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Savoir - Page 66

  • Notre magnifique dernière impératrice

    Eugénie, impératrice des Français: un double anniversaire un peu oublié

    En dehors de la ville de Biarritz, qui ne s’est pas montrée ingrate à l’égard de celle à qui elle doit beaucoup, le centenaire de la mort de l’impératrice Eugénie n’a guère mobilisé l’attention.

    Pourtant l’année 2020 ne marque pas seulement les 100 ans de sa disparition. Il y a 150 ans, pour la dernière fois de son histoire à ce jour, la France était dirigée par une femme.

    Eugénie, Espagnole devenue Française

    Il est curieux que les féministes n’aient guère fait entendre leur voix. Pourtant la dernière impératrice des Français a contribué à la cause des femmes. Autant son rôle très traditionnel de bienfaitrice dans le domaine social, que ces messieurs abandonnaient volontiers aux dames, est souvent rappelé, autant son féminisme suscite moins de publicité. Sa personnalité reste méconnue.

    D’ailleurs, la notice sur Wikipédia semble avoir été rédigée par un commissaire-priseur qui ne nous épargne aucun diadème ni aucun meuble.

    Maria Eugenia de Guzman (Grenade, 5 mai 1826 – Madrid, 11 juillet 1920), comtesse de Teba fut, pour les Français, Eugénie de Montijo. Fille d’un aristocrate espagnol francophile, elle devait à la famille de sa mère d’origine écossaise, des cheveux d’un blond tirant sur le roux.

    Elle parlait très bien le français mais conserva toujours un léger accent. Napoléon III avait très habilement justifié son choix: "J’ai préféré une femme que j’aime et que je respecte à une femme inconnue dont l’alliance eût eu des avantages mêlés de sacrifices“.

    Bien sûr, l’image d’Eugénie n’est peut-être pas celle d’une féministe telle que l’entendent certaines personnes aujourd’hui. Cette très belle femme, magnifiée par Winterhalter, a été présentée comme frivole, dépensière et légère.

    Les Goncourt, méchants à leur habitude, la voyaient "pleine de tout ce qu’il y a de creux". Elle devait être d’ailleurs selon le désir de son impérial époux "le plus bel ornement du trône".

    Elle eut ainsi droit à des surnoms peu aimables, "Falbala 1ère", la "Fée Chiffon" ou "Badinguette". Dans sa haine à l’égard de Napoléon III, Victor Hugo l’a même traité de "cocotte".

    Elle a régné sur la dernière cour qu’ait connue la France. Étrangère d’origine, elle a subi les habituelles critiques adressées aux épouses des monarques. Elle fut "l’Espagnole" comme Marie-Antoinette avait été "l’Autrichienne". Elle ne  fut ainsi jamais populaire.

    Dans les opérettes d’Offenbach, les Espagnols sont la cible de plaisanteries diverses. Ne chante-t-on pas dans La Périchole: "Il grandira car il est Espagnol"? Tandis que Les Brigands ridiculisent un ambassadeur espagnol venant de Grenade qui affirme: "Nous sommes de vrais Espagnols". Eugénie, qui n’avait guère le sens de l’humour, devait rayer le nom du compositeur de la promotion de la légion d’honneur à l’été 1870.

    L’influence d’Eugénie

    Mais derrière l’imagerie Marie-Antoinette à la sauce Sofia Coppola, la figure d’Eugénie se révèle plus complexe et intéressante que cette avalanche de clichés. Elle fut tout sauf l’idiote assurément que bien des contemporains voyaient en elle.

    Cette bonne catholique conservatrice, mais non bigote, a eu des prises de position surprenantes pour ceux qui aiment bien ranger les gens dans de petites cases.

    Nous la voyons plaider la cause de Baudelaire dont les Fleurs du mal subissent les foudres de la censure. N’a-t-elle pas été aussi une dreyfusarde convaincue? Il est vrai qu’elle vivait alors à l’étranger où l’innocence de Dreyfus a toujours paru évidente.

    Son influence, en tout cas, a été loin d’être négligeable. Son féminisme se manifeste très concrètement par de nombreux actes et prises de position.

