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Société - Page 71

  • La vérité sur le squat de la maison de Roland

    Squat Toulouse : les classes populaires ont viré la racaille gauchiste

    Tout d’abord, on ne va pas cacher notre joie d’avoir vu la maison de Roland libérée et le droit de propriété rétabli. Toutefois, au-delà du concert de réjouissances, certains éléments de cette affaire doivent être décryptés car ils révèlent une nouvelle fois le jeu pervers des instances de pouvoir et de l’ultra-gauche.

    Par ailleurs, et c’est là le plus important, la réaction spontanée des supporters de Roland et leur victoire révèlent que l’idéologie gauchiste ne viendra jamais à bout de ce qu’il y a de plus profond dans la nature humaine; en particulier l’idéal d’accession à la propriété et le droit à la propriété privée.

    Enfin, le précédent est créé. Privés de la protection policière, les nervis de gauche ont été obligés de décamper face à la rébellion des couches populaires. C’est une digue de protection des élites qui vient de sauter, les nervis de gauche ne terrifient plus personne. Désormais, antifas et autres casseurs  vont devoir y regarder à deux fois avant de chercher à soumettre les classes populaires.

    Le squat vecteur de déconstruction du droit de propriété. Depuis les années 60, nos adversaires procèdent méthodiquement à la déconstruction, élément par élément, de tous les murs porteurs de notre civilisation. Tout y passe, et donc avec le reste, le droit de propriété. Cela se fait sur le long terme, pour aboutir à l’objectif final des mondialistes qui est l’abolition du droit de propriété. Dans ce sens, les pouvoirs publics successifs et les juges alliés à l’ultra-gauche ont institué un droit au squat et à l’appropriation du bien d’autrui.

    Il existe même un site dédié au squat et un manuel du parfait squatter édité par l’ultra-gauche; tout cela en parfaite transparence.

    La ville de Toulouse en pointe depuis 25 ans. Depuis l’occupation des locaux de l’usine Myrys en 1995, celle ensuite du Grand Hôtel et Tivolier propriété de la préfecture de 2001 à 2005 et le relogement du collectif Mix’art Myrys sur une vaste friche industrielle aux Ponts Jumeaux, Toulouse a été, avec la complicité des pouvoirs publics, un lieu d’expansion et d’expérimentation de la doctrine du squat comme moyen de déconstruction du droit de propriété. 

    http://mixart-myrys.org/presentation/historique/

    Jean-Luc Moudenc transige depuis toujours avec l’ultra-gauche pour acheter la paix sociale. C’est ainsi que la ville est piquetée de locaux associatifs que la municipalité a concédés à l’ultra-gauche après une période d’occupation illicite. J’avais déjà commenté le fait et dénoncé la duplicité de Jean-Luc Moudenc dans ces affaires.

    https://ripostelaique.com/toulouse-moudenc-protege-les-islamo-gauchistes.html

    Le squat progresse en tâche d’huile à partir des lieux d’implantation des collectifs d’ultra- gauche. Au vu des images de l’évacuation d’hier soir, les crétins crasseux qu’on a vus filer sous la protection de la police étaient manifestement venus en voisin depuis Mix’art Myrys. Ils y sont immédiatement retournés en attente de prochaines récidives. Car soyons-en certains, ils n’en resteront pas là. Le squat se propage à partir des lieux déjà squattés et ensuite concédés à l’ultra-gauche par la municipalité. C’est un processus bien rôdé qu’aucune volonté politique n’envisage d’arrêter, bien au contraire.

