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occitanie - Page 60

  • Joe le bidet est une éponge!

    Avec un fou pareil, on est dans la m…

    Biden sur la sortie de la crise sanitaire : “Notre priorité (pour accorder des aides financières) ira vers les entreprises détenues par des Noirs, Latinos, Asiatiques, Indiens ou par des femmes”

     

        "Our priority will be Black, Latino, Asian, and Native American owned small businesses, women-owned businesses, and finally having equal access to resources needed to reopen and rebuild." — President-elect Biden pic.twitter.com/pIyDuhf5pH

     

        — Biden-Harris Presidential Transition (@Transition46) January 10, 2021

  • Le professeur Perronne

    à faire circuler et à utiliser pour convaincre et sur les réseaux sociaux et vos proches de dire non au vaccin.

    On peut bien le taxer de complotisme, il fait ici son travail de médecin fidèle au serment d’Hippocrate, bien qu’il ait déjà payé plus que le prix fort pour avoir dit la vérité sur les manigances et mensonges du gouvernement.

    Ce texte est très important. Il dit tout de l’imposture (…) qui nous gouvernent.

    Message du Pr PERRONNE sur les vaccins!

    Publié le 02.01.2021 par Christian PERRONNE

     

    Chers amis,

    La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

    Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie. En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de "complotiste" ou mieux de "rassuriste", termes désignant ceux qui critiquent ou “challengent” la pensée unique.

    Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’État.

    Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première. Le ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le président du Conseil scientifique de l’Élysée, le Pr Jean-François Delfraissy, le directeur général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.

    Même le président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le re-confinement, nous a prédit non moins de 400 000 morts, renchérissant sur les 200 000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

    Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

    Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement. Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or, on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

     

    Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices. Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en Bourse. Le pire est que les premiers "vaccins" qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.

    On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains "vaccinés" fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps?

    Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits "endogènes" intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus "domestiqués" qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées "vaccins" sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde pour des cobayes.

    Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques, des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie.

    C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.

    Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe. La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

    Christian PERRONNE

    Source:

  • Après le vaccin, elle tombe dans les pommes

    Vaccin Pfizer: Tiffany tombe dans les pommes, “Le Monde” minimise…

    par Henri Dubost

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    Cette vidéo montrant une infirmière américaine s’écrouler après avoir reçu sa dose de vaccin anticovid Pfizer est devenue virale (sans mauvais jeu de mots):
    https://lesmoutonsrebelles.com/vaccin-pfizer-une-infirmiere-americaine-sevanouit-apres-avoir-recu-une-injection-contre-le-covid/

    Dans cet article:
    https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/12/21/attention-a-la-video-d-une-infirmiere-qui-s-effondre-apres-avoir-recu-le-vaccin-contre-le-covid-19_6064122_4355770.html

    le quotidien Le Monde vous explique que TOUT, absolument TOUT, est normal, et que si ce spectaculaire malaise vous interpelle quelque part, c’est que vous êtes complotiste.

    1. D’abord, nous rassure le quotidien vespéral, Tiffany Dover  – l’infirmière – n’a fait qu’un banal "malaise vagal" dont elle s’est rétablie "rapidement

    Ben oui: un malaise vagal, c’est somme toute banal dans un hôpital (vous apprécierez les rimes en "al"), avec un essaim d’infirmières et de médecins qui se précipitent pour vous porter secours.

    Evidemment, si l’infortunée donzelle avait vu trente-six chandelles en rentrant chez elle (vous apprécierez les rimes en "elle") au volant de sa voiture, la situation aurait été un peu moins cosy à gérer pour la jeune femme. Sans doute, mais pourquoi aller imaginer des situations aussi tordues alors que TOUT s’est bien passé, nous dit Le Monde" Les complotistes sont vraiment des gens pénibles…

    1. "Aux journalistes, [Tiffany Dover] a expliqué qu’elle souffrait d’une maladie provoquant des malaises à la moindre douleur ressentie " expliquent benoîtement les déco(nn)deurs du Monde, qui précisent que "ce n’était pas une surprise pour elle que cela se soit produit".