    Elle est intervenue en faveur de Julie Daubié, première diplômée du baccalauréat. Victor Duruy, ministre de l’Instruction publique, favorable à l’accès des filles à l’enseignement secondaire et supérieur, bénéficia de son appui.

    Eugénie a soutenu l’inscription de Madeleine Brès à la faculté de médecine. Grâce à elle, Rosa Bonheur fut la première artiste à recevoir la légion d’honneur. L’impératrice aurait souhaité voir George Sand entrer à l’Académie française. Elle devait, enfin, sur ses vieux jours, vivant en exil en Angleterre, soutenir le mouvement des suffragettes.

    Trois fois régente

    On le sait, les monarchies sont plus féministes que les républiques. Même en France, où les femmes étaient écartées du trône au prétexte d’une prétendue "loi salique", elles ont gouverné le pays à plusieurs reprises.

    Ne pouvant être "rois", elles ont du moins été régentes ou mères influentes ou sinon favorites. Blanche de Castille, Catherine et Marie de Médicis, Anne d’Autriche, la marquise de Pompadour ont ainsi joué un rôle politique de premier plan dans l’histoire de notre pays.

    Eugénie a été la dernière de cette liste. N’écrivait-elle pas le 22 janvier 1853: "Je tremble… de paraître moins dans l’histoire que Blanche de Castille et Anne d’Autriche". Toutes deux étaient espagnoles d’origine et toutes deux avaient gouverné la France.

    Son bilan politique a été fortement critiqué, sans doute à juste raison. Qui a dit que les femmes de pouvoir devaient être moins incompétentes que les hommes de pouvoir?

    Elle a exercé la régence à trois reprises. Elle ne se faisait pourtant guère d’illusion sur ses capacités: "Je n’ai jamais été et ne serai probablement jamais une femme politique".

    Une autre féministe méconnue, la reine Victoria, devait l’inciter à s’initier à la politique. Elle eut parfois de bonnes formules: "Libérateur de peuples c’est un métier de sot". Elle se souvenait de ses débuts avec Napoléon: "Nous rêvions de travailler au bonheur des peuples et d’améliorer le sort des ouvriers".

    Devenue mère, elle eut le souci de se former à la politique pour préparer l’avènement de son fils. Elle prit l’habitude de lire les dépêches diplomatiques. En mai 1859, partant pour l’Italie où la France soutient le Piémont contre l’Autriche, l’empereur lui confie une première fois la régence. Sa capacité à présider le conseil des ministres convainquit Napoléon III de la laisser y assister après son retour.

    En juin 1865, à l’occasion du voyage impérial en Algérie, elle se voit de nouveau confier les rênes du pouvoir. Les problèmes de santé de l’empereur laissaient envisager la perspective d’une longue régence. Sa troisième régence, dès le départ de Napoléon III pour Metz le 26 juillet 1870, sera la plus active et contribuera à la chute du régime. À chaque fois, elle s’est montrée appliquée, sérieuse et assidue.

    Si elle a joué un rôle malheureux dans l’expédition au Mexique, elle tenta en vain de convaincre Napoléon III de mobiliser sur le Rhin au lendemain de Sadowa. Trochu voyait en elle une Romaine des temps antiques. Après la chute d’Émile Ollivier, elle confia le gouvernement au général comte de Palikao. Elle devait contribuer au désastre de Sedan en pressant Mac-Mahon de secourir Bazaine.

    Les dernières années d’Eugénie

    La chute de l’Empire rapprocha les deux époux. Prévoyante, Eugénie avait transféré plusieurs millions à l’étranger à la veille du 4 septembre. Vendant ses bijoux et ses propriétés espagnoles, elle permit au couple de vivre dans l’aisance dans son exil anglais.

    Ayant perdu successivement son mari puis son fils, le prince impérial tué par les Zoulous sous l’uniforme anglais, elle fut cette dame en noir se partageant entre l’Angleterre et la Côte d’Azur.