    Jean-Luc Moudenc traite aussi avec les musulmans pour acheter la paix sociale. C’est ainsi que la construction de la mosquée d’Empalot a fait l’objet d’une manipulation immobilière douteuse générant une plus value de 840 000 € pour la communauté musulmane, à laquelle il faut ajouter la cession à vil prix de son terrain d’assise par la ville de Toulouse. Hamdoulilah.

    https://liguedumidi.com/enclave-algerienne-a-toulouse-grace-a-jean-luc-moudenc/

    Par son usage abusif du droit de l’urbanisme, Jean-Luc Moudenc crée les conditions du squat et de la ruine de certains propriétaires. Il y a ainsi de très nombreux précédents où des propriétaires ont été spoliés. Dans l’affaire de Roland, c’est encore une fois le même scénario qui se répète. Le propriétaire, souvent sans grands moyens de défense, soit parce qu’il est une personne physique de condition modeste ou fragile, soit parce qu’il s’agit d’une institution sur laquelle les pouvoirs publics peuvent mettre la pression (exemple, l’évêché dans l’affaire du squat de la Chapelle…) se retrouve spolié par une décision d’urbanisme abusive et manifestement délibérée.

    C’est typiquement le cas de la maison de Roland, vraiment sans aucun intérêt architectural, coincée en dent creuse entre d’autres unités foncières, en retrait par rapport à l’alignement sur la voirie, sans cœur d’îlot à préserver à l’arrière et située dans un tissu faubourien en cours de requalification et de réhabilitation urbaines. Franchement, malgré les fausses raisons invoquées par la mairie, la maison de Roland ne justifie en aucun cas d’être préservée. D’ailleurs, dans le voisinage, il y en a déjà eu de nombreuses rasées pour édifier des immeubles neufs et redonner à cette avenue un semblant de cohérence urbanistique. C’est très simple, soit cette maison justifiait d’être préservée et alors il fallait l’identifier comme telle au PLU et détourer son terrain d’assise, soit son terrain d’assise est classé constructible au PLU et dans ce cas, cela veut dire qu’elle ne présente aucun intérêt ; sans possibilité d’invoquer de manière arbitraire le sursis à statuer pour refuser un permis de construire.

    Nous sommes manifestement là face un usage abusif, arbitraire et scandaleux du droit de l’urbanisme. Aujourd’hui, toute la ville de Toulouse est cartographiée, chaque parcelle est identifiée, toutes les maisons ont été repérées et identifiées. Il est donc tout à fait possible de mettre fin à l’arbitraire et de clairement définir au PLU celles qui doivent être conservées et celles qui peuvent être rasées. Si le statu quo est maintenu, ce n’est que parce que les élus souhaitent conserver une latitude et la possibilité de faire jouer l’arbitraire et donc l’injustice. Alors pourquoi et pour quelles mauvaises raisons?

    Qu’est ce qui anime les pouvoirs publics pour un tel usage abusif? Connerie ambiante? Démagogie par rapport à certains comités de quartier qui ne représentent personne mais s’arrogent le droit de bloquer toutes les opérations? Délires d’instructeurs ou de chefs de services à l’urbanisme qui n’ont jamais rien dessiné ni construit de leur vie? Délires de ratés de l’architecture marqués par l’idéologie qui ne peuvent exister que par leur pouvoir d’entrave? Corruption de certains? Cela s’est déjà vu.

    Sentiment de toute-puissance qui grise les élus? Interstices laissés en attente permettant toutes les magouilles? Sans doute un peu de tout cela. Toujours est-il que les pouvoirs publics ne font rien pour assainir cette situation génératrice d’injustices et de conflits d’intérêts, donc cela crée un climat détestable.

    Roland spolié par Jean-Luc Moudenc. Alors pourquoi un refus de permis de construire qui stérilise l’affaire et empêche Roland de réaliser son bien aux meilleures conditions avec un promoteur? Pourquoi avoir invoqué un faux prétexte pour refuser le permis de construire puisque la maison de Roland n’est même pas une vraie Toulousaine à préserver? Ou alors, si c’en est une, toutes les maisons individuelles de Toulouse sont des Toulousaines et il faut toutes les protéger. Quelles mauvaises raisons, quelles combinaisons se cachent derrière cette décision totalement arbitraire?

    Tous les doutes sont permis et avec eux toutes les suspicions.

