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occitanie - Page 96

  • Agriculteur maintenu en taule, violeur africain libéré

    super, la justice!

    Voilà un moment que je n’avais pas poussé une gueulante… mais là je n’y tiens plus.

    Je lis sur le site Fdesouche qu’un agriculteur est maintenu en prison, sur décision du juge des libertés, alors qu’il a un domicile, un travail, une adresse, et donc une certitude de représentation au tribunal, puisque ce sont les critères essentiels de décisions de remise en liberté ou pas.

    De plus, cet agriculteur n’a fait que défendre son bien ; il n’a pas tué conformément au Code pénal et à l’article sur la légitime défense des biens… Il a tiré sur un voleur de carburant.

    Sachant bien évidemment que cela faisait plusieurs fois que cet agriculteur était volé… comme d’autres dans la commune ou la région, manifestement. Mais là, on en était quand même à 7 000 euros de préjudice, et chaque fois qu’il appelait les autorités, celles-ci mettaient une demi-heure à arriver, vu que dans la France rurale, on a fermé plein de commissariats et de gendarmeries!

    Bref, ce brave paysan, qui doit faire tourner une entreprise agricole, est maintenu en prison sur la seule décision d’un juge… cette caste qui décide de la vie d’un homme, sans jamais avoir de compte à rendre à personne.

    Cette caste qui laisse en liberté des dealers, des voleurs, des escrocs, des salopards, archi-connus de la police, mais qui laisse en prison un brave paysan… qui a eu le malheur de tirer sur un membre de la communauté des gens du voyages… en gros, un manouche.

    Cette même communauté, parfaitement intégrée à la vie sociale de notre pays, dont les membres sont, comme chacun sait, des gens très honnêtes, courtois, gentils et serviables, qui payent des impôts et règlent leur charges sociales. Ces braves voyageurs qui génèrent une bonne partie de la délinquance des lieux où ils s’installent et autour. Ceux-là mêmes qui se permettent de bloquer des routes, après avoir tronçonné des arbres, juste parce que l’un d’eux n’a pas eu le droit de sortir de prison pour aller à l’enterrement de son père. Mais qu’on ne touche pas, surtout pas, car c’est pire après.

    Ces mêmes personnes pour qui il faut aujourd’hui tout un bataillon de gendarmes afin d’interpeller un seul de ses membres. Bref des braves gens…

    Donc on laisse en prison un travailleur, qui a défendu son outil de travail contre des exactions d’un membre d’une communauté de nuisibles patentés… Ouah! super, la justice!

    Alors laissez-moi vous narrer une petite histoire.

    Le 31 janvier 2020, la fille d’un ami, lesbienne, jolie, jeune, faisait une petite fête avec des copains à Paris.

    Elle a été violée dans un bar, puis dehors, après qu’un salopard de prédateur lui a mis un produit dans son verre.

    Elle a déposé plainte.

    Inutile de vous dire que quand elle s’est retrouvée seule, perdue, en pleurs dans les rues de la capitale, aucun de ces connards de bons Français, bien-pensants, ne lui a porté secours ni prêté son portable pour qu’elle appelle son père. Non, ces Parisiens de merde l’ont laissée se démerder seule!

    Les policiers, et là, n’en déplaise à Schiappa ou Belloubet, ont reçu avec compassion, écoute et humanité, cette jeune femme.

    L’espèce de salopard qui a violé cette jeune fille a été interpellé au bout d’une semaine!

    Son ADN a été confronté avec celui relevé sur la victime.

    Bien évidemment, je ne vous donne pas l’origine ethnique de cette crevure, mais sachez qu’il n’est pas blanc. Disons qu’il est plutôt africain même…

    Et bien sachez, chers amis, que les juges ont décidé de laisser cette ordure en liberté, parce que c’était la première fois qu’il faisait cela. Ou du moins la première fois qu’il était attrapé.

    Alors oui, il est sous contrôle judiciaire. Mais qu’est-ce qui dit au juge que ce connard ne va pas rentrer au pays, et ne jamais reveni ? Rien.

