Logiciel Dominion: – 2,7 millions de voix pour Trump, + 500 000 pour Biden!
Tandis que le camp démocrate s’entête à nier la fraude, qui s’avère chaque jour plus gigantesque, Trump et ses enquêteurs ne lâchent rien.
Les magouilles frauduleuses qui ont sévi dans plusieurs États, évidemment à sens unique, pour dépouiller Trump et lui voler la victoire.
Suite aux révélations faites par Sydney Powell quant à la gigantesque fraude informatique, capable d’inverser le verdict, Trump a twitté dimanche soir: “J’ai gagné l’élection”, affirmant que Dominion Voting System avait truqué le résultat avec son logiciel de dépouillement.
“Donald Trump a relayé jeudi dans un tweet, en lettres capitales, des informations de la chaîne conservatrice One America News Network (OANN) selon lesquelles le logiciel Dominion aurait "effacé 2,7 millions de votes Trump à travers le pays", et que des centaines de milliers de votes qui lui étaient destinés avaient été attribués à Joe Biden dans des États utilisant la technologie Dominion.”
Mais niant la machination à l’échelle nationale, puisque 28 États ont utilisé le logiciel Dominion, la gauche américaine, ainsi que ses valets européens, osent encore affirmer que “L’élection du 3 novembre a été la plus sûre de toute l’histoire des États-Unis”! Les tricheurs, ça ose tout!
Trump, parfaitement au fait de ce qui l’attendait dans ce combat truqué, nous avait prévenus qu’il ne gagnerait pas dans les urnes, mais seulement après un long combat judiciaire. Nous y sommes et le rusé milliardaire, si décrié en Europe, sait parfaitement où il va, malgré les innombrables obstacles que le système mondialiste met sur son chemin.
Pendant quatre années, la gauche a tout fait pour le déboulonner, l’accusant des pires turpitudes et lançant contre lui une procédure de destitution qui a pitoyablement échoué.
Cette fraude électorale, hallucinante par sa dimension, n’est donc que l’arme ultime que le camp mondialiste utilise pour écarter cet ennemi du politiquement correct, qui défend le peuple de l’Amérique profonde.
Mais cette arme pourrait bien se retourner contre les ennemis de la démocratie, qui ont essayé de trahir le peuple en falsifiant l’élection. Une ignominie sans nom.
Et la presse a beau brailler “pas de preuves”, suite aux terribles accusations de Sidney Powell, celles-ci sont d’abord réservées à la justice qui se met en marche.
Évidemment, avec une telle machination qui n’a été possible qu’avec des complicités à tous les niveaux de l’administration, le combat est long et difficile. Mais Trump le savait.
Selon Sydney Powell, des membres éminents du FBI et de la CIA sont mouillés. Une enquête criminelle s’impose pour débusquer ces complices de la conspiration.
Il reste près de quatre semaines pour confondre les tricheurs et annuler les élections partout où la fraude a été aussi massive qu’incontestable.
C’est à la justice et aux enquêteurs de livrer les preuves et à la Cour suprême de trancher.
Mais dans cette course à la vérité et à la justice, un deuxième élément interpelle. C’est la visite de Mike Pompeo en Europe.
En effet, que viendrait donc faire cet émissaire de Trump en Europe et au MO, si le sort de celui-ci est définitivement scellé et si Biden est d’ores et déjà le 46e président des États-Unis? Cela n’a aucun sens.
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Une tournée diplomatique sans lendemain, pour une administration qui ne sera plus là dans deux mois? Foutaises que tout cela!
Rappelons-nous la petite phrase de Pompeo, l’air narquois, à ceux qui s’impatientent et réclament la transition en douceur depuis le 4 novembre.
“Il y aura bien une transition en douceur… vers un deuxième mandat de Donald Trump”.
Nul n’est devin, mais je ne serais pas surpris que Pompeo soit venu voir les dirigeants européens pour leur signifier, preuves à l’appui, qu’ils ont adoubé Biden un peu vite. On imagine la gueule de bois de Macron et des médias si Trump est finalement consacré pour un deuxième mandat!
Chez RL, le champagne coulera à flots.
Car si les dirigeants et journalistes européens ne détiennent aucun élément prouvant la fraude, il serait tout de même consternant que le président des États-Unis, l’homme le plus puissant du monde qui met 60 millions de dollars dans la bataille judiciaire, n’ait aucun élément sérieux pour refuser la défaite depuis le 4 novembre.
Ses chance de l’emporter sont donc bien réelles.
Patience, les amis, l’avenir pourrait être des plus réjouissants… même si les forces du Mal sont toutes- puissantes.
Jacques Guillemain
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Je l'appelle Joe Bidet…. mais, je n'étais pas loin de la réalité!