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Opinions - Page 59

  • Gôôôôchiasse: L’insulte au Colonel Beltrame

    Si certaines villes n’ont pas traîné pour honorer le sacrifice du Colonel Beltrame en lui attribuant une rue ou une place, il en est allé autrement à Marseille où il aura fallu attendre deux ans pour qu’enfin, une plaque soit posée à son nom sur une des places de la ville…

    Le Colonel Beltrame, c’est ce militaire qui a choisi d’échanger sa place avec celle d’un otage lors de l’attaque terroriste de Trèbes, le 23 mars 2018. L’otage survivra, le militaire non. Beaucoup jugèrent nécessaire de garder trace de ce comportement héroïque, comme en témoigne l’assez longue liste de lieux qui portent désormais le nom du militaire.

    À Marseille cependant, il fut prudemment décidé que bah non finalement: selon les élus socialistes et communistes, aucune place ne semblait assez prestigieuse pour un tel nom (et en tout cas, pas chez eux). Selon l’élu Rassemblement National, il s’agissait surtout de " ne pas provoquer les populations locales ".

    L’affaire aurait pu en rester là: après tout, rien n’oblige une municipalité à nommer les places et les rues en fonction des individus les plus héroïques du pays. D’ailleurs, on n’oubliera pas que certaines mairies, largement aux mains d’idéologues détendus du communisme (même le plus brutal), ont trouvé l’habile subterfuge de distribuer du Stalingrad (place, rue, avenue et j’en passe) en lieu et place du Staline tout court, par trop corrosif pour notre République. Dès lors, oublier Beltrame à Marseille aurait été parfaitement possible et apparemment tout à fait souhaitable pour une partie des élus de gauche de la municipalité phocéenne.

    Cependant, à force d’insister, les élus Rassemblement National ont fini par obtenir gain de cause: une plaque a finalement été posée sur la place devant l’école Sainte-Marthe Audisio (dans le quatorzième arrondissement de Marseille), sans tambours ni trompettes et dans une telle discrétion qu’absolument aucune cérémonie n’avait été préparée. Les édiles ont été obligés d’improviser quelque peu.

    Rassurez-vous: comme toute la représentation politique de la municipalité marseillaise était là, il n’y a plus aucun doute que cet hommage ne posait en réalité qu’un problème temporaire d’emplacement comme l’expliquait alors Patrick Mennucci, le socialiste assumé du cru. Tout est bien qui fi… Oups, on me fait savoir dans l’oreillette qu’en réalité, il n’y avait que les élus du Rassemblement National sur place, ce qui tend malheureusement à accréditer la thèse que les gauchistes marseillais ont jugé totalement inutile de se déplacer pour cet hommage.

    Pourtant, ce sont ces mêmes socialistes et autres communistes qui se gargarisent d’habitude de ces valeurs républicaines qu’il convient d’appeler à la rescousse à chaque fois qu’il le faut mais qu’on se gardera bien ni de définir, ni d’appliquer lorsqu’une occasion pourtant ô combien symbolique se présente…

    Pourtant, ce sont ces mêmes socialistes et autres communistes qui poussent les cris les plus stridents lorsqu’on laisse le champ libre à ces élus d’un autre bord, d’une autre extrémité que la leur, douillette et validée par tous.

    Pourtant, ce sont ces mêmes socialistes et autres communistes qui n’ont que l’État français et le vivrensemble à la bouche ; on ne peut que s’étonner de les voir se carapater alors qu’on entendait là honorer un représentant tout ce qu’il y a de plus officiel de l’État français, dans l’exercice tout ce qu’il y a de plus officiel de ses fonctions, qui a fait preuve d’un acte tout ce qu’il y a de plus honorable.

    Dans le meilleur des cas, on en viendrait à croire que ces brochettes de gauchistes refusent simplement d’être vues en compagnie des élus RN. Attitude aussi infantile que peu digne de l’occasion, mais – il faut l’avouer – pas vraiment en décalage avec le niveau moyen des politiciens.

