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handicap - Page 3

  • Accessibilité & handicap visuel : voici Qr Code Access.

    Qr Code Access est une solution innovante pour rendre accessible, grâce au Web, des informations et des contenus pour les personnes atteintes de déficience visuelle.

    Dans un souci d’assurer un accueil dans l’esprit de la loi 2005, QR Code Access propose de rendre accessible des informations pratiques à l’aide de page web conforme aux critères demandé par le W3C.

    Ces pages sont donc valides et codées en HTML5,WAI ARIA,CSS3 et utilise du javascript.

    QR code Access a utilisé également le RWD, Responsive Web Design, afin de permettre à l’affichage de s’adapter aux terminaux utilisés: smartphones, tablettes ou PC. Il est donc spécialement adaptée à l’ utilisation en mobilité.

    Une fois la page créée, Qr Code Access génère le QR Code associé.

    Ce QR Code peut être flashé et utilisé par tous, dès lors qu’il est visible au travers de: cartes de visite, supports publicitaires, publications commerciales, et bien sur, sur les lieux même.

    A l’aide d’un stickers possédant un repère en relief braille autour du QR Code, une personne déficiente visuelle peut flasher le code en toute autonomie, il suffit de lui placer entre les mains le code, et elle pourra accéder sur place à des informations pratiques qui seront lues par la synthèse vocale pré-installée dans le terminal mobile: par exemple au restaurant, elle accédera au menu du restaurant. Dans un festival, elle pourra accéder à un programme adapté. Les possibilités sont très nombreuses, et peuvent varier du menu de fast-food à la fiche immobilière accessible.

    QR Code Access a été pensé et réfléchi pour l’interaction avec des terminaux tactiles sous Talkback ou Voice Over, mais il fonctionne aussi avec NVDA et Jaws sur PC. De plus en plus de personnes déficientes visuelles se tournent vers l’apprentissage des terminaux tactiles et utilisent régulièrement un smartphone. Un smartphone se révèle être un très bon auxiliaire au quotidien: avec un iPhone ou un smartphone Android, un non voyant peut accéder à internet, suivre ses mails, lire la presse, utiliser des accessoires, des applications et même quelques jeux, scanner des produits,reconnaître des objets. C’est une révolution pour leur autonomie.

    Seule une très petite minorité des sites web mettent à disposition les normes d’accessibilité, et il faudra plusieurs années avant que ce faible pourcentage ne change significativement, dans ce contexte, QR Code Access propose une solution simple et facile à mettre en place, mais aussi économique et qui permet une présence sur le Web tout en assurant un accueil accessible.

    Il s’adresse aux commerçants, hôteliers, restaurateurs, structures culturelles, touristiques ou sportives, tous ceux qui reçoivent du public de manière permanente ou dans un cadre événementiel. Ce système est l’objet actuellement d’une campagne de financement participatif sur la plateforme de crowfunding KissKissBankBank. Cette campagne servira entre autres à financer l’achat de licences logicielles pour assurer certains développements et implémentations complémentaires, des nouveaux thèmes, mais aussi de terminaux pour mener tests et démonstrations.

    Comment la personne déficiente visuelle trouve-t-elle le QR Code?

    Sur place, nous proposons le stickers pour signaler le système, et permettre à toutes les personnes qui sont à proximité, de pouvoir flasher le QR Code: c'est le principe de l'universel.

    Pour la personne déficiente visuelle: lorsqu'elle arrive par exemple au restaurant, le serveur lui remet la carte et lui indique tout simplement ou se trouve le QR Code: "en bas de la page, à droite". De là, la personne peut aisément flasher le QR Code et devient libre de choisir tranquillement ses plats comme tout autre client.

    Vous pouvez soutenir QR Code Access en participant et en relayant le lien vers sa campagne de crowfunding auprès de vos contacts.

    Vous pouvez visualiser des exemples de page sur le site web de QR Code Access.

    http://www.kisskissbankbank.com/qr-code-access

    https://www.qr-code-access.fr

    Contact : postmaster@qr-code-access.fr

     

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  • " S " l’exosquelette grand public a été exposé à Preventica (Marseille)

    Quel drôle de nom que " S ", enfin si l’on peut dire un nom que celui donné à l’exosquelette grand public commercialisé par la marque EXHAUSS.

    A l’origine, cette entreprise est surtout connue pour ses stabilisateurs de caméras qui soulagent depuis 10 ans les cadreurs professionnels du poids de leurs matériels. Tout s’éclaire bien sur lorsque l’on sait que la lettre " S " fait appel à " Stronger " qui veut dire plus fort!

