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société - Page 128

  • Jean-Paul Delevoye: petits et gros arrangements du bénévoleur

    Jean-Paul Delevoye rentré en politique en 1974 a collectionné, mandats et fonctions, étant successivement dans le désordre conseiller général, maire, député, sénateur, président d’intercommunalité, ministre, président de l’Association des Maires de France (AMF), Médiateur de la République, président du Conseil Économique, Social et Environnemental, etc. etc. à quoi s’ajouteront présidences et missions diverses. La plupart de ces activités ont été rémunérées et ont produit des retraites spécifiques. Jean-Paul Delevoye bénéficie donc d’un statut matériel probablement très confortable, tant mieux pour lui.

    Membre du RPR devenu UMP il en partira en 2014 quand il n’eut plus besoin de ses investitures et rallia assez tôt Emmanuel Macron, pour lequel il présidera la commission des investitures LREM pour les législatives de 2017.

    Haut Commissaire saison I

    Le 14 septembre 2017, il est nommé en conseil des ministres haut-commissaire à la Réforme des retraites auprès d’Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé. Sous sa direction sera établi un rapport remis au gouvernement et le 3 septembre 2019, près de deux ans plus tard, il est nommé haut-commissaire aux Retraites, toujours délégué auprès d’Agnès Buzyn.

    Dès cet instant, nous sommes confrontés à la nécessité de qualifier juridiquement ce poste de "haut-commissaire", déjà utilisé assez largement par les IIIe et IVe républiques et à qui Nicolas Sarkozy avait donné une nouvelle actualité avec la nomination en 2007 de Martin Hirsch. Le titulaire d’un tel poste devient à l’évidence "agent public" mais est-il membre du gouvernement, et Jean-Paul Delevoye avait-il ce statut dès le 14 septembre 2017?

    Son décret de nomination est pris en application de l’article 13 de la Constitution, celui qui fait référence au pouvoir du président de la république de nommer aux emplois publics. La qualification de haut-commissaire est ambiguë, et les prérogatives et attributions de Jean-Paul Delevoye dès ce moment-là le rapprochent singulièrement d’un poste de ministre ou de secrétaire d’État. Et pour le moins, un certain nombre d’obligations qui s’imposent à ces derniers devraient lui être applicables.

    Si tant est que l’on admet, ce qui mérite pourtant discussion, que Jean-Paul Delevoye n’est pas membre du gouvernement entre le 14 septembre 2017 et le 3 septembre 2019, pèsent sur lui quand même un certain nombre d’obligations liées à son statut indiscutable d’agent public.

    Or nous avons appris que le haut-commissaire était un étourdi. Pensez donc, il avait "oublié" dans sa déclaration d’intérêts à la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique, de mentionner qu’il occupait depuis 2016 le poste de président de l’IFPASS, institut de formation aux métiers de l’assurance qui revendique de former 8000 personnes par an!

    Ce qui veut dire que le haut-commissaire entretien à l’évidence des rapports étroits avec le monde de l’assurance, dont chacun sait qu’il est particulièrement concerné par la réforme qui se profile. Car comme le disait le directeur général d’AG2R approuvant la réforme des retraites ouvre des perspectives pour les assureurs. "Sans blague! Pour toute défense Monsieur Delevoye nous dit que c’était une fonction "bénévole" et ajoute "s’il y a incompatibilité, je vais rectifier cela et démissionner de ce mandat".

    Certes, mais cette démission ne va pas effacer la faute commise entre le 3 septembre 2017 et aujourd’hui. Et dans le droit pénal français, cette faute s’appelle la prise illégale d’intérêts prévue et réprimée par l’article 432-12 du Code pénal qui réprime le mélange des genres. Trois conditions doivent être réunies pour être condamné: être un agent public, avoir eu l’administration d’une affaire dans le cadre de ses fonctions publiques, et avoir conservé des intérêts privés mêmes purement moraux sur le même sujet.

    L’objectif est d’éviter que les décisions prises par l’agent public, normalement dans l’intérêt général, puissent être soupçonnées de l’avoir été pour des raisons privées. Alors, il est bien évident que cette réforme n’est absolument pas entreprise pour ouvrir un marché de la retraite par capitalisation aux assurances privées, qui pourrait penser une horreur pareille? Le problème du haut-commissaire, est que ce que réprime l’article 432–12 du code n’est pas une intention mais une situation.

