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société - Page 117

  • Les tribulations des Chinois en Chine

    Coronavirus, alerte maximale: on nous ment!

    On nous ment bien sûr. Et j’ai une petite idée sur les objectifs de ces mensonges. Mais examinons d’abord la situation. Le virus a  atteint maintenant presque tous les pays du monde, grâce aux bienfaits d’une mondialisation débridée que nous dénonçons depuis longtemps et qui ne profite qu’à une oligarchie déconnectée de la vie réelle qui a réduit nos dirigeants à l’état de pantins. .

    Où en est-on en Chine? Aux dernières nouvelles, selon Epoch Times, le crématorium de Wuhan, équipé de 30 fours crématoires dernier cri (sans jeu de mots) et de 346 lits mortuaires réfrigérés sur lesquels se succèdent à un rythme infernal les corps à  brûler, seul moyen d’éviter la contamination par les cadavres, fonctionne 24 heures sur 24.  Deux cents cadavres y sont brûlés par jour… pour l’instant, parce qu’à l’allure où le virus se propage, le nombre de morts est destiné à augmenter dans des proportions considérables. La Chine annonce cent mille personnes infectées avec un taux de 3 000 décès dus au virus. Ce qui ferait 3% de morts, si cependant les données s’avèrent exactes car l’on n’est qu’au début de l’épidémie et on ne connaît pas encore ce virus.

    Or la Chine, c’est un milliard et demi d’individus. Et des individus mobiles et dynamiques. Or d’une part ces chiffres sont ceux de la semaine dernière, donc largement minorés aujourd’hui, et selon la journaliste Jennifer Zheng (@jenniferatntd) il y aurait maintenant entre 5 et 7 crématoriums travaillant d’arrache-pied dans la ville. Autrement dit, bien plus que de morts annoncés. Ce que confirme un autre journaliste, William Yang (@WilliamYang120). D’autre part, les modes de propagation du virus restent inconnus à ce jour et les masques s’avèreraient insuffisants. En effet, les scientifiques qui travaillent sur le sujet ont constaté que les matières fécales des malades contenaient le virus qui ne se transmettrait donc pas seulement par les substances émises par la toux, les crachats et l’éternuement.

    Nous sommes face à une pandémie. Comme celle de la peste qui, partie de Chine, élimina au XVe siècle la moitié de la population de l’Europe. Ou la grippe dite espagnole à la fin de la Première Guerre mondiale qui fit quarante millions de victimes, plus que celles de la guerre. Certes, nous n’en sommes pas encore là et les moyens ont changé, du moins pouvons-nous l’espérer. Car on ne sait pas comment la maladie va évoluer. Mais tout de même, la société de données Bianco Research évalue le nombre de contaminés dans le monde à 184 millions à la fin de ce mois de février. Si l’on se réfère aux 3 000 morts en Chine la semaine dernière pour cent mille infectés, cela donne une mortalité de 3%. Donc sur les 184 millions de malades, il pourrait y avoir 5,5 millions de morts. Et dans les mois suivants? Dans l’année?

    L’OMS vient de décréter l’urgence internationale, malgré les pressions exercées par la Chine… tout en déclarant qu’il n’y a pas lieu de limiter les déplacements internationaux. On rêve!  Et de s’excuser: "il ne s’agit pas d’un vote de défiance à l’égard de la Chine", a déclaré son directeur général monsieur Ghebreyesus. Mais sans doute est-ce déjà trop tard, le mal est fait, le virus se balade tranquillement partout dans ce monde de migrations généralisées.

    Et chez nous, en France? Double discours, comme d’habitude. Certes Macron vient d’avancer que la France est dans la vigilance la plus extrême (mais quelles sont les mesures prises? Les conseils à la population? Rien, débrouille-toi tout seul, toi qui subis les effets de cette mondialisation dont tu ne voulais pourtant pas), et dans le même temps, les autorités se veulent rassurantes. Sans blague!

