societé - Page 202
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Tu l'a dis, bouffi!
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Aude, berceau de ma famille maternelle
Courage!
Pensées émues à tous mes cousins
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Enquête autour d’un viol entre élèves de maternelle
Une "main courante" a été déposée auprès du commissariat après les faits dont aurait été victime une fillette de 4 ans, scolarisée dans le XIIIe arrondissement de Paris.
Sur le fond, les faits sont graves, dérangeants, mais sur la forme, rien ne dit qu’ils pourraient être matérialisés juridiquement. Encore moins qu’ils donneront lieu à des poursuites. Et pour cause. Cette affaire de " viol en réunion ", dont vient d’être saisie la brigade des mineurs de Paris, implique des enfants âgés de… 4 ans seulement, scolarisés en moyenne section de maternelle. On est donc là aux confins du droit, et de l’éducation.
Les faits ont éclaté au grand jour en début de semaine, lorsqu’une personne s’est rendue au commissariat du XIIIe arrondissement pour y déposer une "main courante“. D’après ses dires, une fillette de 4 ans a été victime de " viol ". Des faits qui remonteraient à mi-septembre, et auraient eu lieu dans la cour d’une école maternelle du même arrondissement, où est scolarisée la fillette. Celle-ci aurait été isolée par trois camarades sous une structure de jeu, lesquels lui auraient retiré ses vêtements avant de pratiquer une " pénétration digitale ".
Le même type de faits aurait eu lieu à deux reprises, au cours de l’année scolaire précédente. La fillette aurait alors été victime de deux autres camarades. Avertie de ce qu’il se serait produit mi-septembre, la directrice de l’établissement aurait déconseillé aux parents de porter plainte.
"Ce type d’actes n’est pas exceptionnel"
Désormais sur la place publique, ces actes ont provoqué un vif émoi au sein de la communauté scolaire, et particulièrement des parents d’élèves". Une réunion aura lieu très prochainement, sous l’égide de la mairie du XIIIe, au sein de l’école, annonce Jérôme Coumet, le maire (PS) de l’arrondissement. Un pédopsychiatre sera présent, afin de mettre les mots de professionnels sur ce qu’il s’est produit". " Il faut entendre l’inquiétude des parents, la prendre au sérieux, note un autre élu parisien sous couvert d’anonymat. Mais il faut aussi aborder cette question avec sagesse, et se garder de faire des projections d’adultes sur des actes d’enfants".
" Ce type d’actes n’est pas fréquent, mais pas exceptionnel non plus, relève pour sa part Michèle Créoff, vice-présidente du Conseil national de protection de l’enfance (CNPE). On est à l’âge des premiers émois. A un stade de développement où la curiosité émerge, notamment au niveau sensoriel et sexuel". Techniquement, s’il n’existe pas d’immunité pénale liée à l’âge, " les parquets, dans la pratique, n’engagent bien évidemment pas de poursuites contre des enfants aussi petits", précise un policier spécialisé.
Déposer plainte pour qu’une enquête sociale soit ouverte
Cela étant, ce type de comportements pose question". Là, on n’est pas dans une histoire de touche-pipi entre deux bambins, relève ce même policier. Il y a plusieurs enfants impliqués, et une violence exercée envers cette petite victime". Michèle Créoff ne dit pas autre chose". Là où il y a problème, c’est quand on a affaire à un phénomène de groupe, dans une forme de surenchère émotionnelle. Il faut alors comprendre comment un groupe d’enfants, aussi jeunes, peut en abuser un autre sans qu’il n’y ait eu de prise de conscience du milieu éducatif ou parental".
C’est pour cela que ce policier préconise qu’" en pareil cas, une plainte soit systématiquement déposée ". Sous l’égide du parquet, un juge des enfants est alors généralement saisi. Le magistrat a la possibilité d’ordonner une enquête sociale en milieu ouvert. L’audition des parents, mais aussi des enseignants ou intervenants, doit permettre une levée de doute. Et de vérifier qu’à travers ces pratiques, les enfants, victimes comme auteurs, n’ont pas reproduit des gestes qu’un adulte aurait pu leur faire subir, ou dont ils auraient été par inadvertance les témoins.
http://www.leparisien.fr/paris-75/enquete-autour-d-un-viol-entre-eleves-de-maternelle-10-10-2018-7916028.php
Désolée, jamais vu de gamine de 4 ans violée par 3 de ses camarades avant l’invasion musulmane
Et ils essaient de nous faire croire que ce serait sinon normal du moins pas vraiment étonnant. Il faut lire l’article du Parisien ci-dessous en se maîtrisant pour ne pas aller fiche des pains à répétition, à défaut d’enfermer les fautifs sans boire ni manger dans un cul-de-basse-fosse jusqu’à ce que mort s’ensuive.