    Alors, vous voyez, même si je ne porte hélas plus beaucoup les flics dans mon cœur depuis ce qu’ils ont osé faire aux GJ, et surtout depuis qu’on leur a retiré leur cerveau et leur libre arbitre pour 50 euros de plus par mois, il y a bien une caste que je déteste de toute mon âme: ce sont les juges!

    Hugh!

    Géronimo

    https://ripostelaique.com/agriculteur-maintenu-en-taule-violeur-africain-libere-super-la-justice.html

     

  • Mon prochain nouveau blog va vous intéresser...

    ATTENTION

    Bientôt un nouveau blog (fait pas moi, bien sûr)!

    Sujet: tous ceux qui on des démêles avec "l'opérateur historique"!

    Je vais appeler ce blog: "saga-mandarine"

    Afin d'éviter que ces gens ne me mettent au tribunal...

    Et oui, "celui qui dit la vérité, il doit être exécuté!"....

  • Mordre la main qui te nourrit...

    "J’ai quitté les Restos du cœur car on ne servait quasiment plus que des migrants à la fin"

    En cette période hivernale, les Restos du cœur, comme d’autres associations de solidarité envers les plus fragiles et les plus démunis, s’activent pour fournir de la nourriture et du réconfort, un peu de chaleur humaine, à ceux qui n’ont plus rien, comme le voulait Coluche, fondateur du mouvement.

    Néanmoins, le bénévolat se heurte de plus en plus à une crise. Y compris chez les Restos du cœur (70 000 bénévoles en France environ). Et pas uniquement pour des raisons de vocation. Certains bénévoles, écœurés par la tournure que prend " l’aide sociale " en France aujourd’hui, aide sociale de plus en plus tournée vers les migrants, notamment dans les grandes métropoles, ne veulent plus aider.

    C’est le cas de Louise, qui a longtemps été bénévole dans la couronne parisienne. Mais l’hiver dernier, ce fût son dernier en temps que bénévole chez les Restos du cœur (après 17 années de bons et loyaux services). Et pas en raison de sa forme physique ou de son âge (elle a 71 ans). Mais parce qu’elle explique "avoir l’impression désormais de ne plus servir la cause qu’elle voulait servir au début". Elle nous raconte.

    "La demande explose. Il y a de plus en plus de pauvreté et de misère, c’est terrible. Et depuis quelques années, on voyait de plus en plus de migrants venir chez nous. D’Asie comme d’Afrique. Au début, on faisait face comme on pouvait, et on les aidait comme n’importe qui. Mais il y en a beaucoup trop aujourd’hui. Et pourtant, il y a beaucoup de Français pauvres aussi. Mais j’en connais qui n’osent même plus venir aux Restos du cœur, ils ont même peur parfois".

    Pourquoi peur?". Parce qu’au départ, quand c’était des familles, on a eu pas mal de Syriens et d’Afghans, ça allait. Mais lors des deux dernières distributions fin 2017 et fin 2018, il y a eu beaucoup plus d’Africains, ou d’Afghans seuls. Des hommes. Agressifs. Ils exigeaient beaucoup. Je n’avais jamais vu ça. C’est comme si tout devait leur être donné. On avait parfois peur de refuser tellement ils étaient agressifs. À la fin, j’allais à la distribution la boule au ventre. J’ai arrêté, et je suis loin d’être la seule, j’ai d’autres amies à Marseille et à Lille notamment qui ne veulent plus y retourner".

    Mais finalement, les migrants ne doivent-ils pas être traités comme n’importe quel autre public des Restos du cœur? Louise, qui a la solidarité chevillée au corps, s’interroge: "On ne peut pas laisser les gens mourir de faim. Mais les associations payent aussi l’inaction des politiques. Vous trouvez ça normal vous qu’il y ait autant de migrants en France? Ils sont trop nombreux et trop différents de nous. Ce ne sont pas les mêmes cultures, ça ne peut pas marcher. Mais ce n’est pas aux bénévoles des associations de payer les pots cassés".