    Dans le pire des cas, on arrive à imaginer qu’en fait, c’est bien parce que cet hommage dérangerait effectivement certaines populations, celles qui seraient trop heureuses de la mort d’un militaire français tué par un terroriste islamiste. Et que déranger ces populations, ce serait risquer, pour ces élus en carton, de perdre leur mandat aux (trop) prochaines élections.

     

    La couardise de cette attitude électoraliste de courte vue contraste assez violemment avec l’acte héroïque du Colonel Beltrame. On comprend mieux, dès lors, que ces lâches méprisables ne veuillent pas infliger la flétrissure de leur présence à un hommage qui lui serait rendu.

    En cela, ils ont raison.

    Mais leur attitude lamentable est véritablement exécrable en ce qu’elle contient les germes d’une démission complète du courage, du bon sens et, surtout, un aplatissement consternant d’officiels républicains devant ceux qui entendent pourtant de façon de plus en plus claire en finir avec eux, par l’épée s’il le faut. Pire encore, ce manque minable de courage donne un argument de plus à ces populations décidément fort sensibles émotives pour les mépriser et les manipuler électoralement: prisonniers de leur mandat par la bonne soupe municipale, on les retrouve donc prêts à toutes les démissions et les compromissions idéologiques les plus basses pour conserver la gamelle.

    Ici, on pourrait s’en tenir à ce constat.

    Malheureusement, ce qui s’est passé sur cette place Beltrame dans le 14ème à Marseille n’est pas la simple dérive d’une brochette de larves gauchistes en mal de réélection, dont l’appétit de la gamelle dépasse de loin tout sens de l’honneur: ce genre d’électoralisme se retrouve dans un nombre croissant de communes urbaines et périurbaines de grandes métropoles, gangrenées par ces quartiers trop émotifs et qui, d’abandons républicains en recherches forcenées de compromis et d’apaisements artificiels, se sont muées en zones de non-droit où imaginer faire revenir le droit et la loi revient à déclencher des émeutes et l’inévitable Niagara d’outrances de toutes les associations lucratives sans autre but que celui de surjouer une victimisation qui rapporte (financièrement et électoralement).

    Ces élus font la démonstration de ce qu’avoir choisi la République du #Padevague entraîne en déliquescence du pays, où plus personne ne semble en mesure de faire simplement appliquer les lois essentielles de la vie en société. Par abandon successif de tout courage, de peur de passer pour un affreux réactionnaire, voire un homme de drouate ou pire encore, un fasciste (pensez donc: réclamer le retour de l’Ordre, c’est l’horreur, quasiment le nazisme !), ces élus ont choisi, sinon consciemment mais en tout cas par défaut, de laisser s’installer les pires pratiques (incivilités au départ, puis trafics en tous genres, puis activités de plus en plus criminelles jusqu’au terrorisme maintenant).

    En délavant les valeurs françaises de liberté, d’égalité et de fraternité au point d’arriver à un simple triplet d’égalité, de taxes et de pantoufles, ces élus ont ouvertement choisi le suicide pour tous, par contrition, par attrition et par soumission à des racailles.

    Ce pays est foutu.

    https://www.contrepoints.org

  • L’hôtel pour les migrants, les toilettes publiques pour Philippe, 63 ans

    À Vannes, Philippe, 63 ans, vit dans des toilettes publiques depuis deux ans. Ce sont des choses qui se passent en France. Dans notre pays, il vaut mieux être migrant que SDF français. Philippe n’avait qu’à être migrant, c’est simple!

    http://www.fdesouche.com/

    Philippe, ancien ouvrier chez Michelin, a installé un matelas et quelques couvertures dans les toilettes pestilentielles de la ville de Vannes. Il reçoit régulièrement des visites de Pascale, qui est Gilet jaune, et aussi de la Croix-Rouge, les restaurants du coin lui donnent leurs restes. Malheureusement il ne peut pas avoir de réserves, car il se les fait voler sur-le-champ par d’autres sans-abris.

    C’est pour cela qu’il ne peut être logé dans un hébergement d’urgence : il se fait automatiquement dépouiller de ses pauvres biens.

    Le cabinet du maire, alerté, répond qu’il va trouver une solution. Mais cela fait un an et demi que le cabinet du maire fait cette réponse.

