Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

occitanie - Page 62

  • Un mystérieux monolithe en métal découvert sur la colline de Pech-David

    INFO ACTU TOULOUSE. Après de nombreuses découvertes partout dans le monde, un étrange monolithe en métal a fait son apparition à Toulouse, mercredi 9 décembre 2020. Explications.

    Après les Etats-Unis, la Roumanie, les Pays-Bas et plusieurs endroits en France, c’est au tour de Toulouse. Un mystérieux monolithe en métal a fait son apparition, mercredi 9 décembre 2020, sur la colline de Pech-David.

    Des riverains ont alerté la rédaction d’Actu Toulouse vers 17 heures de cette étrange installation apparue au niveau de la base de loisirs de Pech-David. Le monolithe est magnifiquement exposé, laissant apparaître la ville de Toulouse en contrebas.

    Une inscription gravée sur le métal

    S’agit-il d’un canular? L’œuvre d’un artiste adepte de land art? Ou faut-il chercher une autre explication?

    Seul indice, une inscription gravée sur le métal et qui ravira sans aucun doute les amateurs d’énigme:  12 – 13 / 06 43°34’22.7″N 1°22’46.3″E.

    Des découvertes similaires partout dans le monde

    Ces derniers jours plusieurs monolithes sont apparus un peu partout dans le monde et interrogent. Le 18 novembre 2020, un monolithe constitué de cinq prismes droits à base triangulaire a été découvert dans le désert de l’Utah (USA). Le 1er décembre, une œuvre du même type s’est dévoilée aux habitants de la petite ville de Piatra-Neamt en Roumanie.

    Depuis, d’autres monolithes ont été repérés aux Pays-Bas, au Royaume-Uni et en France, dans les Deux-Sèvres le 5 décembre puis au Havre ce mercredi 9 décembre 2020.

    Dans plusieurs cas, le mystère a été élucidé comme à Exireuil dans les Deux-Sèvres où il s’agissait de l’œuvre d’un chaudronnier…

     

  • Pauvre France!

    51e jour depuis le massacre de notre compatriote Samuel Paty. 61.000 migrants de plus sont entrés en France !

    Général (2S) Roland DUBOIS

    Source:

  • Le peuple allemand se lève pour défendre les libertés

     

    Ce que l'on nous cache, en FRANCE!

    Senta Depuydt la journaliste belge qui ne compte pas son énergie pour sauver la liberté et la civilisation de notre monde a partagé avec nous la vidéo de la manifestation de Leipzig qui fait suite à celle de berlin occulté par les médias, mais qui malgré tous les énormes efforts du camp mondialiste avait été une réussite formidable avec plus d’un million de participants. La présence de Robert Jr Kennedy, neveu de l’illustre président des USA avait galvanisé les foules avec son évocation du " i bin ein berliner " de son oncle à Berlin quelques décennies plutôt.

    Senta raconte: " 7 novembre… " Das Folk ", le peuple est à nouveau dans la rue. Des milliers de personnes se sont rassemblées au cœur de la ville de Leipzig lors d’un autre événement pour la paix, l’amour et la liberté. Des manifestations ont eu lieu dans toute l’Europe ces dernières semaines, mais ce qui se passe en Allemagne est vraiment unique… "

    (…) Oui, nous savions que l’Allemagne serait un moment historique, quelque chose de significatif. Et c’était… au-delà de notre imagination !!!

    Malgré tous les efforts déployés par les responsables de la ville de Berlin pour interdire l’événement et décourager les gens de venir, plus d’un million de personnes de toutes les régions d’Allemagne et d’Europe se sont jointes à l’un des plus grands rassemblements pour la liberté du siècle. Le discours inoubliable de Robert F. Kennedy, Jr., faisant écho aux paroles de son oncle en 1963 dans un message pour défendre le " peuple libre de Berlin " contre la menace du communisme et de la dictature, a instantanément atteint des dizaines de millions de personnes dans le monde. Et son avertissement était très clair. La démocratie est à nouveau en danger, cette pandémie est un coup d’État et nous sommes ici ensemble pour lutter pour nos droits ".

    Senta raconte également ce que nous percevons des messages de nos amis allemands qui se battent bec et ongles pour libérer le monde de ce nouvel ordre mondial qui ne se cache plus ! Les avocats appellent à un Nuremberg 2.

