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politique - Page 286

  • Nice: révélations embarrassantes pour le gouvernement

    L’émission Quotidien a révélé des informations qui remettent en question la version donnée par les autorités du Ministère de l’intérieur sur l’attentat qui eut lieu le 14 juillet 2016 à Nice[1]. Les points concernés vont du nombre de policiers réellement présents au déroulé de l’attentat[2]. Ces informations, qui seraient issues d’une fuite du dossier d’enquête de la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire, confirment les questions que nous posions le 22 juillet.

    Le débat sur la sécurité du 14 juillet à Nice

    Sur le déroulé de l’attentat montre que la police, qu’elle soit nationale ou municipale, a été complètement surprise. Il est dit: "Le véhicule de police se retrouve bloqué par les personnes ayant réussi à s’échapper. La progression des policiers n’est donc pas aisée, devant “zigzaguer” entre les personnes apeurées et blessées. À 22 heures 34 minutes et 45 secondes: le véhicule de police est derrière le fourgon à une distance d’environ 60 mètres, bloqué", dans un extrait du dossier. Plus loin, le dossier, cité par Quotidien, ajoute: "le camion terroriste cale. Il ne repartira plus. 43 secondes plus tard, les policiers se trouvent derrière le camion. La fusillade dure 1 minute et 15 secondes. "Il semble aussi qu’une seule voiture bloquait la Promenade des Anglais ce qui montre un dispositif clairement insuffisant“.

    Rappelons que c’est le journal Libération qui avait lancé le débat dans un article du 21 juillet[3]. Il apparaît que seuls 2 policiers municipaux assuraient le contrôle du périmètre au point où le camion du meurtrier est entré dans la partie piétonne de la Promenade des Anglais contrairement au communiqué du 16 juillet du Ministre de l’Intérieur qui dit: "La mission périmétrique était confiée pour les points les plus sensibles à des équipages de la police nationale, renforcés d’équipages de la police municipale. C’était le cas notamment du point d’entrée du camion, avec une interdiction d’accès matérialisée par le positionnement de véhicules bloquant l’accès à la chaussée. Le camion a forcé le passage en montant sur le trottoir." [4].

    De plus, aucune chicane en béton susceptible d’arrêter, ou du moins de ralentir, le camion du terroriste n’était déployée, ni à cet endroit ni 370 mètres plus loin, là où se trouvait la patrouille de 4 hommes de la police nationale. Or ces chicanes sont des instruments standards tant de la police municipale que de la police nationale et elles avaient été employées lors du championnat d’Europe de football pour sécuriser la " FanZone " de Nice.

    Des omissions inquiétantes

    Cela pose la question de savoir pourquoi une telle chicane n’avait pas été déployée. Si la Mairie de Nice ne l’a pas décidée (ce qui est une faute grave) pourquoi le Préfet des Alpes-Maritimes, qui est l’autorité en dernière instance en matière de sécurité d’événements publics, n’a-t-il pas exigé que cela soit fait? Le Préfet avait autorité pour interdire cet événement s’il considérait que les conditions de sécurité n’étaient pas remplies. S’il ne l’a pas fait, cela signifie qu’il considérait les conditions de sécurité comme "suffisante". Il porte donc une responsabilité directe dans le drame qui s’est déroulé. Mais, la responsabilité du Ministre lui-même, Bernard Cazeneuve, et celle du Maire de Nice, sont aussi engagée.

    Il est clair qu’une commission d’enquête parlementaire s’impose. Nous le devons aux victimes, nous le devons aux survivants de cet ignoble attentat, nous le devons aussi à la sécurité des futurs événements qui auront lieu à l’avenir.

    Cinq questions pour une future commission d’enquête

    Cette commission se devra d’établir les faits soit:

    1. Les effectifs de police étaient-ils (a) suffisants et (b) correctement déployés pour une manifestation de cette importance? C’est le journal Libération qui a lancé le débat sur ce point[5]. Contrairement à ce qu’affirme le communiqué du 16 juillet du Ministre de l’Intérieur il semble bien que c’était des policiers municipaux qui assuraient la sécurité du premier périmètre.
    2. Comment un camion de 19 tonnes a-t-il pu circuler à Nice, alors que les rues de cette ville sont interdites à ce genre de véhicule? On sait qu’à toute interdiction correspond des exemptions, de fait ou de droit. Mais, le soir du 14 juillet la circulation d’un tel engin aurait pu et dû mettre les forces de Police en alerte.
    3. Toutes les conditions de sécurité étaient-elles remplies et pourquoi aucun obstacle artificiel (chicanes en béton, grilles anti-véhicules) n’avait été déployé aux entrées de cette manifestation? On savait, depuis l’attentat à la voiture-bélier à Nantes le 22 décembre 2014[6] que ce type de méthode pouvait être utilisée. Des obstructions mobiles étaient disponibles, et avaient été utilisées lors de l’Euro-2016.
    4. Quel était le niveau de préparation des responsables tant municipaux que nationaux à un attentat? Il est clair que la sécurité s’était focalisée sur une bombe ou l’usage de ceintures explosives. Mais croire que l’ennemi va être routinier et va agir comme on le pense est une énorme erreur. Le décideur doit tenir compte de ce que l’ennemi peut faire et non de ce que l’on croit qu’il va faire.

