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  • Pour la fin du mois, les foyers français recevront Nest

    Attendu sur le marché depuis déjà des mois de cela, on apprend que le thermostat connecté de Google présenté par Nest arrivera en France à la fin de ce mois de Septembre 2014. De belles économies sont promises par le Google Nest.

    Nest sera en France pour ce mois-ci

    Comme nous le savons, Nest a été créé par Tony Fadell et Matt Roger, deux anciens d’Apple. Depuis son rachat par Google pour la somme de 3,2 milliards de dollars en janvier 2014, cette entreprise fait trembler la communauté Geek. Nest a déjà fait un grand saut sur le marché français notamment en présentant son produit à IFA 2014. En effet, par l’intermédiaire de Google, Nest a présenté son thermostat intelligent Google Nest. Ce produit est annoncé aider les foyers à réduire largement leurs factures de chauffage. Lionel Paillet, directeur général Europe de Nest indique que le thermostat connecté pourra faire baisser la facture de chauffage entre 15% à 20%. Si c’est bel et bien le cas, on peut en conclure que cette économie n’est sans doute pas négligeable car la facture moyenne d’un foyer français est estimée à 1660 euros par an pour le chauffage.

    Google Nest et les questions de sécurité des données

    Selon les informations le thermostat intelligent Google Nest devrait être vendu autour de 200 et 250 euros mais il faudrait également penser au prix d’installation de 90 euros environs. En tout, le retour sur investissement semble encore très intéressant, toutefois des précautions sont à prendre en compte. Rappelez-vous que des spécialistes de la sécurité informatique ont annoncé lors de la dernière conférence Black Hat de Las Vegas que le Google Nest présente des failles de sécurité, il ouvre en effet la porte de votre réseau domestique aux hackers.

    Par ailleurs, notons que Nest dispose aussi une alarme connectée dans sa gamme de produits. Ce dernier pourrait bien vous servir afin de renforcer votre sécurité face aux problèmes de sécurité. A fin de ce mois de Septembre, préparez-vous donc à recevoir Nest dans votre foyer en achetant le thermostat Google Nest qui sera disponible dans plus de 400 boutiques se trouvant en Europe mais n’oubliez pas non plus qu’il sera vendu sur le Google Play Store.

  • Bientôt des drones au secours des agriculteurs !

     

    L’agriculteur, un véritable entrepreneur soucieux de réaliser des profits, n’a plus le temps d’aller inspecter ses champs. Des drones viendront-ils lui prêter main forte ?

    Par Jacques Henry.

    L’agriculture " raisonnée " est un concept qui signifie que la gestion des intrants est mieux contrôlée. Elle existe depuis un certain nombre d’années et a été promue auprès du monde agricole par les grandes sociétés impliquées dans la protection des cultures, en d’autres termes les chimistes produisant des pesticides variés et parfois aussi des engrais.

    Il s’agit d’optimiser les apports en engrais, en eau pour les cultures qui le nécessitent comme par exemple le maïs, et en pesticides pour lutter contre les ravageurs. Or, qui dit agriculture à haut rendement suppose une gestion optimale de ces intrants. L’agriculteur, un véritable entrepreneur soucieux de réaliser des profits, n’a plus le temps d’aller inspecter ses champs. Il possède un ordinateur avec lequel il consulte la météo, les cours des céréales ou des pommes de terre, le prix du lait et son tracteur est muni d’un localisateur GPS. Le producteur de céréales ne va plus préparer son champ avec une faux avant la moisson, ce temps-là est révolu depuis longtemps, il loue les services d’une entreprise spécialisée qui possède de grosses machines et ses moissons sont terminées avant même qu’il ne l’ait réalisé et il ne voit même pas le grain que ses champs ont produit.

    Puisqu’il n’a plus de temps à consacrer pour se rendre compte de l’état de santé de ses cultures, qu’à cela ne tienne, une entreprise canadienne commercialise un petit avion muni de caméras spécialisées dans la détection aérienne de tous les stress que peuvent subir les cultures. Il s’agit d’équipements réalisant des clichés en haute résolution à diverses longueurs d’onde et les signaux sont envoyés par wi-fi à la ferme. Depuis son ordinateur, l’exploitant agricole peut non seulement piloter le drone d’un mètre d’envergure bourré d’électronique sophistiquée et faire une analyse en temps réel des clichés transmis par celui-ci volant à une altitude de 120 mètres, mais aussi prendre immédiatement les décisions adéquates que lui aura indiqué un logiciel dédié pour ce type d’application.

    Parfaitement localisée sur l’ordinateur, l’évolution du drone détecte par exemple un déficit hydrique conséquent sur une légère proéminence d’un champ et au contraire le développement de rouille dans une zone en creux du même champ. L’analyse spectrale réalisée en temps réel à partir des données transmises par le drone permet de détecter l’état phytosanitaire des cultures, les carences en azote ou en potassium, la présence de ravageurs et bien d’autres paramètres que l’agriculteur pourra apprécier pour prendre ainsi une décision rapide d’intervention.