    Cet exosquelette d’assistance à l’effort permet de rendre à son utilisateur les capacités physiques qu’il n’a pas ou plus. Le but est donc clairement de faciliter la manutention de charges comprises entre 1 et 40 kg.

    Les bras, les rotateurs, les cervicales, le dos et les lombaires de l’utilisateur de " S " ne sont sollicités que pour guider les charges et les outils portés par les exobras.

    La nouveauté du modèle " S "réside toutefois dans la capacité des exobras à adapter automatiquement la force qu’ils doivent déployer en fonction de la charge à manutentionner.

    Cette particularité permet de manipuler la charge comme si elle ne pesait que quelques centaines de grammes !

    Le modèle " S " d’EXHAUSS permettrait donc de prévenir la quasi-totalité des troubles Musculo-Squelettiques et diminuer ainsi la pénibilité du travail.

    Si l’on peut aisément imaginer son utilité en milieu industriel, Exhauss destine également ce modèle au domaine médical afin de faciliter des gestes de précision comme ceux que doivent poser des chirurgiens.

    Ne me demandez pas le prix de ce petit bijou technologique (même si vous pouvez obtenir un essai ou un devis sur le site internet de la société) mais la firme indique que ce modèle " S " est destiné au grand public et à un très large panel d’utilisateurs comme les employés de sociétés de transports express, transports de colis, transports spéciaux, livreurs, plateformes logistiques, aux déménageurs professionnels ou particuliers, des ouvriers d’industries métallurgiques, automobiles, aérospatiales manipulant riveteuses, perforateurs et autre clés pneumatiques, aux ouvriers de chantiers de construction déplaçant sacs de ciment et parpaings…

    Mais avant tout c’est son impact positif sur la diminution des TMS ou troubles Musculo-Squelettiques qui est pointé du doigt surtout lorsque l’on sait que ces TMS constituent le problème de santé au travail le plus courant avec près de 38.000 maladies professionnelles reconnues en 2009 portant à 1,5 milliards d’euros par an le coût des seules TMS lombalgiques pour la sécurité sociale.

    Le modèle S représente donc la nouveauté “mécatronique” d’EXHAUSSa été présenté pour la première fois au salon PREVENTICA de Marseille du 17 au 19 juin 2014.

     

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  • Les promesses de la télépathie électronique pour lutter contre le handicap

    Les promesses de la télépathie électronique pour lutter contre le handicap

    La télépathie électronique, qui permet de faire bouger par la pensée, via des électrodes, des membres paralysés de personnes handicapés, donne de grands espoirs. Elle devrait permettre, à terme, de lutter contre la tétraplégie et les amputations.

    Atlantico : Récemment, un singe s'est montré capable de déplacer le bras d'un autre singe, simplement par la pensée. Quel est le processus mis en œuvre? Comment fonctionne le dispositif électrode-ordinateur qui a permis de traduire les pensées du singe "maitre" et d'actionner le bras du deuxième singe?

    Fabrice Papillon : L'expérience, menée par une équipe américaine de l'Université Cornell (et publiée dans la revue Nature Communications) met en présence deux macaques rhésus et un ordinateur. L'idée était la suivante : prouver que le cerveau, par la seule pensée, pouvait contrôler un membre inerte, paralysé, alors que toute communication "physique" (par les nerfs, les muscles) était impossible. Mais au lieu de tout faire avec un seul singe, handicapé, ils ont préféré 2 singes pour une démonstration plus probante. Le premier singe se trouvait face à un écran d'ordinateur. Son cerveau a été muni d'électrodes, pour capter ses ondes cérébrales. Celles-ci étaient ensuite interprétées par un puissant logiciel, pour en tirer les intentions du singe (ses souhaits, les actions qu'il voulait réaliser, etc.). Ensuite, à l'autre bout, un câble était relié à un second singe dont le bras était complètement paralysé (à la suite d'une anesthésie). Pour être précis, le câble était relié à la moelle épinière, dans la colonne vertébrale, dont le rôle est de transmettre les impulsions nerveuses aux muscles. Le résultat est stupéfiant : dans 82% des cas, lorsque le premier singe "pensait" mettre un curseur au cœur d'une cible, sur son écran d'ordinateur, ses intentions étaient interprétées par le logiciel, via ses électrodes, et transmises à la moelle épinière du deuxième singe. Celui-ci saisissait alors un joystick, comme dans un jeu vidéo, et déplaçait le curseur pour le mettre au cœur de la bonne cible ! La pensée du premier singe était donc transmise, via un logiciel et un câble, au bras du second singe qui agissait pour lui ! Et cela s'est reproduit plus de 8 fois sur 10… Sans compter que les scientifiques ont même inversé les rôles plusieurs fois : le singe "maître" est devenu le singe "exécutant" et vice-versa. Et les résultats étaient tout aussi impressionnants.