    D’où découle une question cruciale quant à l’attentat de Nice. Compte tenu des informations raisonnablement disponibles sur le degré et les natures possibles des menaces terroristes à la veille du 14 juillet, les responsables de la Police Nationale, et de l’Etat, à Paris comme à Nice n’ont-ils pas pêché par un sentiment injustifié d’une immunité quant à une attaque survenant après l’Euro-2016?

    1. Le Ministère de l’Intérieur a-t-il fait pression sur la responsable de la vidéosurveillance, Sandra Bertin, policière municipale et secrétaire générale du Syndicat autonome de la fonction publique territoriale (SAFPT) de Nice ? Les accusations portées par cette dernière sont trop graves pour être récusées d’un revers de main, comme affecte de le faire le Ministre de l’intérieur M. Bernard Cazeneuve. Il est bien établi qu’elle a parlé le 15 juillet avec une responsable du Ministère, le numéro 3 de l’état-major de la direction centrale de la sécurité publique (DCSP)[7]. Il est possible qu’elle ait confondu cette personne avec un membre du cabinet du Ministre. Géographiquement, ce n’est pas complètement absurde car la Direction Centrale de la Sécurité Publique est abritée dans un bâtiment adjacent à celui du ministère, précisément rue des Saussaies à Paris. Et, comme l’ensemble de ces directions également, la DCSP est rattachée directement au Ministre.

    Le rapport de la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire confirme que des erreurs graves ont été commises dans la planification des mesures de sécurité pour le feu d’artifice du 14 juillet à Nice. Il faut les rendre publiques, il faut aussi en comprendre l’origine, qu’elle provienne du sentiment de sécurité provenant du succès des mesures de sécurité pour l’Euro-2016, ou qu’elle provienne d’une autre cause.

    [1] http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/09/30/97001-20160930FILWWW00127-attentat-de-nice-de-nouveaux-elements-sur-le-deroule.php

    [2] http://www.20minutes.fr/societe/1934063-20160930-attentat-nice-emission-quotidien-demonte-version-autorites

    [3] http://www.liberation.fr/france/2016/07/20/securite-a-nice-370-metres-de-questions_1467531

     [4] Cité d’après Libération, http://www.liberation.fr/france/2016/07/20/securite-a-nice-370-metres-de-questions_1467531

     [5] http://www.liberation.fr/france/2016/07/20/securite-a-nice-370-metres-de-questions_1467531

     [6] http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/12/22/01016-20141222ARTFIG00352-une-camionnette-fonce-dans-la-foule-du-marche-de-noel-a-nantes.php

     [7] http://www.marianne.net/nice-commissaire-qui-echange-sandra-bertin-est-ndeg3-etat-major-dcsp-100244658.html

     

  • Des vidéos pour connaître l'Histoire de la France

    Nos ancêtres les Gaulois? oui!

    Les vidéos Résistance républicaine à l’attention des enfants et de ceux qui ne savent pas

     1 Nos ancêtres les Gaulois sont devenus gallo-romains puis francs 

     2 Clovis, le premier roi chrétien des Francs, 466-511

     3 Charles Martel a battu les Arabes à Poitiers en 732

     

     

    4 Pépin le Bref et le début de la Dynastie carolingienne

     

    5 Charlemagne et Roland de Roncevaux

     

    http://resistancerepublicaine.eu/2015/toutes-les-videos-des-rencontres-charles-martel-du-7-juin/

     

  • La mort est dans le pré

    Benoît B.

    Lettre ouverte à tous les hommes politiques de bonne volonté, à tous mes amis agriculteurs, à tous ceux qui de près ou de loin aiment la terre de France et ceux qui la travaillent. A tous les journalistes qui feraient mieux de donner la parole aux paysans plutôt qu’à des débiles planqués dans les abattoirs et qui nous rebattent les oreilles d’inepties

    Il est trois heures de l’après-midi samedi 2 juillet 2016, je suis en train de faner le foin de Laurent.

