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societé - Page 119

  • Profs de merde!

    J'ai vu hier soir sur une chaîne infos du satellite des jeunes d'Agen obligés de marcher sur des livres scolaires pour entrer en classe et passer des épreuves du bac, la moitié de l'écran était occupée par une putassière syndiquée qui osait dire: “ce sont des ouvrages périmés qui doivent aller à la benne“ ne se rendant même pas compte que c'est ce que l'on reproche aux gens de daech qui on fait sauter Palmyre et les autres, en Afghanistan, qui ont fait sauter des statues anciennes de plusieurs centaines d'années.

    Tu sais au moins ce que c'est un autodafé? la plus monstrueuse atteinte et insulte à l'intelligence humaine!

    J'ai eu un haut le cœur et les larmes aux yeux, moi, qui allait à l'école, entre 1954 et 1958, à pieds, sur 2,5 km alors âgée de 4 à 8 ans; lorsqu'il arrivait que j'étais fiévreuse, je vous jure sur mon honneur, que je secouais le thermomètre, en cachette, pour faire baisser la température marquée et pouvoir ainsi aller à l'école.

    J'ai vu des documentaires montrant des gosses d'un dizaine d'années faisant une dizaine de km, tous les jours, dans la froidure, le soleil brûlant, grimpant des éboulis au-dessus de précipices ou louvoyant entre des épineux du désert, d'autres faire une soixantaine de km à cheval dans des conditions de météo tout aussi difficiles pour aller à l'école où le prof n'a qu'un livre pour les plus de 40 élèves la classe. Quel courage et quelle ténacité!

    A 14 ans, j'ai dû aller dans une usine à confection, ramener une petite paye à ma mère, veuve avec six enfants. On m'a trouvé un QI de 130 et nul doute que j'aurais pu faire de longues études dans une fac.

    Et quand je vois ces ponctionnaires à la peau du ventre bien tendue, se comporter de cette façon, je me dis que si la sclérose en plaques se transmettait par le sang, j'entaillerais profondément mes mains et j'irais à la ville voisine de Toulouse, leur coller des gifles avec grande joie et bonheur, me foutant totalement de devoir faire un séjour en taule!

    Quand on pense que la majorité des profs sont reçus à leur diplômes avec 3,5 sur 20, je me dis que de nombreux enfants de leur classe sont, sans aucun doute, plus intelligents qu'eux.

    Ce n'est pas du pognon et des prébendes supplémentaires qu'il leur faut car la conscience professionnelle ne s'achète pas!

    C'est un retour à la maternelle pour leur enfoncer dans le crâne l'art d'être un ponctionnaire capable d'empathie avec les enfants qui leurs sont confiés par des parents qui veulent que leurs enfants ne soient des gilets jaunes, comme eux.

    3,5 sur 20!!! pas croyable!!!

    J'assume totalement ce que j'écris et je me tape des émotions perturbées de ces fragiles poulpes qui se prennent pour des intellectuels.

    Mierda à la gauchiasse.

  • Confession d’une putain voilée:

    par ce livre, je remercie la France

    Quel regard peut porter une femme née en Tunisie, qui vit en France depuis qu’elle a passé son baccalauréat, sur notre pays, et son inquiétante évolution? Que pense-t-elle de l’islam? De son pays d’origine, d’où sont partis ce qu’on a appelé les printemps arabes? Cette femme, Sonya Zadig, nous ayant envoyé son livre, au titre sulfureux, il nous a paru intéressant d’approfondir quelques questions avec elle. Et c’est passionnant…

    Après le baccalauréat, j’ai quitte la Tunisie pour rejoindre la France

    Riposte Laïque: Vous êtes l’auteur du livre "Confession d’une putain voilée". Avant de parler de ce livre, pouvez-vous expliquer à nos lecteurs votre histoire, et ce que vous faites aujourd’hui?