1 pain à la directrice de l’école : ils étaient où les enseignants pensant que 3 autres gamins de 4ans la déshabillaient et la pénétraient avec leurs doigts? Et pas qu’une fois, c’était déjà arrivé 2 fois l’année précédente ! 3 fautes graves, défaut de surveillance. Ils étaient où les enseignants? En train de boire le café en tapant sur Marine Le Pen?
1 pain supplémentaire à la directrice de l’école pour avoir conseillé aux parents de ne pas aller porter plainte, des fois qu’on dénonce son incompétence, des fois qu’on stigmatise les violeurs?
1 un pain aux violeurs, qu’ils aient 4 ans n’empêche pas qu’ils savaient ce qu’ils faisaient, qu’ils savaient qu’ils usaient de violence, qu’ils savaient que ce qu’ils faisaient était interdit.
1 pain à tous les Taubira et Belloubette qui ont décidé que les mineurs étaient irresponsables et pouvaient donc tuer sans en payer le prix.
1 pain à Jérôme Coumet, maire socialiste du XIIIème qui n’a pas d’autre solution qu’une réunion avec un pédopsychiâtre. Pour enfumer les parents, les rassurer, leur faire croire que ce n’est pas grave, que ce n’est qu’une espèce de "touche-pipi"?
2 pains à l’autre élu parisien qui tient à garder l’anonymat (tiens donc!) pour faire croire que ce serait normal, que les parents feraient des projections d’adultes sur des actes d’enfants.
3 pains à Michèle Créoff, vice-présidente du Conseil national de protection de l’enfance (CNPE) qui relativise clairement les choses, tout cela serait presque normal, quoi, c’est vrai, à 4 ans on se demande comment sont faites les filles, on découvre la sexualité… Vous attendez encore beaucoup de choses du CNPE vous? Même si elle corrige un peu sa première réaction en ciblant les parents et en s’interrogeant sur le phénomène de groupe, elle a tout de même relativisé les choses dans un premier temps. Impardonnable. Il est vrai qu’il y a toute une génération Cohn Bendit qui considère que les enfants ont droit à la même sexualité que les adultes.
4 pains aux journaleux, enquêteurs, spécialistes, juges…. qui vont enquêter pour savoir si les petits violeurs ont assisté à des choses de ce genre chez eux, s’ils ont eux-mêmes été violés. C’est bien. Mais très insuffisant, ils vont même vérifier si la victime n’aurait pas été l’instigatrice du viol… Et ils vont se contenter de cela, se gardant bien de poser les questions qui fâchent :
Personne ne parle des origines de la victime, ni de celles des petits violeurs. Quelles sont-elles?
Même pas une plainte, seulement une main courante?????
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Nous sommes gouvernés par des fous…
et jugés par des enragés : la preuve
Nous observons depuis de nombreuses années une inversion des valeurs dans le fonctionnement des préfectures, de la police et de la justice de notre pays, issue d’une politisation bien pensante et gauchiste, ouvertement hostile au bon sens, au légitime, à ceux qui travaillent et à ceux qui défendent la République et notre civilisation.
Les exemples sont si nombreux qu’on ne saurait prétendre en établir la liste exhaustive, mais nous pouvons citer quelques exemples :
À Montpellier, des gauchistes n’ayant aucune autorisation pour pénétrer dans une université occupent celle-ci, détruisant du matériel et empêchant professeurs et étudiants de travailler. Pas d’intervention policière. Ils sont délogés sans ménagement par un groupe non identifié. Le travail peut reprendre et les dégâts seront réparés aux frais de la collectivité. Alors douze policiers sont mobilisés à temps plein durant tout l’été pour identifier les auteurs de l’évacuation. Après quoi il y a des interpellations aux scénarios rocambolesques relevant plus du western que de la nécessité.