    En  Chine aussi tout a commencé par un premier patient, puis deux, trois, dix, cent, cent mille. Alors chez nous où on a annoncé 6 cas, à quelle vitesse la maladie progressera-t-elle? Et pourquoi mentir au peuple? On me taxera une fois de plus d’avoir l’esprit mal tourné, mais je ne puis m’empêcher de penser que le rêve des oligarques, c’est de voir disparaitre 80% de la population mondiale et de préférence en commençant par les personnes âgées, censées être les plus fragiles. Alors de là à établir un lien, je suis presque prête à sauter le pas.

    Louise Guersan

    https://ripostelaique.com/coronavirus-alerte-maximale-on-nous-ment.html

     

     

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  • France, orange mécanique - 4

    Coups de couteau et tabassages explosent : Macron s’en fout !

    À la veille des municipales, le pouvoir feint de s’emparer des sujets régaliens et notamment de la sécurité, devenue le premier souci des Français, devant le pouvoir d’achat et le climat.

    Mais à l’approche des 1 000 jours du quinquennat, on ne peut que faire le sinistre constat de l’incompétence et de l’hypocrisie flagrante de Macron, dans la lutte contre la délinquance.

    Car au-delà des beaux discours mensongers pour tromper le peuple français, nous assistons à une explosion sans précédent de l’insécurité.

    C’est un désastre, pour la simple raison que ce fléau n’a JAMAIS été la priorité de Macron, qui refuse de faire l’amalgame immigration-criminalité, pourtant bien réel quand on regarde les statistiques de la DCPJ et de la DCSP, ou que l’on observe l’origine des 3/4 des détenus.

    D’ailleurs la carte des agressions dans les départements se superpose parfaitement à celle des fortes concentrations d’immigrés. C’est incontestable.

    Combattre la violence de rue, c’est placer l’immigration dans le collimateur de la justice et de la police, ce à quoi l’establishment bien-pensant répugne au plus haut point.

    D’où l’absence totale de réponse pénale qui encourage les multirécidives.

    Et notre Président ne trouve rien de mieux que d’humilier et de mépriser nos policiers, en posant  avec un t-shirt représentant un félin éborgné, marqué LBD 2020 ! Révoltant ! Il les insulte, mais face aux Gilets jaunes, il n’a cessé de renforcer sa protection personnelle, pendant que celle des Français est oubliée. Son bilan, le voici :

    1 000 agressions gratuites par jour.

    970 homicides, 76 morts de plus qu’en 2018.

    2 507 tentatives d’homicide, soit une hausse de 105% en 6 ans !!

    Coups de feu, coups de couteau et tabassages explosent (Alain Bauer).

    Le grand sport chez les " jeunes" est  de "ramollir" leur victime, la tabasser jusqu’à ce qu’elle devienne molle. À 10 contre 1 de préférence, c’est plus amusant.

    Coups et blessures en hausse de 9%.

    Violences sexuelles en hausse de 12%, alors que 90% des viols ne sont pas déclarés.

    100 000 peines de prison ferme non effectuées faute de places.

    Abandon pur et simple du projet de construction de 15 000 places de prison, promesse de campagne.

    Seulement 25% des amendes pour escroquerie ou trafic de stupéfiants sont recouvrées. (Xavier Bertrand)

    Baisse de 11% des moyens attribués à la police, avec une baisse des crédits de 123 millions d’euros !

    Explosion du nombre de zones de non-droit et 150 quartiers passés aux mains des islamistes selon la DCRI.

    Les 3/4 des citoyens ne se sentent plus en sécurité nulle part.

    Il en est de l’insécurité comme de l’immigration : discours de fermeté trompeur, pendant que Macron signe le Pacte de Marrakech qui légalise l’immigration clandestine.

    Mais ce n’est pas avec un parc de 61 000 places de prison qu’on va régler le problème de l’insécurité. Il en faudrait le double.

    La justice répugne à incarcérer les malfrats. Avec 117 détenus pour 100 000 habitants, dont 22% d’étrangers, la France incarcère proportionnellement cinq fois moins que les États-Unis.

    Le laxisme judiciaire se résume à ce simple constat: Depuis 1950, le taux de criminalité a été multiplié par 7.

