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Société - Page 77

  • Le peuple allemand se lève pour défendre les libertés

     

    Ce que l'on nous cache, en FRANCE!

    Senta Depuydt la journaliste belge qui ne compte pas son énergie pour sauver la liberté et la civilisation de notre monde a partagé avec nous la vidéo de la manifestation de Leipzig qui fait suite à celle de berlin occulté par les médias, mais qui malgré tous les énormes efforts du camp mondialiste avait été une réussite formidable avec plus d’un million de participants. La présence de Robert Jr Kennedy, neveu de l’illustre président des USA avait galvanisé les foules avec son évocation du " i bin ein berliner " de son oncle à Berlin quelques décennies plutôt.

    Senta raconte: " 7 novembre… " Das Folk ", le peuple est à nouveau dans la rue. Des milliers de personnes se sont rassemblées au cœur de la ville de Leipzig lors d’un autre événement pour la paix, l’amour et la liberté. Des manifestations ont eu lieu dans toute l’Europe ces dernières semaines, mais ce qui se passe en Allemagne est vraiment unique… "

    (…) Oui, nous savions que l’Allemagne serait un moment historique, quelque chose de significatif. Et c’était… au-delà de notre imagination !!!

    Malgré tous les efforts déployés par les responsables de la ville de Berlin pour interdire l’événement et décourager les gens de venir, plus d’un million de personnes de toutes les régions d’Allemagne et d’Europe se sont jointes à l’un des plus grands rassemblements pour la liberté du siècle. Le discours inoubliable de Robert F. Kennedy, Jr., faisant écho aux paroles de son oncle en 1963 dans un message pour défendre le " peuple libre de Berlin " contre la menace du communisme et de la dictature, a instantanément atteint des dizaines de millions de personnes dans le monde. Et son avertissement était très clair. La démocratie est à nouveau en danger, cette pandémie est un coup d’État et nous sommes ici ensemble pour lutter pour nos droits ".

    Senta raconte également ce que nous percevons des messages de nos amis allemands qui se battent bec et ongles pour libérer le monde de ce nouvel ordre mondial qui ne se cache plus ! Les avocats appellent à un Nuremberg 2.

    Le " plus jamais cela " a une énorme signification pour eux, alors même que les petits français et même certains médecins qui appliquent des vaccins obligatoires ou euthanasient des patients sans leur consentement, ne connaissent même pas ce que signifie le code de Nuremberg .

    Les Allemands ne sont pas remis de la honte du nazisme, tandis que les français ont intériorisé le combat de magnifiques résistants, comme le leur, mais sont prêts aujourd’hui à dénoncer leur voisin pour une fête familiale interdite par le sieur Castex … sans compter les monceaux de lettres anonymes de dénonciation encore en stock à la bibliothèque nationale. Des héros ? Non certains oui le furent au-delà de notre imagination ; mais pas tous les français.

    Les Français de la deuxième guerre mondiale ont-ils été globalement plus innocents que les Allemands de la même époque ?

    Pourquoi notre pays a -t-il autant ce sentiment de supériorité, d’invulnérabilité qui nous mène à la soumission outrancière, au massacre des cerveaux de nos enfants aggravé encore par ce port du masque obligatoire au- delà du stress psycho traumatique subi pendant le confinement et les aberrantes et honteuses mesures de " distanciation " imposées à l’école pour calmer les foules, les syndicats bien conditionnés par les représentants zélés de big pharma via la peur induite par les relais gouvernementaux obéissants.

     

    Senta raconte ce que nous lisons trop souvent de la part de nos amis allemands. " Chaque personne que j’ai rencontrée à Berlin m’a raconté la même histoire:

    "En tant qu’Allemands, nous avons dû grandir avec la honte du régime nazi et la misère du communisme. Cela ne peut plus jamais se reproduire ! Il n’y a tout simplement aucun moyen d’accepter une autre société totalitaire. C’est une question de vie ou de mort … ".

    " Les Allemands sont dans les rues tous les samedis depuis août dans des dizaines de villes. Des centaines, voire des milliers de médecins sont totalement en désaccord avec les " coronamesures". Ils s’expriment, soutenus par des dizaines d’avocats, de scientifiques, d’artistes, de sportifs, d’hommes d’affaires, de parents. Il est difficile d’estimer le nombre de personnes au courant de la situation en Allemagne, mais certains disent que cela pourrait représenter jusqu’à 20% de la population.