    Le témoignage de Louise, qui nous a contactés pour le livrer, n’est sans doute pas unique. Les coupures de journaux ne manquent pas, faisant état d’un afflux de migrants en tant que bénéficiaires des Restos du cœur. En Bretagne, la situation n’est pas encore la même (quoi qu’à Brest et à Rennes notamment, on nous a signalé beaucoup de migrants dans les associations dites de solidarité).

    Au final tout de même, la population précaire européenne se retrouve plus négligée par les pouvoirs publics qui déversent des millions et des millions d’euros dans l’accueil de migrants. Une population précaire par ailleurs désormais obligée de partager sa précarité, parfois extrême, avec des populations n’ayant ni les mêmes mœurs, ni les mêmes cultures, ni les mêmes comportements.

    En 2017-2018, les Restos du cœur ont distribué 130 millions de repas, grâce à 72 000 bénévoles dans plus de 2 000 centres et antennes. 860 000 personnes ont été accueillies. Les Restos ont récolté 87 millions d’euros, grâce aux dons, aux legs ou par le biais de manifestations. Ce qui n’empêche pas les caisses de ne pas être pleines eu égard à la demande toujours plus importante.

    "Clairement, les autorités se déchargent sur les associations, et comptent sur la malléabilité des bénévoles qui sont tous investis pour la solidarité. C’est injuste. La solidarité et l’aide aux pauvres ne devrait pas être aussi importante dans un pays développé comme la France. Cela signifie que le pays va mal, très mal" conclut Louise, qui continue "différemment" d’aider les siens, et de faire le bonheur des exclus de son entourage.

    "Aujourd’hui, on a plus le droit, d’avoir faim ni d’avoir froid". Certes. Mais on a aussi le droit d’exiger, quand on est Français, Européen, le droit de passer, sur sa terre et celle de ses ancêtres, avant les autres.

    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine – V

  • Le mâle blanc engage la partie!!!

    L‘Europe, le berceau de l’humanité : et si l’homme n’était pas né en Afrique mais en Europe? (documentaire)

    Les premiers êtres humains sont-ils nés en Afrique? De récentes découvertes effectuées en Grèce ou en Allemagne viennent ébranler cette hypothèse. Retour sur l’épopée de notre humanité.

    Depuis longtemps, l’Afrique est considérée comme le berceau de l’humanité. Mais depuis l’exhumation, en 1949, d’une mandibule trouvée à Athènes, cette conception est remise en cause par plusieurs découvertes. Si cet indice du commencement de notre histoire évolutive a disparu, une molaire découverte en 2009 en Bulgarie permet de dater l’espèce concernée à 7 millions d’années avant notre ère et, plus précisément, à l’époque où la lignée des chimpanzés et celle de l’homme ont divergé. Le berceau de l’humanité serait-il donc européen?

    Sur les traces des bipèdes

    En Crète, un paléontologue a mis au jour en 2002 des empreintes de pas fossilisées caractéristiques d’une marche bipède, datant d’il y a environ six millions d’années, soit trois millions d’années de plus que tous les fossiles africains exhumés à ce jour… En 2011, Madelaine Böhme et son équipe ont nourri cette hypothèse, avec la découverte de fossiles d’animaux, provenant du sud de l’Allemagne, qui ont permis d’identifier une nouvelle espèce de grands singes, les Danuvius guggenmosi. Hybrides, ils annoncent la bipédie de l’homme, tout en se rattachant au mode de vie des grands singes quadrupèdes qui vivaient dans les arbres : le fameux chaînon manquant?

    Autant d’éléments qui mettent à mal le scénario présumé de nos origines… Étayé par les recherches les plus récentes, ce documentaire retrace l’épopée aux multiples rebondissements de l’humanité, laquelle n’a pas fini de révéler ses secrets.

    en replay ici

  • Votre voiture est dangereuse

    Des produits chimiques cancérigènes émanent constamment des sièges de nombreux véhicules

    Alors que de nombreuses recherches sur la pollution automobile se concentrent sur les polluants atmosphériques externes entrant à l’intérieur des véhicules et affectant de ce fait les passagers, une nouvelle étude montre que les produits chimiques émanant directement de l’intérieur pourraient également être préoccupants. Du moins, il s’agit de la conclusion d’une nouvelle étude réalisée par l’UC Riverside, publiée ce mois-ci dans la revue Environment International.