    Et Macron reste les bras ballants, n’ayant pour seule obsession que de vider les prisons pour limiter la surpopulation carcérale, actuellement dans le collimateur de Bruxelles.

    Plus il ouvre les frontières en accordant un nombre de visas historique, plus l’insécurité explose.

    Au hit parade des villes les plus dangereuses d’Europe, Marseille rafle la mise.

    https://fr.sputniknews.com

    Évidemment, les autorités locales contestent. Mais selon le Canard enchaîné, les statistiques de la police marseillaise sont bidouillées à la baisse.

    Au rythme actuel de l’immigration et du renoncement du pouvoir, tout ne peut qu’empirer et faire de la France un des pays les plus dangereux d’Europe.

    Jacques Guillemain

    https://ripostelaique.com/coups-de-feu-coups-de-couteau-et-tabassages-explosent-macron-sen-fout.html

     

     

  • Français: lâches… ou lâchés par l’Etat?

    Agression filmée dans le métro : pourquoi Marlène Schiappa ferait bien de se pencher sur les raisons profondes qui dissuadent les témoins d’intervenir

    Atlantico.fr : Une vidéo montrant une jeune femme se faisant violemment agresser par un homme, sur la ligne 9 du métro parisien, a fait le tour des réseaux sociaux. La Secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, a déploré, sur Twitter, que les autres passagers du métro soient restés passifs.

    Si Marlène Schiappa n’a pas tort de déplorer la passivité de la plupart des voyageurs ayant été témoins de la scène, son commentaire n’est-il pas réducteur ? En effet, n’est-ce pas commettre une erreur que de réduire leur passivité à une sorte de lâcheté ?

    Gérald Pandelon: Je crois d’abord qu’il est toujours plus aisé de donner des leçons de morale et de civisme lorsque l’on peut se permettre de regarder les choses de loin ; d’ailleurs, j’aurais été curieux de connaître le nombre de ministres qui auraient eu le courage de s’interposer en pareilles circonstances… Il est effectivement davantage de politiques qui réagissent au fond de leur canapé au sein de palais feutrés que dans la réalité des coupe-gorge que sont devenus nos métros…Je crois, en effet, que la critique est aisée et l’art est difficile, surtout dans nos sociétés hyper-individualistes du chacun pour soi.

    D’ailleurs, en temps normal, des voisins de pallier ne s’aident que rarement, pourquoi voudriez-vous alors que ces mêmes personnes fassent montre de courage dans des situations plus exceptionnelles? La réalité c est que nos sociétés aseptisées produisent des lâches car la figure du guerrier est reléguée à la portion congrue voire ringardisée. C’est aussi l’un des motifs pour lesquels les sociétés holistes (l’Islam, notamment) qui font de la force une vertu s’imposent aussi facilement dans des sociétés individualistes comme les nôtres.

    Ensuite, les juges ont tendance en France à sanctionner ceux qui auront fait preuve de courage en intervenant physiquement de la même façon que les réels auteurs des faits.

    Il faudrait quand même que certains magistrats aient une réelle connaissance de la vie avant de juger, que le bon sens l’emporte sur une stricte application de la loi pénale. En même temps, que voulez-vous que connaissent à la vie un auditeur de justice fraîchement sorti de l’ENM à 23 ans ? Ce gamin sera sans doute, assez souvent, un bon juriste, mais n’aura aucune expérience. Je crois comme mon confrère Jean-Michel Darois (Le Point du 31 octobre 2019, p. 123), qu’il faudrait supprimer cette école pour ne recruter les magistrats qu’au sein de la société civile sur le modèle anglo-saxon.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Atlantico

     

  • Mila : les dégâts du relativisme, dérive de tout un pays

    par h16

    On ne peut pas dire que les commémorations de l’attentat de Charlie Hebdo auront servi à quoi que ce soit, au contraire. Alors que des foules étaient sorties manifester dans les jours qui avaient suivi l’assassinat de la rédaction du journal satirique, les années qui ont passé ont très clairement permis aux opinions d’évoluer, mais pas du tout dans le bon sens : si le droit au blasphème semblait acquis en République française en 2015, il n’en va pas du tout de la même façon cinq ans plus tard.