    Sa très longue existence lui permettra d’assister à la "Revanche" et au retour des "provinces perdues" à la fin de la Grande Guerre. Envoyant à Clemenceau une lettre qu’elle avait reçue de Guillaume Ier en 1870, elle contribuera à convaincre le président Wilson du bien-fondé des demandes françaises.

    Le roi de Prusse y affirmait que l’annexion de l’Alsace et de la Moselle s’expliquait par le souci de se protéger d’une éventuelle agression française et non par le désir d’agrandir "une patrie dont le territoire est assez grand".

    Elle repose aujourd’hui auprès de Napoléon III et du prince impérial dans la nécropole impériale de Farnborough.

    Gérard-Michel Thermeau est l’auteur de plusieurs ouvrages dont le dernier est "Stéphanoisd’autrefois ", Actes Graphiques, février 2020, disponible sur Amazon.

  • De toutes façons, leurs produits sont de la merde chimique

    Dans la catégorie “RECHERCHE“ de mon blog

    www.cuisine-toulousaine.com

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    Racisme: Knorr rebaptise sa " sauce tzigane " en Allemagne

    Jugée discriminatoire, la "sauce tsignane" de Knorr va être rabaptisée "sauce paprika à la hongroise", a annoncé l’entreprise ce lundi.

    L’entreprise d’agroalimentaire Knorr, qui appartient au géant anglo-néerlandais Unilever, va rebaptiser sa "sauce tsigane", commercialisée en Allemagne, en raison de son caractère jugé discriminatoire envers la population des Roms et Sintis.

    […]

    "Nous travaillons de manière intensive afin de libérer la publicité de toute discrimination et tout stéréotype", écrit la société.

    "Comme le concept de ‘sauce tsigane’ peut être interprété négativement, nous avons décidé de donner un autre nom à notre sauce Knorr", ajoute-t-elle. Le changement de nom fait suite aux récents débats internationaux sur le racisme, en particulier aux États-Unis, survenus après le meurtre en mai d’un afro-américain George Floyd par la police.

    […]

    BFMTV

     

    En Occitan: pobre cun! (phonétique)

  • Basta ya!

    A force de tirer sur la corde, elle se casse;

    Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se brise!

    Nos proverbes ont toujours dits la vérité…

    La Ville de Paris a-t-elle fait retirer la statue de Voltaire, régulièrement dégradée par des militants "antiracistes"? la Mairie dément

    Lundi 17 août 2020, la statue de Voltaire dans le 6ème arrondissement de Paris a fait l’objet d’un retrait. Sur les réseaux sociaux, le "déboulonnage" a créé la polémique.

    Des photos du retrait de la statue de Voltaire, dans le 6e arrondissement de Paris, ont fleuri sur les réseaux sociaux. Son retrait a fait l’objet de nombreuses spéculations et serait dû à un entretien devenu trop coûteux à cause des dégradations anti-racistes. Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, a réfuté ces allégations.

        C'est dingue. Il suffit d'un démenti de la Mairie de Paris pour qu'on crie à la fake news, sans même vérifier ce qu'ils racontent. Comment peut-on dire qu'on la nettoie et qu'on la rend au FRAC alors qu'elle est là depuis 60 ans, et dire qu'on ne l'a pas enlevée.

        — La Tribune de l'Art (@ltdla) August 17, 2020

    Le 14 juin, Emmanuel Macron déclare, solennellement: "Nous ne déboulonnerons aucune statue".

    MENTEUR!

    Le 17 août, on enlève la statue de Voltaire.

    C'est tout Macron ça…

        "Il faut dépenser le mépris avec une grande économie, à cause du grand nombre de nécessiteux." pic.twitter.com/0VR2W2zAGk

        — La Tribune de l'Art (@ltdla) August 17, 2020

    Des statues prises pour cible

    Le retrait de la statue de Voltaire, rue de Seine dans le square Honoré-Champion, a fait grand bruit sur les réseaux sociaux lundi 17 août. Effectué alors que les statues sont devenues la cible de militants anti-racistes,

    (si les cons étaient satellisés, il y aurait beaucoup de monde à tourner autour de la Terre!)

    perçues comme des symboles offensants de leur oppression.

