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Société - Page 73

  • Séquelles après vaccin

    i24NEWS 12 janvier 2021. Israël: 4.500 personnes infectées au covid 19 après avoir reçu la première dose de vaccin

    Signal d’alerte fort venant d’Israël

    Les médias sacrent Israël, le champion de la lutte anti covid19 par le vaccin Pfizer. Superbe opération financière pour Pfizer qui a obtenu un bonus de prix de 40% pour cette priorité accordée à Israël. Depuis le 20 décembre, en 24 jours, plus de 20% des Israéliens (deux millions de personnes) ont été vaccinés.

    Mais depuis cette date, selon les chiffres de l’OMS, les nombres quotidiens de contaminations et de morts attribuées au Covid19 explosent. Les contaminations quotidiennes sont ainsi passées de 1886 cas le 21/12 à 9416 cas le 12 janvier21. Le Dr Sharon Elrai-Price, responsable des services de santé publique au ministère israélien a averti le 12/1/2021 qu’une seule dose du vaccin contre le coronavirus n’offrait pas une protection suffisante contre l’infection par le virus.[1]

    Elle a ajouté que 17% des patients gravement malades qui sont actuellement hospitalisés sont des patients qui ont reçu une première dose du vaccin avant leur hospitalisation. Les données montrent qu’à cette date, 4.500 personnes ont été diagnostiquées positives au coronavirus après avoir reçu la première dose de vaccin, dont 375 ont été hospitalisées en raison de la maladie. Parmi les personnes hospitalisées, 244 l’ont été dans la première semaine suivant leur vaccination, 124 au cours de la deuxième semaine, et 7 plus de 15 jours après avoir reçu le vaccin.

    “Le nombre de cas confirmés a atteint un nouveau sommet, nous avons passé la barre des 9.000 tests positifs. Il n’y a jamais eu un tel chiffre

    Et la mortalité journalière est passée de 18 le 20 décembre à 50 le 17 janvier conduisant le gouvernement à prolonger le 3ème confinement du pays pour une durée indéterminée.

    Signal d’alerte fort en Grande-Bretagne depuis la vaccination

    La Grande-Bretagne est le second pays dans la course à la vaccination qui a débuté le 4 décembre avec le vaccin développé par Pfizer et BioNTech.

    Depuis cette date, le nombre de contaminations quotidiennes a explosé de 14898 le 4/12/2020 à 68063 le 9 janvier 2021.

    Et malheureusement aussi la mortalité Covid19, qui après une augmentation de près de 300% (414 le 4/12 à 1564 le 14/2021) dépasse de 27% celle observée en mars-avril 2020 (pic maximal 1224 le 22 avril 2020).

    Inquiétudes aux USA

    Depuis cette date, la mortalité Covid19 a augmenté de près de 200% (1296 le 28/12 à 3557 le 17/2021)  et dépasse la moyenne des décès quotidiens observés en mars-avril 2020.

    Ces augmentations considérables et simultanées des incidences journalières des contaminations et des décès après la première dose de vaccin Pfizer dans les trois pays à la couverture vaccinale les plus élevées sont très inquiétantes et constituent des signes d’alarme forts.

    Alerte en Norvège pour les personnes fragiles

    La Norvège, vient d’émettre le 15/1/2021 une alerte après la constatation de 23 décès liés au vaccin Pfizer[2] [3] chez des personnes âgées en Ehpad. Parmi ces décès, 13 ont été autopsiés, les résultats suggérant que les effets secondaires courants pourraient avoir contribué à des réactions graves chez les personnes âgées fragiles.

    Selon l’Institut norvégien de santé publique "Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves. Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents" et l’Institut national de santé publique a modifié le guide de vaccination contre le coronavirus, y ajoutant de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

    Evolution en France non vaccinée pendant cette période

    En France, tant le nombre de nouveaux cas que le nombre de morts quotidiennes ont diminué lentement durant cette période à un niveau beaucoup plus faible (par million) que dans les pays champions de la vaccination.

    On est donc frappé par les différences évolutives de l’épidémie Covid19 entre les pays, gagnants de la course à la vaccination et la France plus lente à vacciner.