    Sonya Zadig: J’ai quitté la Tunisie après le baccalauréat pour rejoindre la France et y faire des études. J’ai d’abord suivi un cursus littéraire avant de me spécialiser en linguistique anglaise, ce n’était pas tout à fait ce que je voulais faire au départ, mais mon père en avait décidé ainsi et me destinait à devenir interprète.

    Mon désir profond était plutôt axé sur la psychologie, d’ailleurs après plus de vingt années de bons et loyaux services à l’Education Nationale, j’ai repris des études de psychopathologie clinique et je fais aujourd’hui ce que j’ai toujours rêvé de faire, soigner les âmes en tant que clinicienne.

    Riposte Laïque: Vous apparaissez rapidement dans votre enfance tunisienne, comme la rebelle de la famille, celle qui refuse la place de la femme que la société lui réserve. Comment expliquez-vous cette révolte précoce?

    Sonya Zadig: Ayant grandi dans un univers familial et social plus qu’insécurisant, j’ai développé assez tôt une capacité d’observation et une vigilance accrue à tout ce qui m’entourait. J’ai très vite compris que l’on me destinait à une soumission qui ne me convenait pas, je ne voulais surtout pas être une citoyenne de seconde zone uniquement parce que mon sexe m’y assignait.

    Je voyais bien que les femmes de la famille étaient envoyées à l’abattoir du mariage forcé et cela me déplaisait. Mes lectures ont contribué à cette rébellion précoce, je comprenais qu’il existait un monde où je pouvais me libérer du joug de l’oppression et cela me confortait dans ma position de rebelle.

    Riposte Laïque: Vous semblez, tout au long de votre passionnante narration, très marquée par votre père, un homme qui se dit communiste, mais qui parait sujet à de nombreuses contradictions…

    Sonya Zadig: Ah, mon père ! Dans l’après coup, je pense qu’il était lui aussi victime de la société arabo-musulmane dans laquelle il a lui-même grandi, c’est une figure tragique mon père.

    Fils de notables, il avait essayé de s’affranchir de sa classe sociale et de son appartenance culturelle en s’engageant à "Perspectives", un mouvement politique de gauche et d’extrême gauche des années 60. C’est aussi grâce à lui que j’ai pu découvrir le monde intelligible en accédant à sa bibliothèque, c’était un amoureux des lumières qui vivait hélas dans l’obscurité. Il était très clivé, car son discours dans l’extime était des plus éclairés, il se disait athée et œuvrait pour l’égalité des droits mais dans l’intime, se jouait alors une autre histoire faite de violence et d’oppression surtout à mon égard. Il ne m’a cependant jamais parlé de mariage et voulait vraiment que je m’affranchisse en excellant à l’école mais paradoxalement, il ne supportait pas ma liberté de femme et craignait pour son honneur. Il m’a laissé partir en France car il savait qu’il ne pourrait jamais me soumettre, mais rien n’excuse ses violences à mon égard, "Un homme ça s’empêche" comme disait Camus en citant son père.

    Riposte Laïque: Vous ne cachez pas votre fascination pour la France dès votre adolescence, et votre volonté, au plus vite, d’y poursuivre vos études. Vous y vivez depuis à présent de nombreuses années. Vous définiriez vous, malgré tout, comme une femme de deux cultures?

    Sonya Zadig: Une femme de deux cultures, oui et non. Je ne peux pas nier le fait d’avoir été déterminée par ma culture originaire, d’ailleurs c’est tout le propos du livre où je dis que les choses se cristallisent dans la langue elle-même.

    En parlant arabe, j’ai parlé malgré moi la langue du Coran, mais c’est une langue qui à mon sens est sans pensée car dogmatique. Or ce qui fait de moi la femme que je suis devenue aujourd’hui c’est ma pensée et ma pensée s’inspire des lumières. J’ai épousé la culture française qui m’a permis d’advenir en tant que sujet et en tant que femme.