    Le foin est trop fait mais il ne faut pas qu’il se mouille. Laurent lui n’est plus là. Hier peu avant midi, il triait des veaux avec Alain, son père, mais il manquait des cartes, elles devaient être chez lui à trois kilomètres de l’exploitation familiale. Il est parti les chercher. En descendant l’allée qui mène à sa maison il a vu les taches sur la vigne. Peu de temps avant, le pépiniériste l’avait appelé pour lui parler sans doute de l’urgence de la prochaine plantation, et tous ces foins qui restaient à faire. Laurent n’a pas trouvé les cartes. Il a pris une échelle et une corde, a solidement lié la corde à la poutre de l’auvent et du bout du pied a poussé l’échelle.

    Alain ne le voyant pas revenir a pris sa voiture, inquiet,

    Il a découvert l’horreur du spectacle en arrivant. Anéanti mais rassemblant tout son courage il a réussi à remettre l’échelle, a pris le corps encore chaud de son fils chéri dans ses bras et l’a descendu.

    La vie était partie, celle de Laurent mais aussi celle d’Alain et de tous leurs proches.

    Qui peut mériter cela ?

    Laurent était un agriculteur comme tant d’autres, souvent à la bourre dans son travail, comme tant d’autres, toujours prêt à rendre service à qui lui demandait, laissant là son travail pour aller aider.

    Mais Laurent était seul, pas de femme , pas d’enfant. Quelle fille pour accompagner un éleveur qui travaille du matin au soir sans week-end, sans vacances ?

    Il n’a pas su prendre de temps pour lui , n’a pas pu prendre de temps pour lui .

    Il aurait pu embaucher un salarié de plus. Oui mais dans un pays de trois millions de chômeurs pas moyen de trouver un gars qui veuille travailler la terre, pauvre France.

    Toi dont les paysans ont embelli le paysage tout en nourrissant les hommes, toi dont les paysans ont donné leur vie il y a cent ans dans les tranchées pour te préserver. Toi dont les paysans disparaissent chaque jour par centaine et dont certains, trop nombreux, comme Laurent choisissent l’irrémédiable.

    A coup de mondialisation, de règlementation, de principe de précaution, de reportages débiles sur L… je ne sais pas quoi , d’amoureux du loup qui bouffe la brebis et tue le berger, le paysan de France meurt laissant le vide derrière lui.

    Le bon sens ne règne plus dans les campagnes, les fermes sont abandonnées et les lotissements fleurissent.

     Les paysans , tout le monde s’en fout. La coupe d’Europe de foot, le tour de France, ça oui , ça occupe le citoyen , ça lui fait oublier qu’on fonce droit dans le mur. Une société incapable de respecter celui qui la nourrit est indigne.

    L’année dernière a vu la mise en place d’une nouvelle pac, encore plus débile que les précédentes. Même les agents de la DDT n’y comprenaient rien. Sur un formulaire il m’ont dit de cocher toutes les cases car ils ne comprenaient pas. Avec Louis, mon gendre avec qui nous avons créé un gaec il y a un an et demi, nous avons eu droit à un contrôle ciblé, le dernier jour de la période de détention des animaux, en plein pendant les semis de maïs et les foins, heureusement il avait plu la veille , le contrôle a duré 6 heures , elles étaient deux et n’ont rien trouvé. Belle façon d’accueillir un jeune dans le métier. Laurent, lui aussi a eu droit à tout ça et à force, malgré toute sa force et son courage il en a eu marre et a abandonné.

     Laurent n’a pas donné de signe avant-coureur de son désespoir, personne n’a rien vu, rien détecté, Aujourd’hui il n’est plus là. Le malheur s’est abattu sur la campagne.

    Ouvrez les yeux , Messieurs les politiques, et au lieu de modifier les cantons , de créer des régions qui n’ont aucun sens et de vous battre comme des chiens pour aller à la gamelle, accordez aux paysans de France votre bienveillance avant qu’il ne soit trop tard. Qu’ils vous inspirent par leur bon sens, écoutez les, aidez les , ils n’en peuvent plus. Laurent par son geste vous en supplie.

    Benoît, agriculteur, ami de Laurent

     

  • Comment des journalistes, payés par vos impôts, vous manipulent...

    Ce qui se cache derrière… une femme en niqab et une touriste (Màj: " les pires dérives du journalisme ")

    [...] C’est une vidéo qui en a choqué plus d’un. Dans une séquence diffusée sur le site de Franceinfo vendredi 16 septembre, on assiste à un dialogue entre une femme qui porte le niqab " depuis 20 ans " et une touriste sur la Promenade des Anglais à Nice. Stéphanie Lécuyer, la femme voilée, vient déposer une gerbe de fleurs en hommage aux victimes de l’attentat du 14 juillet. "Vous avez pas l’impression de faire un peu de la provoc’?", lui lance une passante. "Non, absolument pas madame", lui répond Stéphanie Lécuyer. La journaliste à l’origine du reportage s’explique auprès de "l’Obs".

    La femme en niqab argumente, doucement et poliment: "A un moment donné, il faut s’arrêter et discuter. Je pense que la meilleure des choses, ça va être le dialogue" . La touriste toulousaine, qui s’est assise à côté de Stéphanie Lécuyer, dos à la mer, acquiesce mais s’interroge: " Mon père était musulman, ma mère était juive ashkénaze. On nous a appris à respecter les religions, et surtout à ne pas provoquer, c’est-à-dire la kippa, on mettait pas… "Apaisée au fil de la conversation, elle finit par accepter le choix de Stéphanie Lécuyer: "Je suis contente pour vous, si c’est votre idée, si c’est votre vie…", lui souffle-t-elle.

    En somme, 3 minutes d’échange et de compréhension mutuelle. Trop beau pour être vrai? C’est ce que pensent certains, qui dénoncent une vidéo mise en scène. C’est notamment le cas de Françoise Laborde, membre du Haut conseil à l’égalité entre les hommes et les femmes, qui s’est longuement épanchée sur Facebook: "Ce reportage [...] résume les pires dérives du journalisme: l’info spectacle, la manipulation de la vérité, la fabrication de toutes pièces d’une histoire qui n’existerait pas sans le journaliste. Ce genre de reportage emprunte aux codes de la télé-réalité pour la fabriquer artificiellement", écrit-elle.

    "Qu’a à voir le journalisme avec ça? Qu’est-ce que c’est que cette nouvelle façon de fabriquer l’information? [...] Les journalistes ont-ils oublié toute mesure et tout esprit critique? Qu’est-ce que c’est que ces journalistes qui se prennent au mieux pour des animateurs sociaux-culturels au pire pour des militants de la burqa?", ajoute-t-elle. Visiblement remontée, elle parle encore sur Twitter de "journalisme de connivence et de sensationnalisme" et dit à la JRI (journaliste reporter d’images) du reportage: " Vous devez aiguiser votre sens critique pas votre angélisme“.

    Françoise Laborde n’est pas la seule à avoir vu rouge. Outre plusieurs internautes, Gilles Clavreul, le directeur de la Dilcra (Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme), s’est également insurgé dans un post publié sur Facebook. " Je ne crois pas que la redevance audiovisuelle ait pour vocation de permettre que les paroles de haine et les impostures obscurantistes soient reçues en majesté, sans recul critique ni travail journalistique", explique-t-il.

    Contactée par "L’Obs", la journaliste de France Télévisions Emmanuelle Lagarde, qui est à l’origine de la vidéo, explique comment s’est déroulé le tournage. "Nous sommes descendus à Nice pour suivre Rachid Nekkaz, auquel nous consacrons un reportage. Il s’y rendait pour payer une amende au Trésor public pour le compte de Stéphanie Lécuyer. C’est en relation avec l’actualité, puisque le gouvernement prépare un amendement qui vise à sanctionner les personnes qui payent les amendes des femmes en niqab, présenté les 3 et 4 octobre devant le Sénat“.

    Cet homme d’affaires algérien, qui a pris position sur divers sujets, s’est notamment fait connaître pour avoir créé un fonds de " défense de la liberté et de la laïcité " d’un million d’euros à la suite de la loi d’octobre 2010 interdisant "une tenue destinée à la dissimulation du visage dans un espace public". Il se charge de payer à la place des femmes portant un niqab les amendes qu’elles doivent régler du fait de cette interdiction. " Je suis un musulman laïc, opposé au niqab. Ce que je défends, c’est la liberté pour les femmes de le porter ou non", expliquait-il à l’époque à Rue89. Rachid Nekkaz est revenu récemment sur le devant de la scène en ressortant sa casquette de défenseur des libertés dans le contexte du débat autour de l’interdiction du burkini. [...]

    "Je conçois que des personnes puissent être dérangées par la vidéo, c’est normal que ça suscite un débat, mais pour une fois, on a une discussion de femme à femme sur le niqab", note Emmanuelle Lagarde. "Quand on voit une femme en niqab dans la rue, on se demande pourquoi elle fait ça. Là, la touriste est allée lui demander directement. Je me suis dit que ce serait bien qu’il n’y ait pas que moi qui entende ce dialogue, qui est quelque chose de rare. "Même si elle concède que la caméra biaise parfois les situations: "Peut-être qu’elles seraient tombées moins d’accord". [...] (NDLR: ha ça c'est sûr!)

    Nouvel Obs

  • Charlemagne... Jules Ferry, au secours, ils sont devenus fous!

    Des enfants de CM1 punis : leurs parents ont refusé qu’ils apprennent une sourate du coran

    Publié le 29 janvier 2013 - par Caroline Alamachère A l’école primaire privée Notre-Dame de St Mihiel dans la Meuse, on exige des élèves de CM1 qu’ils apprennent par cœur un verset du coran dans le cadre d’un cours sur l’islam.

    Outrées et inquiètes, deux mamans se sont alarmées de ce que leurs enfants d’une même classe devaient apprendre les rudiments d’une idéologie totalitaire qui se rend de plus en plus imposante, de plus en plus visible et de plus en plus dangereuse dans le monde entier.

    L’une des deux mamans a fait part à l’équipe enseignante de sa désapprobation. Lors du cours suivant, les élèves ont été soumis à un contrôle sur les éléments constituant une mosquée. La seconde mère d’élève a à son tour protesté sur les cours donnés et mis un mot dans le carnet de correspondance dont l’usage est précisément réservé à cet effet.

    On se serait alors attendu à un échange civilisé de petits mots, comme le veut l’usage, entre un parent et l’enseignant de son enfant, que chacun expose ses arguments et son point de vue en adultes responsables, organise un rendez-vous pour dialoguer et résoudre le problème. Mais la maîtresse ne l’a semble-t-il pas entendu de cette oreille et, en guise de vengeance, de rétorsion pour l’exemple au cas où d’autres auraient eu l’envie de l’éclairer sur les « bienfaits » du sacro-saint dogme, a préféré très courageusement s’en prendre à l’élève qu’elle a envoyé dans le bureau de la directrice. Suite à cela la maman protestataire a elle-même été convoquée pour subir une mesure disciplinaire et être réprimandée comme on l’aurait fait d’une élève insolente et désobéissante. La directrice les a fort aimablement encouragés elle et son fils à quitter l’école si elle n’était pas contente, et si elle persistait à refuser qu’on distille les préceptes coraniques dans les veines et le cerveau de son enfant.

    Le fascisme islamique n’a même plus besoin des musulmans pour propager son virus, le corps enseignant fait preuve d’un zèle ostensible et remarquable pour contaminer des centaines de milliers d’enfants par une gigantesque PMA (Propagande Musulmane Accélérée).

    Voilà.

    Nos enfants sont utilisés, endoctrinés par le système scolaire, qu’il soit public ou privé. Et les parents qui entendent garder un droit de regard légitime sur « l’enseignement » dispensé à leur enfant sont contraints au silence, par la menace à la répudiation pendant que l’enfant, lui, est puni en raison d’un désaccord entre adultes censés donner l’exemple. C’est très grave.

    Nos enfants sont jetés au plus tôt dans les rouages d’une machine monstrueuse destinée à leur broyer le cerveau, à leur inculquer des choses qui ne relèvent certainement pas de l’instruction mais du plus pur prosélytisme. Et gare à qui ose contester le système. La dictature est à nos portes avec les petits soldats rouges de l’Education Nationale et de l’enseignement privé au garde à vous, prêts à éliminer la tête qui dépasse, à l’envoyer dans la chambre 101 pour la rééduquer.

    Il y a non assistance à personne en danger.

    Cette école de St Mihiel ne déroge donc pas à la règle, sa directrice et son équipe, en parfaits petits soldats du système obligent des petits à ingurgiter des versets coraniques, à se familiariser à une idéologie qui n’a rien à envier au nazisme. Et chacun se tait, se soumet, regarde ailleurs, tandis que dans ce coin de France on écrase dans un étau de silence et de chantage des mamans et leur enfant.

    Caroline Alamachère

    ECOLE PRIVEE NOTRE DAME

    Enseignement catholique de Lorraine

    7 rue des Ecoles – 
55300   SAINT MIHIEL

    Tél. : 03-29-89-05-56

    Fax : 03-29-90-93-08

    E-mail : c.lainet@scolalor.net

    Chef d’établissement : Mme LAINET Christelle

    http://ripostelaique.com/des-enfants-de-cm1-punis-leurs-parents-ont-refuse-quils-apprennent-une-sourate-du-coran.html