    Cet éloge de la lenteur rappelle qu’il n’y a pas de médicaments ou de vaccin sans risque et qu’ils peuvent paradoxalement augmenter la gravité de la maladie qu’ils sont censés combattre.

    Cela a été constaté avec les vaccins prétendument anti-cancers (les vaccins anti-hépatite B censés prévenir le cancer du foie[4] et les vaccins anti-papillomavirus prétendument anti-cancer du col de l’utérus[5]), quelques candidats vaccins contre le Sida qui ont été abandonnés et plus récemment avec le scandale sanitaire du vaccin contre la dengue aux philippines qui a entraîné plusieurs centaines de morts. Mais les leçons de la catastrophe du Dengvaxia n’ont pas été tirées et la propagande pro vaccin actuelle met en danger ceux qui se font vacciner contre le Covid19.

    Peter Doshi[6] avait prévenu dès novembre "attendons de disposer des données complètes des essais" car les communiqués de victoire de l’industrie sont imprécis et incomplets. Il rappelait aussi que les essais n’étudiaient pas le seul critère pertinent, la mortalité[7] mais seulement le nombre de cas basé sur des tests souvent faux: "le monde a tout parié sur les vaccins pour apporter la solution à la pandémie, mais les essais ne sont pas centrés sur la démonstration qu’ils le seront"

    La cause de ces résultats paradoxaux: les anticorps facilitateurs?

    Après vaccination les anticorps peuvent entraîner une aggravation paradoxale de la maladie. Ce phénomène immunologique particulier est appelé anticorps facilitateurs (en anglais Antibody-dependent enhancement ADE).

    Chez l’homme un tel phénomène a été observé dans les essais de vaccins contre le virus respiratoire syncytial[8] (VRS) et lors de la campagne de vaccination contre la dengue[9] [10] entraînant plusieurs centaines de morts aux Philippines en 2017, l’arrêt de la vaccination et une cascade de procès en attente de jugement.

    Chez le chat le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline[11] a été abandonné à cause de ce mécanisme [12] Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire.

    Lors d’essai de vaccin contre le coronavirus du Mers les lapins développent des anticorps mais leur pathologie pulmonaire est aggravée.

    L’apparition de tels anticorps facilitateurs est favorisée par la persistance d’un taux d’immunité insuffisante. Le risque individuel d’aggravation par "anticorps facilitants" doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants[13]

    Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constitue un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination

    Je ne suis ni pro ni anti-vaccin, mais fermement opposé pour l’instant à la généralisation d’un vaccin insuffisamment évalué.

    Contrairement à ce que prétendent les décodeurs /déconneurs liés à l’industrie pharmaceutique, je ne suis pas contre la vaccination. Je suis pro-vaccin lorsqu’un vaccin est efficace, sans danger et qu’il permet d’éviter une maladie grave.  Je suis contre un vaccin lorsqu’il est inutile comme pour les maladies transmises uniquement par l’eau (polio, typhoïde, choléra) dans les pays à l’hygiène publique disposant d’eau potable et de traitement des eaux usées ou lorsqu’il n’a pas été correctement étudié et évalué: vaccin contre la dengue (qui a causé des centaines de morts), vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le risque de cancer du col).

    L’indication de n’importe quel traitement ou vaccin doit reposer sur l’évaluation de sa balance avantages/ risques.

    On ne peut espérer aucun avantage individuel à vacciner contre le covid les moins de 65 ans, puisque la maladie est chez eux plus bénigne que la grippe ; cette population ne peut donc rien espérer des vaccins anti-covid si ce n’est des complications. Et l’argument sociétal (on se vaccine pour protéger les autres) n’est pas non plus pertinent puisqu’il n’est pas démontré que le vaccin soit capable d’empêcher ou de ralentir les transmissions virales.

    En l’état actuel des connaissances, la vaccination des plus âgés présentant des facteurs de risques (population où un vaccin efficace et sans danger pourrait être utile) n’a pas été correctement évaluée, car les essais refusent d’inclure cette population à risques.

    Le principe de précaution soulevé par l’alerte norvégienne justifie de ne pas les vacciner systématiquement, tant qu’on ne disposera pas de données transparentes en nombre suffisant affirmant l’efficacité et l’absence de toxicité en population réelle.

