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mec - Page 51

  • De la conscience

     

    La conscience demeure l’un des éléments les plus mystérieux de la psyché humaine.

    Par Emmanuel Brunet Bommert.

    La vie est un concept étrange, comment une notion si proche et si familière peut-elle, en même temps, s’avérer si incompréhensible ? La simplicité n’est pas amie de l’intellect, les choses simples sont toujours celles qui demeureront les plus difficiles à notre entendement. Aussi, pour ne pas s’embourber dans l’infinie digression auquel conduit inévitablement notre ignorance des choses les plus évidentes, nous déduisons ce qui apparait le plus manifeste, faute de le savoir.

    La conscience est, dans la catégorie des concepts, le plus méconnu. En plus d’être le plus dangereux qui puisse subsister en philosophie. Si l’on devait reprocher une seule et unique chose de l’objectivisme d’Ayn Rand, ce serait d’avoir voulu donner une définition à la conscience, de l’avoir réduite à une simplification. La conscience n’est pas seulement l’identification : l’on peut en être pourvue sans pouvoir nommer la moindre chose, même s’il est vrai qu’elle y conduira inévitablement.

    Elle s’acquiert, tardivement : l’enfant n’a pas de conscience et ne sait pas ce qu’elle signifie, le malheur voulant que l’on ne puisse l’expliquer à qui en est dépourvu. Le jeune enfant est un être pensant qui, s’il demeurait ainsi sa vie durant, pourrait être perçu comme un animal doué d’un très haut niveau d’intelligence. Mais il n’est pas pour autant conscient.Elle se fait telle une ouverture, que l’on se souvient tous avoir franchie, et qui apparait dans l’imaginaire collectif comme un passage métaphorique des " ténèbres " à la " clarté " ; littéralement du jour au lendemain, l’ensemble de la réalité qui nous entoure prend un sens nouveau. Ce seuil, nous le nommons " fin de l’innocence ", par tradition hébraïque.

    Le passage de la vie embryonnaire à l’âge adulte est semblable à une reproduction raccourcie et simplifiée de l’évolution du monde vivant, dans son ensemble. La conscience est, dans l’ordre des choses, la dernière que nous acquérons. Aussi l’on peut observer l’enfant et, en évaluant ce qui lui manque, faire l’ébauche de ce que nous avons de plus que lui. De tous les éléments qui nous différencient de nos jeunes, l’un d’eux est si spécifique et si éminemment simple qu’il ne saurait être important à nos yeux : c’est là notre erreur, la vie est faite de choses élémentaires. La conscience, c’est la capacité que nous avons à prendre du recul sur les choses, devenant par-là capables de transcender notre nature propre.

    Même une bactérie peut assimiler le concept de responsabilité : si elle fait une erreur, elle le paye immédiatement. Mais seul l’être conscient a suffisamment de recul pour étendre sa compréhension de la responsabilité à ses semblables, puis à l’ensemble de l’univers. Vue comme une malédiction, elle peut être un don : cette capacité à prendre du recul est indispensable à la déduction, à l’induction et à l’extrapolation. Sans elle, la moralité est impossible : seule peut exister la loi immuable de notre nature. La conscience est la clé de notre " libre arbitre " au sens qu’elle compose notre capacité à dépasser les principes qui forment nos personnes.

    Elle conduit à une grandeur immense, à des sommets inexplorés, à un univers de possibles. Pourtant, c’est une clé maudite, qui vient avec son prix : puisque nous pouvons transcender notre nature, nous sommes donc aussi capables de l’enfreindre. Seul l’être conscient peut se suicider et demeure ainsi la seule catégorie d’être qui soit capable de choisir de mourir. Il peut dépasser son instinct de survie, marchant désormais sans filet sur le fil du rasoir.

    L’enfant ne sait pas ce qu’est la mort[1], à de rares exceptions, mais comprend le danger et se préservera de la souffrance autant qu’il lui sera possible de le faire. Il peut éprouver de l’attachement, mais sans le recul nécessaire à la compréhension, l’impact de celui-là n’ira pas jusqu’à l’abnégation. Au même titre que l’on peut faire une copie d’un singe qui ressemble effectivement à un primate, l’on peut expliquer le concept de " recul " à un enfant.Mais seulement le lui instruire, non pas l’éduquer.