    Riposte Laïque: Lors de la révolution du jasmin, en Tunisie, vous écrivez que vous n’avez jamais cru à la réussite de ce soulèvement, et vous estimez que l’épisode Bourguiba a masqué la réalité d’une Tunisie conservatrice, très attachée à l’Islam. Vous pensez vraiment que la société tunisienne a régressé, depuis 2011, et que l’Islam y progresse?

    Sonya Zadig: Je me souviens très bien de ce 14 janvier 2011, je me souviens que cela avait ouvert une brèche d’espoir mais je savais aussi que nous allions bientôt nous réveiller de cette ivresse avec une gueule de bois terrible.

    La Tunisie de Bourguiba et plus tard de Benali masquait en vérité une réalité beaucoup plus profonde. Le peuple Tunisien se définit prioritairement par son appartenance indiscutable au dogme islamique. Bourguiba n’était malheureusement qu’une convulsion heureuse de l’histoire. L’état naturel est islamique.

    L’Islam est avant tout un contrat social qui prescrit à chacun une marche à suivre à chaque étape de la vie, il est ainsi très difficile voire impossible de s’en affranchir. J’en ai pour preuve ce qui se passe aujourd’hui en Tunisie, Ennahda concentre tous les pouvoirs après avoir été élu démocratiquement par le peuple tunisien. Quelle régression!

    Riposte Laïque: Vous expliquez tout au long de ce livre, que les femmes ne se remettent jamais de la pression qu’exerce l’Islam sur la société, et principalement sur elles. Pouvez-vous développer cette question?

    Sonya Zadig: Votre question est au cœur même de la "putain voilée". Je suis convaincue que la difficulté qu’ont les femmes à se remettre de la pression du dogme islamique réside dans le fait que l’aliénation s’inscrit dans leur corps. L’inscription du discours culturel passe par une servitude corporelle.

    Lorsqu’on vous explique dès votre jeune âge que vous êtes la fille de, la sœur de et que vous vous destinez inéluctablement à devenir la femme de et plus tard la mère de; lorsqu’on vous signifie à longueur de temps que vous n’êtes qu’un X + 1 car être une X seule vous réduit à n’être qu’une putain; lorsqu’on vous dresse à penser que votre corps est collectif et que vous ne pouvez pas en disposer librement, comment voulez-vous advenir en tant que sujet de votre histoire?

    Comment voulez-vous effacer la trace cellulaire et constitutive que le sceau islamique a tatoué sur votre corps de petite fille? Libérez les corps et vous libérerez les femmes musulmanes, et encore ce n’est pas si simple, voyez mon histoire!

    Riposte Laïque: Quel est votre regard de femme ayant quitté la Tunisie adolescente, devant ce que nous appelons l’islamisation de la France. Etes-vous inquiète, notamment devant le fait que selon une étude de l’institut Montaigne, 50% des jeunes musulmans de moins de 25 ans disent préférer les lois de l’Islam, la charia, à celles de la République?

    Sonya Zadig: Un vent mauvais souffle sur la France aujourd’hui, il y’a une régression dangereuse surtout dans la manière de considérer la femme notamment chez les jeunes. Cela est dû à mon sens à l’infiltration insidieuse du discours islamiste dans la société française, je précise que je ne crois pas à l’existence d’un Islam modéré.

    Voyez nos filles qui ne peuvent plus se maquiller ou se mettre en jupe sans se voir taxer de putains, y compris par les jeunes non issus de l’immigration!

    L’étude de l’institut Montaigne ne m’étonne pas du tout. Au-delà de l’Islam comme religion, il y’a une volonté de revendication identitaire qui sous couvert de religion nous prépare des automnes obscurs.

    La laïcité est pour moi la seule réponse viable, nous ne pouvons plus fermer les yeux sur le projet d’islamisation déjà en marche sous nos cieux. D’ailleurs ce sont ces mêmes jeunes binationaux qui ont voté massivement pour Ennahda en Tunisie et ont largement contribué à installer le parti islamiste au pouvoir.