    Pas une surprise: "Donc ce stupéfiant évanouissement, au vu et au su des quatre coins de la planète, était plus que vraisemblable"

    Et nos journaleux vespéraux de nous expliquer gravement que: "Cet élément important ne figure pas dans la séquence qui circule en ligne, ni dans certains articles rapportant l’information".

    On imagine le médecin-commercial de chez Pfizer annoncer devant les caméras: " Alors voilà, mesdames-messieurs. On vous présente Tiffany Dover, une jeune femme qui souffre d’une maladie qui la fait tomber dans les pommes à la moindre douleur. Mais on va quand même la piquouzer en direct. D’acc, Tiff" Allez ! C’est parti… Attention, on pique, ça va faire mal ".
    Au fait, chers déco(nn)deurs, qu’est-ce donc que cette maladie "provoquant des malaises à la moindre douleur ressentie"

    " Vous ne vous êtes pas renseignés" Et vous ne vous êtes pas demandé non plus pourquoi le staff Pfizer s’est hasardé à piquouzer en public quelqu’un qui en souffre, au risque d’un fiasco planétaire" Débunkeurs, mais pas trop…
    3. Et Le Monde de poursuivre dans la même veine: " Présent sur place, Jesse Tucker, directeur du service des soins intensifs à l’hôpital de Chattanooga, précise qu’il n’y a aucune raison de soupçonner que cela serait dû au vaccin ". Aucune raison de soupçonner le contraire non plus, remarquez bien, chers déco(nn)deurs.

    Et merci à vous de nous apprendre incidemment que Tiffany, " qui s’est rétablie rapidement ", était quand même surveillée du coin de l’œil par le directeur des soins intensifs de l’hôpital. Difficile de croire qu’il était là tout à fait par hasard, non"

    1. La suite de l’article est du même tonneau: " Les données complètes publiées par Pfizer et Moderna, jugées rassurantes par les experts ont montré que les vaccins peuvent provoquer des effets indésirables fréquents (fatigue, courbatures, maux de tête) mais ils restent dans l’ensemble bénins ".

    On remarquera ce " LES experts ", alors qu’il y a quand même un certain nombre d’experts de par le monde qui se montrent assez dubitatifs sur l’innocuité du vaccin Pfizer:
    https://www.lci.fr/sante/les-effets-indesirables-du-vaccin-pfizer-sont-ils-vraiment-inhabituels-comme-le-dit-eric-caumes-2172522.html

    Sans parler de l’efficacité des vaccins anticovid en général:
    https://www.ladepeche.fr/2020/12/07/cest-surtout-de-la-publicite-affirme-le-professeur-didier-raoult-sur-le-vaccin-contre-le-covid-19-9243076.php

    Le Monde se garde bien de rappeler que l’on n’a aucune visibilité sur les effets à long terme du vaccin. Et pour cause: alors qu’il faut en moyenne 12 ans pour tester un vaccin:
    https://www.lecrips-idf.net/professionnels/dossiers-thematiques/dossier-VIH-vaccin/VIH-vaccin-essai.htm

    la commercialisation du vaccin-miracle Pfizer s’est faite tambour battant, en sautant quasiment toutes les étapes. Au point que les médecins vont devoir l’administrer " en aveugle ": ne pouvant s’appuyer sur des études scientifiques fiables, ils devront faire confiance aux dépliants publicitaires de la firme pharmaceutique.

    En cas d’accidents post-vaccinaux fâcheux, c’est le flou artistique le plus complet sur le chapitre des responsabilités:
    https://www.leparisien.fr/societe/vaccins-une-clause-de-non-responsabilite-pour-les-labos-cinq-minutes-pour-comprendre-la-polemique-10-12-2020-8413532.php

    Les laboratoires pourront toujours arguer du fait que les gouvernements leur ont " mis la pression " pour qu’ils commercialisent au plus tôt leur potion-miracle, et qu’ils ne sauraient donc être tenus pour responsables des effets secondaires qu’ils n’ont pas eu le temps de déceler.