    En conclusion:

    Il faut féliciter le gouvernement de la lenteur qu’il met à généraliser la vaccination anti covid. Les résultats actuels du vaccin Pfizer dans les populations israélienne et britannique laissent en effet craindre un possible catastrophe sanitaire vaccinale.

    Remercions par avance les Français volontaires pour se faire vacciner: ils constituent les cobayes de l’essai phase 3 que le laboratoire n’a pas pris le temps de faire. Grâce à eux et aux risques qu’ils prennent, nous pourrons dans quelques mois avoir une plus juste idée des avantages et des inconvénients en population réelle.

    Gérard Delépine

    [1] Israël/Covid-19: 4.500 personnes infectées après avoir reçu la première dose de vaccin i24NEWS12 janvier 2021

    [2] La Norvège lance une alerte après la découverte de 23 décès liés au vaccin Pfizer Businessman 15/1/2021 https://fr.businessam.be/la-norvege-lance-une-alerte-apres-23-deces-possiblement-lies-au-vaccin-pfizer/

    [3] Norway Warns of Vaccination Risks for Sick Patients Over 80 https://www.infobae.com/en/2021/01/15/norway-warns-of-vaccination-risks-for-sick-patients-over-80/

    [4] La vaccination anti hépatique B a été suivi en occident par une multiplication de 2 à 4 de l’incidence des cancers du foie ;

     [5] les vaccins anti HPV ont été suivi d’une augmentation de 30 à 200% de l’incidence des cancers invasifs dans les groupes d’âge les plus vaccinés.

     [6] Peter Doshi: Pfizer and Moderna’s “95% effective” vaccines—let’s be cautious and first see the full data November 26, 2020  https://blogs.bmj.com/bmj/2020/11/26/peter-doshi-pfizer-and-modernas-95-effective-vaccines-lets-be-cautious-and-first-see-the-full-data/

     [7] Peter Doshi associate editor Will covid-19 vaccines save lives? BMJ 27 10 2020 Current trials aren’t designed to tell us: BMJ 2020 ;371:m4037 http://dx.doi.org/10.1136/bmj.m403 .

     [8] . Polack, F. P. Atypical measles and enhanced respiratory syncytial virus disease (ERD) made simple. Pediatr. Res. 62, 111–115 (2007).

     [9] Dejnirattisai, W. et al. Cross-reacting antibodies enhance dengue virus infection in humans. Science 328, 745–748 (2010).

    [10] Sridhar, S. et al. Effects of dengue serostatus on dengue vaccine safety and efficacy. N. Engl. J. Med. 379, 327–340 (2018)

     [11] Vennema, H. et al. Early Death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

     [12] Hohdatsu, T., Nakamura, M., Ishizuka, Y., Yamada, H. & Koyama, H. A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

     [13] Académie de médecine Communiqué de l’Académie du 11 janvier 2021: Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19: quels risques pour quels avantages?

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  • La justice en France: on se fout de nous!

    Lisieux (14): jugé pour “corruption de mineure de moins de 15 ans”, le prévenu âgé de 29 ans est relaxé “dans leur communauté, les relations avec de très jeunes filles sont admises”

    Le 27 juillet 2020, une jeune fille, presque 15 ans, rejoint son amoureux de 29 ans en taxi. C’est son ex-beau-frère qui a eu deux enfants avec sa sœur aînée.

    […]

    Les parents relativisent : “du moment qu’elle est heureuse, c’est ce qui compte“.

    […]

    Maître Hadrien Gillier pour la défense confirme : “dans leur communauté, les relations avec de très jeunes filles sont admises“. Le tribunal relaxe l’homme de corruption de mineure. Déclaré coupable de soustraction d’enfant, il est dispensé de peine.

    L’article dans son intégralité sur  La Manche Libre

  • Attention les retraités!

    Comment l’État s’apprête à faire les poches des retraités

    Il semble que l’État s’apprête, notamment sur les conseils du Comité de Suivi des Retraites, à faire une nouvelle fois la poche des retraités, et ce pour deux raisons mensongères.

    Par Thierry Benne.