    Comment les squatters ont-ils eu connaissance du dossier de Roland? On pourra toujours dire qu’ils rôdaillent en permanence dans la ville, qu’ils observent les allées et venues des uns et des autres à la recherche d’opportunités. En tout cas, là, ils n’auront pas pu voir de permis de construire affiché puisqu’il n’y en a pas eu… Personnellement, je pense plutôt qu’ils ont des relais au sein même des services d’urbanisme où nidifient de nombreux parasites gauchistes qui leur signalent les bons coups. Car ce n’est pas n’importe quelle maison vide qui a été occupée. Celle de Roland avait été promise à un promoteur et le permis de construire refusé; arguments justifiant la lutte contre les bétonneurs et donc le squat. On voit donc très bien pourquoi la maison vide de Roland a été choisie par idéologie plutôt qu’une autre et comment elle justifiait le squat par un habillage fallacieux.

    Des salopards qui accusent Roland d’avoir instrumentalisé son cas. La mauvaise foi de ces hyènes est sans limite. Dans un de leurs communiqués, ils se sont autorisés à accuser Roland d’instrumentaliser son cas et d’avoir créé les conditions d’une soi-disant violence contre eux. Bande de salauds, venir à une trentaine cagoulés pour lui piquer sa baraque, le conchier sur les réseaux sociaux ; et en plus ils osent se présenter comme les défenseurs des opprimés. Vous êtes vraiment des sous-merdes, des couilles molles parties comme des lopes, de peur de prendre la branlée où vous n’auriez eu aucun scrupule à vous mettre à plusieurs contre un adversaire isolé, comme vous l’avez si souvent fait.

    Voici ce qu’on lit sur leur site :

    ‘’La Dépêche et Roland le proprio ont choisi d’instrumentaliser la situation de cette maison peu de temps après l’annonce du prolongement de deux mois de la trève hivernale, créant un mouvement de défense de la propriété privée et un déferlement de haine et de violence. Depuis dimanche, une cohorte de harceleur.euse.s, mélant les protagonistes habituel.les que sont les keufs, les fachos et les médias auxquel.les se rajoutent des “citoyen.nes vigilant.es”, menacent, tabassent et tentent d’expulser les habitant.es.’’

    Une saine réaction du voisinage. Il faut ici préciser la sociologie du quartier. Il s’agit d’un tissu faubourien ancien au-delà des barrières ; en l’occurrence celle de Paris. Quartier traditionnellement populaire mélangeant classe moyenne de souche en cours de paupérisation, populations immigrées de deuxième et troisième générations et récemment immigrées d’Afrique de l’Est, du Moyen-Orient et d’Asie Centrale. Le quartier est clairement en voie de submersion migratoire, dans le cadre plus vaste du Scot qui  prévoit l’implantation de  300 000 (trois-cent-mille) nouveaux venus d’ici 2030.

    Proche des Isards et de Borderouge, le quartier comporte de très nombreux logements locatifs de construction récente. Disons que c’est traditionnellement un quartier pauvre, un quartier de la mixité invasive que les Blancs, qui en ont les moyens, sont progressivement en train de fuir. C’est donc à partir de ces populations mixées, souvent précaires que s’est déclenché un mouvement spontané de soutien à Roland et, en fait, de défense de la propriété privée.

    Un fait saillant, un rayon de lumière qui doit être remarqué. Il s’agit d’une très bonne nouvelle, les catégories les plus pauvres n’adhèrent pas à l’idéologie gauchiste d’abolition de la propriété privée ; ni à aucune idéologie gauchiste d’ailleurs. Au contraire, cette histoire le démontre, l’accession à la propriété, même si elle est hors de portée de la plupart de ces catégories, reste un idéal et un élément important de la construction personnelle et de l’insertion sociale.

    Oui, la propriété privée est un droit sacré de la personne humaine, un idéal pour toutes les catégories sociales. C’est ce qu’ont affirmé haut et fort les supporters de Roland dont la plupart ne sont probablement pas propriétaires, et probablement sans espoir de jamais le devenir.  Sacrée déconvenue pour les gauchistes promoteurs de l’abolition du droit de propriété. C’est l’un des rayons de lumière de cette affaire.