    Ainsi dédouanés de toute responsabilité, ce ne sont donc pas les laboratoires qui dédommageront les patients atteints de pathologies directement dues aux vaccins, mais les Etats, donc les contribuables, donc les patients eux-mêmes. “Socialisation des risques, privatisation des bénéfices”…

    1. Et Le Monde de poursuivre: " Un vaccin avec de multiples effets secondaires graves observés en phases cliniques n’aurait jamais été mis en circulation ". Dans ces conditions, on aurait aimé que nos déco(nn)deurs nous expliquent pourquoi l’hexachloroquine (hydroxychloroquine)– dont certains " experts " viennent de découvrir les " effets secondaires graves ", n’est-ce pas" – était non seulement prescrit depuis plus de 70 ans dans le monde entier, mais en vente libre dans quasiment tous les pays. Débunkers, mais pas trop…
    2. " En France, reconnaît Le Monde, un dispositif de surveillance renforcé sera mis en place par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM) pour surveiller et informer des effets indésirables survenus après les injections de vaccin contre le (sic) Covid-19. Il sera prêt dès le début de la campagne de vaccination qui commencera fin décembre dans l’Hexagone ". En résumé: s’il y a de gros pépins post-vaccinaux, comme pour les médicaments Médiator, Distilbène, Vioxx:
      https://www.lelynx.fr/mutuelle-sante/soins/medicaux/medicament/top-5-plus-grands-scandales-pharmaceutiques-medicaments/

    pas grave ! L’Etat veille, qui compilera gentiment les plaintes des handicapés à vie ainsi que celles des veuves et des mères éplorées.

    * * *

    En tout cas, il y a un détail que vous ne trouverez pas dans l’article du Monde: en 2019, le média détenu très majoritairement par les oligarques Pigasse, Niels et Kretinski, a reçu 2,1 millions de dollars de la Fondation Bill Gates:
    https://www.mediapart.fr/journal/international/081019/la-fondation-gates-donne-19-million-d-euros-au-monde?onglet=full

    Bill Gates qui s’est – mais c’est un hasard – engagé à fond dans la promotion des vaccins Pfizer et Moderna, et qui dès 2015 prédisait – mais c’est un autre hasard – l’arrivée d’une pandémie mondiale de type coronavirus:
    https://usbeketrica.com/fr/article/quand-bill-gates-predisait-l-apparition-d-une-pandemie
    Concluons par ce dicton à l’adresse de nos chers déco(nn)deurs du Monde: "Dis-moi quelle est la main qui te nourrit, je te dirai ce que valent tes discours"
    Henri Dubost

     

  • Souriez, vous êtes fichés!

    ournal officiel samedi 26 décembre 2020

    Décret n° 2020-1690 du 25 décembre 2020 autorisant la création d'un traitement de données à caractère personnel relatif aux vaccinations contre la covid-19

    NOR: SSAP2033349D

    ELI: https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2020/12/25/SSAP2033349D/jo/texte

    Alias: https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2020/12/25/2020-1690/jo/texte

    JORF n°0312 du 26 décembre 2020

    Texte n° 82

    Version initiale

    Publics concernés: personnes éligibles à la vaccination contre la covid-19 ; professionnels du secteur sanitaire intervenant dans la vaccination.

    Objet: création d'un traitement de données à caractère personnel ayant pour finalité la mise en œuvre, le suivi et le pilotage des campagnes vaccinales contre la covid-19.

    Entrée en vigueur: le texte entre en vigueur immédiatement.

    Notice: le décret autorise le ministère des solidarités et de la santé et la Caisse nationale d'assurance maladie à mettre en œuvre le traitement dénommé " SI Vaccin Covid". Conformément aux dispositions de l'article 35 de la loi du 6 janvier 1978 modifiée, il définit les finalités du traitement, les catégories de données à caractère personnel enregistrées dans le traitement, les destinataires de ces données, les droits reconnus aux personnes concernées au titre du règlement 2016/679 du 27 avril 2016 (RGPD) ainsi que leurs modalités d'exercice.

    Références: le décret peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).