    A priori, jusqu’au 3 septembre de cette année, Jean-Paul Delevoye n’était pas ministre, il est par conséquents justiciable des tribunaux ordinaires. Personne ne peut douter que le PNF se saisisse prestement de cette "atteinte à la probité" (c’est le titre du chapitre du Code pénal concerné) et sollicite en urgence l’ouverture d’une information judiciaire du Pôle d’instruction financier.

    Ceux que l’on peut entendre ricaner jusqu’ici sont de mauvais citoyens qui pensent négatif. La Justice est indépendante on vous dit! Et surtout impartiale!

    Haut Commissaire saison II

    Effet double lame maintenant. Emmanuel Macron par décret du 3 septembre 2019 pris en application cette fois-ci de l’article 8 de la Constitution nomme le déjà haut-commissaire …au poste de haut-commissaire, mais avec cette fois-ci de manière explicite le statut de " membre du gouvernement". Nous venons d’apprendre que le haut-commissaire devenu … haut-commissaire, et désormais sûrement membre du gouvernement avait continué à percevoir des revenus privés de 5300 € par mois liés à un poste de " président d’honneur " d’un " think tank " nommée Parallaxe.

    Voilà une information particulièrement énorme puisque le cumul d’un poste de membre du gouvernement est radicalement incompatible avec une fonction privée rémunérée. C’est tout simplement, excusez du peu, la Constitution de la république qui le dit dans son article 23 ainsi libellé : "Les fonctions de membre du Gouvernement sont INCOMPATIBLES avec l’exercice de tout mandat parlementaire, de toute fonction de représentation professionnelle à caractère national et de tout emploi public ou de toute activité professionnelle". Une ordonnance a prévu un délai de deux mois au nouveau ministre pour mettre de l’ordre dans ses affaires et renoncer à ses fonctions professionnelles privées

     

    On observera que dans la sphère publique, tout le monde sait ça. Que Jean-Paul Delevoye qui a fait cette longue carrière politique, qui a été deux fois ministre (!) puisse prétendre aujourd’hui à l’erreur ou à la négligence, c’est se moquer du monde. Comme de penser s’en tirer en remboursant les sommes perçues de ce think tank en mode coquille qui sonne creux.

     

    Parce que là aussi il faut se pencher sur les conséquences juridiques de la situation créée par le comportement très surprenant du haut-commissaire. Il y a d’abord le premier problème posé par le cumul postérieurement au 3 novembre 2019 période où Jean-Paul Delevoye a donc cumulé son poste de ministre et la rémunération afférente et une rémunération pour une fonction privée impliquant évidemment un rapport de subordination avec des personnes privées. Il est clair que l’incompatibilité est stipulée au profit du ministre qui ne doit avoir d’autre subordination que celle de l’intérêt public pour le service il a été nommé. Il n’est absolument pas excessif de dire que depuis le 4 novembre 2019 Jean-Paul Delevoye est démissionnaire de fait de son poste de haut-commissaire aux retraites, membre du gouvernement. En application de l’article 8 de la Constitution c’est le chef de l’État qui met fin aux fonctions des ministres, on voit difficilement comment Emmanuel Macron peut faire autrement que de prendre acte de cette situation et de mettre fin aux fonctions de Delevoye à compter du 3 novembre dernier. Toute autre attitude viendrait à couvrir une infraction pénale particulièrement lourde. Celle prévue et réprimée par l’article 432–10 du Code pénal qui incrimine le fait par une personne dépositaire de l’autorité publique, de recevoir des sommes qu’elle ne sait ne pas être dues, à savoir la rémunération du haut-commissaire membre du gouvernement. Et on conseillera au directeur des services fiscaux de suspendre cette rémunération publique de Jean-Paul Delevoye et au passage d’émettre un titre de recette pour le remboursement des sommes déjà perçues. Celles-ci étaient indues, du fait de l’incompatibilité. Postérieurement au 3 novembre le support juridique du règlement, à savoir l’occupation illégale et irrégulière d’un poste de membre du gouvernement ne peut plus permettre la rémunération publique.