    (…)

        Le statue de Voltaire rue de Seine dans le 6e arrondissement a été nettoyée. Dépôt de l’État, elle a été rendue au @CNAPfr. La Ville souhaite qu’elle puisse être réinstallée dans l’espace public, avec l’autorisation de l’État. https://t.co/n4RgKkFIO7

        — Emmanuel GREGOIRE (@egregoire) August 17, 2020

    (…) Actu.fr

     

  • Militaires agressés pendant leur footing:

    interdiction de se défendre !

    Dans la région d’Annecy également, comme partout ailleurs, les racailles n’ont plus aucune retenue et se frottent désormais aux militaires. Preuve qu’ils ne respectent absolument rien et surtout pas la France.

     

    https://www.ledauphine.com

    Quinze militaires du 27e bataillon de chasseurs alpins faisant leur footing le matin ont été suivis et harcelés par une bande de racailles bien décidées à en découdre.

    Les racailles ont suivi les militaires, leur ont fait des croche-pieds, les ont insultés, des coups ont été échangés. Ils voulaient évidemment en découdre en provoquant les militaires. Une plainte a été déposée, qui n’aboutira probablement à rien.

    Les militaires ont réussi à se débarrasser de la racaille et sont rentrés par un autre chemin pour “ne pas envenimer la situation“. On croit rêver. Nos militaires ne peuvent donc plus circuler librement dans leur propre pays! … C’est céder à la racaille. C’est céder à l’ennemi.

    Des clients d’un magasin ont appelé les secours. On se demande bien pourquoi. C’est surréaliste. Les militaires n’ont-ils pas les moyens de se défendre tout seuls comme des grands?

    Dans le cas présent, les chasseurs alpins étaient une quinzaine mais n’ont rien pu faire en raison des règlements qui les paralysent. Voilà une bande de racailles qui paralyse une quinzaine de militaires : ils sont sur le bon chemin pour paralyser toute notre armée, un jour.

    Les militaires devraient selon moi pouvoir se défendre directement et faire immédiatement taire les agresseurs, dont le comportement n’est absolument pas acceptable.

    Dans le bon vieux temps, un tel harcèlement n’était ni tolérable ni toléré, les militaires étaient rarement agressés et quand ils l’étaient, ils réglaient leurs compte eux-mêmes, de manière virile par une bonne expédition punitive, et personne ne les critiquait.

    Je me souviens d’un fait divers qui m’a été raconté par quelqu’un qui y a participé. Un membre des commandos Marine du poste de commandement des sous-marins nucléaires à Houilles (78) s’était fait sauvagement agresser dans le RER en rentrant d’une permission, il y a environ vingt-cinq ans.

    Les commandos ont voulu savoir qui était l’agresseur. Ils ont arpenté la ville tous les soirs, en marchant au pas en rangers et survêtements. Cela durait plusieurs heures. Une marche au pas, ça fait du bruit, et on n’entendait plus que cela dans les rues, le soir.

    Au bout de quelques jours, les habitants de Houilles en ont eu assez, et ils ont indiqué qui étaient les auteurs de l’agression.

    Les commandos sont allés donner une bonne leçon à ces agresseurs, ils leur ont cassé la figure en bonne et due forme.

    Plus aucun militaire de retour de permission ne s’est fait agresser dans le RER pendant longtemps et à Houilles les commandos ont eu la paix.

    Mais aujourd’hui les militaires ont affaire à des racailles qui sont soutenues en haut lieu et qui ne sont jamais lourdement sanctionnées comme elles le devraient. De plus, ces racailles sont armées et n’hésitent pas à se servir de leurs armes. Enfin quand les militaires se défendent, on parle de bavure, toutes sortes de marches blanches ont lieu pour les soi-disant victimes et toutes sortes de « bonnes âmes » montent au créneau pour cracher sur les militaires. Les médias aux ordres ne sont pas en reste.

    Un militaire qui se défend contre une racaille risque le tribunal et d’être chassé de l’armée en cas de condamnation.

    Bref, le mot d’ordre donné aux militaires est « fermez votre gueule et laissez-vous agresser en silence. On ne veut pas en entendre parler.»