    Le Premier ministre,

    Sur le rapport du ministre des solidarités et de la santé,

    Vu le règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016 relatif à la protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données, et abrogeant la directive 95/46/CE ;

    Vu le code civil, notamment son article 1er ;

    Vu le code de la défense, notamment son article L. 4123-9-1 ;

    Vu le code de la santé publique, notamment ses articles L. 3111-1 et L. 3131-15 ;

    Vu le code de la sécurité sociale, notamment son article L. 162-5-3 ;

    Vu la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés, notamment ses articles 6, 31 et 35 ;

    Vu l'avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés en date du 10 décembre 2020 ;

    Vu l'avis du conseil de la Caisse nationale de l'assurance maladie en date du 14 décembre 2020 ;

    Vu l'avis du conseil central d'administration de la Mutualité sociale agricole en date du 15 décembre 2020 ;

    Le Conseil d'Etat (section sociale) entendu,

    Vu l'urgence,

    Décrète:

    Article 1

    1. - Est autorisée la création d'un traitement automatisé de données à caractère personnel dans le cadre de la campagne de vaccination contre la covid-19, dénommé " Vaccin Covid".

    La direction générale de la santé et la Caisse nationale de l'assurance maladie sont conjointement responsables de ce traitement, qui est mis en œuvre conformément aux dispositions du e du 1. de l'article 6 du règlement (UE) du 27 avril 2016 susvisé et pour les motifs d'intérêt public mentionnés au i du 2. de l'article 9 du même règlement.

    1. - Le traitement mentionné au I a pour finalités:

    1° L'identification des personnes éligibles à la vaccination au regard des recommandations énoncées par le ministre chargé de la santé en application des dispositions de l'article L. 3111-1 du code de la santé publique, l'envoi de bons de vaccination à ces personnes, l'enregistrement des informations relatives à la consultation préalable à la vaccination et l'organisation de la vaccination de ces personnes ;

    2° Le suivi de l'approvisionnement des lieux de vaccinations en vaccins et consommables ;

    3° L'envoi à la personne vaccinée d'un récapitulatif des informations relatives à la vaccination, établi par le professionnel de santé réalisant la vaccination ou par le personnel placé sous sa responsabilité ;

     4° La mise à disposition de données permettant la présentation de l'offre de vaccination, la surveillance de la couverture vaccinale, la mesure de l'efficacité et de la sécurité vaccinales, la pharmacovigilance, le suivi statistique de la campagne de vaccination, l'appui à l'évaluation de la politique publique de vaccination et la réalisation d'études et de recherches ;

    5° La délivrance, en cas d'apparition d'un risque nouveau, de l'information prévue à l'article L. 1111-2 du code de la santé publique, aux personnes vaccinées et, le cas échéant, leur orientation vers un parcours de soins adaptés ;

    6° La prise en charge financière des actes liés à la vaccination.

    Article 2

    1. - Les catégories de données à caractère personnel et informations enregistrées dans le traitement autorisé par l'article 1er sont:

    1° Les données d'identification de la personne invitée à se faire vacciner ou vaccinée: nom, prénoms, sexe, date de naissance, lieu de naissance, numéro d'inscription au répertoire national d'identification des personnes physiques ou, le cas échéant, code d'admission au bénéfice de l'aide médicale d'Etat sous la mention immatriculation ;

    2° Le code du régime d'affiliation et de l'organisme gestionnaire assurant la prise en charge des frais de santé de la personne mentionnée au 1° ;

    3° Les coordonnées de la personne mentionnée au 1° et de son représentant légal éventuel: adresse postale, numéro de téléphone, adresse électronique ;

    4° Les références du ou des bons de vaccination délivrés à la personne ;

    5° Les données relatives à la réalisation de la vaccination: dates de la, ou des injections, informations permettant l'identification du vaccin injecté, précisions sur l'administration du vaccin, identification du ou des lieux de vaccination, identification des professionnels de santé ayant réalisé respectivement la consultation préalable à la vaccination et chaque injection ;

    6° Les données relatives à la santé de la personne mentionnée au 1°:

    1. a) Critères médicaux d'éligibilité à la vaccination et traitements suivis ;
    2. b) Informations relatives à la recherche et à l'identification de contre-indications à la vaccination;
    3. c) Effets indésirables éventuels associés à la vaccination ;

     7° Les informations sur les critères d'éligibilité non médicaux à la vaccination ;

     8° Les données d'identification des professionnels de santé, et des personnes placées sous leur responsabilité, ayant réalisé la consultation préalable et la vaccination: données d'identification, coordonnées et numéro d'identification de l'établissement ou de la structure de rattachement, de l'établissement ou de la structure de vaccination.