    Il y a une centaine de sans-abris autour de Vannes. Dans toute la France, il y a une augmentation de sans-abris. Je vous parlais la semaine dernière d’un SDF de 72 ans à La Seyne-sur-Mer (Var).

    Tout cela est très choquant mais quand on connaît les priorités de La Seyne-sur-Mer, on est scandalisé. Dans cette ville viennent d’arriver ce qu’on appelle par un détournement du langage, des mineurs non accompagnés. J’en ai rencontré deux ou trois lors d’un passage dans le Var, et suis prête à parier qu’ils avaient plutôt 25-30 ans. Ils sont quarante. Ils sont hébergés au fort Saint-Elme, près de la plage des Sablettes.

    Lors d’une petite conférence, un responsable des Orphelins apprentis d’Auteuil chargés de ce projet, a raconté que ces mineurs non accompagnés (qui ne sont parfois ni mineurs ni non accompagnés) sont logés, nourris, blanchis, habillés, "accompagnés" par des "éducateurs", tout cela pour la modique somme de 125 euros par jour, ce qui fait quand même 4 600 euros par mois.

    Évidemment, les 25 accompagnateurs doivent recevoir un salaire. Les MNA, et toutes les associations qui gravitent autour comme des mouches à miel, c’est un business, un pactole, une mine de diamants pour tous les opportunistes sans éthique et sans conscience qui se servent et s’engraissent.

    25 accompagnateurs pour 40 jeunes?… C’est beaucoup, non? Les scouts se débrouillent beaucoup mieux, avec deux ou trois chefs pour 25 ou 30 scouts…

    125 euros pour ces MNA, c’est un minimum; dans certaines villes cela va jusqu’à 200 euros par jour, soit 6 000 euros par mois pour une personne.

    De 4 600 euros par mois à 6 000 euros par mois selon les communes, voilà ce que coûte un mineur non accompagné. Sans parler de l’argent de poche parfois versé en sus, et des cartes bancaires "d’urgence". Ni des soins médicaux.

    Ce que n’a pas dit ce responsable, c’est que les travaux du fort Saint-Elme pour accueillir ces mineurs qui ne sont pas mineurs, ont coûté 450 000 euros, payés par le conseil départemental.

    Le conseil départemental pourrait s’intéresser d’abord aux Seynois de souche, dont beaucoup sont en galère, comme on dit.

    Mais, concluait le responsable à la fin de sa conférence, "il faut s’occuper de ces mineurs, sinon ce sont eux qui s’occuperont de nous. " Menace à peine voilée. De toutes manières, ils s’occupent déjà de nous par leurs prédations diverses et variées…

    Dorian Munoz, candidat RN à La Seyne-sur-Mer, donne des explications intéressantes:

    https://www.presseagence.fr/lettre-economique-politique-paca/2019/12/11/la-seyne-sur-mer-dorian-munoz-rn-migrants-a-saint-elme-la-solidarite-a-sens-unique/

    En effet, c’est totalement à sens unique. On ne demande aucune contrepartie, aucun effort à ces "mineurs non accompagnés "et surtout pas de se lever le matin pour faire leur lit, ranger leur chambre ou essayer de trouver un travail. Un responsable d’une de ces villes ayant visité un de ces centres me racontait qu’on laissait ces " djeunes " faire la grasse matinée et qu’il ne pouvait visiter leurs chambres parce qu’ils dormaient.

    En prime, souvent ces mineurs non accompagnés, pour se faire de l’argent de poche, dealent et se livrent à toutes sortes de trafics, et on les retrouve dans de nombreuses agressions sexuelles, mais chuut! il ne faut pas le dire.

    En décembre 2017, nous avions sur le sol français environ 25 000 mineurs non accompagnés. Et aujourd’hui?…

    La politique d’accompagnement des mineurs nous coûterait deux milliards d’euros par an :

    https://www.ifrap.org/emploi-et-politiques-sociales/un-point-sur-la-problematique-des-mineurs-non-accompagnes

    Ce sont des chiffres qu’on se garde bien de crier sur tous les toits.

    Un lycéen en France coûte à l’État entre 6 000 et 10 000 euros par an. C ‘est bien moins qu’un mineur étranger.