    Qu'est-ce que cela implique pour l'avenir? Verra-t-on des prothèses animées par la pensée? Quelles sont les applications que nous serions en mesure de concevoir, si tant est qu'une telle prouesse technique soit possible pour des humains?

    Bien sûr, l'idée est de réussir la même prouesse chez un seul et même singe et, à terme, chez l'homme. Prenons le cas d'une personne tétraplégique, totalement paralysée à la suite d'un grave accident par exemple. En général, sa paralysie provient d'une section de la moelle épinière, dans sa colonne vertébrale. L'idée, on le voit, serait de relier son cerveau (via des électrodes) à un ordinateur qui interpréterait ses pensées, puis, grâce à un câble relié à la moelle épinière sous le point de rupture du à l'accident, de transmettre les impulsions nerveuses aux muscles pour lui permettre d'utiliser ses membres ! Il s'agirait donc de "by-passer", court-circuiter la moelle épinière et les longs axones neuronaux (les longues tiges de nos neurones neuromoteurs qui se prolongent du cerveau vers les muscles à travers la moelle épinière) pour transmettre de manière artificielle des informations nerveuses et musculaires. Bien sûr, une telle perspective est très lointaine. Plus proche de nous, une équipe franco-japonaise que je connais bien, met au point une technique peut-être moins complexe, moins lointaine, mais tout aussi stupéfiante. L'équipe du Pr Abderrhamane Kheddar, près de Tokyo, au Joint Robotics Laboratory (laboratoire mixte CNRS ? AIST), a réussi par le même type de dispositif à traduire la pensée d'un homme (un étudiant, pour l'expérience) par un robot humanoïde. En substance, l'étudiant, équipé d'électrodes, regardait un verre parmi d'autres sur une table ; le logiciel interprétait sa pensée et le robot saisissait le bon verre !

    Le robot n'était pas capable de "voir", bien sûr, les yeux de l'étudiant se poser sur le verre. Il recevait simplement l'interprétation des ondes cérébrales, et donc l'ordre de saisir ce verre et pas un autre. L'étape d'après consistera à saisir l'intention qui en découle : tendre le verre à l'étudiant pour qu'il boive… Dans ce cas comme dans celui des singes, il s'agirait d'une révolution pour les personnes tétraplégiques ou très handicapées : elles pourraient être assistées, grâce à l'informatique, dans leur vie quotidienne. Leur pensée serait traduite en actes par des robots, ou leurs propres membres.

    Quelles seront véritablement  les "modalités d'utilisation"?  En termes de sensations, cela ressemblera-t-il aux sensations naturelles?

    Dans le cas des singes, il est très difficile de répondre à cette question. Il faudra interroger les premiers vrais patients humains qui en bénéficieront, et diront ce qu'ils ressentent. Il existe, on le sait, des phénomènes du type "membre fantôme" chez les personnes handicapées (sensation d'un membre amputé par exemple). Il est donc possible que des sensations soient reconstituées par le cerveau qui verra les membres agir, malgré la paralysie. Il pourrait même exister, à terme, une boucle de "rétroaction" capable de renvoyer, dans l'autre sens, des informations sensorielles au cerveau pour lui restituer les sensations dues au mouvement, ou au toucher, malgré la déconnexion physique des membres et du cerveau.

    Les cerveaux des singes et les notre ne sont vraisemblablement pas composés de la même façon. Pourrait-on assister à une forme de rejet, comme dans le cadre d'une greffe? Quels peuvent être les risques pour l'Homme?

    Non, en l'espèce, aucun rejet possible, puisqu'il ne s'agit pas de greffer des organes vivants provenant d'un donneur différent du malade. Il s'agit plutôt d'équiper des malades de simples électrodes et de fils, tous "biocompatibles" et donc acceptés par l'organisme, pour leur permettre de réaliser des tâches avec leurs propres membres. Certaines expériences proches ont été réalisées, et notamment en France, avec le Pr Rabischong et son programme "Lève-toi et marche" : une personne en fauteuil roulant, Marc Merger, a pu remarcher grâce à des électrodes reliant son abdomen à ses jambes (écouter ici à ce sujet, le très récent documentaire de France Culture (émission "Sur les docks") qui revient sur cette aventure). La contraction de l'abdomen transmet des ondes électriques aux muscles qui se contractent, créant donc là encore un "by-pass" de la moelle épinière. Cette expérience, comme nous le montrons dans l'un de nos films ("Les patients de l'espoir", réalisé par Emmanuel Descombes, France 3, 2010) n'a malheureusement pas pu être reproduite sur une jeune patiente belge, malgré plusieurs tentatives. Mais c'est techniquement possible. S'il s'agit de personnes amputées, il faudra ajouter de vraies prothèses "bioniques", qui remplacent une main, un bras ou une jambe disparus. Et là, le mythe de Steve Austin, "L'homme qui valait 3 milliards", deviendra réalité !

    Read more at http:??www.atlantico.fr?decryptage?promesses-telepathie-electronique-pour-lutter-contre-handicap-fabrice-papillon-988645.html#69P5TKuHRpaobq0e.99

  • Hugh Herr : l’ingénieur aux 8 prothèses de jambes bioniques

    Hugh Herr : l’ingénieur aux 8 prothèses de jambes bioniques

    Hugh Herr est devenu une véritable star pour ne pas dire un demi-dieu dans le monde des prothèses bioniques mais aussi dans celui des passionnés de droïdes.

    Sa particularité ?

    Etant lui-même amputé à la suite d’un accident survenu lors d’une expédition d’alpinisme il décide de se lancer dans la conception et la fabrication de ses propres prothèses ce qui va le propulser très vite dans le domaine des très hautes technologies.

    Hugh Herr est à ce titre persuadé d’une seule et une seule chose : dans un avenir proche, il vaudrait mieux être une personne amputée qu’une personne valide.

    Il est d’ailler convaincu que d’ici une vingtaine d’années, un adulte amputé pourra se mouvoir plus facilement qu’un adolescent de 18 ans.

    Cette certitude, il la tire du fait que ses prothèses destinées à l’escalade (et développées par ses soins) lui permettent à l’heure actuelle de grimper à un rythme supérieur à ce qu’il pouvait accomplir par le passé.

    Devenu directeur du groupe Biomécatronique de la prestigieuse Université Harvard aux États-Unis, il peut se concentrer entièrement à sa passion : l’avancement des procédés d’incorporation de machines dans le fonctionnement du corps humain. Un domaine ou il excelle pour preuve, sa collection de brevets comme celui du Rheo Knee, genou artificiel commandé par ordinateur ou celui de la première prothèse de cheville robotisée du monde.

    En plus de sa fonction au MIT, il a fondé son entreprise BIOM (précédemment iWalk) spécialisée dans le domaine de membres bioniques.

    Pour l’instant, Hugh Herr a développé et mis au point huit catégories de paires de jambes bioniques pour des usages très spécialisés : pour la marche, pour la course, pour l’escalade en montagne…

    Son but ultime est de fusionner toutes les particularités de ces différentes prothèses en une seule qui deviendrait en quelque sorte LA prothèse ultime.

    Prolongement pratique de sa passion, Le MIT et sa société Biom ont investi 50 millions de dollars afin de développer une nouvelle batterie qui permettrait d’améliorer les performances des prothèses (capables actuellement d’atteindre une limite de trois mille pas par charge).

    De même, les deux partenaires désirent renforcer la durée de vie des joints qui ne dépassent actuellement pas les cinq années.

    Tout ce travail aura-t-il des répercutions concretes chez toutes les personnes amputées et handicapées ?

    Sans aucun doute ! En effet, Hugh Herr et le MIT étudient actuellement différents modèles d’exosquelettes qui présentent tous la particularité de se connecter au corps de manière moins contraignante qu’une prothèse bionique.

    Une fois les études, les propositions et le matériel validés, le MIT compte mettre à disposition de tous les codes et les modèles 3D des membres robotisés afin d’en élargir l’accès à tous.

    Plus que jamais il faudra compter sur Hugh Herr et le MIT comme acteurs principaux de la mise au point des jambes et prothèses bioniques de demain.

    Le travail de Hugh Herr est à ce point reconnu qu’il possède sa propre page Wikipédia (US) ou vous pourrez d’ailleurs en savoir plus sur sa biographie, ses publications et son travail. Pour cela une seule adresse :

    http://en.wikipedia.org/wiki/Hugh_Herr

    Article original : www.handimobility.org

  • Nouveau four solaire

    Ce gratte-ciel est dangereux... pour les voitures.

    Le dernier building édifié à Londres, le "Talkie-Walkie", fait polémique. De par sa forme évasée, il est accusé de créer un effet de loupe si puissant qu'il aurait endommagé... une Jaguar stationnée en contrebas dans la City.

    Les promoteurs de l'immeuble de 160 mètres de haut ont assuré mardi 3 septembre dans un communiqué commun "qu'ils prenaient au sérieux la réflexion de la lumière engendrée par le 20, Fenchurch Street (le nom officiel de l'immeuble en voie d'achèvement), et traitaient l'affaire en toute priorité".

    Trois parkings fermés

    "Le phénomène est causé par l'élévation actuelle du Soleil dans le ciel. Il se produit quotidiennement pendant 2 heures environ. Une modélisation initiale tend à indiquer qu'il pourrait durer deux à trois semaines", ont expliqué les sociétés Land Securities et Canary Wharf Group.

    Les deux heures de réflexion en cet été indien dans la capitale britannique ont suffi à faire fondre une partie du rétroviseur et de la carrosserie de la Jaguar d'un certain Martin Lindsay, jeudi dernier (voir la photo ci-dessous). Dans une interview à la BBC, l'homme d'affaires, visiblement consterné, a révélé avoir obtenu la prise en charge des réparations s'élevant à 946 livres (1117 euros).

     

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  • Prodige à 17 ans!

    A 17 ans, il invente une prothèse de bras 160 fois moins coûteuse que celles déjà commercialisées

    Âgé d’à peine 17 ans, ce jeune prodige américain a conçu une toute nouvelle prothèse pour bras grâce à une imprimante 3D. L’avantage se trouve dans son coût de production : elle est plus de 160 fois moins chère que les autres disponibles sur le marché !

    Easton LaChappelle est un petit génie américain originaire de l’état du Colorado. Rien qu’en s’aidant d’Internet et en utilisant une imprimante 3D, ce jeune garçon de 17 ans a développé une prothèse de bras fonctionnelle… Et c’est également son coût de production qui fait parler d’elle : 500 $ (377 €) au lieu de 80 000 $ (60 327 €), soit plus de 160 fois moins cher que celles qui sont actuellement disponibles sur le marché.

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    Tout a commencé lorsque l’adolescent avait 14 ans. A l’époque, il souhaite construire un bras articulé et animé fait de LEGO, mais n’est pas totalement en mesure de le faire. Pourtant il ne se décourage pas et présente un bras articulé pouvant fermer et ouvrir la main au Salon des Sciences de l’État du Colorado, dont il remporte le 3ème prix. C’est lors de ce salon qu’Easton rencontre une petite fille de 7 ans portant une prothèse très coûteuse (80 000 $). C’est à partir de ce moment-là que le jeune homme décide de concevoir une alternative beaucoup moins chère.

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    Mais sans les moyens adéquat, impossible d’y arriver. Heureusement, un de ses amis possède une imprimante 3D, qui permet de concevoir des objets et de les faire modeler de façon solide pour un coût souvent dérisoire. Il commence alors à travailler sur le logiciel de modélisation 3D Solidworks et à rechercher des matériaux pour construire sa prothèse à moindre coût, notamment en consultant le site Thingiverse, qui fournit des patrons de pièces imprimables en ligne.

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    Finalement la prothèse à un coût de 500 $ est née. Grâce à cette prouesse technologique, le jeune garçon a été invité à la Maison Blanche pour rencontrer Barack Obama, avec qui il a discuté d’innovations technologiques, entre autres choses. Maintenant, Easton collabore avec la NASA sur une technologie de contrôle télérobotique.

     

      

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    Ce petit génie a de l’avenir, ça c’est sûr ! C’est encore une innovation à moindres frais rendue possible par l’impression 3D. On espère que cette méthode de production se démocratise pour permettre de vendre des prothèses beaucoup moins chères aux personnes qui en ont besoin. Est-ce que ça vous a redonné espoir dans l’avenir de voir des jeunes aussi ingénieux qu’Easton ?

     

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    http://dailygeekshow.com/2013/08/19/a-17-ans-il-invente-une-prothese-de-bras-160-fois-moins-couteuse-que-celles-deja-commercialisees/?utm_source=newsletter&utm_medium=e-mail&utm_campaign=Newsletter2013-08-19