    1. - Les professionnels de santé ou les personnes placées sous leur responsabilité qui concourent à la vaccination sont tenus d'enregistrer sans délai les données recueillies en application du I dans le traitement autorisé par l'article 1er.

    Vacciné? vous serez fiché

    Par application du premier alinéa du I de l'article L. 4123-9-1 du code de la défense, les données énumérées au I, à l'exclusion de celles mentionnées au 2° et au 8°, ne doivent pas révéler la qualité éventuelle de militaire de la personne mentionnée au 1° du même I.

    Article 3

    1. - Sont destinataires des données enregistrées dans le traitement autorisé par l'article 1er, pour assurer les seules finalités mentionnées au II de cet article:

    1° Les professionnels de santé, ainsi que les personnes placées sous leur responsabilité, réalisant la consultation préalable et la vaccination, pour les données énumérées au I de l'article 2, à l'exclusion de celles mentionnées au a du 6° de ce I ;

    2° Le médecin traitant choisi par la personne vaccinée, conformément aux dispositions de l'article L. 162-5-3 du code de la sécurité sociale, pour les données mentionnées au 1° et, sous réserve du consentement de celle-ci, aux 5°, 6° et 8° du I de l'article 2 ;

    3° Pour les ressortissants des organismes des régimes obligatoires d'assurance maladie, les agents, spécialement habilités par le directeur de ces organismes, pour les données énumérées au I de l'article 2, à l'exclusion de celles mentionnées au 6° de ce I ;

    4° La direction du numérique des ministères chargés des affaires sociales, en tant que personne de confiance désignée par le directeur général de la santé, pour les données mentionnées au 1° et au 5° du I de l'article 2, aux seules fins de conserver celles-ci et d'en permettre l'accès aux professionnels de santé prenant en charge, en cas d'identification de risques nouveaux, l'information de la personne vaccinée dans les conditions prévues à l'article L. 1111-2 du code de la santé publique et son orientation vers un parcours de soin adapté ;

    5° La Caisse nationale d'assurance maladie, pour les données mentionnées aux 1°, 4°, 5°, 6°, et 7° du I de l'article 2, transmises par les professionnels de santé en vue de leur versement dans le dossier médical partagé de la personne vaccinée, conformément aux dispositions de l'article L. 1111-15 du code de la santé publique ;

    6° L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé et les centres régionaux de pharmacovigilance, pour l'exercice de leur mission de pharmacovigilance, pour la partie des données mentionnées au 1° du I de l'article 2 comprenant les trois premières lettres du nom et du prénom, la date de naissance et le sexe de la personne concernée par la vaccination, ainsi que pour les données mentionnées aux 5°, 6° et 7° de ce I ;

    7° Le service public d'information en santé prévu par l'article L. 1111-1-1 du code de la santé publique, pour les seules données mentionnées aux 5° et 8° du I de l'article 2 nécessaires à sa mission de diffusion gratuite auprès du public de l'offre de soins disponible.

    1. - Sont destinataires de données ayant fait l'objet de mesures adéquates de pseudonymisation permettant d'assurer la confidentialité de l'identité des personnes, notamment par la suppression de leur nom, prénoms, numéro d'inscription au répertoire national d'identification des personnes physiques, adresse et de leurs coordonnées de contact téléphonique ou électronique:

     1° Les personnes habilitées par le directeur général de l'Agence nationale de santé publique, pour les données nécessaires au suivi de la couverture vaccinale et à la mesure de l'efficacité vaccinale ;

    2° Les personnes habilitées par les directeurs généraux des agences régionales de santé, pour les données nécessaires à l'organisation de la campagne de vaccination à l'échelon régional et à son suivi ;

    3° Les personnes habilitées par le directeur de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques du ministère chargé de la santé, pour les données nécessaires à sa mission d'analyse et de diffusion des informations statistiques dans le domaine de la santé ;

    4° Le groupement d'intérêt public mentionné à l'article L. 1462-1 du code de la santé publique et la Caisse nationale de l'assurance maladie aux seules fins de faciliter l'utilisation des données de santé pour les besoins de la gestion de l'urgence sanitaire et de l'amélioration des connaissances sur le virus.