    La société Precision Hawks met donc à la disposition de l’agriculteur un outil d’observation d’une précision inestimable venant en soutien des prises de décision nécessaires pour permettre d’optimiser les rendements et la santé des cultures. Il est probable qu’un jour les interventions sur le terrain seront faites par des machines sans conducteur, des robots, et le monde agricole qui représentait encore 60 % de la population au début du XXème siècle et maintenant à peine 5 % sera remplacé par des machines.

    En ce qui concerne ces drones pacifiques d’un genre nouveau, reste à savoir si les autorisations de vol seront accordées par les autorités compétentes, sachant qu’un groupe d’adolescents de Nancy a été condamné pour avoir fait voler un drone au-dessus de la ville sans autorisation préalable il y a quelques mois. Peut-être que dans la Saône-et-Loire profonde du ministre du redressement agricole, il sera plus facile d’obtenir un permis de voler à une centaine de mètres d’altitude sans rendre les autorités civiles et militaires trop nerveuses !!!

    Source : http://precisionhawk.com/index.html

     

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  • Avoir de beaux poumons, ça aide!

    Microsoft travaillerait actuellement au développement d'un accessoire du domaine du wearable computing. Mais pas question de montre intelligente, de lunettes de réalité augmentée, il s'agirait cette fois d'un soutien-gorge high-tech.

    Microsoft aurait ainsi testé pendant plusieurs mois un nouveau produit présenté comme un soutien-gorge high tech. Accompagnée d'une équipe de scientifiques, la firme aurait mené une vaste phase d'essai clinique dans le cadre du développement d'un dispositif permettant de contrôler l'humeur des porteuses et de limiter les fringales dans les situations de stress.

    Pourquoi un soutien-gorge ? Microsoft explique que " Le soutien-gorge est le vêtement idéal, car il permet de mesurer précisément la fréquence cardiaque au plus proche du coeur." Des modules équivalents auraient ainsi été testés sur des hommes sans grand succès.

    Le soutien-gorge est en effet bardé de capteurs : gyroscope, accéléromètre, électrocardiogramme, capteur dermique et connexion Bluetooth ou se connecter sans fil à une application qui récupère les informations collectées.

    L'idée du concept est de mesurer avec précision l'humeur de la porteuse, son état de stress et de définir à partir de quel pic émotionnel cette dernière compense par l'ingestion de nourriture. L'objectif final étant de trouver des solutions permettant de limiter le phénomène de boulimie ou des petites fringales.

    L'expérience n'aura pas été de tout repos pour les porteuses, puisque pendant 4 jours, il fallait recharger le soutien-gorge toutes les 6 heures. Les données ont été stockées dans le service cloud Microsoft Azure et ont livré des résultats intéressants.

    Dans 75% des cas, le soutien-gorge pouvait prédire l'apparition d'un état émotionnel intense. On peut alors estimer que lorsque le soutien-gorge décèlera cette faiblesse, une notification pourrait être envoyée sur un smartphone avec des propos apaisants, ou plus simplement un message invitant l'utilisatrice à ne pas se ruer sur le frigo et à tenter de se calmer quelques minutes.

  • Changement climatique? Finalement c’est bien le Soleil…

     

    De nouvelles recherches sur le climat tendraient à minorer le rôle de l’homme dans le réchauffement de la planète.

    Par jacques Henry.

    Réchauffement climatique (Crédits : René Le Honzec/Contrepoints.org, licence Creative Commons)Voilà enfin avancée une preuve irréfutable que c’est bien le Soleil qui commande les fluctuations climatiques que connait la Terre, et non l’activité humaine. Il était temps que des universitaires démontent le mythe du réchauffement climatique anthropogénique inspiré par les pseudo-scientifiques irresponsables du GIEC, cette émanation des Nations-Unies, organisation dont on peut de plus en plus douter de l’utilité. Car, tout de même, que fait cette organisation à propos des événements regrettables du moment, Irak, Israël, Ukraine, Somalie ou encore Nigeria ? Rien, sinon financer des apprentis climatologistes qui répandent l’heuristique de la peur, des idéologues qui veulent que le monde d’hier devienne la réalité de demain (un propos emprunté à Michel Onfray à propos de Hans Jonas).

    Du nouveau sur le réchauffement climatique

    Bref, toute cette entrée en matière pour dire que cet article paru dans Nature risque de faire grand bruit parce qu’il remet en cause les théories extravagantes clamées à grands coups de prix Nobel (Al Gore et le GIEC) et de déclarations tonitruantes des ONG du genre Greenpeace et autres WWF ou Sierra Club pour répandre la peur planétaire d’un hypothétique réchauffement climatique.

