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societé - Page 18

  • Quand ceci sera mis en route…

    Quand ceci sera mis en route…

    vous pourrez commencer à faire vos valises!

     

    B.R.R.D (Bank Recovery and Resolution Directive

    Question : En quoi consiste la B.R.R.D (Bank Recovery and Resolution Directive)? Pourriez-vous m'expliquer en quoi consiste la B.R.R.D pour Bank Recovery and Resolution Directive, résolution adoptée par ordonnance le 20 août 2015 (tiens comme par hasard en pleine période de vacances)?

    En juin 2012, le Conseil européen a décidé qu'il fallait travailler à mettre au point un cadre commun ordonné de résolution des crises bancaires qui limiterait au maximum le coût pour les citoyens. Beaucoup de personnes se sont indignées contre cette loi, qui prévoit notamment dans certains cas de mettre les déposants à contribution. Mais de notre côté, on ne comprend pas trop ce qu'on lui reproche.

    Il faut bien comprendre qu'actuellement, en cas de faillite d'une banque, les déposants perdent la totalité de leur épargne. Il y a quand même une garantie de 100 000 euros mais dans la pratique, on sait qu'elle était difficilement applicable, notamment en cas de crise "systémique", c'est à dire qui toucherait toutes les banques par ricochet

    Le nouveau mécanisme, appliqué à partir du 1er janvier 2016 doit permettre de mieux garantir l'épargne des déposants. En cas de faillite d'une banque, les 100 000 euros seront toujours garantis et au delà, l'instrument de renflouement interne prévu par la directive contraindrait les actionnaires et les détenteurs d'obligations à encaisser les premiers coups. Les dépôts non garantis (plus de 100 000 euros) seraient touchés en dernier et dans de nombreux cas après l'intervention du fonds de résolution financé par la banque et du système national de garantie de dépôt du pays où se trouve la banque, dans le but de stabiliser la banque. Les plus petits déposants seraient dans tous les cas explicitement exclus du renflouement interne.

    Quand on voit ce qu'il s'est passé à Chypre, où une banque a fait faillite, on voit que la garantie des 100.000 euros s'est bien appliquée. Au delà, il y a eu en effet un prélèvement de 47%. 53% de ces dépôts ont donc pu être préservés. C'est déjà pas mal. Et la directive européenne est censée permettre d'améliorer encore ce taux.

    Bien sûr, cela peut paraître choquant que les épargnants puissent perdre de l'argent. On est en droit d'espérer de l'État qu'il agisse pour garantir cet épargne. Peut être d'ailleurs que l'État français agirait en cas de faillite d'une banque française...

    Toujours est il que la directive européenne a été instaurée pour améliorer cette situation. Avant la directive, l'épargne des déposants était loin d'être garantie. Avec cette directive, il y a du mieux même si on peut espérer encore plus...

    Source:

  • Fraude fiscale et immigration

    Les chiffres incroyables du magistrat Prats

    Charles Prats, ex-magistrat de la délégation nationale de la lutte contre la fraude au ministère du Budget, ancien juge d’instruction, ancien inspecteur à la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières, toujours magistrat du siège (Cour d’Appel) et membre du conseil scientifique de la formation et de la recherche stratégique, a affirmé, et en a apporté les preuves, en présentant un document officiel du ministère de Bercy: "économie.gouv.fr", qu’il y avait 18 millions de gens nés à l’étranger qui sont titulaires d’un numéro de sécurité sociale en France.

    Sur ce chiffre, déjà suffisamment impressionnant, 10%, soit 1,8 million sont des numéros frauduleux destinés à récupérer des prestations sociales et cela représente un pillage de la "Sécu" d’environ 13 milliards d’euros annuellement.

    80% de ces faux documents, soit environ 1,4 million, sont des fraudeurs d’origines algérienne, marocaine, malienne, congolaise, etc.

    Selon Charles Prats, cette fraude organisée pourrait même atteindre les 20 milliards.

    On se demande à quoi servent ces "intelligences numériques" qui gèrent nos budgets sociaux en général et la Sécurité sociale en particulier et, bien entendu, les ministres et les technocrates en charge de ces services.

    Quand prendra-t-on la décision de délivrer un numéro unique par citoyen, décerné à vie, pour tous les documents administratifs et d’identité, comme cela est pratiqué en Espagne notamment et limite considérablement les fraudes ?   