    Article 4

    Les personnes invitées à se faire vacciner reçoivent les informations prévues par les dispositions du f du 2. de l'article 14 du règlement (UE) du 27 avril 2016 susvisé en même temps que leur premier bon de vaccination.

     Les personnes ayant consenti à la vaccination et les professionnels de santé concourant à la prise en charge vaccinale reçoivent individuellement, au moment de la consultation préalable à la vaccination, les informations prévues par les dispositions des a, c et e du 1. et des a et b du 2. de l'article 13 du même règlement.

    Article 5

    1. - Les droits d'accès et de rectification, ainsi que le droit à la limitation, s'exercent auprès du directeur de l'organisme d'assurance maladie de rattachement de la personne concernée, dans les conditions prévues aux articles 15, 16 et 18 du règlement (UE) du 27 avril 2016 susvisé.

    Compte tenu des motifs d'intérêt public mentionnés au c du 3 de l'article 17 du même règlement, le droit à l'effacement ne s'applique pas au traitement autorisé par l'article 1er du présent décret.

    1. - En application de l'article 23 du règlement (UE) du 27 avril 2016 susvisé, le droit d'opposition prévu à l'article 21 du même règlement ne s'applique au traitement autorisé par l'article 1er du présent décret qu'en ce qui concerne:

    1° Le traitement des données enregistrées suite à l'identification des personnes éligibles à la vaccination par les organismes des régimes obligatoires d'assurance maladie, et uniquement jusqu'à l'enregistrement, par un professionnel de santé concourant à la prise en charge vaccinale, du consentement de la personne à la vaccination ;

    2° La transmission, telle que prévue au 4° du II de l'article 3 du présent décret, des données au groupement d'intérêt public mentionné à l'article L. 1462-1 du code de la santé publique et à la Caisse nationale de l'assurance maladie. Le droit d'opposition s'exerce auprès du directeur de l'organisme d'assurance maladie de rattachement de la personne concernée.

    Article 6

    Le ministre des solidarités et de la santé est chargé de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française et entrera en vigueur immédiatement.

    Fait le 25 décembre 2020.

    Jean Castex

    Par le Premier ministre:

    Le ministre des solidarités et de la santé,

    Olivier Véran

     

    Selon le décret publié, ce fichier devra permettre aux personnes vaccinées de recevoir des informations après coup "en cas d’apparition d’un risque nouveau" par exemple ou alors en cas d’effets secondaires. Ce fichier regroupera ainsi des informations concernant le patient, que ce soit son identité, sa date de naissance et des " données relatives à la réalisation du vaccin " à savoir le modèle du vaccin utilisé, le nom de la personne qui l’aura injecté ou encore son lieu.

    Vers un regroupement de deux fichiers

    Pour éviter toute polémique quant à un éventuel "fichage", une partie des données sera accessible aux soignants, à des médecins traitants et à la Caisse nationale d’assurance maladie, mais les autres professionnels de santé n’auront qu’un accès restreint, grâce à des " mesures adéquates de pseudonymisation". Une confidentialité promise notamment concernant l’identité des personnes ainsi que leurs coordonnées. Selon Le Parisien, il est également précisé que toute personne pourra faire valoir son droit à l’effacement des données personnelles si "les conditions entrent dans l’un des cas listés par le règlement européen de protection des données de la CNIL".

    Après le premier confinement, un fichier similaire avait vu le jour, cette fois-ci concernant les personnes testées. Dans " SI-Dep ", on retrouvait les informations et le résultat des tests de milliers de personnes. Toujours selon nos confrères du Parisien, le ministère envisagerait un recoupement des deux fichiers pour " permettre de vérifier l’efficacité vaccinale pour ceux qui se font tester après l’injection".

    Un fichier qui ne servira en pratique à RIEN. Les vaccins à ARN-messager n'ont une durée de protection efficace que de 6 mois (un peu comme actuellement le vaccin anti-grippal), et en plus, la souche de l'épidémie change, comme elle est en train de le faire avec le variant se développant au Royaume-Uni...Encore un acte qui ne peut satisfaire que les obsessions administratives de nos dirigeants énarco-macronien, coûteux et inutile.

     

     

     

     

    Le fichier intitulé “SI Vaccin Covid” permettra aux médecins d’avoir accès à de nombreuses informations, tout en gardant certaines mesures d’anonymat.

    A l’aube de la campagne de vaccination contre le Covid-19 qui débute en Europe ce dimanche 27 décembre, un décret paru au prévoit la mise en place d’un fichier de données regroupant de nombreuses informations concernant les personnes qui seront vaccinées en France, rapporte franceinfo. Le but affiché est " la mise en œuvre, le suivi et le pilotage des campagnes vaccinales", peut-on apprendre.

    Selon le décret publié, ce fichier devra permettre aux personnes vaccinées de recevoir des informations après coup " en cas d’apparition d’un risque nouveau " par exemple ou alors en cas d’effets secondaires. Ce fichier regroupera ainsi des informations concernant le patient, que ce soit son identité, sa date de naissance et des " données relatives à la réalisation du vaccin " à savoir le modèle du vaccin utilisé, le nom de la personne qui l’aura injecté ou encore son lieu.

    Vers un regroupement de deux fichiers

    Pour éviter toute polémique quant à un éventuel "fichage", une partie des données sera accessible aux soignants, à des médecins traitants et à la Caisse nationale d’assurance maladie, mais les autres professionnels de santé n’auront qu’un accès restreint, grâce à des "mesures adéquates de pseudonymisation". Une confidentialité promise notamment concernant l’identité des personnes ainsi que leurs coordonnées. Selon Le Parisien, il est également précisé que, toute personne pourra faire valoir son droit à l’effacement des données personnelles si "les conditions entrent dans l’un des cas listés par le règlement européen de protection des données de la CNIL".

    Après le premier confinement, un fichier similaire avait vu le jour, cette fois-ci concernant les personnes testées. Dans "SI-Dep", on retrouvait les informations et le résultat des tests de milliers de personnes. Toujours selon nos confrères du Parisien, le ministère envisagerait un recoupement des deux fichiers pour "permettre de vérifier l’efficacité vaccinale pour ceux qui se font tester après l’injection".

    Un fichier qui ne servira -en pratique- à RIEN. Les vaccins à ARN-messager n'ont une durée de protection efficace que de 6 mois (un peu comme actuellement le vaccin anti-grippal), et en plus, la souche de l'épidémie change, comme elle est en train de le faire avec le variant se développant au Royaume-Uni...Encore un acte qui ne peut satisfaire que les obsessions administratives de nos dirigeants énarco-macronien, coûteux et inutile.

    Il contiendra des informations sur la personne vaccinée (nom, prénoms, date de naissance...) et des données relatives à la réalisation de la vaccination (modèle du vaccin, lieu de vaccination, soignant ayant réalisé le vaccin...).

    Pseudonymisation dans certains cas

    Ce fichier permettra "l'envoi à la personne vaccinée d'un récapitulatif des informations relatives à la vaccination, établi par le professionnel de santé réalisant la vaccination ou par le personnel placé sous sa responsabilité", selon le décret. Les informations permettront également de contacter les personnes vaccinées "en cas d'apparition d'un risque nouveau".

  • Et oui!

    La courageuse Stella Kamnga, l’opposé de la bourgeoise Rokhaya Diallo

    J’ai été surpris d’apprendre que l’animateur des " vraies voix " sur Sud Radio s’était excusé sur Tweeter envers Rokhaya Diallo sur cette prétendue affaire décrétée raciste parce qu’une auditrice a tout simplement dit une réalité africaine.

    L’excellente Stella Kamnga, Camerounaise vivant en France depuis seulement quatre ans, explique pourquoi Rokhaya Diallo a tort, et se demande pourquoi cette femme poursuit de sa haine un pays, la France en l’accusant de racisme systémique. Stella, que vous allez entendre sur cette vidéo, a souhaité revenir sur cette affaire.