    Riposte Laïque: Finalement qu’est-ce qui vous a poussé à écrire ce livre, et souhaitez-vous en écrire un autre? Et comment se le procurer?

    Sonya Zadig: J’ai écrit ce livre par nécessité impérieuse. J’ai écrit ce livre pour témoigner et avertir sur ce qui nous attend si on continue à fermer les yeux au nom du relativisme culturel. La France m’a tout donné, il est de mon devoir de citoyenne de rendre un peu de ce que j’ai reçu de ce pays en publiant ce livre.

    Vous pouvez le commander directement sur le site de mon éditeur Alexandra de Saint Prix ou sur tous les autres sites marchands: Amazon, Cultura et la Fnac…

    Oui, bien sûr qu’il y aura d’autres livres, mais pas forcément sur ce sujet. L’écriture est une passion et je viens de finir un roman intitulé " le dernier voyage " qui n’a rien à voir avec l’Islam.

    Riposte Laïque: Avez-vous quelque chose à ajouter?

    Sonya Zadig: Oui, je voulais vous remercier de m’avoir donné la parole. Ceux qui pourront me critiquer, je leur dirai que mon souci premier est un souci de vérité, et il est plus fort que l’allégeance à un quelconque camp politique. Je suis fatiguée de me sentir muselée par l’injonction du bien dire qui nous éloigne indubitablement de notre liberté fondamentale qui est celle de pouvoir dire ce que l’on pense.

    Certains me reprochent de tenir le même discours que Marine Le Pen sur la laïcité, et alors? Ce n’est pas parce que je suis d’accord avec elle sur ce point-là que je partage ses positions.

    La bien-pensance est entrain de gangrener notre République.

    Au nom d’une tolérance à tout crin, nous fermons les yeux sur une régression intolérable de nos valeurs les plus fondamentales. L’égalité homme-femme est aujourd’hui compromise. La prolifération du voile islamique dans nos rues donne à voir à nos enfants une image fallacieuse de ce qu’est une femme. Nous ne devons pas nous habituer à voir le corps de la femme enseveli sous une burqa ou sous un voile, les effets psychologiques peuvent être des plus délétères.

    Je vous remercie de m’avoir donné la parole car on tend plus volontiers le micro aux femmes voilées aujourd’hui qu’aux femmes qui, comme moi, refusent de se soumettre au diktat d’une religion féminicide et liberticide.

    Propos recueillis par Pierre Cassen

    https://ripostelaique.com/confession-dune-putain-voilee-par-ce-livre-je-remercie-la-france.html

  • De plus en plus de rats quittent le navire

    Énième défection à LaREM: Annie Chapelier, députée du Gard démissionne

    Annie Chapelier, députée du Gard démissionne de LREM: “Je ne me reconnais plus en rien dans ce mouvement”

    La charge est violente: "Alors que nous sommes venus pour changer les pratiques, renouveler la vie politique et mettre en œuvre une véritable intelligence collective dans un climat de bienveillance, nous avons vu se construire un mouvement hors sol, indifférent aux territoires et clivant les députés en deux groupes: d’un côté des apparatchiks, petits chefs plus ou moins autoproclamés et, de l’autre, une masse, insignifiante à leurs yeux à qui on demande une allégeance et une obéissance aveugles, "indique Annie Chapelier, dans un communiqué.

     […]

    France 3

  • Défoncés de la calebasse!

    vraiment basse, la calebasse!

     

    Le genre expliqué aux nuls!

    Envoyé par une amie médecin

    Dans le temps, on pouvait avoir mauvais genre, mais la notion d'être genré, n'existait pas et ne prenait pas la tète.

    J'ai du me  faire raconter cette histoire deux fois, pour être sûre d'avoir bien compris ( parce que c'était raconté un peu dans le désordre) et pourtant je suis assez au point sur le "genre".