     

    La conscience permet d’atteindre l’identification avec plus d’impact que ce que n’importe quelle autre créature pourrait obtenir. Un chat sait ce qu’est une souris, il sait comment elle fonctionne, il sait qu’elle est vivante.Mais seul l’être conscient peut interpréter ce qu’est une souris par rapport à lui-même. Il ne fait pas seulement qu’identifier, il hiérarchise et détermine des relations entre les principes de la réalité : il comprend la différence non plus comme quelque chose qui n’est " pas comme lui ", mais comme quelque chose qui " n’est pas comme lui, parce que… "

    Le chat, qui se regarde dans un miroir, est convaincu que son reflet est un autre animal parce qu’il n’a pas assez de recul pour comprendre ce qu’il est. Un être capable d’une intelligence extrême en serait capable, non pas par recul, mais parce qu’il pourrait assimiler ses mouvements comme trop analogues pour qu’il s’agisse d’autre chose que sa propre personne.

    Un enfant pense de cette manière, pourtant, seul l’être conscient serait capable, en regardant ce même miroir, de découvrir un objet dissimulé dans son environnement direct : il sait qu’il s’agit d’un reflet, parce qu’il a assez de recul pour comprendre qu’il émane d’un objet. La conscience n’est pas l’identification, mais cette capacité que l’on de prendre du recul par notre esprit, de pouvoir ainsi analyser le monde au-delà de la perception directe que nous en avons.

    L’animal tue, il peut dévorer son congénère vivant : il n’est ni supérieur ni inférieur à nous autres en cela. La conscience ne nous rend ni meilleurs ni pires que le serpent qui dévore un poussin vivant. L’enfant humain peut tuer un chien et jouer dans son sang, en toute innocence : il n’est pas plus vil que le chaton qui arrache les pattes d’une souris. La nature, toute entière vit par-delà le bien et le mal. Mais la conscience modifie notre perception de la réalité, par des aspects grandioses : l’attachement devient amour et le respect devient empathie[2].

    L’on sait ce que la souffrance signifie pour nous, aussi l’on peut transférer cette compréhension à un autre être : nous comprenons qu’autrui peut faire souffrir, alors que l’animal pensant ignore si une autre créature que lui éprouve de la douleur. La peur devient terreur, car l’on sait désormais que le tourment peut être aussi illimité que nous pourrons le concevoir. Car si nous pouvons imaginer les tortures les plus abjectes à nos semblables, c’est qu’ils peuvent nous faire subir de telles exactions.

    Conscients de ce que nous sommes capables de faire, nous craignons autrui. Cela puisque nous saisissons qu’il est notre semblable. L’espèce consciente peut devenir sociale, naturellement, mais le demeurera plus difficilement que le loup ou le rat : nous craignons nos semblables avec plus de force. De même, nous serions prêts à tout pour la survie de ceux auxquels nous sommes attachés : seule la conscience autorise l’amour et peut conduire à une véritable abnégation. Aussi, il est seul à pouvoir donner une définition au mot " dévouement ".

    1.Il existe des exceptions, la vie tolère une grande " marge d’erreur " dans ses lois. Suffisamment étendues pour qu’un enfant de quelques années atteigne la conscience, là où tous les autres n’y parviendront qu’après une décennie. Ces anomalies, si elles sont assez régulières dans nos immenses populations, ne constituent pas pour autant la règle en la matière.

    2.Par cela, nous pouvons affirmer que l’Homme est le résultat d’un conflit intérieur entre sa nature d’être pensant et sa nature d’être conscient ; d’où vont alors émerger l’ensemble de nos dilemmes moraux les plus douloureux.

  • Quelle société solidaire en France pour aujourd'hui?

    l’avis « radicalement défavorable » de la commission accessibilité du CNCPH sur les ordonnances (destinés à modifier la loi de 2005 sur la partie accessibilité et reporter de fait l’échéance de 2015), avis qui devait être présenté jeudi 10 juillet en plénière du CNCPH. Néanmoins, je rappelle que l’avis n'est que consultatif, et que sans mobilisation de notre part, je doute fort que cela soit suffisant.

    Je vous invite à lire cet avis dans son intégralité, car vous pourrez ainsi mesurer à quel point le gouvernement s'attaque à la loi de 2005 et nous fait revenir des années en arrière. Et c'est bien pire que ce qui était annoncé dans les réunio

    Allons-nous laisser passer ce recul historique sans réagir ?

    Ne venons pas pleurer plus tard, alors QUE notre liberté d’aller et venir est gravement remise en cause et que nous sommes trop peu à manifester concrètement notre colère !