    Le " plus jamais cela " a une énorme signification pour eux, alors même que les petits français et même certains médecins qui appliquent des vaccins obligatoires ou euthanasient des patients sans leur consentement, ne connaissent même pas ce que signifie le code de Nuremberg .

    Les Allemands ne sont pas remis de la honte du nazisme, tandis que les français ont intériorisé le combat de magnifiques résistants, comme le leur, mais sont prêts aujourd’hui à dénoncer leur voisin pour une fête familiale interdite par le sieur Castex … sans compter les monceaux de lettres anonymes de dénonciation encore en stock à la bibliothèque nationale. Des héros ? Non certains oui le furent au-delà de notre imagination ; mais pas tous les français.

    Les Français de la deuxième guerre mondiale ont-ils été globalement plus innocents que les Allemands de la même époque ?

    Pourquoi notre pays a -t-il autant ce sentiment de supériorité, d’invulnérabilité qui nous mène à la soumission outrancière, au massacre des cerveaux de nos enfants aggravé encore par ce port du masque obligatoire au- delà du stress psycho traumatique subi pendant le confinement et les aberrantes et honteuses mesures de " distanciation " imposées à l’école pour calmer les foules, les syndicats bien conditionnés par les représentants zélés de big pharma via la peur induite par les relais gouvernementaux obéissants.

     

    Senta raconte ce que nous lisons trop souvent de la part de nos amis allemands. " Chaque personne que j’ai rencontrée à Berlin m’a raconté la même histoire:

    "En tant qu’Allemands, nous avons dû grandir avec la honte du régime nazi et la misère du communisme. Cela ne peut plus jamais se reproduire ! Il n’y a tout simplement aucun moyen d’accepter une autre société totalitaire. C’est une question de vie ou de mort … ".

    " Les Allemands sont dans les rues tous les samedis depuis août dans des dizaines de villes. Des centaines, voire des milliers de médecins sont totalement en désaccord avec les " coronamesures". Ils s’expriment, soutenus par des dizaines d’avocats, de scientifiques, d’artistes, de sportifs, d’hommes d’affaires, de parents. Il est difficile d’estimer le nombre de personnes au courant de la situation en Allemagne, mais certains disent que cela pourrait représenter jusqu’à 20% de la population.

    Les combattants de la liberté ont défilé chaque semaine avec des portraits de Ghandi, des messages d’amour, des prières, des chants de paix et de la méditation et semaine après semaine, ils ont été qualifiés d’extrémistes, de fascistes et de criminels violents par leurs médias et leur gouvernement. Des blocs noirs se sont infiltrés dans leurs rangs pour provoquer des incidents, les forces de l’ordre ont tenté de les intimider. Lors de l’une des récentes manifestations à Berlin, nous avons vu des images de nos bons amis brutalisés et arrêtés par des " robocops " alors qu’ils se promenaient simplement dans la foule. Mais les voici de nouveau. Rien ne les arrêtera. "

    Nous-mêmes et nos médias se taisent, taisent le comportement du voisin soi-disant notre modèle, taisent le fait qu’ils ont contrôlé de façon beaucoup plus adaptée de la crise covid. Les allemands ont non seulement évité le confinement mortifère et ses victimes collatérales de non ou retard de traitement et surtout évité un grand nombre de morts en laissant ses médecins choisir le traitement adapté, précocement, en d’autres termes l’usage de la chloroquine.

    Relayons le combat de nos voisins allemands et nous ferons écho aux manifestations italiennes, espagnoles etc… dans d’autres tribunes.