    Rappelez-moi combien un agriculteur touche comme retraite. Et le minimum retraite est de 702 euros par mois.

    Nous ne devons absolument rien à ces MNA qui ne sont pas français, sont trop souvent illettrés et ne sont souvent pas employables ni intégrables dans la société française.

    Philippe, ou le SDF de 72 ans de La Seyne-sur-Mer ou encore n’importe quel SDF de France et de Navarre aimerait toucher ne serait-ce qu’une toute petite partie du scandaleux pactole donné en pure perte aux MNA, qui ne nous le rendront jamais.

    Ayant travaillé et cotisé en France, étant français, ces SDF devraient être prioritaires. Mais voilà: nos idéologues préfèrent financer l’invasion.

    Qu’on se rassure, cela ne durera pas éternellement. Un jour les caisses seront vides. Un jour, le Français moyen sans dents alimentant cette poule aux œufs d’or, sortira sa fourche pour mettre tout ce beau monde dehors.

    Un pays qui ne prend pas soin de ses aînés et qui les laisse dormir dehors, préférant s’occuper d’étrangers ingérables, agressifs, et animés de mauvaises intentions, est un pays qui perd ses valeurs, qui perd les pédales et qui va mourir.

    Sophie Durand

    https://ripostelaique.com/lhotel-pour-les-migrants-les-toilettes-publiques-pour-philippe-63-ans.html

  • Si vous êtes attaqué au couteau, ne répliquez surtout pas!

    Nous vivons vraiment dans un monde de fous, la tête à l’envers et on a parfois du mal à bien comprendre ce qui se passe autour de nous. Cela va se voir en deux ou trois exemples qui vont démontrer que vraiment nous allons droit dans le mur.

    Tout le monde se souvient du triste assassinat de cette dame, Sarah Halimi, rouée de coups puis jetée par la fenêtre par le dénommé Kobili Traoré, supposé français du fait qu’il est né en France (comme si un porc, né dans une écurie, pouvait, par le hasard de sa survenance, être considéré comme un "pur sang").

    Cet homme a reconnu  s’être introduit  chez sa voisine où de nombreux témoins l’ont entendu réciter des sourates du fameux Coran et hurler "Allahu akbar" . Il la connaissait pourtant depuis de nombreuses année et discutait fréquemment avec elle, ce qui prouve bien que l’acte n’est pas dû au hasard d’une mauvaise rencontre. Il était au contraire parfaitement médité, préparé. L’affaire paraît judiciairement simple, non?

    Eh! Bien figurez-vous que non! Les juges, dont Éric Zemmour nous a maintes fois démontré qu’ils foulent aux pieds la démocratie et sont les acteurs d’un coup d’État permanent dans notre société, en ont décidé autrement. Ils ont en effet considéré que le tueur ayant agi sous l’effet d’un stupéfiant (dont il faisait un usage courant) avait été victime (oui, oui c’est bien le terme qu’ils ont utilisé) d’une bouffée délirante. En conséquence, il a été jugé (sans procès) irresponsable de la mort de la dame.

    Cette décision inique paraît d’autant plus inacceptable que tout individu au volant d’un véhicule automobile qui serait l’auteur d’un accident ayant entraîné la mort d’un tiers verrait sa peine judiciaire aggravée par la prise de substance illicite. Alors?… Deux poids deux mesures?

    Autre exemple de partialité inacceptable. Un assassin solitaire et isolé allemand fait un ball- trap dans deux bars à chicha, tuant neuf personnes, et aussitôt l’Europe entière se lève comme un seul homme pour vilipender l’extrême droite, comme si un homme aussi déterminé et plein de conviction que ce tueur pouvait représenter la tendance de tous ceux qui ne se reconnaissent pas dans le courant prétendument majoritaire des supporters de Merkel, Macron et de leur ligue financiaro-libérale. Elle va même plus loin, cette obédience pro-Union européenne, beaucoup plus loin, et si elle ne le dit pas de façon audible, on entend clairement sa pensée: l’AFD est responsable, la ligue du Nord aussi et bien entendu le Rassemblement National et surtout Marine Le Pen.

    Comme quoi l’amalgame a des vertus dans ce cas, mais surtout il est un vice quand il est prétendu à l’encontre de l’islam.