    Je m’explique: quand le soleil fait une petite sieste, comme par exemple entre deux cycles d’activité, celle-ci dure environ 11 ans. Le flux des particules émises par le soleil en direction de la Terre diminue d’intensité et donc le champ magnétique terrestre protège moins bien l’atmosphère des rayons cosmiques galactiques. Tout cela à cause des hautes couches de l’atmosphère alors moins ionisées. C’est un peu vite dit, mais c’est à peu près comme ça que les choses se passent. Les rayons cosmiques pénètrent alors mieux dans les profondeurs de l’atmosphère et vont bombarder des atomes d’oxygène ou d’azote pour former un isotope du béryllium, le Be-10, qui se désintègre en bore avec une période de demi-vie de 1,38 million d’années. C’est ultra-pratique pour reconstituer l’activité solaire passée, puisque plus il y a de Be-10, moins le Soleil était actif. On peut dès lors reconstituer les variations d’activité du Soleil sur de longues périodes passées. Même chose pour le carbone-14, radioactif aussi, qui se forme également dans l’atmosphère naturellement par bombardement des atomes d’azote par les rayons cosmiques. Ce carbone se retrouve dans les arbres et les carbonates comme ceux des stalagmites.

    Il y a enfin un autre " proxy " pour étudier les variations de l’activité solaire qui dépend cette fois de la température : c’est l’abondance relative de l’isotope naturel 18 de l’oxygène, non radioactif, qui est 12,5% plus lourd que l’isotope du même oxygène le plus abondant, l’oxygène-16. Quand l’eau des océans s’évapore sous l’action du Soleil, celle constituée d’oxygène-18 s’évapore moins vite parce que plus lourde et la différence de teneur entre ces deux isotopes dans les stalagmites, par exemple, permet de reconstituer l’activité solaire passée.

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    L’activité solaire de ces vingt mille années passées

    C’est ce qu’a fait avec des précautions extrêmes une équipe de géophysiciens de l’Université de Lund en Suède en rapprochant les trois observations, béryllium-10, carbone-14 et oxygène-18. Ils ont ainsi reconstitué l’activité solaire au cours des vingt mille années passées, analysé les données obtenues avec le carottage de la glace du Groenland, et rapproché ces dernières des analyses de concrétions calcaires provenant d’une grotte chinoise. Les résultats ont permis d’établir une parfaite corrélation entre l’activité solaire et les subtiles variations climatiques observées et révélées par l’analyse fine des carottes glaciaires permettant de remonter aux variations climatiques se matérialisant par les précipitations neigeuses et leur abondance.

     

     

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    Durant la période glaciaire dite du Würm, s’étalant entre 26000 et 13000 ans avant notre ère, le climat ne fut pas toujours très très froid. Il y eut des épisodes relativement plus chauds, et l’activité solaire y est directement pour quelque chose. L’étude dirigée par le Professeur Raimund Muscheler a permis de préciser ce qui pouvait se passer au niveau atmosphérique pour expliquer l’abondance des chutes de neige au Groenland durant cette période. Au Groenland, mais pas seulement. Toute la région euro-américaine de l’hémisphère nord sous l’influence de l’océan Atlantique également, lui-même, on peut le comprendre aisément, sous l’influence de l’activité solaire et de ses variations cycliques, en particulier le cycle dit de " de Vries " d’une durée moyenne de 207 ans.

    Il a été ainsi possible d’aboutir à une modélisation de ce qui a pu se passer au niveau de l’Océan Atlantique pour influer sur l’intensité des chutes de neige au Groenland avec la persistance d’un anticyclone situé au-dessus du pays : un régime de vents d’ouest dominants pénétrant l’Afrique et apportant de l’humidité depuis l’océan, (le Sahara à l’époque était une vaste prairie), et un vent froid arrivant sur l’Europe du Nord favorisant le maintien de véritables calottes glaciaires en Scandinavie atteignant le nord de l’Allemagne. L’Écosse était recouverte d’un immense glacier.

    L’épisode glaciaire du Würm vit le niveau des océans baisser de plus de 130 mètres, ce qui facilita les migrations humaines d’Asie vers l’Amérique du Nord. Cet événement s’explique parfaitement par les variations de l’activité solaire dont on ignore toujours les raisons sur le long terme mise à part l’hypothèse d’un effet de marée de Jupiter et de Saturne sur l’activité solaire interne.

    En effet, une année jupitérienne dure 11 ans. Tous les 200 ans environ, Jupiter et Saturne se trouvent alignés par rapport au Soleil, curieuse coïncidence avec la durée du cycle de De Vries, peut-être bien pas si fortuite que ça. Cette direction d’investigation ne fait pas partie de cet article paru dans Nature – et aimablement communiqué par le principal auteur de l’étude – mais elle peut constituer matière à de plus amples investigations de la part des géophysiciens et des spécialistes de la dynamique interne du Soleil.