    "Je vous invite à regarder ce moment unique à Leipzig. La police a annoncé la fin de la manifestation à 15 heures “parce que la foule ne respectait pas la distance sociale et ne portait pas de masques”. Mais lorsque les organisateurs ont quitté la scène, les gens ont tout simplement refusé d’y aller. Ils ont montré tant de force, tant de courage, ils étaient si nombreux que personne ne pouvait les forcer à partir. Nos amis ont résisté avec paix et amour et une part croissante des forces de police se tourne de leur côté. Tel est le nouvel esprit du peuple allemand, un esprit qui doit à la fois nous éveiller et nous inspirer. "

    "Regardez cette belle vidéo des habitants de Leipzig. (…) Laissez le nouvel esprit de l’Allemagne vous surprendre et vous guider, comme une lumière qui monte du plus profond des ténèbres. "

    https://www.youtube.com/watch?v=sdNqAmCAHYg&feature=youtu.be

    Les rues de Leipzig, le 7 Novembre

    Nicole Delépine

  • La covid-19

    La dimension clinique

    Chaque virus pathogène possède des caractéristiques cliniques propres et des caractéristiques cliniques générales. Le sars-cov-2 ne déroge pas. Il fait partie du groupe des infections respiratoires aiguës (IRA), des grippes en termes générique. Mais il présente des caractéristiques propres, des traitements propres, qui, pour n’avoir pas été reconnus suffisamment rapidement en mars-avril ont généré une morbidité et une mortalité en excès évitable.

    Je ne reviens pas ici, vu de l’étranger, sur la lamentable polémique entre les autorités et le professeur Didier Raoult, dont l’apport scientifique est exceptionnel dans cette crise (qu’il en soit remercié), polémique dont la résultante est objectivement un surcroît de souffrance au niveau des populations. Pour une bonne appréciation de l’aspect clinique, je renvoie vers sa dernière vidéo qui aborde ce thème.

    Notons simplement qu’en Allemagne, ce fut un « grippette » qui n’a pas modifié la courbe générale de la mortalité, alors qu’en France, en Belgique et dans d’autres pays, ce ne fut pas le cas, ceux-ci ont fait face à une maladie particulière possédant une morbidité et une mortalité sérieuse. Pourquoi?

    La dimension épidémiologique

    Elle repose sur plusieurs critères. Retenons trois critères: l’infectiosité, la létalité, la durée de la phase épidémique. Pour ces trois critères, il n’y a pas de différences entre cette IRA particulière par rapport aux autres grippes, ni en mars-avril, ni en octobre-novembre.

    L’infectiosité a fait l’objet de fortes controverses, mais finalement, cela se résume à un taux de reproduction (Rt) de l’épidémie qui se situe entre 1,5 et 4, c’est-à-dire celui des grippes usuelles. L’observation quasi expérimentale de la situation du Diamond Princess, ce paquebot qui transportait de nombreux touristes où s’était introduit le virus, dans une situation où les personnes étaient plus âgées que la population générale et dans un cadre fermé surpeuplé par rapport à nos villes, le R(t) a été estimé à 2,28. Rappelons, pour se fixer les idées, que pour des maladies comme la rougeole, la varicelle, la coqueluche, le R(t) se situerait entre 10 et 20. Pour des maladies comme les oreillons, la rubéole, la diphtérie, le R(t) se situerait entre 4 et 10 et pour les grippes (terme générique), le R(t) se situerait entre 1,2 et 4.

    La létalité.

    Là aussi de nombreuses controverses eurent lieu. Cependant l’OMS, en endossant les observations et les conclusions de ce grand épidémiologiste qu’est John P. Ioannidis, fixe celle-ci à 0,27 % (corrigé à 0,23 %), c’est-à-dire au niveau inférieur des grippes influenza (0,3 à 0,5 %). Là non plus, pas de quoi fouetter un chat.

    La durée des phases épidémiques. Si nous prenons le critère grippal du seuil épidémique, la durée des phases épidémiques, tant de mars-avril que d’octobre-novembre, ne dépasse apparemment pas les 8 semaines. On est dans la définition même des phases épidémiques classiques pour un virus saisonnier qui peut aller jusqu’à 11 semaines. Et ce n’est même pas le cas ici. On comprend, au vu de ces données, la polémique qui a surgi afin de descendre ce seuil épidémique au plus bas afin de prolonger le plus possible, et ainsi justifier, la période des mesures sanitaires. Ce n’est pas de la science cela, mais de la politique.

    La dimension de santé publique

    La mortalité générale est le juge de paix de la santé publique. Cela ne veut pas dire que d’autres critères sont moins importants, comme la surcharge des hôpitaux, la mise en action des soins de premières lignes (très déficitaire en France, comme en Belgique), etc. Certes non.