    Il s'agit d'une très banale "histoire de genre" parfaitement loufoque comme on sait les faire maintenant

    Histoire drôle .... je vais remplacer Campagnol bientôt... :-)

    Un jeune homme part à Paris faire des études dans le "cinéma“.

    Au bout de quelques mois, il déclare à son père qu'il est finalement une fille, il se sent fille etc... Ce qui est possible après tout par les temps qui courent...

    Le père fait “gloup's“, puis se fait à l'idée.

    Le jeune homme fait une visite à ses parents à Noel, et leur avais dit "je vous amènerai mon copain"...

    Re-“gloup's“, mais quand on aime un enfant, on se fait à  l'idée qu'il pourrait être "homo" en quelque sorte, en plus de se sentir fille... donc les parents se préparent "mentalement"…

    donc le grand jour arrive... et les parents voient arriver: leur garçon (XY) habillé en garçon,  et son copain, mais il s'agit en fait d'une fille XX, mais qui se sent garçon.. et qui pour faire "joli" a mis une robe

    J'espère que vous avez tout suivi

    Donc, le père qui n'y connait rien à ses histoires de genre ne s'en remet pas ...

    Il y a un peu de quoi

    Ni l'un ni l'autre du couple, ne veut se faire opérer pour changer de sexe physique, et changent même de "genre"  quand ils veulent... si la fille se sent mec, elle est mec et vis versa.

    Ils sont gender fluid

     

    Tout ceci relève d'une "posture mentale", d'un " genre " qu'ils veulent se donner si je peux m'exprimer ainsi.

    (Opérationnellement et "médicalement", ou physiologiquement, ce sont une fille et un garçon)

    Bref: cela s'appelle du "déconstructivisme"  dont la pseudo théorie du genre n'est qu'une expression.

    Une pseudo-théorie perverse inventée par les féministes américaines sur aucunes bases scientifique, neurologiques, hormonales ou sociologiques (du bla-bla basé sur du vent)

    Si cette histoire vous rend bizarre, ou crée en vous de la dissonance cognitive, c'est tout à fait normal... :-)))) MDR

    Bon maintenant, comme toujours, il faut expliquer le plus drôle:

    Il y a le sexe "physique": XX ou XY, (ou assignation de genre: paf, t'est prisonnier d'un corps pas de chance :-) ), le genre, et l'orientation sexuelle

    Un garçon XY  peut se sentir fille, et se dire homosexuel: donc il couchera avec une fille...

    Au total, il y a 8 combinaisons

    micmac

  • Halte à la sempiternelle repentance de la gauchiasse...

    et des indigénistes à la con! s'ils avaient bien suivis les cours sur l'Histoire à l'école, ils seraient moins débiles...

    La France a colonisé des territoires sans valeurs, juste pour apporter la civilisation à des peuples inférieurs disait jules ferry

    Contrairement à l'Angleterre qui s’appropriait les diamants d'Afrique du sud, les épices d’Inde, les terres fertiles d'Amérique du nord

    Les français préféraient les cailloux du Tchad, les sables du Sahel, les marécages d'Algérie...

  • Totale horreur!

    Pays-Bas: une Marocaine mettait son fils dans un four "pour l’exorciser"

    Trois personnes faisaient subir les pires sévices à l’enfant, qui porte encore les traces de tortures physiques. La maman de 26 ans, son ex-époux de 41 ans, et une vieille connaissance âgée de 30 ans, ont écopé de peines allant de 6 à 10 mois de prison ferme. C'est tout????

     […]

    Les trois agresseurs avaient l’habitude de placer l’enfant dans un four chaud ou sur un fourneau, avant de faire saigner les lobes d’oreilles à l’aide d’une aiguille.

    L’enfant subissait d’autres pratiques étranges, notamment la flagellation

    […]

    Bladi

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