    Beaucoup a déjà été dit dans " l’affaire Mila ", cette adolescente qui, lors d’une vidéo en direct, a exprimé aussi clairement que crûment son avis sur l’islam (" c’est de la merde " selon elle), entraînant insultes, menaces de mort à son encontre et sa déscolarisation expresse. Son développement actuel permet cependant d’illustrer la dérive de tout un pays.

    Tout d’abord, on ne peut que souligner l’incroyable lenteur et la mollesse consternante du soutien de tout ce que le pays comprend pourtant d’associations, souvent subventionnées à fonds publics, militantes tant pour le droit des femmes que pour le droit des lesbiennes ou pour la liberté d’expression.

    Une semaine après le début de la fièvre qui s’était emparée des réseaux (et avant qu’une autre fièvre, plus médicale celle-là, vienne définitivement faire oublier l’effervescence médiatique autour de Mila), les communiqués de presse des associations les plus concernées ne se bousculent pas, à tel point que Charlie Hebdo s’en est ouvert

    Alors que le moindre dérapage qu’on pourrait vaguement soupçonner, de loin, comme homophobe, déclenche généralement la montée en sauce immédiate de toute la garde et l’arrière-garde médiatique, depuis twitter jusqu’aux besogneux journalistes des inévitables journaux " engagés " en passant par les blogs plus ou moins connus, il aura fallu plusieurs jours d’insultes homophobes, de menaces de viol et de mort pour qu’enfin, quelques associations émettent de petits tweets dans lesquels elles se font fort d’expliquer qu’elles n’approuvent pas des masses ces réactions, tout en bardant leurs désapprobations calculées d’un petit " même si " qui montre clairement l’absence de soutien à l’adolescente.

    Quant au gouvernement, il est resté sagement muet, laissant bien sûr toute l’affaire se développer sans piper le moindre mot jusqu’au 24 janvier, une semaine après les faits, par le truchement de l’inutile secrétaire d’État Schiappa qui s’empressera à la fois de soutenir Mila (malgré tout) et de (bien sûr) charger l’odieuse récupération politique de l’affaire par l’extrême droite, sans quoi ce soutien de dernière minute aurait pu apparaître comme sincère.

    L’affaire est entendue : nous sommes dans le règne du " oui mais ".

    Tout ce que la France compte d’influents semble d’accord pour user d’une grosse louche de relativisme qui met sur le même plan les menaces de viol, de mort, de torture et les expressions d’opinion, parfaitement légales et autorisées, d’une adolescente de 16 ans. On murmure que oui, toutes ces menaces de mort, c’est tout même pas terrible, ça fait un peu tache dans une République du vivrensemble, et on s’empresse d’ajouter un petit " MAIS " pour embrayer sur une analyse plus ou moins subtile des propos tenus pour savoir, si, finalement, l’ado ne l’aurait pas un petit peu cherché, hein, m’voyez.

    À tel point que le procureur de la République saisi du dossier s’est empressé d’ouvrir une enquête sur les menaces de mort (eh oui, c’est la loi)… tout en ajoutant bien sûr une autre enquête sur la jeune fille (pour incitation à la haine raciale, la race islamique devenant apparemment un concept légal en France), histoire de faire bonne mesure.

    En cela, ce procureur n’est même pas différent du délégué général du Conseil français du culte musulman qui a expliqué que, je cite, " Mila l’a bien cherché ". Si quelques réactions ont bien été enregistrées à la suite de la saillie de ce piètre représentant religieux dont l’argument peut se décliner facilement sur d’autres modes (" Charlie hebdo l’a bien mérité " ou " Elle portait une jupe trop courte, elle a bien mérité son viol "), on regrette l’absence palpable de toute réaction devant l’enquête ouverte par le procureur alors qu’elle procède exactement du même raisonnement.

    En réalité, l’attitude de ce responsable du CFCM, de ce procureur et de ces associations montre l’incroyable dérive du pays.