    On est frappé par les différences entre pays, mais aussi entre régions dans un même pays. Cela a fait l’objet de controverses très intéressantes qu’il serait trop long à exposer ici. Certains éléments font ressortir que les régions les plus touchées en mars-avril le furent moins en octobre-novembre.

    Généralement exact en France, ce n’est pas vrai partout et la Belgique est un exemple contraire: la Wallonie et Bruxelles ont été relativement plus touchées en mars-avril et en octobre-novembre que la Flandre, introduisant sans doute dans l’équation le problème de la pauvreté. Des régions peu touchées en mars-avril le sont restées en octobre-novembre comme pour certaines parties en Allemagne. On est quand même frappé de voir tout un pays comme la Suède, fortement touchée en mars-avril, en sortir quasi indemne en octobre-novembre. Il n’y a donc pas de règles explicatives générales simples, à quelques rares exceptions près.

    Une des exceptions se trouve dans les mesures non pharmaceutiques (versus médicales), ce que les Anglo-saxons nomment les non-pharmaceutical intervention.

    En effet, il y a des différences notables entre pays lorsqu’on considère ce critère. L’étude du professeur Toussaint, comparant des pays du monde entier entre eux, est non seulement très parlante, mais elle n’est pas unique dans ses conclusions. Ces mesures non pharmaceutiques ne montrent aucune supériorité sur leur absence en termes de mortalité générale, bref cela ne semble servir à rien. Peut-être même, est-ce délétère comme l’indiquerait cette étude de la très officielle « Office for national Statistics », où l’on montre un excès de décès assez important causé par le manque de soins lié au confinement. Si cette étude observe un rattrapage de mortalité dans les trois mois qui suivent la crise de mars-avril, celui-ci est loin d’être complet, un excès résiduel reste significatif.

    Nous pouvons enfin répondre à la question de départ.

    Les consignes sanitaires sont-elles à géométrie variable?

    Non, il ne s’agit pas de consignes sanitaires au sens propre, puisqu’au mieux, elles n’auront pas d’impact sur l’épidémie elle-même, ni sur sa gravité.

    On en a eu dernièrement un exemple saisissant: le ministre de la santé belge Vandenbroucke a déclaré que:

        Faire du shopping ne comportait pas vraiment de risque quand tout était bien contrôlé.

    Il conclut:

        Parce qu’à un moment on avait besoin de prendre une décision choc, il fallait un électrochoc et cela impliquait que l’on ferme immédiatement les commerces non essentiels.

    Il confirme ainsi que de telles mesures n’ont aucune base scientifique, ce ne sont pas des consignes sanitaires, mais seulement des consignes politiques.

    Aujourd’hui, il devient de plus en plus difficile à nos gouvernants de justifier leurs mesures profondément liberticides. La cacophonie de celles-ci, là où les mesures non médicales furent les plus dures, est de plus en plus explicite, criante. Le succès du documentaire Hold-Up, vu par des millions de francophones, en est une indication.

    Alors oui, cette cacophonie est visible dans les mesures autoritaires à caractère liberticide qui instrumentalisent l’excuse sanitaire, il ne pouvait pas en être autrement. Les bien-pensants de tout bord, notamment ces « scientifiques » qui préfèrent à la science, une morale à la petite semaine, ont de plus en plus de difficulté à tenir un langage cohérent.

    Comment comprendre qu’en Belgique, les fêtes de fin d’année subiront un confinement sévère, alors que ce n’est pas le cas en France ; comment imposer à ces familles et amis qui se voient régulièrement au cours de l’année, qui se sont mutuellement naturellement contaminés, le non-sens de ne pas pouvoir se conforter aux fêtes traditionnelles, alors que le besoin en ces temps troublés est plus que jamais présent. Cela sert à quoi? Un autre électrochoc !

    La question qui m’était posée vient d’un exemple également flagrant de ces décisions politiques qui n’ont aucune base scientifique et qui sont autant d’injures au bon sens et à la vie sociale et familiale: les manifestants peuvent se réunir place de la République à Paris, mais ne peuvent pas défiler, les vacances de sports d’hiver sans sports d’hiver… portez votre regard plus loin: ooh, la belle grande roue de Lille qui tournera à vide. Hé oui, cela tourne, et encore et encore !