    Les combattants de la liberté ont défilé chaque semaine avec des portraits de Ghandi, des messages d’amour, des prières, des chants de paix et de la méditation et semaine après semaine, ils ont été qualifiés d’extrémistes, de fascistes et de criminels violents par leurs médias et leur gouvernement. Des blocs noirs se sont infiltrés dans leurs rangs pour provoquer des incidents, les forces de l’ordre ont tenté de les intimider. Lors de l’une des récentes manifestations à Berlin, nous avons vu des images de nos bons amis brutalisés et arrêtés par des " robocops " alors qu’ils se promenaient simplement dans la foule. Mais les voici de nouveau. Rien ne les arrêtera. "

    Nous-mêmes et nos médias se taisent, taisent le comportement du voisin soi-disant notre modèle, taisent le fait qu’ils ont contrôlé de façon beaucoup plus adaptée de la crise covid. Les allemands ont non seulement évité le confinement mortifère et ses victimes collatérales de non ou retard de traitement et surtout évité un grand nombre de morts en laissant ses médecins choisir le traitement adapté, précocement, en d’autres termes l’usage de la chloroquine.

    Relayons le combat de nos voisins allemands et nous ferons écho aux manifestations italiennes, espagnoles etc… dans d’autres tribunes.

    "Je vous invite à regarder ce moment unique à Leipzig. La police a annoncé la fin de la manifestation à 15 heures “parce que la foule ne respectait pas la distance sociale et ne portait pas de masques”. Mais lorsque les organisateurs ont quitté la scène, les gens ont tout simplement refusé d’y aller. Ils ont montré tant de force, tant de courage, ils étaient si nombreux que personne ne pouvait les forcer à partir. Nos amis ont résisté avec paix et amour et une part croissante des forces de police se tourne de leur côté. Tel est le nouvel esprit du peuple allemand, un esprit qui doit à la fois nous éveiller et nous inspirer. "

    "Regardez cette belle vidéo des habitants de Leipzig. (…) Laissez le nouvel esprit de l’Allemagne vous surprendre et vous guider, comme une lumière qui monte du plus profond des ténèbres. "

    https://www.youtube.com/watch?v=sdNqAmCAHYg&feature=youtu.be

    Les rues de Leipzig, le 7 Novembre

    Nicole Delépine

  • La covid-19

    La dimension clinique

    Chaque virus pathogène possède des caractéristiques cliniques propres et des caractéristiques cliniques générales. Le sars-cov-2 ne déroge pas. Il fait partie du groupe des infections respiratoires aiguës (IRA), des grippes en termes générique. Mais il présente des caractéristiques propres, des traitements propres, qui, pour n’avoir pas été reconnus suffisamment rapidement en mars-avril ont généré une morbidité et une mortalité en excès évitable.

    Je ne reviens pas ici, vu de l’étranger, sur la lamentable polémique entre les autorités et le professeur Didier Raoult, dont l’apport scientifique est exceptionnel dans cette crise (qu’il en soit remercié), polémique dont la résultante est objectivement un surcroît de souffrance au niveau des populations. Pour une bonne appréciation de l’aspect clinique, je renvoie vers sa dernière vidéo qui aborde ce thème.

    Notons simplement qu’en Allemagne, ce fut un « grippette » qui n’a pas modifié la courbe générale de la mortalité, alors qu’en France, en Belgique et dans d’autres pays, ce ne fut pas le cas, ceux-ci ont fait face à une maladie particulière possédant une morbidité et une mortalité sérieuse. Pourquoi?

    La dimension épidémiologique

    Elle repose sur plusieurs critères. Retenons trois critères: l’infectiosité, la létalité, la durée de la phase épidémique. Pour ces trois critères, il n’y a pas de différences entre cette IRA particulière par rapport aux autres grippes, ni en mars-avril, ni en octobre-novembre.

    L’infectiosité a fait l’objet de fortes controverses, mais finalement, cela se résume à un taux de reproduction (Rt) de l’épidémie qui se situe entre 1,5 et 4, c’est-à-dire celui des grippes usuelles. L’observation quasi expérimentale de la situation du Diamond Princess, ce paquebot qui transportait de nombreux touristes où s’était introduit le virus, dans une situation où les personnes étaient plus âgées que la population générale et dans un cadre fermé surpeuplé par rapport à nos villes, le R(t) a été estimé à 2,28. Rappelons, pour se fixer les idées, que pour des maladies comme la rougeole, la varicelle, la coqueluche, le R(t) se situerait entre 10 et 20. Pour des maladies comme les oreillons, la rubéole, la diphtérie, le R(t) se situerait entre 4 et 10 et pour les grippes (terme générique), le R(t) se situerait entre 1,2 et 4.

    La létalité.