    Tout cela est naturellement très complexe mais à n’en pas douter, un jour ou l’autre, peut-être très prochainement, on comprendra qu’en définitive c’est le Soleil avec ses planètes massives qui commande le climat de la Terre et non la ridicule activité humaine en regard de l’immense énergie qui nous parvient depuis cette étoile paradoxalement vivante et parfois capricieuse…

    Sources : Nature, article aimablement communiqué par le Docteur Raimund Muscheler que je tiens à remercier ici.

     

  • De nouveaux anticorps artificiels pour lutter contre la grippe


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    Yotam Bar-On est un doctorant israélien en immunologie et en cancérologie à l’Université hébraïque de Jérusalem. Ce chercheur est parvenu à développer des anticorps capables de stimuler la résistance de notre système immunitaire à la grippe hivernale.

    La grippe est aujourd’hui un problème de santé mondial majeur. Chaque année, des épidémies saisonnières provoquent près de 5 millions d’infections graves et environ 500 000 décès par an. Aux États-Unis, cela représente 3,1 millions d’hospitalisation et environ 10,5 milliards de dollars chaque année.

    Récemment publié dans la revue Science, les résultats du Docteur Yotam Bar-On pourraient ouvrir la voie à des traitements médicamenteux plus efficaces pour lutter contre la grippe. Il déclare : “Les nouveaux anticorps que nous avons développés permettront à notre système immunitaire de répondre […] à une plus grande variété de grippes”.

    Pour mener à bien ses recherches, le docteur a observé le cycle de vie du virus et son interaction avec le système immunitaire du patient. Le corps dispose de ses propres ressources naturelles afin de combattre l’infection. Des cellules tueuses naturelles (Natural Killer) éliminent les cellules infectées à l’aide de leurs principaux récepteurs appelés NKp46.

    Jusqu’à présent, les chercheurs se heurtaient à un problème majeur : la grippe perturbait ce processus naturel par ses protéines appelées “neuraminidase“. Ces dernières contre-attaquaient les récepteurs des cellules tueuses naturelles, empêchant la destruction des cellules infectées.

    Yotam Bar-On a pu mettre au point des anticorps qui viendront se lier aux mauvaises protéines afin de neutraliser leur action. Les cellules tueuses naturelles seront alors libres d’éradiquer l’infection.

    Le doctorant a obtenu le Prix Kaye pour l’innovation qui, chaque année, est décerné aux étudiants de l’Université hébraïque dont la découverte a un potentiel commercial. Les anticorps ont été brevetés par Yissum, la société pour la commercialisation des recherches de l’Université hébraïque de Jérusalem, chargée de promouvoir les découvertes technologiques de ses chercheurs et étudiants. Actuellement, elle recherche des partenaires commerciaux pour poursuivre le développement de cette étude.

  • Des nanoparticules au service de la médecine régénératrice…

     

    Des nanoparticules au service de la médecine régénératrice…zoom

    Une équipe de scientifiques dirigée par Ludwik Leibler, du Laboratoire " matière molle et chimie " (Ecole supérieure de physique et de chimie industrielles) et Didier Letourneur, du Laboratoire de recherche vasculaire translationnelle, ont mis au point une nouvelle technique de cicatrisation qui utilise des solutions aqueuses de nanoparticules et permet de réparer des organes " mous " et des tissus, en collant un gel.

    Dans une première expérience menée sur des rats, les chercheurs ont fait une analyse comparée d'une fermeture d'une plaie profonde de la peau par la méthode traditionnelle de points de sutures, et d'une fermeture par l'application au pinceau de la solution aqueuse de nanoparticules. Dans une seconde expérience, les chercheurs ont appliqué cette dernière solution à des organes dits " mous ", tels que le foie, la rate ou le poumon qui sont particulièrement difficiles à suturer.

    Les chercheurs ont ainsi refermé une entaille profonde du foie avec hémorragie, en étalant la solution aqueuse de nanoparticules et en pressant les bords de la blessure et la perte de sang s'est arrêtée rapidement. Les chercheurs ont utilisé la même méthode pour réparer un lobe de foie sectionné. Dans les deux situations, les animaux ont survécu et le fonctionnement de l'organe n'a pas été altéré.

    Les résultats sont surprenants car, outre le fait de fermer des blessures, même profondes et en quelques secondes, cette méthode permet d'obtenir une cicatrisation de qualité et esthétique.

    Les chercheurs ont également réussi à fixer une membrane dégradable utilisée dans la thérapie cellulaire sur le cœur. A l'aide de cette nouvelle technique, il serait donc possible de fixer des dispositifs médicaux ou même de réparer et renforcer des organes et des tissus de façon mécanique.

    Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash