Coronavirus, alerte maximale: on nous ment!
On nous ment bien sûr. Et j’ai une petite idée sur les objectifs de ces mensonges. Mais examinons d’abord la situation. Le virus a atteint maintenant presque tous les pays du monde, grâce aux bienfaits d’une mondialisation débridée que nous dénonçons depuis longtemps et qui ne profite qu’à une oligarchie déconnectée de la vie réelle qui a réduit nos dirigeants à l’état de pantins. .
Où en est-on en Chine? Aux dernières nouvelles, selon Epoch Times, le crématorium de Wuhan, équipé de 30 fours crématoires dernier cri (sans jeu de mots) et de 346 lits mortuaires réfrigérés sur lesquels se succèdent à un rythme infernal les corps à brûler, seul moyen d’éviter la contamination par les cadavres, fonctionne 24 heures sur 24. Deux cents cadavres y sont brûlés par jour… pour l’instant, parce qu’à l’allure où le virus se propage, le nombre de morts est destiné à augmenter dans des proportions considérables. La Chine annonce cent mille personnes infectées avec un taux de 3 000 décès dus au virus. Ce qui ferait 3% de morts, si cependant les données s’avèrent exactes car l’on n’est qu’au début de l’épidémie et on ne connaît pas encore ce virus.
Or la Chine, c’est un milliard et demi d’individus. Et des individus mobiles et dynamiques. Or d’une part ces chiffres sont ceux de la semaine dernière, donc largement minorés aujourd’hui, et selon la journaliste Jennifer Zheng (@jenniferatntd) il y aurait maintenant entre 5 et 7 crématoriums travaillant d’arrache-pied dans la ville. Autrement dit, bien plus que de morts annoncés. Ce que confirme un autre journaliste, William Yang (@WilliamYang120). D’autre part, les modes de propagation du virus restent inconnus à ce jour et les masques s’avèreraient insuffisants. En effet, les scientifiques qui travaillent sur le sujet ont constaté que les matières fécales des malades contenaient le virus qui ne se transmettrait donc pas seulement par les substances émises par la toux, les crachats et l’éternuement.
Nous sommes face à une pandémie. Comme celle de la peste qui, partie de Chine, élimina au XVe siècle la moitié de la population de l’Europe. Ou la grippe dite espagnole à la fin de la Première Guerre mondiale qui fit quarante millions de victimes, plus que celles de la guerre. Certes, nous n’en sommes pas encore là et les moyens ont changé, du moins pouvons-nous l’espérer. Car on ne sait pas comment la maladie va évoluer. Mais tout de même, la société de données Bianco Research évalue le nombre de contaminés dans le monde à 184 millions à la fin de ce mois de février. Si l’on se réfère aux 3 000 morts en Chine la semaine dernière pour cent mille infectés, cela donne une mortalité de 3%. Donc sur les 184 millions de malades, il pourrait y avoir 5,5 millions de morts. Et dans les mois suivants? Dans l’année?
L’OMS vient de décréter l’urgence internationale, malgré les pressions exercées par la Chine… tout en déclarant qu’il n’y a pas lieu de limiter les déplacements internationaux. On rêve! Et de s’excuser: "il ne s’agit pas d’un vote de défiance à l’égard de la Chine", a déclaré son directeur général monsieur Ghebreyesus. Mais sans doute est-ce déjà trop tard, le mal est fait, le virus se balade tranquillement partout dans ce monde de migrations généralisées.
Et chez nous, en France? Double discours, comme d’habitude. Certes Macron vient d’avancer que la France est dans la vigilance la plus extrême (mais quelles sont les mesures prises? Les conseils à la population? Rien, débrouille-toi tout seul, toi qui subis les effets de cette mondialisation dont tu ne voulais pourtant pas), et dans le même temps, les autorités se veulent rassurantes. Sans blague!
En Chine aussi tout a commencé par un premier patient, puis deux, trois, dix, cent, cent mille. Alors chez nous où on a annoncé 6 cas, à quelle vitesse la maladie progressera-t-elle? Et pourquoi mentir au peuple? On me taxera une fois de plus d’avoir l’esprit mal tourné, mais je ne puis m’empêcher de penser que le rêve des oligarques, c’est de voir disparaitre 80% de la population mondiale et de préférence en commençant par les personnes âgées, censées être les plus fragiles. Alors de là à établir un lien, je suis presque prête à sauter le pas.
Louise Guersan
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