    Quand les catégories populaires se rebellent contre les nervis gauchistes, le préfet est obligé de les lâcher. À Toulouse, comme dans toutes les métropoles de France, ce sont les antifas et les nervis de gauche qui se sont alliés au pouvoir pour éteindre la poussée révolutionnaire venue de la France périphérique lors du soulèvement des Gilets jaunes.

    L’éviction d’hier peut être considérée comme un précédent et comme un raté majeur dans le jeu de rôle que jouent les pouvoirs publics et les agitateurs d’ultra-gauche contre les catégories populaires.

    À Toulouse, le peuple excédé s’est invité dans la partie et il a mis en échec cette alliance perverse. Sous la pression, le préfet qui avait refusé l’éviction accordée par le juge et accordé le maintien jusqu’à la fin de la période hivernale reportée au 1er juin, a finalement dû laisser filer et envoyer sa police protéger les gauchistes de la vindicte des supporters de Roland.

    Le précédent fera sûrement date et les élus de tous bords feraient bien de faire très attention. Il se pourrait bien que désormais les gens ne se laissent plus duper et qu’ils se dressent contre les gauchistes instrumentalisés par les élites. Cette digue derrière laquelle ils se protégeaient vient de céder, et c’est tant mieux

    Jamais l’idéologie gauchiste ne viendra à bout de ce qu’il y a de plus profond dans l’âme humaine. 

    Jamais l’idéologie gauchiste n’aura le dernier mot.

    À Toulouse hier soir, face aux couches populaires, antifas, zadistes, squatters et nervis de gauche sont partis la queue entre les jambes sous protection policière.

    SOURCE:

  • France indigne et dégueu  …

    Stéphanie Bataille, fille du comédien Étienne Draber, décédé début janvier, entré à l’hôpital pour un problème cardiaque, et finalement victime de la Covid-19… et de tous les odieux et inacceptables interdits sortis du cerveau des malades qui nous gouvernent, planquant leur incompétence à gérer une crise qu’ils auraient dû laisser aux vrais médecins… à moins que ce soit seulement leur obéissance aux cyniques mondialistes, souhaitant éradiquer tous les humains en surplus, qui les gêne dans leur plan de Nouvel Ordre Mondial !

    L’acteur, âgé de 81 ans, se retrouve isolé dans une unité Covid avec pour interdiction de voir sa famille. Son état se dégrade malgré une amélioration passagère. “Je dis que j’aimerais le voir”, raconte Stéphanie Bataille. “On me répond: "Ah non, vous ne le verrez qu’au dernier moment. "Déjà, ça, c’est très dur à entendre…”

    Une situation intolérable pour la comédienne, qui s’en prend au patron de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP): “Quand M. Martin Hirsch ose me dire que j’aurais pu voir mon père, non ce n’est pas vrai. On n’a pas le droit d’entrer en unité Covid. Et mon père me/nous réclamait. Il nous disait à travers l’écran, “Sortez-moi de là, je vais crever.” Il sentait qu’il partait, car il avait ce manque de nous, et nous, on avait ce manque de lui.”

    Écoutez la totalité de son témoignage sur la vidéo du lien ci-après.

    Source:

     

    Ainsi Sylvie A. profondément meurtrie, témoignant des conditions inhumaines dans lesquelles son père est mort en novembre dernier à Marseille.

    Mon dernier souvenir, c’est un baiser qu’il a fait de sa main avant que la porte de l’ambulance se referme.

    Mon père est mort seul, sans qu’on puisse le visiter, le soutenir, et je l’ai vu juste quelques minutes une fois décédé. On m’a appelée, le médecin m’a dit qu’il était désolé mais que cela avait été très vite, il n’avait pas eu le temps de me prévenir. On m’a dit d’apporter des vêtements, je l’ai aperçu sur son lit de mort quelques instants. Finalement, ils m’ont dit qu’ils n’avaient pas besoin des habits. Je suis redescendue, dans un état second, les déposer dans ma voiture. Quand je suis revenue, mon père avait été mis dans une housse, avec les vêtements qu’il avait en arrivant à l’hôpital pliés sur la housse. Ils ne l’avaient pas habillé.