Dans le même temps, la télévision nous montre des policiers interpellant le dangereux automobiliste entrant à 62km/h au lieu de 50 dans l’agglomération (jadis la limitation générale était à 60, avec par endroits 45 ou même 40). Dans le même temps aussi, les racailles d’importation agressent à tout-va dans les rues de Montpellier, frappant, volant, violant, détruisant… Que sont donc les priorités dans l’utilisation de la police et de la justice?
Un passant est agressé par deux individus au bord du canal de l’Ourcq à Paris. Il se défend, l’un des agresseurs s’enfuit et l’autre tombe à l’eau. Le passant tente vainement de le sauver de la noyade. Et c’est lui qui est inculpé pour la mort de son agresseur. N’aurait-il pas mieux fait de passer son chemin et de ne rien dire?
Un gendarme gifle un individu qui importune son épouse. Il est sanctionné par la Gendarmerie, muté, puis jugé et condamné pour un geste qui aurait jadis été considéré comme justifié et salutaire. Quel message est ainsi envoyé aux forces de l’ordre et aux voyous?
Des Identitaires occupent les locaux de SOS-Méditerrannée pour dénoncer sa complicité avec les passeurs et autres pourvoyeurs de délinquance, de désordre international et de morts collectives. C’est eux que la police arrête plutôt que les malfaiteurs. Et 48 heures de garde-à-vue alors qu’ils n’ont rien fait de mal. Pourquoi donc l’Aquarius n’est-il pas encore saisi pour activités illégales et absence de pavillon?
Chacun peut observer que ces interventions, inculpations et procès sont ceux non pas des malfaiteurs et de l’illégalité, mais ceux de qui réagit à l’inacceptable. Dignité, Bien commun, légitime défense, respect de la loi républicaine, défense de la Patrie et autres considérations objectives, tout ce qui fonde notre civilisation et la République se voit attaqué, réprimé, sanctionné par l’administration préfectorale, la police et la justice. Tout cela est aussi dévalorisé, dénigré, renié par les médias de la propagande gouvernementale qui ne sont plus depuis longtemps des sources d’informations objectives et neutres.
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Blague du jour!
Le pouvoir d’achat va se redresser sur un rythme jamais atteint !
C’est un moment, “7e compagnie".
Nicolas Beytout, directeur du journal L’Opinion, donne son avis sur l’actualité de la semaine et pour lui, les nouvelles sont excellentes, la conjoncture merveilleuse, et tout va mieux que bien.
Tellement bien que les pauvres couillons sans doute un peu abrutis que vous êtes (il faut dire que vous passez votre temps à vous plaindre et à ne pas savoir traverser les rues) ne se rendent même pas compte que leur pouvoir d’achat augmente.
Oui, oui.
Ça augmente.
Peut-être le salaire du Beytout, mais pour vous, c’est wallou, (c’était pour les rimes).
Accrochez-vous, en dessous, vous avez le lien pour aller écouter cette lumière fayote de l’action de notre Jupiterminé de l’Élysée. Voilà ce qu’il dit:
"Après un premier semestre décevant, la croissance va rebondir au deuxième semestre pour atteindre 1,6% au total. Après la baisse du pouvoir d’achat au premier semestre, celui-ci va nettement se redresser au deuxième semestre, et sur un rythme jamais atteint".
Et de préciser: "Alors ce que je regrette, c’est que ces bonnes nouvelles ne perfusent pas, comme on dit. Prenons l’exemple du pouvoir d’achat. L’Insee explique que le fort rebond du pouvoir d’achat en cette fin d’année n’aura pas tous les effets escomptés. Pourquoi? Parce que le déclencheur psychologique n’est pas là.
Tout le monde a en tête que le pouvoir d’achat a baissé au premier semestre. Et c’est vrai. Mais personne n’a encore vraiment intégré qu’il doit progresser cet automne, avec la baisse des cotisations salariales, et la suppression d’une partie de la taxe d’habitation. Et donc, malgré l’inflation, malgré la hausse de nombreuses petites taxes, ce qu’il restera dans la poche des Français sera plus important que ce que chacun d’entre nous anticipe. Anticipation, c’est le mot-clé. Et comme les Français n’ont pas intégré cette hausse de leur pouvoir d’achat qui est en train d’arriver, ils n’ont pas l’intention de desserrer les cordons de leur bourse, pas l’intention de consommer davantage. Or, ce moteur de la consommation, c’est plus de 50 % de la performance de notre économie. Une consommation plate, atone, sans relief, c’est une croissance décevante".