    Là aussi de nombreuses controverses eurent lieu. Cependant l’OMS, en endossant les observations et les conclusions de ce grand épidémiologiste qu’est John P. Ioannidis, fixe celle-ci à 0,27 % (corrigé à 0,23 %), c’est-à-dire au niveau inférieur des grippes influenza (0,3 à 0,5 %). Là non plus, pas de quoi fouetter un chat.

    La durée des phases épidémiques. Si nous prenons le critère grippal du seuil épidémique, la durée des phases épidémiques, tant de mars-avril que d’octobre-novembre, ne dépasse apparemment pas les 8 semaines. On est dans la définition même des phases épidémiques classiques pour un virus saisonnier qui peut aller jusqu’à 11 semaines. Et ce n’est même pas le cas ici. On comprend, au vu de ces données, la polémique qui a surgi afin de descendre ce seuil épidémique au plus bas afin de prolonger le plus possible, et ainsi justifier, la période des mesures sanitaires. Ce n’est pas de la science cela, mais de la politique.

    La dimension de santé publique

    La mortalité générale est le juge de paix de la santé publique. Cela ne veut pas dire que d’autres critères sont moins importants, comme la surcharge des hôpitaux, la mise en action des soins de premières lignes (très déficitaire en France, comme en Belgique), etc. Certes non.

    On est frappé par les différences entre pays, mais aussi entre régions dans un même pays. Cela a fait l’objet de controverses très intéressantes qu’il serait trop long à exposer ici. Certains éléments font ressortir que les régions les plus touchées en mars-avril le furent moins en octobre-novembre.

    Généralement exact en France, ce n’est pas vrai partout et la Belgique est un exemple contraire: la Wallonie et Bruxelles ont été relativement plus touchées en mars-avril et en octobre-novembre que la Flandre, introduisant sans doute dans l’équation le problème de la pauvreté. Des régions peu touchées en mars-avril le sont restées en octobre-novembre comme pour certaines parties en Allemagne. On est quand même frappé de voir tout un pays comme la Suède, fortement touchée en mars-avril, en sortir quasi indemne en octobre-novembre. Il n’y a donc pas de règles explicatives générales simples, à quelques rares exceptions près.

    Une des exceptions se trouve dans les mesures non pharmaceutiques (versus médicales), ce que les Anglo-saxons nomment les non-pharmaceutical intervention.

    En effet, il y a des différences notables entre pays lorsqu’on considère ce critère. L’étude du professeur Toussaint, comparant des pays du monde entier entre eux, est non seulement très parlante, mais elle n’est pas unique dans ses conclusions. Ces mesures non pharmaceutiques ne montrent aucune supériorité sur leur absence en termes de mortalité générale, bref cela ne semble servir à rien. Peut-être même, est-ce délétère comme l’indiquerait cette étude de la très officielle « Office for national Statistics », où l’on montre un excès de décès assez important causé par le manque de soins lié au confinement. Si cette étude observe un rattrapage de mortalité dans les trois mois qui suivent la crise de mars-avril, celui-ci est loin d’être complet, un excès résiduel reste significatif.

    Nous pouvons enfin répondre à la question de départ.

    Les consignes sanitaires sont-elles à géométrie variable?

    Non, il ne s’agit pas de consignes sanitaires au sens propre, puisqu’au mieux, elles n’auront pas d’impact sur l’épidémie elle-même, ni sur sa gravité.

    On en a eu dernièrement un exemple saisissant: le ministre de la santé belge Vandenbroucke a déclaré que:

        Faire du shopping ne comportait pas vraiment de risque quand tout était bien contrôlé.

    Il conclut:

        Parce qu’à un moment on avait besoin de prendre une décision choc, il fallait un électrochoc et cela impliquait que l’on ferme immédiatement les commerces non essentiels.

    Il confirme ainsi que de telles mesures n’ont aucune base scientifique, ce ne sont pas des consignes sanitaires, mais seulement des consignes politiques.

    Aujourd’hui, il devient de plus en plus difficile à nos gouvernants de justifier leurs mesures profondément liberticides. La cacophonie de celles-ci, là où les mesures non médicales furent les plus dures, est de plus en plus explicite, criante. Le succès du documentaire Hold-Up, vu par des millions de francophones, en est une indication.

    Alors oui, cette cacophonie est visible dans les mesures autoritaires à caractère liberticide qui instrumentalisent l’excuse sanitaire, il ne pouvait pas en être autrement. Les bien-pensants de tout bord, notamment ces « scientifiques » qui préfèrent à la science, une morale à la petite semaine, ont de plus en plus de difficulté à tenir un langage cohérent.