    Une barque lourdement chargée

    Toutes les démissions tardives, les remboursements d’opportunités ne changent rien à cette situation. Bénévolat ou pas, démission ou pas, remboursement ou pas, les infractions pénales semblent bien avoir été commises, et il serait normal qu’une juridiction ait à l’apprécier.

    De la même façon, il serait peut-être intéressant de savoir en quoi consistait l’emploi privé à 5300 € par mois qui sent quand même l’emploi de complaisance à 100 km. Mais on va s’en tenir là pour ne pas charger la barque.

    Dans tous les cas, on voit mal comment Jean-Paul Delevoye pourrait rester au gouvernement. Et l’on doit se poser la question de savoir comment une telle situation a pu se produire. Ont pu exister une telle désinvolture, un tel sentiment d’impunité, ou une telle ignorance des conditions de la responsabilité personnelle des décideurs publics. Il se trouve que lorsqu’il était sénateur à la fin des années 90, Jean-Paul Delevoye a conduit un groupe d’études sur la responsabilité pénale des décideurs publics. Praticien de la matière, que j’enseignais également à l’université, je fus donc plusieurs fois auditionné.

    J’avais pourtant gardé le souvenir de quelqu’un d’attentif.

    Régis de Castelnau

    https://www.vududroit.com/2019/12/jean-paul-delevoye-petits-et-gros-arrangement-du-benevoleur/

  • Ils ne sont pas prêt à apprendre le français!....

    Une institutrice

    "J’ai proposé une dictée à mes élèves, un inspecteur m’a demandé de cesser ces méthodes bourgeoises"

        Blanquer a beau dire, certaines habitudes ne changent pas dans l’Education nationale.

        A lire dans @MarianneleMag demain ! pic.twitter.com/UKJbHaAEDT

     

        — Louis Hausalter (@LouisHausalter) December 12, 2019

  • France: dans quel monde es-tu tombée?

    Grèves: Des wagons du RER B réservés aux femmes pour éviter les attouchements pendant la cohue

    ? Dans le RER B à gare du Nord, la SNCF la joue métro japonais: certains wagons sont réservés aux femmes (et leurs éventuels accompagnants), d'autres réservés aux hommes.#reformesdesretraites #greve12decembre pic.twitter.com/eIhNCn6fBr

        — Yahoo Actualités (@YahooActuFR) December 12, 2019

        Bossant à la SNCF et c'est plus facile a dire qu'à faire avec les grèves les filles essayer d’éviter les trains blindés ou à la rigueur les wagons ou il y a plus d'hommes que de femmes. Aujourd'hui il y a eu beaucoup d'attouchement notamment dans ma gare (Gare du nord)

        — Fear is not real ? (@ChrisDimoke) December 12, 2019

  • Les chercheurs américains nous préviennent

    cela sera bientôt irréversible

    Selon le très sérieux institut américain Pew Research Center, la population musulmane pourrait atteindre en France 18% de la population totale en 2050, contre un peu plus de 11% aujourd’hui. Pour l’Europe, cette proportion pourrait passer de 5 à 14% ! Je vous rappelle que le général de Gaulle avait déclaré que si cela dépassait 9%, nous mettions notre pays en danger!

    Selon cette étude, cette augmentation à venir cela est devenue irréversible compte tenu de la démographie nettement plus forte des populations déjà présentes sur notre territoire. Nous, Français, nous devons essentiellement cela au droit du sol et au regroupement familial mis en place par nos dirigeants bien-pensants, et surtout incompétents, car gouverner c’est prévoir. Force est de constater qu’à part Jean- Marie Le Pen, qui nous avait mis en garde, à l’époque, attirant sur lui les foudres des médias et des journaleux, bien trop préoccupés à nous servir la soupe que le gouvernement leur indiquait de nous servir, personne n’a agi contre ce danger. Entre 2010 et 2016, la population non musulmane en Europe a baissé de 1,7 million sous l’effet de la baisse de la natalité non compensé par les migrations non musulmanes. 1,3 million d’arrivées dans le même temps, la population musulmane déjà installée, auquel il faut ajouter 3,5 millions d’arrivées.