    Quand des non musulmans (c’est-à-dire des juifs ou des chrétiens dans la plupart des cas) sont assassinés, brûlés, crucifiés, tous ces braves pourfendeurs de la violence du sale mâle blanc européen se font d’une discrétion absolue comme si ces crimes n’en étaient pas.

    L’opinion et les juges ne sont pas les seuls en cause. Même la police participe à cette confusion étouffante. Voici le troisième exemple parlant :

    Un homme de 30 ans a été agressé mercredi 19 février au soir à Louvres, en pleine rue. Victime d’un coup de couteau à la tête, il a cependant réussi à répliquer et a frappé son assaillant. L’agresseur, qui n’avait sans doute pas mesuré le risque qu’il encourrait, s’est retrouvé dans le coma. Les secours ont hospitalisé les deux hommes.

    Que croyez-vous qu’il arriva? La logique aurait voulu que l’agresseur provocateur au couteau fût inculpé pour tentative d’assassinat… Eh! Bien c’est l’inverse qui se produit, c’est l’agressé riposteur qui se trouve placé en garde à vue.

    Cette histoire pourrait prêter à sourire sauf qu’il s’agit d’une mésaventure qui pourrait arriver à chacun d’entre nous, au cours de laquelle nous n’aurions peut-être pas tous la réaction de cet homme agressé et juste responsable de s’être défendu.

    N’oublions pas que l’arme portée par l’agresseur (un couteau, l’arme blanche étant l’arme privilégiée de certains adeptes d’une certaine soumission) suffit à désigner son appartenance.

    Faut-il la citer? Je crois que vous l’avez tous reconnue…

    Jean-Jacques FIFRE

    https://ripostelaique.com

     

  • L'âme de la France

    "Cette âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluri-ethnique et pluriculturelle que l’on s’acharne, avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer.

    Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but.

    Ces pages peuvent apparaître cruelles. Mais elles correspondent à un sentiment très profond. Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane. Si tel n’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du "cher et vieux pays" dont parle le général de Gaulle et celui du campement avancé du tiers monde africain.

    Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours. Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées. Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes.

    Nous allons vers des Saint-Barthélémy si l’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression… "

    (Observatoire de l’islamisation)  1990: 

    Michel Poniatowski voulait "Que survive la France"

  • Je suis partiellement inculte…

    ... puisque je n'ai, pour tout bagage scolaire, que le certif', délivré en 1964…

    Mais, il me semble bien que l'on m'a toujours enseigné que le mot “déféré“ veut dire “ôter les fers (aux pieds)“ et que, par contre,

    Le mot “enféré“ voulait dire mettre les fers (aux galères) ou écrouer ou mettre en prison…

    Tour de passe-passe des journalistes de la médiacratie qui eux, oui, sont vraiment incultes et moutons de Panurge, répétant -si je peux m'exprimer ainsi- idiopathiquement (qui signifie en médecine: on ne sait d'où cela vient) et donc, de façon stupide, les mêmes antiennes que leurs coreligionnaires insanes. Les baveux sont totalement idiots.

    Vous devriez lire, chers gens de la gauchiasse progressiviste et moutons de la start-up nation, vous devriez lire le news Valeurs Actuelles où on parle -et écrit- le bon Français de France…

    Je sais, je sais, c'est un sale torchon nauséabond, nazifiant et d'extrême droite (selon vous) mais qui voit chaque semaine, augmenter ses abonnés tandis que vous périclitez malgré les subventions de l'Etat français. Plus bas vous descendez au niveau de vos racontars blèmes et incohérents à vos derniers lecteurs, plus vous vous vautrez dans la bassesse de classe, le fameux “camp des bien-pensants“ et plus vous perdez d'abonnés!

    L’état, c'est moi…

    et je trouve qu'à force de vous mordre la queue, comme l'Ouroboros, vous oubliez un peu trop que les subventions que vous touchez sont l'argent des impôts du petit peuple d'en-bas; vous savez, celui qui roule en diésel avec la clope au bec et dont les femmes d'usines, sont totalement illettrées -comme a dit l'Arrogant qui nous sert de président.