    Les statistiques, publiées par le ministère de l’Intérieur, nous informent que les demandes d’asile sont en progression constante depuis 2017, selon l’OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides).

    La France est le deuxième pays d’Europe choisi par ces demandeurs, derrière l’Allemagne (près de 200 000 dossiers enregistrés).

    Environ 150 000 demandes d’asile ont été déposées chez nous, un chiffre encore jamais atteint.

    Selon les statistiques : 65 000 en 2013/2014, 70 000 en 2015, 87 000 en 2016, 108 000 en 2017, 122 743 en 2019

    À ces chiffres s’ajoutent plus de 35 000 demandeurs d’asile venant d’un autre pays européen (Allemagne, Italie, Espagne, etc. qui leur refusent tout simplement l’asile sollicité).

    Il est à noter une très forte progression de demandeurs en provenance d’Afghanistan, de Géorgie, de Guinée et de Côte d’Ivoire.

    36% environ de ces demandeurs d’asile obtiennent ce statut de réfugiés alors qu’ils arrivent de pays qui ne sont pas en guerre.

    Les expulsions des étrangers en situation irrégulière atteignent rarement les 10% de reconduites à la frontière.

    Dans le grand débat d’enfumage proposé par le président de la République a été évoqué, mais seulement évoqué, l’idée d’établir des quotas. Il est vrai que cette solution est approuvée par 60% des Français, selon un sondage Odoxa: "En matière d’immigration, une fois nos obligations d’asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?".

    Vous pouvez être assurés qu’il n’en sera plus question lors de la compilation des dizaines de revendications retenues puis mises "au placard".

    Le président de la République, Emmanuel Macron, aurait tout intérêt à mettre ce sujet très actuel dans la priorité des revendications des citoyens français car l’immigration clandestine ne cessera pas demain, ni dans les prochaines années, elle est devenue irréversible!

    La loi sur l’immigration (qui va être présentée à l’Assemblée nationale dans les prochains jours et devrait être une loi "contre" l’immigration et qui, je l’espère, sera rejetée par Les Républicains, le RN et une partie des "Macronistes") n’apportera rien de nouveau : les entrées illégales ne diminueront guère, bien au contraire, les OQTF continueront à " vivre chez nous ", les délinquants étrangers ne seront pas expulsés, les récidivistes binationaux "resteront Français" et nos frontières resteront largement ouvertes, ainsi que nos "poches" afin que notre "humanisme" (largement subventionné) porte "aides et assistance" bien davantage aux "étrangers" qu’aux "nationaux" qui, sans doute, méritent leur "misère" et doivent être punis puisque Français!

    Manuel Gomez

  • Ce que vous devez savoir sur l'Ukraine

    Whitney : remettre les pendules à l'heure

    On se demande juste si quelqu'un à Washington réalise ce qu'il a fait ?

    Écrit par Mike Whitney,

    Le 16 février 2022, une semaine entière avant que Poutine n'envoie des troupes de combat en Ukraine, l'armée ukrainienne a commencé le bombardement intensif de la zone (dans l'est de l'Ukraine) occupée principalement par des Russes de souche .

    Des responsables de la Mission d'observation de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) se trouvaient à proximité à ce moment-là et ont enregistré le bombardement au fur et à mesure qu'il se déroulait. Ce que l'OSCE a découvert, c'est que le bombardement s'est considérablement intensifié au cours de la semaine jusqu'à ce qu'il atteigne un pic le 19 février, lorsqu'un total de 2 026 frappes d'artillerie ont été enregistrées. Gardez à l'esprit que l'armée ukrainienne bombardait en fait des zones civiles le long de la ligne de contact qui étaient occupées par d'autres Ukrainiens.

    Nous tenons à souligner que les responsables de l'OSCE opéraient dans le cadre de leur capacité professionnelle en recueillant des preuves de première main des bombardements dans la région. Ce que leurs données montrent, c'est que les forces ukrainiennes bombardaient et tuaient leur propre peuple. Tout cela a été documenté et n'a pas été contesté .

    Ainsi, la question que nous devons tous nous poser est la suivante : le bombardement et le massacre de son propre peuple sont-ils un « acte de guerre » ?

    Nous pensons que oui. Et si nous avons raison, alors nous devons logiquement supposer que la guerre a commencé avant l'invasion russe (qui a été lancée une semaine complète plus tard ). Nous devons également supposer que la prétendue « agression non provoquée » de la Russie n'était pas du tout sans provocation, mais était la réponse humanitaire appropriée au meurtre délibéré de civils. Pour affirmer que l'invasion russe n'a pas été « provoquée », il faudrait dire que tirer plus de 4 000 obus d'artillerie sur des villes et des quartiers où vivent des femmes et des enfants n'est pas une provocation ? Qui défendra ce point de vue ?

    Personne, parce que c'est absurde. Le meurtre de civils dans le Donbass était une provocation claire, une provocation qui visait à pousser la Russie dans une guerre . Et - comme nous l'avons dit plus tôt - l'OSCE avait des observateurs sur le terrain qui ont fourni une documentation complète sur le bombardement tel qu'il a eu lieu, ce qui est aussi proche que possible d'un témoignage oculaire à toute épreuve.

    Ceci, bien sûr, est une rupture majeure avec le «récit officiel» qui identifie la Russie comme l'auteur des hostilités. Mais, comme nous l'avons montré, ce n'est tout simplement pas le cas. Le récit officiel est faux . Même ainsi, vous ne serez peut-être pas surpris d'apprendre que la plupart des grands médias ont complètement omis toute couverture des activités d'enquête de l'OSCE dans l'est de l'Ukraine. La seule exception a été Reuters qui a publié un compte rendu délibérément opaque publié le 18 février intitulé "La Russie s'alarme de la forte augmentation des bombardements du Donbass".

    Et voici quelque chose d'autre qui est généralement exclu de la couverture sélective des médias. Avant que Poutine n'envoie ses chars de l'autre côté de la frontière avec l'Ukraine, il a invoqué l'article 51 des Nations Unies qui fournit une justification légale à une intervention militaire . Bien sûr, les États-Unis l'ont fait à de nombreuses reprises pour fournir une feuille de vigne de légitimité à leurs nombreuses interventions militaires. Mais, dans ce cas, vous pouvez voir où la soi-disant responsabilité de protéger (R2P) pourrait en fait être justifiée, après tout, selon la plupart des estimations, l'armée ukrainienne a tué plus de 14 000 Russes de souche depuis le coup d'État soutenu par les États-Unis il y a 8 ans. . S'il y a jamais eu une situation dans laquelle une opération militaire défensive pouvait se justifier, c'était bien celle-là . Mais cela n'explique toujours pas complètement pourquoi Poutine a invoqué l'article 51 de l'ONU. Pour cela, nous nous tournons vers l'ancien inspecteur en armement Scott Ritter, qui l'a expliqué ainsi :

    Le président russe Vladimir Poutine, citant l'article 51 comme son autorité, a ordonné ce qu'il a appelé une "opération militaire spéciale"….

        en vertu de l'article 51, il ne peut y avoir aucun doute quant à la légitimité de l'affirmation de la Russie selon laquelle la population russophone du Donbass a été soumise à un bombardement brutal qui a duré huit ans et tué des milliers de personnes ... De plus, la Russie prétend avoir des preuves documentaires que l'armée ukrainienne se préparait à une incursion militaire massive dans le Donbass qui a été préemptée par «l'opération militaire spéciale» dirigée par la Russie. [Les chiffres de l'OSCE montrent une augmentation des bombardements gouvernementaux de la région dans les jours précédant l'arrivée de la Russie.]

        ..L'essentiel est que la Russie a présenté une revendication fondée sur la doctrine de l'autodéfense collective anticipée, conçue à l'origine par les États-Unis et l'OTAN, telle qu'elle s'applique à l'article 51 qui repose sur des faits et non sur de la fiction.

        Alors qu'il pourrait être à la mode pour les personnes, les organisations et les gouvernements occidentaux d'accepter la conclusion irréfléchie que l'intervention militaire de la Russie constitue une violation gratuite de la Charte des Nations Unies et, en tant que telle, constitue une guerre d'agression illégale, l'inconfortable la vérité est que, de toutes les affirmations concernant la légalité de la préemption en vertu de l'article 51 de la Charte des Nations Unies, la justification de la Russie pour envahir l'Ukraine repose sur un fondement juridique solide . ("La Russie, l'Ukraine et le droit de la guerre : crime d'agression", Consortium News)

    Traduction par une amie: l'article parle ensuite par ex, de la trahison de l'accord de MINSK....

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/whitney-setting-record-straight-stuff-you-should-know-about-ukraine

  • Ils sont fous, ces Canadiens???!!!

    Canada: un lycéen arrêté pour avoir dénoncé la théorie du genre!!!

    "J’ai dit qu’il n’y avait que deux sexes et que vous étiez né soit un homme soit une femme, et cela m’a causé des ennuis".

    Josh Alexander est un jeune Canadien âgé de 16 ans. Il n’est pas près d’oublier sa scolarité à l’école secondaire (l’équivalent d’un lycée français) Saint-Joseph, un établissement catholique à Renfrew, en Ontario.

    Son tort? Avoir remis en cause la théorie du genre en classe. Il a défendu sa position en argumentant qu’en accord avec l’enseignement catholique et la Bible, il n’y a que deux genres, masculin et féminin — et que, par conséquent, les hommes biologiques ne devraient pas être autorisés à entrer dans les toilettes des femmes.

    Grand mal lui en a pris, ses opinions l’ont fait suspendre: fin novembre, l’école a décidé d’interdire son accès à Josh. Le 6 février, celui-ci a voulu retourner en classe et a été accueilli par le directeur adjoint de l’établissement assisté de deux policiers locaux, qui ont interpellé le jeune homme pour pénétration illégale dans l’enceinte d’un lycée dont il ne faisait plus partie.

    Il a été escorté, sans menottes, jusqu’au véhicule de police. Un avocat représentant le lycéen a déclaré que l’école ne le laissera plus assister aux cours tant qu’il n’acceptera pas "de cesser d’utiliser l’ancien prénom d’un étudiant transgenre, et de ne plus participer à deux cours de l’après-midi car ces cours sont suivis par deux étudiants transgenres qui désapprouvent les croyances religieuses de Josh".

    En réponse à cette polémique, Josh Alexander a déclaré au National Post que les étudiants transgenres qui rejettent ses opinions devraient peut-être réfléchir au fait qu’ils fréquentent une école catholique, ou du moins une école qui se dit catholique.

  • Retour de bâton!

    Il fallait s'en douter!.... bien sûr

    Le Mali face à la montée de l’islamo-nationalisme

    Le 7 février, Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, se rendait au Mali. Une visite inédite témoignant du poids joué par le Sahel dans la géopolitique mondiale. Ce territoire se trouve aujourd’hui au cœur d’une bataille décisive entre la junte militaire au pouvoir à Bamako et les groupes terroristes.

    La fin de l’opération Barkhane, à l’été 2022, a accentué la présence de ces derniers dans la bande sahélo-saharienne. Bakary Sambe, enseignant-chercheur à l’université Gaston-Berger et directeur régional du Timbuktu Institute African Center for Peace Studies, a fait part de ses inquiétudes dans un entretien au Point.

    Cette situation favorise, selon lui, la progression du salafisme, qui s’impose désormais "non pas comme la religion des réfractaires au progrès social mais comme le mode de religiosité qui recrute le plus au sein des élites". Si les doctrines salafistes séduisent, c’est qu’elles sont perçues comme des " théologies de la libération".

    Bakary Sambe parle donc d’un " islamo-nationalisme", qui serait "favorisé par une conjoncture où, alors qu’émergent de plus en plus de revendications identitaires, l’imaginaire religieux et l’imaginaire nationaliste se rejoignent".

    Il observe ainsi une concordance de la gauche identitaire et des mouvances salafistes, "sous la bannière d’un mouvement de rejet du néolibéralisme et de contestation de la domination occidentale".

     

  • Scandale en Ardèche: les cathos veulent construire une église!

    Ce qui se passe à Saint-Pierre de Colombier, en Ardèche, est très grave. Des catholiques veulent construire une église, qui pourrait accueillir 3500 personnes.

    La gauche locale est vent debout contre le projet. (il y a encore des gens qui votent à gauche?????)

    Boudu! c'est tropporrible!

    Si les cons pouvaient voler, ils se satelliseraient autour de la lune!