    Un article de l’Iref-Europe

    Tel la cigale de la fable, une fois de plus fort pris au dépourvu après avoir dépensé sans compter pour faire face à la pandémie, il semble que l’État s’apprête, notamment sur les conseils du Comité de Suivi des Retraites, à faire une nouvelle fois la poche des retraités.

    Deux raisons sont avancées :

        leurs pensions de retraite font partie des rémunérations qui n’ont pas été affectées par les diverses mesures de restriction ou de fermetures prises au titre de l’épidémie et pour rétablir l’équité il faut donc exiger des retraités une sorte de contribution de solidarité sous une forme ou sous une autre ;

        leur niveau de vie dépasse encore légèrement aujourd’hui le niveau de vie moyen de l’ensemble des ménages.

    En réalité, et comme nous allons le démontrer, ces deux raisons sont toutes aussi mensongères l’une que l’autre.

    Le maintien du montant des pensions de retraite

    Le chœur des censeurs, qui ne brille pas davantage par sa clairvoyance que par son sens de la justice sociale, dénonce l’injustice insoutenable qui fait, qu’à l’écart de la pandémie, les pensions des retraités ont continué à être versées dans leur intégralité, alors que d’autres catégories sociales, telles les chômeurs partiellement indemnisés ou les indépendants contraints de cesser leur activité, ont vu chuter leurs rémunérations en dépit des indemnisations mises en place.

    Ils estiment donc que les retraités ainsi privilégiés doivent en retour à la solidarité nationale un sacrifice particulier sur leurs pensions.

    Assurément, c’est aller un peu vite en besogne.

    En termes de vies humaines, les retraités sont ceux qui ont payé le plus lourd tribut à la pandémie, aggravé encore par le comportement erratique des pouvoirs publics qui ont confiné nombre d’EHPAD, en les interdisant pratiquement de soins et dans des conditions qui s’apparentent davantage à une forme larvée d’euthanasie qu’à une approche curative.

    En dehors des indépendants de nombreuses catégories sociales, la plupart des employés des services publics n’ont rien perdu à l’occasion de la pandémie, tout simplement parce que leurs salaires et avantages ont été intégralement maintenus, même pendant les périodes de confinement les plus strictes.

    On observe même que certains actifs ont fait mieux que tirer leur épingle du jeu, soit que le télétravail mis en place ait considérablement réduit leurs frais d’emploi et de garde, soit que le maintien intégral de leur rémunération antérieure se soit accompagné de substantielles réductions de service, voire parfois de quasi- suppressions de service; notamment poste, justice, enseignement, guichets de Sécurité sociale et comme de juste, RATP et SNCF.

    Pourtant, entre un retraité ayant perçu l’intégralité de sa pension après avoir dûment acquitté ses cotisations et un salarié dont tout le salaire a été maintenu pendant les périodes de confinement sans plus accomplir son service, quel a été le mieux traité?

    Il n’existe donc aucune raison que les retraités les plus durement touchés par la pandémie soient les seuls à acquitter sous une forme ou sous une autre une sorte de nouvelle contribution de solidarité nationale, alors que de nombreuses catégories sociales davantage épargnées et mieux soignées et d’autres plus chanceuses encore ont réussi jusqu’ici à traverser la crise sans dommage pécuniaire ou sanitaire apparent et même parfois avec profit.

    Et si vraiment nos censeurs tiennent à leur contribution, qu’ils la proposent donc en priorité à tous les corps de la fonction publique dont le salaire a été intégralement maintenu sans que le service le soit également ! Mais ce n’est sans doute pas un hasard si la plupart des bonnes âmes qui veulent taxer les retraités appartiennent précisément à la fonction publique.

    La référence fallacieuse au niveau de vie des retraités

    Dans les milieux gouvernementaux, comme dans certaines publications statistiques ou encore dans la haute fonction publique il est de bon ton de substituer la référence du niveau de vie à celle du montant des pensions pour piloter l’indexation de ces dernières, en en profitant pour réduire au pain sec les retraités qui assistent impuissant au gel répété de leurs pensions ou à l’augmentation non compensée de leur CSG.

    Cela permet de faire des retraités des privilégiés puisqu’en 2018, leur niveau de vie mensuel par unité de consommation s’établit à 2100 euros contre 2041 euros pour la moyenne de l’ensemble de la population. Or dans tous les cas, ce calcul est intellectuellement malhonnête et moralement inadmissible.