    L’immigration nouvelle ne fait qu’ajouter à une tendance lourde. D’ici 2050, ce sont les populations musulmanes qui feront la croissance nette de la population européenne. Les non musulmans passeront de 495 millions à 460 millions, soit 35 millions de moins, car leur natalité est nettement insuffisante. Dans le même temps, la population musulmane passera de 25 millions à 75 millions. Le changement de la composition de la population européenne est foudroyant. En France, la présence d’une population musulmane est déjà très importante. Elle est la première en Europe, en nombre et en proportion. Plus jeune et plus féconde, elle fera passer la proportion à près de 14%, en l’absence de nouvelle immigration, et à plus de 18% dans le cas d’une immigration continue. Ce qui fait que nous pourrions avoir en 2050 entre 8,6 et 18 millions de musulmans en France !  Fait frappant, les pays d’Europe centrale et orientale devraient, pour leur part, garder une structure d’immigration de la population beaucoup plus homogène, la part des populations musulmanes ne dépassant pas 1% en 2050.

    Il faut remercier les chercheurs américains pour cette étude. Ils sont bien plus habitués à quantifier les minorités que nous et à mettre ces chiffres impressionnants dans le débat public. Nos médias bien-pensants et nos journaleux se gardent bien de diffuser ces chiffres, afin de ne pas susciter la peur et le rejet de l’Autre. Comme si nous avions besoin de cela, ce rejet étant tout simplement le résultat de leurs crimes et de leurs délits continuels.

    Évidemment les bien-pensants vous diront qu’une bonne partie de ces musulmans chercheront à s’intégrer, mais ça c’est dans le monde des Bisounours. Il est vrai qu’en cette période de fêtes, il est autorisé de croire au Père Noël. En réalité, il est grand temps de regarder en face les risques liés à ce changement de société. Il est également nécessaire d’écouter les chercheurs américains, qui n’hésitent pas à dénoncer le fait que cette immigration de masse pèsera à la baisse sur les salaires des classes populaires et ne résoudra pas le déséquilibre des régimes sociaux.

    Ne pas vivre dans sa culture d’origine est une source de tensions dangereuses et source de conflit futur tel que nous le ressentons déjà aujourd’hui. Les représentants de l’islam insistent sur les valeurs de l’islam, très éloignées des nôtres, dans des domaines fondamentaux comme la laïcité et le droit des femmes. Le poids grandissant des populations musulmanes rend l’intégration difficile voire impossible. FACE À CE DÉFI, IL EST PLUS QU’URGENT DE RÉAGIR POUR ÉVITER LE PIRE. Il faut s’opposer par tous les moyens à la charia, et demander à nos dirigeants de l’interdire sur le sol français. Écrire à nos députés, nos sénateurs, nos quotidiens, et nos hebdomadaires, pour interdire la charia, réclamer sur tous les réseaux sociaux une loi contre la charia, demander à nos députés et à nos sénateurs la suppression du droit du sol, ainsi que le rapprochement familial.

     

    En outre, il faut leur demander de supprimer TOUS les droits sociaux et TOUTES les prestations familiales aux étrangers qui ne justifient pas d’un travail ininterrompu durant au moins 5 ans, avant de pouvoir bénéficier de nos acquis sociaux. Et enfin suppression de la double nationalité, de façon à ce que ces gens choisissent entre leur nationalité et la nationalité FRANÇAISE, qui octroie bien des avantages, mais exige dans le même temps des devoirs.

    Quelques rappels sur les horreurs de la charia : critiquer ou nier tout ou partie du Coran est passible de la peine de mort ; critiquer Mahomet ou nier qu’il est prophète est passible de la peine de mort ; critiquer ou nier Allah est passible de la peine de mort ; un musulman qui quitte l’islam est passible de la peine de mort ; un non musulman qui aide un musulman à s’éloigner de l’islam est passible de la peine de mort ; un homme non musulman qui épouse une musulmane est passible de la peine de mort ; une femme ou une fille qui allègue un viol sans produire 4 témoins masculins est coupable d’adultère ; une femme ou une fille reconnue coupable d’adultère est passible de la peine de mort par lapidation ; les hommes musulmans ont des droits sexuels donc de viol sur toute femme ou fille qui ne porte pas le hijab ; un homme peut épouser une petite fille et consommer le mariage quand elle a neuf ans ; un homme peut battre sa femme pour insubordination ; les musulmans doivent s’engager dans la taqîya et mentir aux non musulmans afin de faire progresser l’islam.