    Il est resté quinze jours au dépositoire ou dans les camions frigorifiques qui étaient à l’extérieur (par manque de place,) et j’ai dû payer 45 € par jour (les trois premiers jours sont offerts).

    Voilà l’état de nos hôpitaux publics : plus d’humanité, de l’argent récupéré sur la souffrance des familles.

    Source:

     

    Quand on pense aux milliards déversés sur l’Afrique (principal souci de Macron, avant nos malades et nos vieux !), ainsi qu’à toutes les aides versées tant aux fainéants français (souvent d’adoption) qu’aux envahisseurs illégaux, jamais contents et osant réclamer toujours plus… il y a de quoi se taper la tête contre les murs, mais surtout de difficilement contenir les envies de meurtres qui ne peuvent manquer de nous assaillir devant tant d’injustices… émanant de tous ces donneurs de leçons à la terre entière, pourtant la pire vermine, les pires assassins !

    Le plus indigne étant que malgré tout le cinéma que toutes ces ordures font dans les médias, ils persistent à fermer, encore et encore, des lits d’hôpitaux qui manquaient déjà cruellement avant leur prétendue pandémie… en réalité, prétexte à accélérer la mort des vieux gêneurs, en les euthanasiant de toutes les façons possibles !

    Source:

     

     

    Âgé de 88 ans, Roland comptait vendre sa maison pour rejoindre son épouse dans un Ehpad. En attendant, il louait depuis deux ans un appartement qui le rapprochait de celle qu’il souhaite rejoindre. L’heure venue de passer à l’action et de mettre en vente le pavillon dans lequel il a passé sa vie entière… Trop tard ! Des marginaux ont forcé les portes et changé les serrures. Passées 48 heures, ils sont inexpulsables.

    Outre ce problème de froidure qui risque de les enrhumer, les squatteurs doivent avoir le temps de saccager toutes les pièces du pavillon. Les membres du tribunal d’instance à l’origine de la décision savent que les travaux ne peuvent être effectués en quelques jours. Cuisine, salle de bains, salon, chambres. Compter deux bons mois. Roland doit enfin comprendre qu’il n’est qu’un odieux propriétaire recroquevillé sur son patrimoine.

    Source:

  • Plus elles sont connes, mieux elles se portent, hélas!

    La Comédie-Française va participer à la ré-écriture de 5 pièces de Molière

    Texte écrit en écriture inclusive: j'ai rectifié, que les abruti ET es aillent se faire voir!

    En partenariat avec la Comédie-Française, Drameducation a demandé à cinq auteurs francophones d’adapter cinq pièces du célèbre dramaturge. Objectif: renouveler son œuvre pour la rendre accessible au plus grand nombre, et notamment à ceux qui apprennent le français à travers le monde. (et à tous les arrivants au QI de betterave!).

    Déboulonner la statue du Commandeur. C’est le vaste chantier auquel s’est attelé Drameducation. Habitué, chaque année, dans le cadre du programme 10 sur 10, à organiser une résidence d’écriture où, pendant dix jours, dix auteurs composent chacun une pièce de dix pages avec dix personnages, à l’attention des professeurs de français et de français langue étrangère (FLE) à travers le monde, le Centre international de théâtre francophone en Pologne s’est cette fois attaqué au plus célèbre des dramaturges hexagonaux.

    En 2019, déjà, l’organisation pilotée par Jan Nowak et Iris Munoz avait, en partenariat avec la Comédie-Française, demandé à dix auteur⸱ice⸱s de réécrire, en dix pages, dix pièces de Molière – L’Ecole des femmes, Dom Juan, Le Misanthrope, Georges Dandin, L’Avare, Le Tartuffe, Le Bourgeois gentilhomme, Les Fourberies de Scapin, Les Femmes savantes et Le Malade imaginaire –, à l’occasion des 400 ans de sa naissance célébrés en 2022. En forme d’édition bonus, ils ont, cette année, mis sur pied une résidence virtuelle qui s’achève ce vendredi 4 février.