    En effet le niveau de vie ajoute au montant des pensions de retraite d’éventuelles rémunérations accessoires, divers transferts et surtout le montant des revenus du patrimoine des retraités.

    Or, le patrimoine, qui s’acquiert par accumulation, croît normalement avec l’âge de son détenteur et toutes conditions égales par ailleurs un septuagénaire ayant gravi tous les échelons de sa carrière, dégagé au surplus des charges de famille et d’emprunts dispose inévitablement d’un patrimoine plus important qu’une jeune quadragénaire au milieu de sa carrière et supportant à la fois des charges de famille et d’emprunt.

    On ne peut donc statistiquement comparer les revenus du patrimoine d’un retraité avec ceux nécessairement très inférieurs de la moyenne des Français développant une moyenne d’âge inférieure de moitié ou presque à celle des retraités. Les premiers sont inévitablement plus importants que les seconds. Et ce sont essentiellement les écarts enregistrés sur ces revenus du patrimoine qui permettent aux retraités, malgré des pensions inévitablement inférieures aux salaires, d’obtenir in fine un niveau de vie légèrement supérieur à celui de l’ensemble de la population, en sachant toutefois que cette situation n’est que provisoire, car les salaires augmentent plus vite que les pensions.

    Inversement, et cette évidence semble curieusement échapper au Comité de Suivi des Retraites, tous les retraités n’ont pas nécessairement un patrimoine important et on ne peut pas régler de manière uniforme, aveugle et a minima la revalorisation uniforme des pensions de tous les retraités en se référant aux revenus moyens d’un patrimoine moyen, dont beaucoup de retraités ne disposent pas.

    Enfin, si malgré tout on tient à ce que l’indexation des retraites puisse être plafonnée en fonction du niveau de vie moyen des retraités, il n’y a aucune raison qu’une telle restriction ne pèse pas également sur les revenus de toutes les autres catégories sociales, dont la hausse des rémunérations devrait être aussi individuellement pilotée en fonction de l’importance de leur niveau de vie.

    On voit la suite… et certains des plus hauts corps de la fonction publique non dépourvus en patrimoine risqueraient fort de devoir prendre à leur compte l’inflation et plus si nécessaire. À défaut, les principes constitutionnels d’égalité entre les citoyens et d’égalité devant la contribution aux charges de la Nation seraient donc une nouvelle fois bafoués, à moins que le Conseil constitutionnel ne se décide enfin à appliquer le texte même de la Constitution au lieu de l’interpréter et de l’infléchir au gré de ses humeurs!

    Conclusion

    Il est donc clair que, quelque soit le bout par lequel on aborde la question, elle ne reçoit jamais une réponse logiquement satisfaisante, juridiquement fondée, ni économiquement juste.

    Contrairement à ce que l’on tente de nous expliquer, l’institution d’une nouvelle mesure attentatoire au pouvoir d’achat des retraités ne correspond à aucun souci de solidarité, mais à une nouvelle manifestation de cette hargne anti-générationnelle que l’on voit poindre et s’épanouir librement contre les retraités considérés par certains comme autant de bouches inutiles à nourrir, par d’autres comme des parasites pour les générations plus jeunes, les derniers y voyant des nantis insouciants passant le plus clair de leur temps dans de luxueuses croisières vers des pays lointains.

     

     

     

    Quand en plus on s’aperçoit qu’en violation de toutes les déclarations internationales protectrices des droits de l’Homme, ces retraités sont abusivement exclus de toutes les institutions consultatives et de la plupart des caisses de retraite du pays, quand on sait qu’ils ne manifestent guère qu’exceptionnellement et alors toujours ou presque pacifiquement, on dispose de tous les éléments de réponse à la revendication de nos censeurs.

    On sait maintenant qu’elle ne doit rien à l’intérêt général, mais bien plutôt à une volonté prédatrice et malsaine d’imposer une nouvelle mortification aux aînés, sans même s’apercevoir que ce sont leurs propres parents que nos justiciers s’apprêtent à appauvrir une nouvelle fois.