     

    L’urgence aujourd’hui est de ne plus permettre que nos militaires soient agressés. Il en va du respect dû à notre pays. Même des gens comme le minable Micron devraient le comprendre. À travers notre armée, c’est nous tous qui sommes agressés et Macron l’est aussi, doublement : en tant que Français et en tant que chef des armées.

    La racaille se sent forte. Forte de son impunité. Forte de sa victoire annoncée. Que les racailles maliennes qui sont en nombre en France aillent se battre au Mali et on en reparle, mais elles n’ont même pas ce courage élémentaire.

    Nous avons les gouvernants les plus bêtes et les plus lâches du monde. Nous espérons tous retrouver des jours meilleurs où ceux qui ont la belle mission de nous défendre pourront cesser de baisser la tête devant les sauvages. Mais ce n’est pas gagné.

    Sophie Durand

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  • Comme les Corses: n'attendons pas!

    Coups de couteaux, trafics, agressions: à Bordeaux, des habitants s’organisent pour assurer leur sécurité face à la vague de violences

    Coups de couteaux, trafics, bagarres,  Bordeaux voit augmenter les actes de violences dans ses rues depuis le déconfinement mi-mai. Face à cette situation d’insécurité, des gens s’organisent eux-même…

    Depuis le mois de juin 2019, bagarres de rue, agressions violentes et règlements de compte à l’arme blanche sont de plus en plus fréquentes dans la capitale girondine. Et le problème s’est aggravé depuis le déconfinement, le 11 mai dernier. Depuis juin, chaque jour ou presque, un nouveau fait divers vient s’ajouter à la longue liste des violences qui se multiplient dans les rues de plusieurs quartiers de Bordeaux notamment à Saint-Michel et de la gare Saint-Jean. Alcool, trafic de drogue et de concurrence de territoires entre bandes rivales, et impliquent souvent des jeunes majeurs isolés ou des mineurs non accompagnés.

    (…) Anne-Laure fait partie des internautes qui ont entendu l’appel de l’agent de sécurité. Bordelaise depuis 15 ans, elle a carrément télécharger l’application Street Alert qui permet de sauver ou d’être sauvée en situation de danger immédiat. Le créateur de l’application a vu une forte augmentation des téléchargements à Bordeaux ces derniers jours, " plus de 200 téléchargements en cinq jours " selon lui.

    (…) Face aux agressions qui se multiplient dans la Métropole, s’est monté à Bordeaux  un groupe Facebook d’entraide pour s’auto-raccompagner " afin de ne pas se laisser envahir par la peur ".

    (…) D’autres n’attendent pas le bon samaritain et décident de prendre le problème à bras le corps en optant pour des cours d’auto-défense sur les tatamis.

    (…) France 3

  • Arroseurs bien arrosés...

    Trop forts, les crétins dégénérés!

    Grasse : deux " jeunes " agressent un policier du RAID en civil, se font corriger, prennent la fuite, décident d’aller porter plainte et terminent en garde à vue

    Deux hommes de 19 et 26 ans ont été placés en garde à vue ce lundi soir à Grasse (Alpes-Maritimes). Ils venaient au départ pour déposer plainte.

    Les agresseurs sont mal tombés. Deux frères ont escaladé le mur d’une résidence de Grasse ce lundi soir vers 19h30. Ils avaient décidé d’en découdre avec un homme pour un motif absurde. Celui-ci venait en effet de faire une réflexion à une automobiliste imprudente, ce qui n’a pas été à leur goût.

    L’homme a expliqué qu’il avait annoncé sa qualité de policier à ses deux agresseurs, mais que cela ne les avait pas refroidis. Bien au contraire, ils ont frappé le fonctionnaire du RAID qui s’est défendu. A tel point que les deux frères ont finalement préféré prendre la fuite.

    Ces derniers ont ensuite choisi de se rendre au commissariat de la ville… pour déposer plainte. Leur victime avait déjà donné l’alerte et les deux hommes de 19 et 26 ans ont été placés en garde à vue. L’un d’entre eux présentait des ecchymoses au visage.

    Actu 17