    L’étude révèle notamment que plus le trajet est long, plus vous êtes exposé à un ignifuge chimique cancérigène connu, et qui a notamment été éliminé de certains meubles. Bien qu’il existe d’autres produits chimiques qui sont généralement utilisés dans la fabrication d’automobiles, ce retardateur de flamme vient d’être ajouté à la liste des produits à éviter ou interdits.

    Certains scientifiques ont supposé que le produit chimique, appelé TDCIPP ou “tris chloré”, a cessé d’être utilisé après qu’il ait été placé sur la liste de la Proposition 65 en Californie, en 2013. Cependant, il est encore largement utilisé dans la mousse des sièges d’automobiles. L’étude montre que non seulement votre voiture est une source d’exposition au TDCIPP, mais que moins d’une semaine de trajets entraîne une exposition élevée à ce dernier.

    David Volz, professeur agrégé de toxicologie environnementale à l’UCR (Californie), a déclaré que les résultats étaient inattendus. " J’étais au départ plutôt sceptique, car je ne pensais pas que nous allions trouver une concentration significative dans ce court laps de temps, sans parler de l’importance du temps de trajet ", a déclaré Volz. " Nous avons donc été surpris deux fois, ce qui était vraiment inhabituel ".

    Impact sur le développement du fœtus, infertilité et risque de cancer

    Au cours de la dernière décennie, Volz a étudié comment divers produits chimiques affectent la trajectoire de développement précoce. En utilisant des poissons zèbres et des cellules humaines comme modèles, le laboratoire de Volz étudie depuis 2011 la toxicité d’une nouvelle classe de retardateurs de flamme appelés esters organophosphorés.

    Nous ne savons que peu de choses sur la toxicité de ces esters organophosphorés — dont le TDCIPP fait partie, mais il faut savoir qu’ils ont remplacé les anciens produits chimiques ignifuges, qui persistaient plus longtemps dans l’environnement et prenaient plus de temps à se métaboliser.

    En utilisant le poisson zèbre comme modèle, Volz a découvert que le TDCIPP empêche un embryon de se développer normalement. D’autres études ont rapporté une forte association entre le TDCIPP et l’infertilité chez les femmes suivant des traitements de fertilité.

    Sachant que son utilisation est encore répandue dans les véhicules, Volz s’est demandé si l’exposition totale d’une personne était liée à la durée du trajet. Les étudiants de premier cycle de l’UC Riverside ont fait d’excellents sujets d’étude, car la majorité d’entre eux effectuent de longs trajets quotidiens en voiture.

    L’équipe de recherche comprenait des collaborateurs de l’Université Duke et était financée par les National Institutes of Health (NIH) ainsi que l’USDA National Institute of Food and Agriculture.

    Les participants comprenaient environ 90 élèves, dont chacun avait des temps de trajet variant de moins de 15 minutes à plus de deux heures aller-retour. Tous ont reçu des bracelets en silicone à porter en continu pendant cinq jours. La structure moléculaire du silicone le rend idéal pour capturer les contaminants en suspension dans l’air.

    Étant donné que le TDCIPP n’est pas chimiquement lié à la mousse, il est expulsé au fil du temps et se retrouve dans la poussière (qui est inhalée), selon Aalekyha Reddam, un étudiant diplômé du laboratoire Volz.

    Une forte corrélation avec le temps de trajet

    Plusieurs esters organophosphorés ont été testés, mais le TDCIPP était le seul à montrer une forte association positive avec le temps de trajet. " Votre exposition au TDCIPP est d’autant plus élevée que vous passez de temps dans votre véhicule ", a déclaré Reddam.

    Bien que Volz et son équipe n’aient pas prélevé d’échantillons d’urine pour vérifier que le produit chimique a migré dans le corps des participants, ce dernier point est pour eux une certitude. " Nous supposons que c’est le cas en raison de la difficulté à éviter l’ingestion et l’inhalation de poussière ", a déclaré Volz. De plus, d’autres études ont examiné l’accumulation de TDCIPP dans l’urine, mais pas en fonction de la durée du trajet.

    À l’avenir, l’équipe de recherche aimerait répéter l’étude avec un plus grand groupe de personnes, dont les âges seraient plus variés. Ils aimeraient également étudier les moyens de protéger les automobilistes contre cette exposition, ainsi qu’à d’autres composés toxiques.

    Jusqu’à ce que des méthodes de réduction plus spécifiques puissent être identifiées, l’équipe encourage à épousseter fréquemment l’intérieur des véhicules et à suivre les lignes directrices de l’Environmental Protection Agency des États-Unis pour réduire l’exposition aux contaminants.

    Jusqu’à ce que des alternatives plus sûres soient identifiées, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour bien comprendre les effets du TDCIPP sur les navetteurs.

    "Si nous avons pu obtenir des résultats significatifs en seulement cinq jours, qu’est-ce que cela signifie pour une exposition chronique à long terme, pour les personnes qui effectuent de longs trajets tout au long de l’année, durant des décennies?", s’interroge Volz.

    Source : Environment International

     

  • Tout va très bien, madame la Marquise…

    Londres: il jette du 4e étage une ado qui avait refusé ses avances et poignarde deux personnes, pas de tentative de meurtre selon le jury

    Yusef Ali, 19 ans, organisait une fête avec son ami dans un appartement de luxe à Empire Square East, Bermondsey, dans le sud de Londres, le 4 août dernier. Cependant, la vidéo Snapchat de la scène le montre en train de devenir irrespectueux (sic) et agressif pendant la fête.

    La victime, 18 ans, est arrivée avec ses amis et Ali a commencé à lui faire des avances inappropriées. Il a mis sa main dans une déchirure de son jean au niveau de la cuisse et a agressivement placé son bras autour de son cou en disant " c’est ce que je fais dans la chambre ".

    Il s’est impliqué dans une bagarre avec un groupe qui est arrivé à la fête. Alors qu’ils s’enfuyaient, il a pris un couteau et a poignardé deux invités dans la mêlée. La fille a appuyé frénétiquement sur le bouton d’un ascenseur pour s’échapper, mais Ali s’est précipité sur elle et l’a poussée par-dessus le balcon intérieur.

    Elle est tombée de 15 mètres, se cassant le cou et le bas du dos, ce qui lui a valu d’être hospitalisée pendant plusieurs semaines et de passer un certain temps en fauteuil roulant.

    Ali a été arrêté alors qu’il tentait de quitter l’immeuble et il est maintenant reconnu coupable de blessure volontaire, de rixe et de possession d’un objet tranchant. Un jury de la Cour de la Couronne de Croydon l’a déclaré non coupable de tentative de meurtre.

    Le procureur Kathryn Iyer a déclaré : " C’était un acte de violence insensé pendant une fête qui a mal tourné. Ali a affirmé qu’il n’avait pas poussé la victime et n’avait pas vu qui l’avait fait. Mais contrairement à toutes les autres personnes qui ont descendu les marches, il ne s’est pas arrêté pour regarder la victime en détresse sur le sol, il a plutôt relevé son T-shirt sur son visage et a quitté le bâtiment juste au moment où les policiers entraient.

    La victime a eu beaucoup de chance d’avoir survécu à la chute. J’espère qu’elle continuera à se rétablir et qu’elle saura tourner la page après cette condamnation ". L’agent détective Tom Waller a déclaré: "Ali ne se souciait pas de savoir qui il avait blessé cette nuit-là et était clairement déterminé à blesser quiconque se trouvait sur son chemin“.

    "Les personnes présentes à la fête sont restées terrifiées et nous sommes reconnaissants envers ceux qui ont fourni leurs propres témoignages et ont dû revivre ce qui s’est passé. Grâce à eux et au travail dévoué de nos agents, Ali a été traduit en justice et risque maintenant de passer un bon moment en prison".

    Il recevra sa peine le 5 mars.

    Metro.co.uk