    D’une part, on sent se refermer sur les ligues de protection féministes un piège paradoxal, illustré par la récente affaire du poster " Islam is right about women " qui avait outré tous les bien-pensants aux États-Unis : ces associations, trop souvent engluées dans des paradigmes gauchistes, se retrouvent entortillées dans leurs contradictions internes à vouloir tout faire d’un côté pour favoriser l’égalité homme-femme, tout en se gardant bien, d’un autre côté, de dénoncer le sexisme inégalitaire et souvent violent de certains musulmans. Elles savent pertinemment qu’une telle dénonciation serait immédiatement taxée d’islamophobie, ce qu’elles redoutent presque autant que les coups de mâles blancs cis-hétéros privilégiés de 40 ans qui mangent du quinoa.

    D’autre part, autant il semble acquis qu’en France, on peut amplement se payer la fiole du catholicisme, tant leurs pratiquants sont policés et que les débordements sont, de nos jours, plutôt rares pour ne pas dire inexistants, autant il semble plus délicat de se moquer du judaïsme qui déclenche plus facilement un tollé médiatique, autant il semble maintenant impossible d’émettre une critique même raisonnable de l’islam tant les réactions de certains sont extrêmement violentes, en ce compris des passages à l’acte : Mila aurait balancé un " Le catholicisme est une religion de merde ", elle serait encore inconnue des réseaux sociaux à l’heure qu’il est…

    À tel point qu’un blasphème, parfaitement légal en France, se voit pourtant assorti d’une petite enquête, au cas où, et histoire de montrer que la République sait s’aplatir quand il faut apaiser les passions dangereuses, n’est-ce pas (à ce titre, je n’ai pas souvenir de la moindre enquête jamais ouverte pour incitation à la haine raciale pour des propos blasphématoire anti-chrétiens ou anti-juifs).

    Ces deux éléments (le piège paradoxal dans lequel ont sombré trop de personnalités, et la violence maintenant prise en compte de certains coreligionnaires musulmans) montrent l’incroyable dérive d’un pays dont les institutions n’ont pourtant pas arrêté de harper sur leur neutralité religieuse depuis 1905.

    Cette dérive pourrait être limitée à quelques personnages du gouvernement, quelques figures de proue religieuses, quelques têtes de gondoles des associations féministes mais pas trop.

    Malheureusement il n’en est rien.

    La dérive est bien ancrée dans toute la société française qui cherche, au travers même de ses représentants, à museler les opinions dissidentes, cette liberté d’expression qui pourrait amener certains à se sentir froissés, à éprouver une gêne, à avoir les yeux humides et à piquer des colères lorsqu’on vient heurter, par des paroles ou des opinions tranchées, leurs petits sentiments d’êtres fragiles, et qu’aucun cerfa républicain ne suffira à apaiser.

    L’incroyable loi Avia, du nom de cette député qui a tenté de grignoter un chauffeur de taxi, en est le dernier exemple le plus consternant, qui vise à limiter la parole sur des motifs extrêmement flous ("lutter contre la haine sur internet"). Si on a bien du mal à définir ce que "haine" signifie effectivement, on voit en revanche très bien comment des pans entiers de la liberté d’expression seront passé au broyeur à poussins.

    À vouloir rechercher, à tout prix, l’apaisement et un vivrensemble chimérique, quitte à criminaliser les opinions qui dérangent, on a complètement vicié les rapports sociaux entre individus dans ce pays où chacun ne cherche plus qu’à faire taire l’autre au motif d’un respect impératif qui n’existe plus.

    Ce pays est foutu.
    —-
    Sur le web

  • Concernant la canicule de 2003

    En 2003, à l'occasion de l'épisode caniculaire, Libération avait interviewé Emmanuel Le Roy Ladurie.

    Emmanuel Le Roy Ladurie, 74 ans, professeur au Collège de France, a écrit une Histoire du climat depuis l'an mil (Flammarion, 1967), maintes fois rééditée, qui reste le livre de référence sur le sujet.

    Que faut-il penser de la canicule actuelle?