Et comment est-ce que cette anticipation peut être corrigée ?
"Alors, on peut toujours espérer que les Français, qui se plaignent trop comme vient de le dire Emmanuel Macron, arrêtent de geindre, etc.".
Voilà, c’était le moment 7e compagnie, car, comme le dit l’excellentissime voix off dans le générique du film La 7e compagnie, "les hommes de la 7e compagnie sur le terrain avaient, eux, une appréciation quelque peu différente de la réalité"…
Beytout et le président voient le pouvoir d’achat en hausse. Nous, nous voyons que des porte-monnaie qui se "vidoient" et des soldes de comptes qui rougeoient.
Charles SANNAT
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le 2 poids 2 mesures, bien sûr
Ancienne membre du Conseil constitutionnel et ministre, Noëlle Lenoir dénonce le 2 poids 2 mesures entre le racisme anti-blanc et les autres racismes
Présidente du Cercle droit et débat public, Noëlle Lenoir, ancienne ministre de Jacques Chirac et ancienne membre du Conseil constitutionnel, estime que la " provocation publique à la commission d’un crime ou d’un délit", qualification retenue par le parquet de Paris à l’encontre du rappeur Nick Conrad, auteur de chanson accompagnée d’un clip "Pendez les Blancs", ne va pas assez loin. Et que celui-ci doit être poursuivi pour racisme.
Voici la tribune de Noëlle Lenoir:
Imaginons qu’un groupe de rockers à la peau blanche diffuse un clip intitulé "Pendez les Noirs", s’ouvrant sur l’image d’un homme à la peau noire ensanglanté au bout d’une corde, et rythmé par ces paroles Je rentre dans des crèches, je tue des bébés noirs, attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants blancs de tout âge petits et grands. Fouettez-les fort faites-le franchement, que ça pue la mort que ça pisse le sang et ainsi de suite…
S’interrogerait-on un instant sur le caractère raciste de cette exhortation? Hésiterait-on sur l’applicabilité des dispositions de l’article 24 de la loi du 1881 punissant ceux qui "provoquent à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une race"? Ou sur l’applicabilité du cinquième alinéa du même article réprimant l’apologie des atteintes volontaires à la vie et des atteintes volontaires à l’intégrité de la personne (ici avec circonstance aggravante de racisme conformément à l’article 132-76 du Code pénal)? Ou des dispositions du Code pénal sur l’apologie du terrorisme (article 421-2-5) ou de l’article sur l’incitation à s’armer contre une partie de la population (article 412-8), là encore avec circonstance aggravante de racisme? Disserterait-on sur la distinction à faire entre les débordements des paroles d’une chanson et un appel au meurtre? Minimiserait-on cet appel en relevant que ce groupe de rock n’avait jusqu’alors qu’une faible audience? Prétendrait-on que l’écho fait à un tel clip est idéologiquement orienté? Qu’exprimer sa frayeur et son dégoût reviendrait à stigmatiser injustement les hommes et les femmes qui ont la peau blanche?
Répondre par un non ferme et énergique à ces questions va de soi aux juristes et analystes que nous sommes. Pourquoi n’est-ce pas la réaction unanime? Pourquoi tente-t-on de nous faire avaler que le clip de Nick Conrad rappellerait les chansons de Brassens? Qu’il serait une revanche contre "les hommes blancs et éduqués qui ont le pouvoir de tout dire"? Ou encore que ce clip mériterait "une distanciation grâce à l’art" (sic !)? Non, les "hommes blancs et éduqués" n’ont pas le pouvoir de tout dire. Nous sommes tous tenus de respecter le droit. Il doit être clair pour tous, ainsi que l’énonce l’article 4 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, que " la liberté consiste à faire tout ce qui ne nuit pas à autrui". Enfin, quel art – si art il y a dans ce clip – pourrait justifier l’impunité de celui qui appelle à tuer des enfants parce qu’ils ont la peau blanche? (…)
En racialisant la réprobation et la répression, on institutionnaliserait un "deux poids deux mesures" qui, pour être du racisme à rebours, n’en serait pas moins du racisme et se rendrait en l’occurrence complice d’une épouvantable invitation à tuer.
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