    Et puis, il n’est pas besoin d’être un politologue avisé pour craindre qu’en 2022 lors des prochaines échéances électorales nationales, les plus de 17 millions de retraités ainsi matraqués ne manifestent plus tout à fait la même fidélité à un pouvoir qui, durant cinq ans, n’aura cessé de se moquer d’eux, de les mépriser et de les châtier. Tous ceux qui leur doivent leur élection feraient bien d’y penser dès maintenant.

  • Où est passé la camisole de force?

    La rappeuse Azealia Banks déterre son chat mort et cuit le cadavre lors d’un rituel de sorcellerie

    […]

    Sur Instagram, la star (sic) s’est ainsi filmée en train de déterrer le cadavre de son chat Lucifer, mort il y a quelques mois. Les internautes ont pu ainsi apercevoir la dépouille de l’animal. "Le chat est dans le sac!", peut-on l’entendre dire, en riant en arrière-plan.

    Azealia Banks a ensuite fait bouillir le cadavre dans une imposante casserole, contenant également une étrange substance. En procédant à ce "rituel", le but était de ramener son chat à la vie.

    […]

    Les images insoutenables ont évidemment suscité la polémique sur les réseaux sociaux, ses fans évoquant leur écœurement, et même leurs inquiétudes sur l’état mental de la rappeuse.

    Depuis, les vidéos ont été supprimées. Il ne reste qu’une photo, postée en story, sur laquelle on peut apercevoir le crâne d’un animal – vraisemblablement le chat – entouré de multiples objets, du champagne, du parfum, un crucifix…etc…

    En 2016, Azealia Banks avait déjà indigné les internautes en révélant – sur Instagram déjà – qu’elle avait pratiqué pendant plusieurs années des sacrifices de poulets.

     

  • Un scandale français!

    C’est un combat surréaliste, digne de David contre Goliath, que livre actuellement une petite entreprise du Sud de la France contre la Ministre de l’Ecologie (et de la transition vu le nombre de ministres qui se sont succédés ces dernières années).

    Son crime ?

    Ne pas entrer dans cadre d’une procédure de reconnaissance que l’Etat cherche à lui imposer… alors qu’elle ne la concerne pas.

    Après une première victoire devant le tribunal administratif, la société Vento-Sol et son dispositif ECOBANG (technologie performante et économique pour traiter les effluents aqueux) viennent d’obtenir une nouvelle victoire devant la Cour d’Appel de Bordeaux.

    Pour protéger les grands groupes qui traitent les eaux usées et les effluents, Barbara Pompili et ses sbires ont abusivement utilisé les règlements et la justice pour interdire la commercialisation d’un dispositif simple et peu coûteux, inventé par une entreprise bien française.

    Le système révolutionnaire Ecobang menacerait, depuis 2008, la sûreté de l’Etat, et surtout, vu son faible coût, la pérennité des commissions versées à certains ministres et hauts fonctionnaires par les grands groupes de traitement des eaux et des eaux usées. Corruption, quand tu nous tiens!

    Le système Ecobang pour caissette de 900 litres. Avec ça, pas besoin de construire une mini station d’épuration!

    A l’origine, le système ECOBANG a été imaginé pour apporter une solution efficace aux problèmes de gestion des faibles volumes d’effluents aqueux. Nicolas Vento, qui travaillait déjà dans ce domaine, avait en effet identifié un besoin spécifique. Il a donc développé un dispositif “nouvelle génération” à partir d’un cahier des charges exigeant.

    Chronologie d’une saga judiciaire: quand l’administration paralyse le développement d’une innovation française

        2008-2010

    Conception d’ECOBANG par Vento-Sol. Nicola Vento crée un premier prototype, qui donne immédiatement de très bons résultats. Il réalise ainsi une quinzaine de prototypes entre 2008 et mars 2010 pour finaliser le produit final.

        Juillet 2010

    Le démarrage de l’activité est officiellement lancé… mais est immédiatement stoppé par des blocages administratifs: le Ministère de l’Ecologie impose une reconnaissance à ECOBANG.

        Juin 2013

    Après 3 années d’efforts, le Ministère reconnait finalement la première version d’ECOBANG… mais avec de telles restrictions que le dispositif est invendable. En septembre, Nicola Vento conteste cette reconnaissance.