    Hélas, celui-ci, révérence gardée, est à l'Elysée parce que des imbéciles de Français ont voté pour lui, ceux de sa caste qui s'auto-complimentent en regardant leur joli nombril genré et venant de la brigade des  alphabets (lgbt et le reste d'abrutis)...

    J'espère que le locataire de l'Elysée va prendre la pelée du siècle aux prochaines municipales!

  • Affaire Griveaux: soirée de deuil sur BFM-TV

    J’ai rarement pris autant plaisir devant BFM TV qu’hier soir: il fallait voir les mines consternées sur le plateau.

    Ce fut une vraie soirée de deuil sur la chaîne de Patrick Drahi, pour peu, on aurait imposé une minute de silence. Elkrief semblait tétanisée: a-t-elle peur elle aussi de se retrouver en vidéo, en compagnie d’huiles de la majorité? Apolline de Malherbe s’est montrée très agressive, un peu comme quand elle interviewe  Marine Le Pen: sauf que là, elle avait perdu son petit sourire narquois.

    Une députée LREM d’ordinaire si arrogante écarquille les yeux, hébétée, presque incrédule: mais où va-t-on, mais où va-t-on, pauvre France, pauvre Benjamin?

    Le Russe par qui le scandale arrive est dépeint comme un escogriffe descendu tout droit des montagnes de l’Oural, un Raspoutine maléfique venu semer la zizanie en France: voilà pour une fois un réfugié qu’il n’aurait pas fallu accueillir. On suppute le complot, Poutine, Dati, le RN: le complotisme change de camp, pour nous c’est bon signe… On évoque d’autres vidéos, sur d’autres personnalités très très très haut placées… On craint que Griveaux, dont les mémoires à venir ne s’intituleront probablement pas " Benjamin ou les mémoires d’un puceau ", ne soit que le premier de la liste: comme quoi, à LREM, on a confiance dans les bonnes mœurs et  la discrétion de ses leaders…

    C’est la panique en Macronie. Certains vont plaindre Griveaux, victime d’une cabale sur sa vie privée: doit-on le blâmer pour une banale infidélité? "Griveaux serait-il devenu incapable de diriger la ville de Paris parce qu’il a trompé sa femme?", s’interroge Apolline. À ce titre, Strauss-Kahn non plus n’avait pas perdu son expertise économique en lutinant Afissatou… Mais au fait, ce Griveaux, aurait-il été vraiment capable de diriger Paris? Le métier de maire d’une grande ville ne se limite pas à distraire des secrétaires, et à promener sa mine satisfaite sur les plateaux télé: il faut rendre des comptes aux électeurs, se battre pour les intérêts de sa ville, trancher dans le dur, ne pas hésiter à faire des déçus, des mécontents, si le bien commun en dépend.  Pas sûr que notre bien léger Benjamin en ait la carrure…

    Sur BFM TV, les bonnes âmes se penchent sur le sort du pauvre Benjamin, martyre de la haine politique. Mais elles ont la mémoire bien courte. Ont-elles oublié comment Macron et sa bande sont arrivés au pouvoir, à coups de poignard dans le dos des adversaires, de complots, de trahisons?  Croient-elles que la vie rase gratis, que personne n’attend au tournant, et le couteau entre les dents, toute cette clique de malandrins? Moi, je ne joue pas aux hypocrites, je me réjouis de les voir toutes désemparées, liquéfiées, dans la peur du lendemain. Car pour elles, il n’y a pas de solution de rechange à Macron: ce sera lui, ou l’extrême droite.

    Et, dans tout cela, je ne plains que la France, qui endure depuis trois ans cette clique d’escrocs, de vendus, de pervers et d’incapables. Et tous les moyens, même les plus inélégants, seront bons pour s’en débarrasser, parce que l’avenir de notre pays vaut bien la dignité du petit Benjamin, qui soyez-en sûrs, trouvera vite de charmantes compagnies pour se consoler…

    Olivier Piacentini

    https://ripostelaique.com

     

    Comme écrit ici et ailleurs, sa vie privée ne concerne que lui mais c’est lui qui a pris la décision de la rendre publique. Ce qui en dit long sur le personnage et sur tous ceux qui osent défendre l’indéfendable.