    Comment comprendre qu’en Belgique, les fêtes de fin d’année subiront un confinement sévère, alors que ce n’est pas le cas en France ; comment imposer à ces familles et amis qui se voient régulièrement au cours de l’année, qui se sont mutuellement naturellement contaminés, le non-sens de ne pas pouvoir se conforter aux fêtes traditionnelles, alors que le besoin en ces temps troublés est plus que jamais présent. Cela sert à quoi? Un autre électrochoc !

    La question qui m’était posée vient d’un exemple également flagrant de ces décisions politiques qui n’ont aucune base scientifique et qui sont autant d’injures au bon sens et à la vie sociale et familiale: les manifestants peuvent se réunir place de la République à Paris, mais ne peuvent pas défiler, les vacances de sports d’hiver sans sports d’hiver… portez votre regard plus loin: ooh, la belle grande roue de Lille qui tournera à vide. Hé oui, cela tourne, et encore et encore !

    La conclusion de ce papier est bien difficile, pour cette époque qui augmente considérablement les incertitudes de notre futur, tant les incohérences, les mauvaises décisions, les mensonges et les peurs ont été et sont encore à chaque tournant de nos vies, entraînant le balancier encore un peu plus loin dans sa marche liberticide. Inévitablement, il reprendra une marche inverse à un moment donné: mais où s’arrêtera-t-il, comment et quand?

    Christophe de Brouwer

     

    Docteur (PhD) en Science de la Santé publique. Professeur honoraire à l'École de Santé publique de l'Université libre de Bruxelles. Spécialiste de l'impact des exploitations minières sur les populations.

    Contrepoints.org

  • P'fft!

    A Budapest, des Hongrois érigent un sapin en soutien aux Bordelais qui en seront privés par leur maire: “Même au temps du communisme, ils ne se sont pas attaqués au sapin”

    Le premier dimanche de l’Avent, un sapin de Noël a été mis en place pour Bordeaux… dans un arrondissement de Budapest.

    “Au premier dimanche de l’Avent, un sapin de Noël a été mis en place devant l’académie hongroise de lutte István Kozma dans le sud de Budapest, pour Bordeaux, après que le maire de gauche dure de Bordeaux a interdit la sapin sur la place principale de la ville.”

    “Le chef du groupe parlementaire du Fidesz, Máté Kocsis, a estimé qu’il était inqualifiable et inacceptable que précisément ceux qui parlent toujours de tolérance et d’acceptation en viennent à interdire les symboles chrétiens. Selon le député, il est probable que bientôt les nations considérant Noël comme une fête importante soit en minorité.”

    “C’est surréel et en même temps un honneur d’ériger ici un arbre de Noël pour une ville française. Jamais au cours des trente dernières années nous n’aurions cru, ici en Europe centrale, vivre cela, a déclaré Zsolt Bayer, le fameux éditorialiste proche de Viktor Orbán”.

    “Même au temps du communisme, ils ne se sont pas attaqués au sapin. Ils parlaient de la fête du sapin au lieu de Noël et de Mikulás au lieu du Père Noël, mais jamais le sapin n’a été interdit ou empêché, rajoute-t-il. Nous savons précisément ce que cela signifie lorsque des illuminés voulant changer le monde essayent de modifier nos vies et effacer de la surface de la Terre toutes les traditions.”

    “Le publiciste Zsolt Bayer a ajouté que depuis Budapest, ce sapin envoie un message à tous les Français qui perçoivent l’effacement de leurs traditions: vous n’êtes pas seuls, chaque année il y aura ici un sapin pour vous tant que Bordeaux ne chassera pas son illuminé et changeur de monde de maire, tant que Noël ne sera pas récupéré.”

    “Selon Máté Kocsis, un petit sapin à Budapest n’aidera pas en soi la situation des Chrétiens à Bordeaux bien entendu, mais le symbole est fort, et souligne qu’il y a encore des endroits en Europe où on a pas à avoir peur en tant que chrétien.”

     

    Bayer Zsolt a BLM-szoborrĂłl: MĂĄr mĂĄsnap le fogjuk dĂśnteni!

    A publicistĂĄnak nem tetszik Baranyi Krisztina Ăśtlete a ferencvĂĄrosi BLM-szoborrĂłl. Baranyi Krisztina polgĂĄrmester szobrot ĂĄllĂ­tana a szĂŠlsőbalos BLM-mozgalomnak FerencvĂĄrosban. „VĂŠgre ez a nő is belefogott a lĂĄzas pĂłtcselekvĂŠsbe, idiĂłta semmittevĂŠsbe. Alig vĂĄrjuk a szoboravatĂĄst. MĂĄr mĂĄsnap le fogjuk dĂśnteni a picsĂĄba!”  – Ă­rja blogjĂĄn Bayer Zsolt.   Mi meg ÉLŐBEN fogjuk kĂśzvetĂ­teni… 

    VadhajtĂĄsok

    Le maire de Bordeaux a célébré l'égorgement de mouton a l'aïd avec les musulmans! c'était en aout.