    C’est pourquoi des membres du Conseil APF de région Midi-Pyrénées et d’autres associations proposent de renouveler l'opération péage gratuit le samedi 26 juillet au péage du Palays, au sud de Toulouse, dans le sens de Montpellier, Carcassonne vers Toulouse. Avec d'autres associations du CIAH 31, et les associations de personnes à mobilité réduite. Et tous ceux qui voudront participer.

    Pour cela, il faut être une cinquantaine, et je vous propose donc de vous inscrire sur le Doodle suivant si vous êtes prêts à participer, en nous indiquant l’horaire qui vous convient le mieux :

     http://doodle.com/iup9aqy2eswtyups

     

    Il est encore temps de manifester notre colère, car les ordonnances ne seront promulguées qu’à la fin de l’été selon la ministre Neuville, et  le CAPFR de Midi-Pyrénées encourage les autres départements et régions à se mobiliser au cours de l'été, mais cela ne peut évidemment dépendre d'une seule personne ou de quelques-unes.

     

    Les seuls combats victorieux sont ceux que l'on mène…. Et ceux qui baissent les bras ont déjà perdu.

    Solidairement.

    Merci de rediffuser largement à vos contacts

     Voir la précédente opération le 2 juillet à Muret (31) : http://dd31.blogs.apf.asso.fr/archive/2014/07/04/accessibilite-handi-et-pmr-en-colere-operation-peage-gratuit-71308.html

     

    Le tract : http://dd31.blogs.apf.asso.fr/archive/2014/07/01/accessibilite-colere-operation-peage-gratuit-a-muret-2-juill-71168.html

     

    Odile MAURIN

     

    Représentante Départementale de l'APF en Haute Garonne

     

    Membre du conseil APF de région Midi-Pyrénées

     

    APF (Association des Paralysés de France)

     60 chemin du commandant Joël Le Goff - 31100 TOULOUSE 

     Tél : 06 68 96 93 56 (11h à 21h uniquement)

     Mail : odile.maurin@apf31.fr - cd.31@apf.asso.fr

     Blog : http://dd31.blogs.apf.asso.fr

    association membre du CIAH31 (Collectif InterAssociatif Handicaps du 31) : http://v2.handi-social.fr/ciah31.html

     et du collectif  Ni Pauvre Ni Soumis midi pyrénées : http://nipauvrenisoumis.mp.free.fr/

     

    "C’est la faute à l’accessibilité! " : la pensée unique des lobbies et des politiques pour défaire la loi ! Inacceptable car faux : de " vrais gens " racontent ! Alors faites comme eux, n’écoutez pas les lobbies ! Et signez pour dire oui à l’accessibilité !

    Accessibilité : Et pourtant, on ne demande pas la Lune !!!

    Les coups ne cessent de pleuvoir sur l’obligation de mise en accessibilité de la cité et le délai de 2015 instaurés par la loi “handicap” du 11 février 2005. Des coups plus ou moins directs mais dont le sens ne trompe pas : celui d’une remise en cause pure et simple de cette obligation, en s’attaquant à la fois au délai et aux normes. Des coups portés par les lobbies " anti-accessibilité " que sont les fédérations et associations de professionnels de l’immobilier, du tourisme, de commerçants, d’architectes, de maires…

    Des coups basés sur des idées fausses : "Trop cher ", " trop tard", " trop compliqué", "mpossible ", au point d’en faire la pensée unique !

    Sus à " l’intégrisme normatif " !?

    Une pensée unique  acceptée et reprise par le gouvernement et les parlementaires qui ne cessent depuis plusieurs mois de pointer du doigt, dans leurs déclarations et divers rapports, les difficultés et contraintes techniques et financières que représente la mise aux normes d’accessibilité. Des normes jugées si excessives que messieurs Alain Lambert et Jean-Claude Boulard n’ont pas hésité à les qualifier dans leur rapport sur les normes d’ " intégrisme normatif " !

    Indifférence… ou incompétence ?

    Aujourd’hui, il est donc intégriste de défendre l’accessibilité… Ces mêmes personnes expliquent que "(…) personne n’ose ouvrir le débat de peur d’être accusé d’indifférence à l’égard des demandes légitimes des personnes handicapées. "

    Ah mais si, ouvrons le débat ! Le sujet n’est pas l’indifférence mais plutôt celui de l’incompétence !

    Face à cette pluie d’attaques répétées contre l’accessibilité fondées sur des arguments fallacieux, il était plus que temps de montrer que des " vrais gens " issus de ces catégories professionnelles ont réussi à rendre leur commerce, leur hôtel, leur transport, leur mairie… accessibles.