    Enfin, pour TOUS les délinquants ayant la double nationalité, déchéance de la nationalité française et raccompagnement dans leur pays d’origine avec interdiction de pénétrer sur notre territoire. Si nous ne prenons pas RAPIDEMENT toutes ces mesures, je crains qu’il en soit fini de notre beau pays gaulois.

    Patrick Jardin

    https://ripostelaique.com/les-chercheurs-americains-nous-previennent-cela-sera-bientot-irreversible.html

  • Crapules: Il est fini le temps des bisounours…

    Choisy-le-Roi (94) : un policier qui regagnait son domicile sort son arme face à un individu sur un scooter qui tentait de l’écraser

    Dimanche 8 décembre, aux alentours de 19h, un individu sur un scooter a tenté de percuter un policier qui rentrait de son service. Selon Franceinfo, une enquête en flagrant délit a été ouverte dimanche 8 au soir par le parquet de Créteil. L’individu aurait proféré des menaces.

    Le policier rentrait chez lui, il raconte avoir vu le scooter roulant "à très vive allure", selon le procès-verbal. Le scooter "serait passé à quelques centimètre de lui. Le conducteur du scooter, vêtu de noir, casqué et masquant le bas de son visage, aurait ensuite fait demi-tour quelques mètres plus loin pour revenir au contact de la victime. L’auteur est, à cet instant, muni d’un objet noir s’apparentant à un bâton […] et accélère en direction de la victime qui se réfugie entre deux véhicules en stationnement afin de ne pas être percuté".

    Le scooter est ensuite revenu à la charge, et pour se défendre le policier a sorti son arme, "sentant son intégrité physique directement menacée", selon les déclarations du gardien de la paix. Le scooter a alors pris la fuite, sans que le policier n'ait utilisé son revolver.

    Le policier affirme alors avoir été menacé par l'individu fuyant. "On sait qui tu es, on va te retrouver, on va te faire la misère", lui aurait crié le chauffard.

    Quelques jours plus tôt, des CRS avaient reçus des lettres de menaces de mort, et un policier de la BAC avait découvert sa porte d'entrée taguée du sigle ACAB, All Cops Are Bastards ("tout les policiers sont des bâtards", en français).

    Sur twitter, le syndicat Synergie Officiers a réagi, accusant "ceux qui propagent la haine contre les policiers, les stigmatisent, diffusent des FakeNews et des vidéos tronquées".

    https://www.lefigaro.fr

     

     

  • On s'en doutait, on a la preuve

    La secrétaire nationale du Syndicat de la magistrature accusée d’être "complice de la haine anti-flic"

    Grégory Joron, CRS et secrétaire général du syndicat Unité SGP-Police

    Madame Sarah Massoud, Madame la juge, Madame la secrétaire nationale du Syndicat de la magistrature,

    […]

    De la harangue d’Oswald Baudot

    À partir d’une réflexion très personnelle, vous dévoilez très vite la position de votre organisation syndicale, le Syndicat de la magistrature, et employez le terme de violences policières comme si cela était systémique. Vous me semblez plus idéologue que syndicaliste. J’aurais préféré vous entendre défendre et revendiquer pour votre corporation plutôt que de clouer au pilori les policiers dans leur ensemble. Vous me laissez donc penser que votre vision de la société, mais surtout de votre métier, reste imprégnée, colorée, désaxée par la harangue d’Oswald Baudot, grande figure de votre syndicat, qui encourageait, en 1974, les jeunes magistrats à être partiaux, à avoir un préjugé favorable pour le voleur contre la police. Je vous laisse mesurer aujourd’hui les conséquences de ces quarante-cinq années d’endoctrinement: sentiment d’impunité dans le milieu des délinquants et haine anti-flic.

    […]

    Le Parisien