    Alors les bordelais, toujours heureux d'avoir voté pour les pastèques?

  • Manipulations des gauchiasses

    L’agression de Michel Zecler qui a eu lieu le 21 novembre dernier arrive, elle, à point nommé pour contrarier l’adoption de la loi dite " Sécurité Globale ", et spécialement pour que soit supprimé son article 24, qui interdirait de filmer les visages des policiers à l’occasion des manifestations.

    Il faut comprendre que si l’article 24 est maintenu, il enlèverait à la gauche et à l’extrême-gauche un outil précieux de propagande et un prétexte commode à invectives envers les forces de l’ordre. Ce genre d’outil étant grandement utile, ne serait-ce que pour leur conserver l’attention et l’adhésion de la population des quartiers dit "défavorisés".

    Et puis, il n’est pas interdit de penser qu’une autre manœuvre s’est ralliée à la mascarade, diligentée celle-ci par l’Elysée ; elle viserait à déstabiliser le ministre de l’Intérieur en raison de ses prises de positions, réputées favorables à la police en général, et aux factions extrêmes de celle-ci en particulier.

    Enfin, cette nouvelle affaire de "violences policières" est révélée quelques jours seulement après l’installation sauvage de migrants afghans sur la place de la République à Paris. Une action menée par un groupe gauchiste, dont l’intention était de provoquer une fois de plus les forces de l’ordre, et  de créer d’inévitables heurts.

    Avant de poursuivre, une parenthèse – culturelle.

    J’ai jeté un coup d’œil à la rue des Renaudes dans le 17e arrondissement. Le studio de Zecler y est bien répertorié, au 57. 

    Sachez qu’une personnalité, et pas des moindres, a vécu au n°7 de cette artère parisienne, de 1928 jusqu’à sa mort 7 ans plus tard: le capitaine Alfred Dreyfus. Quant à Georges Figon, un fils de famille qui avait mal tourné et pris part aux préparatifs de l’enlèvement du leader marocain exilé en France, Mehdi Ben Barka, il avait un studio rue des Renaudes en 1966, où il trouva la mort par balles, alors que la police venait l’arrêter (suicide, ou pas?). Yves Boisset se servira de son personnage trouble pour “L’Attentat” (1972), fiction transparente sur l’affaire Ben Barka.

    Revenons à “l’affaire Michel Zecler”  !

    Le 21 novembre 2020, il est 19h40 à la hauteur du 57 rue des Renaudes.

    Les journalistes de la chaîne de radio “France Bleu” ont pu consulter le PV de la déposition des policiers. Voici ce qu’ils rapportent:

    “Un individu non porteur du masque se dirige d’un pas rapide vers la rue des Renaudes. Il ne cesse de jeter des coups d’œil en direction de notre véhicule sérigraphié, paraissant nerveux”.

    Les policiers l’interpellent, aux fins de contrôle. C’est alors qu’ils s’avisent que l’intéressé porte un "gros sac en bandoulière". Une forte odeur de matière stupéfiante émane de sa personne.

    “L’homme continue son chemin, et alors que nous tentons de le saisir par le bras, pour le maintenir sur place, il se débat en nous repoussant à l’aide de ses mains, et se précipite vers la porte d’un établissement recevant du public.

    Il se trouve qu’il s’agit d’un studio d’enregistrement.”

    La suite du PV narre grosso-modo ce que l’on peut distinguer en visionnant la vidéo.

    Si l’on s’en tient à la déposition des policiers, il est clair que Michel Zecler leur est apparu " inquiet ", jetant sans cesse des coups d’œil en direction de la voiture balisée. Rappelons ici qu’il a été condamné, il y a quinze ans, pour vol à main armée. Les policiers le savent-ils? Peu probable. Le sac et l’odeur, semble-t-il, les ont mobilisés, plus que l’absence de port de masque.

    La suite de l’affaire tient à la vidéo que tout un chacun peut visionner. Sur les images la confusion est totale. La pénombre de l’entrée n’autorise pas, quoi qu’on en dise, une interprétation claire des images, et donc de trancher en faveur des déclarations des uns (les policiers) plutôt que de l’autre (Zecler). Certes, les attaques violentes de l’un des policiers, en civil, sont les plus visibles. Mais quant à celles-ci, je dirai plus loin ce qu’elles m’inspirent.

    Du côté de Michel Zecler, il me semble inutile de retranscrire sa déposition. Elle a été largement diffusée. En revanche, intéressons-nous à la suite des événements. Ils sont, de mon point de vue, révélateurs de la discordance des récits, que ce soit celui des policiers, ou celui de la "victime".

    Michel Zecler est donc emmené menotté au commissariat après une scène de rue qui aurait pu figurer dans un film de série "B", risquant cependant de paraître un peu surchargé dans la dramaturgie, ne serait-ce qu’à cause d’un des policiers, revolver au poing, menaçant on ne sait qui… Le menotté reste quarante-huit heures en garde à vue. Les journalistes, qui ont eu accès au PV des policiers, ne disent rien de la déposition de Zecler. Personne ne l’évoque, ni ne la montre. Après la GAV, il aurait été conduit à l’hôpital – le nom de l’établissement hospitalier n’étant indiqué nulle part.

    Remarque.

    Michel Zecler serait donc resté quarante-huit heures avec un visage tuméfié, une plaie ouverte sur le crâne, des marbrures de sang sur le visage. Il  faut donc imaginer que le gradé de service ce soir-là au commissariat du 17e arrondissement aurait volontairement refusé de l’envoyer à l’hôpital, même sous escorte – de même que les gradés suivants, et ce jusqu’à la fin des 48 heures ! J’ai interrogé deux de mes amis, capitaines de police. En guise de réponse à ma question, j’ai été gratifié d’un immense éclat de rire.

    Des photos nous sont livrées – elles auraient été prises par l’avocat de Zecler dans la nuit du samedi 21 novembre "afin de constater les blessures. " Parfait. Elles montrent, en effet, le visage abîmé de Zecler. Mais, questions: Où et quand ont-elles été prises?

    Si nous examinons le décor derrière l’intéressé, nous pouvons envisager qu’elles ont pu être prises dans un "lieu médical". Deux ou trois éléments nous le font croire. Mais avec une lecture plus attentive, nous constatons que la peinture des murs derrière Zecler paraît identique à celle de la pièce où il accepte de témoigner devant l’écran d’un ordinateur. Ce qui pourrait signifier que les photos ont été réalisées au studio d’enregistrement du 57 rue des Renaudes.

    Voyons maintenant les blessures et l’état du visage. Pas de tuméfactions au visage, rien autour des yeux. Compte tenu de la pseudo-violence aperçue dans l’entrée du studio, et à suivre la déclaration dans laquelle il dit que les policiers l’auraient traîné par la tête (sic) sur 500 mètres (?) sur le trottoir, nous devrions constater au moins un œil au beurre noir. Au moins ça! Également des hématomes encore visibles, et aussi, la trace d’ecchymoses. Or, rien de tout cela. Une photo montre son crâne aux cheveux ras portant une blessure ayant requis deux agrafes; deux jours après, il a retrouvé sa chevelure épaisse habituelle. Comme le dit un internaute: il cicatrise vite !

    J’ai examiné à la loupe les traces des blessures. Les maquilleurs de cinéma, spécialisés dans les films d’horreur, auraient bien mieux fait que ce qui nous est donné à voir. Du travail d’amateur. Je suis bien placé pour l’affirmer, ayant réalisé deux films de ce genre.

    Avant de conclure, je veux revenir sur la “mêlée”, qui a eu lieu à l’entrée du studio. Nous voyons nettement le policier en civil asséner de violents coups de poing. Il s’agit là d’une technique employée au cinéma: faire de grands moulinets avec les bras, afin de créer l’illusion que les coups portent. Ce qui évidemment, n’est pas le cas…

    Il y aurait encore beaucoup à dire sur les anomalies présentées par les blessures infligées (?) à Zecler.

    Mais, à quoi bon poursuivre ce panorama?

    Il s’agit d’un faux, d’une fiction mal conçue, par des amateurs. Le tout emmené par le pire des journalistes qui soit, le gauchiste David Perrotin dont on peut dire: "Sa malhonnêteté est celle d’un militant politique, pas celle d’un journaliste ".

    À qui profiteront l’agitation et la haine qui ne vont pas manquer de se manifester et de croître? Tandis que j’écris, j’apprends que des manifestations ont lieu en France, à différents endroits du pays, à la suite de l’”affaire Michel Zecler”. Bilan: 37 policiers blessés, et l’un d’entre eux quasiment lynché.

    Comme le dit si justement Yves Mamou sur le site “goldnadel.tv”: " La France tient son George Floyd ". Je ne serai pas surpris de voir apparaître d’ici peu la trépidante Assa Traoré, vitupérant comme elle sait si bien le faire. Et n’oublions pas Mélenchon. Rétabli de son lumbago depuis l’affaire George Floyd, il va pouvoir remettre un genou en terre, poing levé – il est habitué à l’exercice maintenant.

    Le pouvoir politique, toutes formations confondues, joue avec le feu,  entre folie et haine. Cette fois, plus que jamais, nous sommes proches du PIRE.

    Raphaël Delpard

    Source:

     

     

  • Fraudes massives aux U.S.A.

    Ce que les merdias français ne disent pas

    Exemples de témoignages devant le sénat américain

    Gregory Stenstrom, témoin (01:06:44)

    Je viens du comté de Delaware. Je suis un ancien officier de la Marine. Je suis un spécialiste de l’analyse des données et un expert en sécurité et en fraude informatiques.

    Le jour du scrutin, je me suis rendu au centre de comptage de Chester, à 18 heures, avec quatre autres observateurs Républicains. Nous n’avons été autorisés à entrer que 5 heures après, à 23 heures, et cela après que nous ayons obtenu une injonction grâce à notre avocat.

    Suite à ce que j’ai vu, en tant qu’expert, je pense qu’il est impossible de confirmer la validité d’environ 100 000 à 120 000 bulletins de vote, sur les 300 000 enregistrés.

    Ce que j’ai vu, c’est un processus électoral qui était destructif, dans la manière dont il était mené, avec les enveloppes séparées des bulletins de vote envoyés ensuite de l’autre côté de la salle. J’ai constaté qu’il n’y avait aucun traçabilité pour les enveloppes, ni pour les bulletins de vote par correspondance, ni pour les clés USB [utilisées pour stocker les votes des machines à voter]. Dans tous les cas, les procédures de traçabilité définies par le Bureau des élections n’ont pas été suivies.

    J’ai personnellement observé le superviseur du centre de comptage en train de télécharger des clés USB sur les machines à voter, à plusieurs reprises, sans vérification. Je l’ai porté à l’attention du shérif adjoint et du greffier des élections, et je leur ai dit: " Je ne peux pas voir ce qu’il fait ". Dans nos affidavits, nous avons des photos de cette personne arrivant avec des sacs de clés USB. Et il mettait ces clés USB dans les machines. Cela s’est produit à 24 reprises. Nous avons plusieurs autres témoins qui ont vu cela, y compris des observateurs Démocrates.

    Le lendemain, j’ai découvert que 47 clés USB manquent et sont introuvables. On m’a dit personnellement que 24 à 30 cartes qui avaient été téléchargées sur les machines avaient disparu.

    Quand nous avons voulu entrer dans les arrière-salles, il nous a fallu trois jours pour qu’ils obéissent à l’ordonnance du tribunal que nous avions obtenue. J’ai été le premier à être autorisé à y entrer à 13 h 30 le jeudi, puis de nouveau à 15 h 30, et pendant seulement cinq minutes. Ce que j’ai observé dans cette pièce, c’est 70 000 bulletins de vote non ouverts, rangés dans des boîtes de 500 empilées proprement. Un observateur Démocrate qui était entré avec moi a estimé leur nombre à 60 000. Le problème, c’est qu’à ce moment-là, les bulletins de vote par correspondance avaient déjà été enregistrés, et ils étaient au nombre de 120 000. Ma question est la suivante: où sont passés ces       70 000 bulletins de vote non ouverts? Personne ne le sait. Ils sont restés là pendant environ trois heures, puis ils ont disparu.

    Quand on nous a informé qu’il y avait 120 000 bulletins de vote par correspondance enregistrés, on nous a dit qu’il restait 6 000 bulletins de vote à dépouiller au total. Mais quand nous sommes revenus, ce ne sont pas 126 000 votes qui étaient enregistrés, mais 200 000. C’est un problème.

    Quand j’ai protesté, ils m’ont dit qu’ils avaient conservé tous les documents de l’élection, mais nous venons d’apprendre il y a deux jours que tous les documents électoraux de traçabilité, dossiers, feuilles de décompte, et tous les enregistrements informatiques ont disparu. Le résultat, c’est que 100 000 à 120 000 bulletins de vote sont compromis. Il n’y a pas de remède pour cela.

    Je dis donc que si vous ne pouvez pas certifier 100 000 votes sur les   300 000, donc que vous ne pouvez pas certifier le comté de Delaware.

    (On annonce que la représentante Kathy Rap a rejoint l’audience par Zoom.)