    L’accessibilité, c’est possible, et ce n’est pas que l’APF qui le dit !

    Alors faites comme toutes ces personnes rencontrées dans la France entière : n’écoutez pas les lobbies !

    Ne laissez pas les idées fausses défaire la loi. Dites non à la pensée unique et oui à l’accessibilité !

    http://www.necoutezpasleslobbies.org/je-signe/

     

    Liberté, Egalité, Fraternité??????

  • VIVE LA FRANCE!

    Bon 14 juillet à tout le monde!

     

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    www.gifs-joyce.com

     

  • Remise du prix Tesla: une femme engagée

    Faouzia Charfi, récipiendaire du Prix Tesla

    HuffPost Maghreb

    Faouzia Charfi été désignée le 27 juin dernier comme lauréate du prix Tesla. La physicienne et ex-secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Enseignement supérieur recevra cette récompense le 20 septembre 2014 à Podgorica (Monténégro) notamment pour "la qualité de ses travaux scientifiques". Le prix Nobel de physique 2007, Albert Fert, faisait partie du jury. Un prix scientifique mais aussi politique.

     

    C’est la première fois que le prix Tesla est décerné. Créé conjointement par la fondation Petrovitch Njegosh, le Programme MED 21, le Musée Tesla de Belgrade et l’université de Zagreb, il est nommé en hommage au physicien Nikola Tesla, un des pères fondateurs de l'électromagnétisme. Son nom a d'ailleurs été donné à une unité de mesure, celle de l'induction magnétique.

     Le prix Tesla a été attribué à Faouzia Charfi pour ses travaux sur l’électromagnétisme et particulièrement sur "les propriétés optiques et électroniques des semi-conducteurs". Mais comme elle l’explique dans un entretien téléphonique accordé au HuffPost Maghreb, le prix n’est pas "uniquement scientifique".

    "Une lutte contre l’obscurantisme"

    En plus de ses compétences scientifiques, c’est "son engagement citoyen en faveur de l’accession des femmes à l’étude, à la pratique des sciences et son combat contre l’obscurantisme" qui sont récompensés. Veuve de Mohamed Charfi, ancien président de la Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme, Faouzia Charfi est une scientifique engagée

     

  • Contraception : Découvrez la pilule télécommandée du futur

     

    Fini le calvaire de la prise à heure fixe et avec elle, le risque d'oublier qui concerne tant de femmes utilisant ce contraceptif quelque peu contraignant. Une nouvelle pilule pourrait bien voir le jour prochainement et fonctionnerait comme un implant sous-cutané que l'on peut activer et désactiver à la demande.

    Si les grossesses en cas d'oubli de pilule un jour restent rares, ces instants tête-en-l'air n'en sont pas moins facteurs de stress et de panique. Faut-il sauter un jour, doubler la prochaine prise, prendre une pilule du lendemain, s'abstenir de tout rapport sexuel ? Autant de question qui traversent l'esprit de l'oublieuse et font de ce moyen de contraception une chose bien plus compliquée qu'elle ne le devrait. Mais peut-être que le temps des rappels sur le portable et des frayeurs pourrait bientôt toucher à sa fin. Un nouveau contraceptif intégrant le dosage et le principe de la pilule ainsi que la simplicité et la durée de vie de l'implant ou du stérilet est actuellement à l'étude et, s'il s'avère efficace, pourrait être commercialisé dans les années à venir.

    Ce contraceptif révolutionnaire prendrait la forme d'une puce de 20 mm qui serait implantée sous la peau (dans le bras, les fesses ou le ventre) et pourvue d'une batterie de très faible courant électrique qui permettrait de délivrer chaque jour 30 microgrammes de lévonorgestrel, une hormone de synthèse déjà utilisée dans plusieurs contraceptifs. Elle serait protégée dans un petit réservoir pouvant contenir l'équivalent de 16 ans de traitement, soit le double de certains stérilets longue durée. Mais le véritable plus de cette pilule nouvelle génération réside dans le fait qu'elle pourra être activée ou éteinte quand on le veut, grâce à une télécommande. Ainsi, une femme désirant être enceinte pourra la désactiver puis la remettre en marche après son accouchement. Développé dans les laboratoires du prestigieux MIT (Massachussetts Institute of Technology) et financé par la Fondation Bill & Melinda Gates, qui encourage les nouveaux moyens de contraception comme le préservatif du futur Galactic Cap, pourrait être soumis à des tests pré-cliniques dès 2015 puis distribué sur le marché 3 ans plus tard s'ils sont concluants.

    Sachant que la pilule est de plus en plus délaissée chez les femmes, à cause des contraintes qu'elle implique mais aussi des récents scandales sanitaires autour des pilules de 3ème génération, au profit d'autres moyens comme le stérilet, l'implant, ou même des méthodes plus traditionnelles, ce système pourrait également représenter une alternative séduisante. Reste la question de la télécommande, qu'il ne faudra pas égarer, ou laisser à portée de mains malintentionnées !

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    NDLR: quand je pense que beaucoup de femmes et filles refusent que leur gosse soient vaccinés et qu'elles accepteraient avec grande joie ce truc électronique qui donne de l'électromagnétisme et bouzille les cellules du corps!

  • Chaque jour, en France, des dégueulasses vous prennent la tête

    Pourquoi c'est important

    Nous nous mobilisons une nouvelle fois contre la mort programmée de l'Unité spécifique d'Oncologie Pédiatrique individualisée de l'hôpital Raymond Poincaré de Garches (92380) AP HP

     Depuis plus de trente années, le Docteur Nicole Delèpine et son équipe pratiquent une médecine individualisée et humaine, pointue utilisant les traitements éprouvés efficaces, quand ils existent, sans les délaisser pour des essais thérapeutiques dont les résultats à long termene seront connus que plus tard et donc incertains.

     Nous avons le droit de profiter des progrès de la médecine de ces trente dernières années et pas seulement d'être le cobaye pour les prochaines décennies.Nous acceptons les essais lorsqu'aucune solution sérieuse n'existe pour nos Cancers

     Nous ne sommes pas un simple numéro, mais un patient que l'on écoute et auquel on donne les moyens de vaincre le Cancer en connaissance de cause, c'est à dire des possibilités fournies par des schémas de traitement connus ou par les essais cliniques proposés. C'est à nous de choisir !

     Le 6 novembre 2006, l'Unité a été transférée de l' hôpital Avicenne d à l'hôpital Raymond Poincaré de Garches, suite à la signature en 2004 d'un protocole d'accord entre l'AP HP, le Ministère de la Santé et l'Unité du Docteur Delèpine, affirmant sa pérénnité.

     Malheureusement à ce jour le protocole n'est plus respecté, les locaux, moyens matériel et humains sont petit à petit grignotés. Sa fermeture régulièrement annoncée déstabilise le personnel harcelé par l'encadrement pour pallier aux restriction de postes.

     Pour que nos enfants puissent continuer à être suivis par cette Unité qui n'existe "nulle part ailleurs" nous vous interpellons une nouvelle fois. Pour que les autres puissent profiter des chimiothérapies adaptées à leur âge évitant des amputations comme cela a encore été le cas pour trois patients le mois écoulé.

     Ou iront-ils ?

     Mme la Ministre

     Nous sommes sur que le sort d'enfants cancéreux ne vous laissera pas indifférente. Nous espérons vous rencontrer en personne rapidement. Respectueusement

     

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/La_perennite_de_lUnite_dOncologie_Pediatrique_de_Lenny_Beatrice_James_et_les_autres_SAUVONS_LUNITE/?kBwQFab

     

    Figurez-vous que j'ai avalé du Méthotexate pendant 5 ans et demi... j'ai bien sûr, connu le prix: c'est un produit pas cher du tout; je crois me souvenir, moins de 10 euros par mois...il existe depuis plus de 20 ans.... en plus de soigner les cancers du sang de l'enfant, il aide contre les inflammations diverses (comme celle qui me frappe depuis 2005).. bon d'accord, cela n'a eu aucun effet sur moi.. quoique... on ne peut jamais rien dire... mais, ma maladie est incurable à ce jour... et je suis encore là, quand même!

    et, si ces foutus protocoles ne servaient qu'à faire engraisser les labo qui testent sur les enfants des produits qui les tuent plus qu'ils ne les guérissent?...

    allez signer la pétition! trop de protocoles contraints n'est pas de la bonne science!

    quand aux sympathiques collègues qui parlent de couloir de la mort pour son service et au juge des affaires familiales (qui voulait retirer l'enfant à sa mère pour non assistance à personne en danger)

    http://madame.lefigaro.fr/societe/nicole-delepine-guerre-declaree-070714-891823

    c'est pour le moins dégueulasse! et le mot n'est pas assez fort!