    La conclusion de ce papier est bien difficile, pour cette époque qui augmente considérablement les incertitudes de notre futur, tant les incohérences, les mauvaises décisions, les mensonges et les peurs ont été et sont encore à chaque tournant de nos vies, entraînant le balancier encore un peu plus loin dans sa marche liberticide. Inévitablement, il reprendra une marche inverse à un moment donné: mais où s’arrêtera-t-il, comment et quand?

    Christophe de Brouwer

     

    Docteur (PhD) en Science de la Santé publique. Professeur honoraire à l'École de Santé publique de l'Université libre de Bruxelles. Spécialiste de l'impact des exploitations minières sur les populations.

    Contrepoints.org

  • P'fft!

    A Budapest, des Hongrois érigent un sapin en soutien aux Bordelais qui en seront privés par leur maire: “Même au temps du communisme, ils ne se sont pas attaqués au sapin”

    Le premier dimanche de l’Avent, un sapin de Noël a été mis en place pour Bordeaux… dans un arrondissement de Budapest.

    “Au premier dimanche de l’Avent, un sapin de Noël a été mis en place devant l’académie hongroise de lutte István Kozma dans le sud de Budapest, pour Bordeaux, après que le maire de gauche dure de Bordeaux a interdit la sapin sur la place principale de la ville.”

    “Le chef du groupe parlementaire du Fidesz, Máté Kocsis, a estimé qu’il était inqualifiable et inacceptable que précisément ceux qui parlent toujours de tolérance et d’acceptation en viennent à interdire les symboles chrétiens. Selon le député, il est probable que bientôt les nations considérant Noël comme une fête importante soit en minorité.”

    “C’est surréel et en même temps un honneur d’ériger ici un arbre de Noël pour une ville française. Jamais au cours des trente dernières années nous n’aurions cru, ici en Europe centrale, vivre cela, a déclaré Zsolt Bayer, le fameux éditorialiste proche de Viktor Orbán”.

    “Même au temps du communisme, ils ne se sont pas attaqués au sapin. Ils parlaient de la fête du sapin au lieu de Noël et de Mikulás au lieu du Père Noël, mais jamais le sapin n’a été interdit ou empêché, rajoute-t-il. Nous savons précisément ce que cela signifie lorsque des illuminés voulant changer le monde essayent de modifier nos vies et effacer de la surface de la Terre toutes les traditions.”

    “Le publiciste Zsolt Bayer a ajouté que depuis Budapest, ce sapin envoie un message à tous les Français qui perçoivent l’effacement de leurs traditions: vous n’êtes pas seuls, chaque année il y aura ici un sapin pour vous tant que Bordeaux ne chassera pas son illuminé et changeur de monde de maire, tant que Noël ne sera pas récupéré.”

    “Selon Máté Kocsis, un petit sapin à Budapest n’aidera pas en soi la situation des Chrétiens à Bordeaux bien entendu, mais le symbole est fort, et souligne qu’il y a encore des endroits en Europe où on a pas à avoir peur en tant que chrétien.”

     

    Bayer Zsolt a BLM-szoborrĂłl: MĂĄr mĂĄsnap le fogjuk dĂśnteni!

    A publicistĂĄnak nem tetszik Baranyi Krisztina Ăśtlete a ferencvĂĄrosi BLM-szoborrĂłl. Baranyi Krisztina polgĂĄrmester szobrot ĂĄllĂ­tana a szĂŠlsőbalos BLM-mozgalomnak FerencvĂĄrosban. „VĂŠgre ez a nő is belefogott a lĂĄzas pĂłtcselekvĂŠsbe, idiĂłta semmittevĂŠsbe. Alig vĂĄrjuk a szoboravatĂĄst. MĂĄr mĂĄsnap le fogjuk dĂśnteni a picsĂĄba!”  – Ă­rja blogjĂĄn Bayer Zsolt.   Mi meg ÉLŐBEN fogjuk kĂśzvetĂ­teni… 

    VadhajtĂĄsok

    Le maire de Bordeaux a célébré l'égorgement de mouton a l'aïd avec les musulmans! c'était en aout.

    Alors les bordelais, toujours heureux d'avoir voté pour les pastèques?