    Source:

    Pour ceux qui sont allés plusieurs fois en Afrique, y ont travaillé, y compris en Afrique du Nord, ont pu s’apercevoir que la femme africaine n’avait pas le même niveau de liberté que les hommes. Que la femme africaine musulmane est le plus souvent soumise à l’homme quand elle ne partage pas son mari avec d’autres femmes.

    La femme africaine subit la polygamie, elle ne l’accepte pas de bon gré et le plus souvent sa famille, qui l’aura infibulée très jeune, ne lui laisse pas le choix de choisir l’homme qui va lui pourrir la vie, et lui faire une dizaine de gosses.

    Quelle femme française accepterait cela? Quelle femme d’origine africaine née en France ne se pose pas des questions sur les mariages forcés, le voyage en Afrique pour être mariée de force après un accord familial? Rokhaya Diallo le sait bien, elle qui a eu la chance de naître en France, d’y étudier et d’y saisir des opportunités qui lui permettent de bien vivre.

    Rokhaya Diallo, comme Obono et d’autres Africaines ont compris l’air du temps et les avantages de profiter d’un pouvoir politique déliquescent, empli de compassion et se battant la coulpe en permanence sur les soi-disant "crimes“ de la France en général, et des Français en particulier comme si mes ancêtres de la Sarthe pouvaient être responsables de situations politiques, économiques et de décisions gouvernementales prises en France.

    Rokhaya Diallo est de ces femmes qui vivent sur le dos de cette incompréhensible culpabilité française, puisque la France n’a pas à rougir en tant que telle de ces actions, et encore moins de ce qu’elle a apporté à l’Afrique. Le bon et le mauvais bien sûr. Le bon comme d’avoir libéré les esclaves chrétiens du bey d’Alger en 1830, d’avoir permis à une population subsaharienne africaine de survivre à l’esclavage commis par des Africains au service des Arabo-musulmans, d’avoir fait des guerres contre des tribus pratiquant toutes sortes de crimes contre l’humanité allant jusqu’au cannibalisme. L’Afrique a vu sa population augmenter du temps des colonies, et ce fait prouve simplement qu’un génocide est justement une action qui va à l’inverse.

    Oui, la colonisation a été positive à beaucoup d’égards. Oui, elle a permis à des tribus, à des peuples de se développer dans les limites de leurs moyens.

    Une amie ivoirienne me disait que la langue française a été une chance, pour des tribus qui ne parlaient pas le même dialecte, se faisaient en permanence la guerre, de se comprendre et d’échanger sur d’autres plans que des captures afin de vendre les prisonniers comme esclaves, et autres pillages. Parce oui, les Noirs ont été aussi, au même titre que les Arabo-musulmans, des esclavagistes.

    Alors oui, tout n’a pas été rose, tout n’a pas été magnifique, et toutes les entreprises sur place, tous les coloniaux n’ont pas été, loin de là, des anges et des bons samaritains. Il y a eu sûrement des ordures, des abus, des excès aussi, et Rokhaya Diallo aurait pu les dénoncer en toute équité. Faire un procès historique, en mettant sur la table les avantages et les inconvénients de cette colonisation. Au lieu d’un débat salutaire, elle est tombée dans l’excès inverse en niant qu’elle-même, en tant que femme, sa vie d’Africaine musulmane se serait traduite par un mariage, les abus d’un homme polygame, et qu’elle aurait dû devoir porter des récipients d’eau sur la tête, pendant des kilomètres, et piler le mil avec le petit dernier sur le dos. C’est encore la réalité en Afrique.

    Si une femme africaine qui, par le plus grand des hasards, devait voir ces bourgeoises africaines s’agiter, ces femmes bien éduquées à la française, propres sur elles, libres de leurs choix de vie, voire élues de la République, voire ministres en France, se transformer en harpies anti-France, elle serait écœurée.

    Je remercie encore Stella Kamnga qui, avec talent, logique, démonte l’argumentation fallacieux de Rokhaya Diallo et de ses complices harpies.

    Gérard Brazon

    Source: