réseau social n’est tout simplement pas de lui, rapporte Le Figaro.

    L’esprit voltairien ne nous manque t’il pas? < Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire > VOLTAIRE https://t.co/0oaZ2T89bX

    "Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire ", a écrit l’ancienne ministre de l’Environnement avec ce commentaire: "L’esprit voltairien ne vous manque-t-il pas? ".

    Cette erreur vient d’une missive qu’aurait écrite Voltaire à un certain abbé Le Riche, le 6 février 1770, avec ces termes: "Monsieur l’abbé, je déteste ce que vous écrivez, mais je donnerai ma vie pour que vous puissiez continuer à écrire".

    Seulement, cette lettre n’a en fait jamais existé, rappelle Le Figaro.

    Une phrase qui expliquait la pensée voltairienne

    Sur le site Projet Voltaire, Sandrine Campese, auteur d’“Un petit dessin vaut mieux qu’une grande leçon“ explique -en effet- que cette citation provient en fait d’une certaine Evelyn Beatrice Hall, qui tentait de résumer, en anglais, la pensée voltairienne.

    Elle écrivait: "I disapprove of what you say, but I will defend to the death your right to say it’ was his attitude now". Ce que l’on peut traduire en français par: "Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire“ était alors sa pensée".

    C’est en mettant entre guillemets cette citation qu’Evelyn Beatrice Hall a créé la confusion. Une fois traduite en français, on la crut de la main de Voltaire, explique Le Figaro.

    Royalement stupide… non mais, attendez le mieux: on l'a vue avec un ours blanc: Super! Sauf que l'ours était empaillé!

    Elle avait oublié de dire "faut qu'il ait l'air vivant"!