    LES IMBECILES PATENTES et ES pour les filles

    Elle a conduit Marianne Dansereau, Marie Vaiana, Michel Bellier, Souleymane Thiâ’nguel et Merlin Vervaet, installés en Belgique, en France, en Guinée et au Québec, à s’emparer de cinq nouvelles œuvres – Les Précieuses ridicules, Le Médecin volant, L’Impromptu de Versailles, Le Mariage forcé et La Critique de L’Ecole des femmes – pour les passer au tamis du présent. « Notre projet est de renouveler Molière afin de le rendre plus accessible, souligne Jan Nowak. En discutant avec des professeurs de français et de FLE à travers le monde, nous nous sommes rendu compte que les pièces d’origine étaient trop difficiles pour leurs élèves. Tant au niveau de la longueur que de la langue, un peu périmée“.

    C'est leur intelligence qui est périmée!

    (Faut leur enfoncer dans leur crâne à coup de marteau!)

    Des Youtubeuses à l’affaire Polanski

    Face au monstre sacré, le quintette de dramaturges (fo-folles et tatata prout-prout) s’est lancé, avec un soupçon d’appréhension et une bonne dose de gourmandise (de lèche-bitte?) Chargée des Précieuses ridicules, Marianne Dansereau y est allée “à fond la caisse“ (et la connerie consanguine?“ et a transformé les fières jeunes filles dépeintes par Molière en un groupe de Youtubeuses et d’influenceuses.

    Dans la même veine, Marie Vaiana s’est inspirée de l’affaire Polanski et du coup de sang d’Adèle Haenel lors de la dernière cérémonie des César pour actualiser la polémique au cœur de La Critique de L’Ecole des femmes. “Rentrer dans la langue de Molière, se confronter à son rythme, se révèle passionnant car on apprend beaucoup de choses, assure-t-elle. Pour écrire, il s’inspirait d’ailleurs lui-même d’autres auteurs, ce qui nous donne une forme de légitimité“.

    Quand on n'a aucun talent, pourrir un texte magnifique c'est jouissif de se masturber la cervelle!

    et aussi

    http://insoliteetdejante.hautetfort.com/archive/2021/02/10/quel-malheur-d-avoir-un-peigne-et-pas-de-cheveux-6296483.html

     

     

    Sceneweb

  • Humour: la covid en région

    Zut, il manque le cassoulet toulousain!

    Les bonnes recettes toulousaines

    www.cuisine-toulousaine.com

  • Etre islamo-collabo ne protège de rien: preuve

    Paris : Claire Chazal cambriolée samedi après-midi

    LePanacheFrançais

    C’est vers 18 heures qu’elle a donné l’alerte. La journaliste de télévision a quitté son domicile vers 16 heures. A son retour, elle a découvert que la porte d’entrée de son appartement avait été fracturée.

    « Son logement a été entièrement fouillé, précise une source proche de l’affaire. 800 euros et son coffret à bijoux ont été dérobés. Elle estime son préjudice à 41 000 euros ». […]

    Actu17

     

    François Hollande cambriolé, mandat de dépôt requis contre cet Algérien arrêté en trois jours, il sera expulsé à l’issue de sa peine

    […] Bien que la victime n’ait pas encore porté plainte, ordre est donné aux policiers de terrain de faire intervenir illico leurs experts techniques et scientifiques pour des prélèvements sur le lieu du délit. […] Le 28 janvier, les traces palmaires matchent et permettent d’identifier le suspect : un jeune homme de 19 ans, né … Lire la suite de

     

    Bordeaux : deux migrants condamnés à 4 mois ferme pour avoir cambriolé le domicile de Noël Mamère

    Ils s’étaient fait épingler en sortant de la maison, les poches pleines d’objets volés, le 3 décembre dernier. Deux jeunes étrangers sans-papiers ont été condamnés mardi à quatre mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Bordeaux, pour avoir cambriolé le domicile de Noël Mamère, l’ancien maire EELV de Bègles, rapporte Sud Ouest. A la barre, les deux jeunes déjà … Lire la suite de

     

    Cambriolage chez Philippe Val : deux rolex et un pistolet 7.65 dérobés

    L’appartement du journaliste et ancien patron de Charlie Hebdo, Philippe Val, a été cambriolé hier. Vers 21h30, il se rend compte que son domicile du XIIIe arrondissement de Paris a été visité. Le ou les voleurs ont forcé la fenêtre de la cuisine, rapporte Le Parisien . Les malfaiteurs sont partis avec un joli butin: … Lire la suite de

     

    Laurent Fabius cambriolé

    Le domicile du président du Conseil constitutionnel a été visité par des malfrats. Quatre mois après celui de son fils Thomas… Le Point

    Fdesouche

     

    Oissel (76). Un ancien sénateur PCF ligoté avec sa famille par des cambrioleurs

    Trois cambrioleurs cagoulés ont fait irruption dans la nuit de dimanche à lundi chez un élu d’Oissel. Il a été frappé puis ligoté avec sa femme et sa fille et se sont fait voler 8.000 €. Cagoulés, trois « individus se sont introduits dans la maison vers 1 heure du matin. Ils sont tombés nez … Lire la suite de

     

    Trocadéro (Paris) : action du collectif féministe Némésis contre le «World Hijab Day» La présidente interpellée par la police (MàJ)

    Jeanne

     

    Demain aura lieu le #WorldHijabDay , qui existe depuis 2013 dans 140 pays et qui s'est implanté en France avec la complicité de @sciencespo . Arme idéologique visant à banaliser le voile, c'est une véritable insulte pour les femmes qui sont obligées de le porter. pic.twitter.com/l8U1FP1kIF

    — Collectif Némésis (@NemesisNemesi18) January 31, 2021

    Le collectif @NemesisNemesi18 mène une action #nohijabday et l'islamisation au Trocadéro Alice, présidente du groupe, est interpellée par la police. #hijabday pic.twitter.com/zrbZKQfs6n

    — Valeurs actuelles ن (@Valeurs) January 31, 2021

    Notre présidente Alice a été interpellée par la police. Notre crime ? 40 femmes réunies pour dénoncer l'islamisation de la France à travers une action pacifique.
    Alors que @sciencespo qui en fait la promotion n'avait pas eu ce problème…#nohijabday #nemesis #Feminism https://t.co/u2a8iXUJpp

    — Collectif Némésis (@NemesisNemesi18) January 31, 2021

     

    «#NoHijabDay»

  • T'est une fille ou un garçon? p'êt ben oui, p'êt ben non!

    La biologie, une science " patriarcale " et " viriliste "?

    Sebastien de Lyon

    Pour le philosophe Jean-François Braunstein, les discours qui prétendent déconstruire le genre engendrent des conséquences non négligeables sur le monde réel.

    […]

    "Gender Identity Clinic"

    C’est en 1955 que le terme de "genre" fut pour la première fois utilisé pour désigner le sentiment que l’on a d’être un homme ou une femme, indépendamment de son sexe biologique. L’inventeur de cet usage est un psychologue, John Money, qui estime que le genre est culturel plus que biologique. En éduquant un garçon comme une fille, il devrait être possible de le transformer en fille: Money se fondera sur le cas d’un garçon amputé très tôt de son sexe à la suite d’un accident opératoire qu’il aurait réussi, à la demande de ses parents, à transformer en fille.

    On apprendra par la suite que Money avait menti et que son jeune patient avait toujours résisté à ses tentatives de le transformer en fille, et avait fini par se suicider: c’est un double scandale, à la fois scientifique et déontologique. Mais, entre-temps, la "Gender Identity Clinic" de Johns-Hopkins où travaillait Money était devenue un modèle pour toutes les questions de traitement des "dysphories de genre" aux États-Unis: lorsque des patients ne se sentent pas bien dans leur sexe de naissance et veulent en changer, plutôt que d’essayer d’adapter leurs croyances à leur corps, on les encourage à transformer leur corps pour le faire correspondre à leur identité ressentie.

    Money n’est que l’initiateur de cette révolution du genre, qui va aboutir progressivement à une véritable évaporation du corps.

    Le professeur d’études de genre Anne Fausto-Sterling va ensuite estimer qu’il y a une infinité de sexes et que l’" assignation" d’un sexe à la naissance est une décision arbitraire, produit d’un "mode de pensée binaire". La biologie, qui constate qu’il existe deux sexes dans l’espèce humaine, est disqualifiée comme "patriarcale" et "viriliste". Avec la très influente Judith Butler, on ira encore plus loin : ce n’est pas seulement le sexe qui n’a pas d’existence matérielle objective, mais aussi le corps.

    […]

    "Dysphorie de genre"

    Si tout cela n’était que rêveries ou performances d’adultes consentants, il n’y aurait rien à redire. Mais aujourd’hui, c’est à des enfants de six ans, en Écosse ou ailleurs, que l’on enseigne: "ton genre, c’est toi qui le décides".

    On imagine sans mal leur perplexité face à un tel choix. Pourtant, ce sont des enfants de six ou huit ans qui sont aujourd’hui héroïsés dans de nombreuses émissions télévisées ou films parce qu’ils veulent changer de sexe. Certains psychiatres, au lieu de prendre le temps d’écouter l’enfant et ses parents, diagnostiquent immédiatement une "dysphorie de genre" et font entrer ces enfants dans un parcours de "transition de genre", avec bloqueurs de puberté, hormones pour changer de sexe et opération à leur majorité.

    […]

    Comme le dit le philosophe Ian Hacking, les catégories des sciences humaines "fabriquent des gens". Les idées ont des conséquences et les idées folles ont des conséquences ravageuses.

    L’article dans son intégralité sur Le Point

     

     

    Le déni de la biologie prend tellement le pas sur la réalité qu’il inquiète jusque dans les hautes sphères décolonialistes. Ainsi, Jean-François Braunstein, spécialiste de l’histoire des sciences et membre de l’Observatoire du décolonialisme, a publié une tribune dans le journal le Point, fustigeant "la déconstruction du genre  à la mode dans les milieux universitaires.

    "Il s’agit […] de satisfaire les revendications des militants pro-gender qui ont à cœur d’effacer toute différence des sexes. Ces absurdités sont l’un des résultats les plus visibles d’une théorie du genre qui fait son chemin dans les universités américaines depuis une soixantaine d’années ", écrit le professeur de philosophie.

    Il faut dire que, depuis quelques années, la biologie est taxée de “patriarcale” et “viriliste”, pour ne reconnaître que deux sexes. Les universitaires comme Anne Fausto-Sterling lui préfèrent les “études de genre” qui permettent de justifier toutes théories plus abracadabrantes les unes que les autres, sous prétexte d’une infinité de sexes. En effet, l’assignation d’un sexe à la naissance résulte, pour ces sociologues du dimanche, d’une décision arbitraire, nullement liée à la biologie. Se servant de Foucault pour appuyer leurs théories, certains, comme Judith Butler, n’hésitent pas à affirmer que "ce n’est pas seulement le sexe qui n’a pas d’existence matérielle objective, mais aussi le corps".

    Mais le vrai danger, pour Jean-François Braunstein, provient avant tout de l’influence insidieuse qu’ont ces théories sur la société. " Si tout cela n’était que rêveries ou performances d’adultes consentants, il n’y aurait rien à redire. Mais aujourd’hui, c’est à des enfants de 6 ans, en Écosse ou ailleurs, que l’on enseigne : “Ton genre, c’est toi qui le décides” ", dénonce-t-il avant d’étayer davantage son amer constat, en prenant pour exemple le cas de Keira Bell.

    Cette jeune femme anglaise de 23 ans a en effet porté plainte contre Tavistock Clinic, qui l’avait encouragée, alors qu’elle était âgée de 14 ans, à engager une transition dont elle n’était pas en mesure d’appréhender la gravité. "Les idées ont des conséquences et les idées folles ont des conséquences ravageuses", conclut le membre de l’Observatoire du décolonialisme. À trop vouloir déconstruire, il ne restera que des ruines.

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