        2014

    Après plusieurs échanges avec l’administration, Nicolas comprend en février 2014 d’où viennent les blocages et pourquoi il est si difficile de faire reconnaître ECOBANG: le dispositif ECOBANG n’entrait pas dans le cadre de la procédure de reconnaissance.

    Il écrit immédiatement au Ministère pour lui demander pourquoi il impose cette obligation alors que son dispositif n’est pas concerné. A partir de ce courrier, le Ministère cesse toute communication avec Vento-Sol.

        Juin 2015

    Après avoir épuisé tous les recours amiables, Nicola saisit le Tribunal Administratif.

        15 Mai 2018

    Le Tribunal Administratif de Toulouse donne raison à la société Vento-Sol. Le Ministère fait alors appel de cette décision.

        10 novembre 2020

    La Cour d’Appel de Bordeaux a confirmé la décision du Tribunal Administratif.

    Cette fois, la condamnation pour faute du Ministère de l’Ecologie a été confirmée.

    “La justice a considéré que notre dispositif ECOBANG aurait pu prendre 20 à 30% du marché agricole si le Ministère de l’Ecologie ne nous avait pas mis, à tort, autant de bâtons dans les roues ! Ce sont ainsi des milliers d’appareils qui auraient pu être commercialisés… nous permettant de devenir leaders sur notre marché” affirme Nicolas Vento, fondateur Vento-Sol en nous lisant les principaux attendus de la décision de justice condamnant Barbara Pompili.

    Si on écoutait la grosse Barbara Pompili, les employés communaux déneigeraient les routes à bicyclette!

    Et maintenant… un nouveau combat devant le Conseil d’Etat

    Malgré cette belle victoire obtenue devant la Cour d’Appel, Vento-Sol n’est pas pour autant libre de développer la commercialisation d’ECOBANG comme elle le souhaiterait!

    “En effet, le Ministère de l’Ecologie se sachant en faute, il a fait évoluer sa réglementation le 27 décembre 2019, pour éviter d’avoir à modifier sa liste officielle devenue non conforme, explique Nicolas Vento.

    “Or les changements apportés posent de sérieux problèmes juridiques et rendent ce texte non applicable selon Vento-Sol.

    “Ainsi, en août 2020, après avoir épuisé tous les recours amiables, la société Vento-Sol a saisi le Conseil d’Etat pour faire annuler les modifications du texte de loi.”

    En essayant de paralyser et de tuer une entreprise française, tous les ministres et hauts fonctionnaires qui se succèdent au ministère de l’écologie se comportent en “nuisibles”.

    – Nuisibles pour les entreprises qui innovent pour protéger la nature, comme l’entreprise Vento-Sol et Nicolas Vento, avec le dispositif révolutionnaire Ecobang.

    – Nuisibles pour 80 000 apiculteurs français, en réintroduisant les néonicotinoïdes tueurs d’abeilles, interdits par la France et l’Europe en 2015 ; en interdisant des produits pas chers pour traiter les ruches contre le varroa destructor ; en ayant refusé de lancer, depuis 10 ans, une campagne de destruction du frelon asiatique, qui détruit désormais des milliers de ruches et des milliards d’insectes pollinisateurs sur le territoire français.

    – Nuisibles pour des tas d’entreprises innovantes, en bloquant des procédés simples pour protéger l’environnement ou recycler les déchets.

    Bravo à l’entreprise Vento-sol pour son invention et pour son combat judiciaire.

    Francis GRUZELLE

    Carte de Presse 55411

    Source:

  • Joe le bidet est une éponge!

    Avec un fou pareil, on est dans la m…

    Biden sur la sortie de la crise sanitaire : “Notre priorité (pour accorder des aides financières) ira vers les entreprises détenues par des Noirs, Latinos, Asiatiques, Indiens ou par des femmes”

     

        "Our priority will be Black, Latino, Asian, and Native American owned small businesses, women-owned businesses, and finally having equal access to resources needed to reopen and rebuild." — President-elect Biden pic.twitter.com/pIyDuhf5pH

     

        — Biden-Harris Presidential Transition (@Transition46) January 10, 2021