    Phil Waldron, témoin (01:22:36)

    Je suis colonel de l’armée à la retraite. La dernière moitié de ma carrière a été consacrée à la guerre de l’information en tant qu’officier des opérations psychologiques et officier des opérations de l’information. J’ai mené des opérations concernant les réseaux informatiques, la guerre électronique, l’espionnage, le contre-espionnage et quelques autres spécialités.

    Les systèmes de vote aux États-Unis et en Pennsylvanie ont été conçus pour être manipulés. Ils ont été utilisés dans des élections volées dans le monde entier, au Venezuela, en Italie, en Argentine, à Singapour et en Bolivie il y a deux semaines à peine. Philadelphie utilise ESNS, Pittsburgh utilise Dominion, d’autres comtés de Pennsylvanie utilisent Dominion et d’autres systèmes, alors quel est le problème? Tous ces systèmes électoraux ont un ADN commun. L’entreprise Smartmatic a vendu les logiciels de vote “Sequoia” à Dominion en 2010, puis la société Debold a transféré ses machines à voter “Premier” à Dominion à la suite d’un procès anti-trust. Donc, l’essentiel est que ces systèmes ont un code similaire et des fonctions similaires.

    Ces systèmes ne sont pas ce que l’on vous a dit. Ils sont connectés à Internet et à des serveurs en dehors des États-Unis. Il n’y a aucune transparence, sur la manière dont les informations sur les électeurs sont traitées, comment et où elles sont stockées. L’enregistrement du vote peut être modifié et/ou supprimé par les opérateurs, les administrateurs et des ennemis extérieurs. Les opérateurs peuvent attribuer au candidat de leur choix les bulletins de vote remplis, les bulletins blancs et les bulletins erronés en grand nombre. De nombreux experts ont dénoncé la facilité avec laquelle ces machines peuvent être piratées pour manipuler les votes. En fait, un expert en piratage de mon équipe a déjà découvert un malware présent sur les serveurs électoraux, qui capture chaque connexion et chaque mot de passe de chaque opérateur jusqu’au niveau de la circonscription électorale.

    En plus, comme vous le savez probablement, le 30 septembre dernier, un centre de stockage électoral a été cambriolé dans votre État. 30 clés USB ont été volées ainsi qu’un ordinateur portable.

    Ainsi, ces systèmes permettent aux utilisateurs autorisés et non autorisés d’annuler des votes, d’intervertir les votes, de pré-charger des votes, d’attribuer des bulletins blancs à un candidat, le tout en temps réel et en grand nombre. Notre équipe a examiné ces systèmes et il existe une douzaine de façons de manipuler les bulletins de vote, de scanner et d’attribuer des votes blancs.

    Nos experts et d’autres universitaires estiment que jusqu’à 1,2 million de votes en Pennsylvanie auraient pu être modifiés ou seraient frauduleux. C’est ce que nous avons découvert au cours des 22 derniers jours [depuis l’élection]. En réalité, seule une analyse informatique légale détaillée des machines et des logiciels révélera vraiment combien de citoyens de Pennsylvanie ont vu leurs droits civiques violés.

    Maintenant, je veux partager avec vous un graphique. Notre équipe s’est concentrée sur les “anomalies de pointe”. Ce sont des événements où un grand nombre numérique de votes est traité dans un laps de temps qu’il n’est pas mécaniquement possible de traiter dans des circonstances normales. Il y a un taux de vitesse spécifié par le fabricant pour qu’un certain nombre de bulletins de vote puissent être scannés et traités. Les “anomalies de pointe” dans ce graphique montrent vraiment où nous devons rechercher de manière légale pour déterminer réellement ce qui s’est passé avec ces votes.

    Au début du graphique, il y a une “anomalie de pointe”: 337 000 votes qui ont été ajoutés en une seule fois. Normalement, vous vous attendez à voir la courbe monter doucement, pas avec des grands pics. Donc, ce grand pic qui se produit est un indicateur important de vote frauduleux.

    (Les auditions continuent encore pendant près de deux heures.)

    Maxime Lépante

    Notes:

    (1) Almost no Trump voters consider Biden the legitimate 2020 election winner

    https://www.cnbc.com/2020/11/23/2020-election-results-almost-no-trump-voters-consider-biden-the-winner.html

    (2) Article II de la Constitution des États-Unis

    https://fr.wikipedia.org

    (3) Voir notre article suivant, dans lequel nous expliquons en détails ce processus:

    Révélations sur la stratégie de Trump pour être réélu !

    Source:

    (4) Resolution Disputing the 2020 General Election Statewide Contest Results

    https://www.legis.state.pa.us