    J'aurais plutôt tendance à la relativiser; même si l'aggravation du phénomène d'effet de serre est une rupture dans l'histoire du climat qui peut ouvrir une nouvelle ère climatique avec un ou deux degrés de différence. Ce qui aurait des conséquences incalculables. Mais l'actualité d'un été chaud, c'est autre chose: ce genre de grande sécheresse n'a pas manqué dans l'histoire française.

    En 1168, la Sarthe a séché. De même, l'été magnifique de 1351, où le prix du froment a été multiplié par trois à cause de sa rareté, avec "échaudage“, comme l'on disait, ce qui entraînait des moissons et des vendanges très précoces, un vin en faible quantité mais excellent.

    Vous avez aussi des séries d'étés caniculaires consécutifs, des micro-ères climatiques: 1331-1334, quatre étés de suite, 1383-1385, trois étés, ou encore la première moitié du XVIe siècle, particulièrement douce, où l'on peut parler d'un petit âge du réchauffement. L'été, les glaciers reculent beaucoup, la neige fond très haut. En 1540, beaucoup de témoins habitant les Alpes l'ont noté.

    A partir de 1560, on entre dans une autre période climatique, le"petit âge glaciaire", les étés caniculaires se font plus rares. Il y en a cependant encore, par exemple en 1636, l'été du Cid, où les témoins évoquent "un effroyable harassement de chaleur" pendant plusieurs semaines à Paris.

    En cas de forte chaleur, quel est l'ennemi principal des Français?

    D'une part, la précocité et le faible rendement des récoltes, donc la rareté du grain, son prix qui flambe. D'où des phénomènes de disette, voire de famine. Mais la pluie est l'ennemi numéro 1, davantage que la chaleur: l'été pourri est plus redouté que l'été trop chaud.

    En revanche, la mortalité grimpe lors des étés trop chauds à cause de la dysenterie. Le niveau des fleuves et des cours d'eau baisse, l'eau puisée pour vivre et boire est plus vaseuse, infectée, polluée, et la mortalité est spectaculaire. 500 000 morts lors de l'été 1636 ou de l'été 1705,

    700 000 lors des étés caniculaires de 1718-1719, avec même l'apparition de nuées de sauterelles et une forme de climat saharien sur l'Ile-de-France.

    Ces morts, ce sont surtout les bébés et les petits de l'année. Il y a, régulièrement, des générations décimées en France par la chaleur.

    Actuellement, les principales victimes, dans une proportion moindre, ce sont les vieux. L'autre conjoncture catastrophique était ce que l'on peut appeler le "modèle profiterole", c'est-à-dire une accumulation rapprochée de catastrophes climatiques. C'est le cas du contexte prérévolutionnaire: en 1787-1789 se succèdent de fortes pluies à l'automne, la grêle au printemps 1788 et un été suivant caniculaire.

    Ce fut explosif: échaudage, disette, cherté du grain. C'est à partir de ce moment que la chaleur a mis les gens dans la rue, et n'a plus été acceptée comme une simple fatalité.

    d'où la révolution française! NDLaR

    C'est-à-dire que les Français, en période de chaleur, commencent à se tourner vers les pouvoirs publics?

    Moins les étés deviennent meurtriers, plus les gens se tournent vers l'Etat, et ce n'est pas un paradoxe: à partir du moment où l'Etat se mêle de plus près de la vie des gens, ceux-ci sont plus exigeants et plus enclins à dénoncer les incuries du pouvoir central. Ce processus historique accompagne la baisse de la violence, confisquée par l'Etat, ou la chute de la mortalité. Les interventions de l'Etat en période de canicule visent essentiellement à conjurer ou à limiter les effets de la famine.

    Dès la fin du XVe siècle, Louis XI tente d'instaurer un"maximum" (un contrôle des prix) en période de canicule. L'intervention massive vient avec Louis XIV et Colbert, très typique de la monarchie absolue: importations de blé, interdiction d'exporter, instauration de réserves dans les greniers d'abondance.

    Cela vise aussi à répondre aux deux principales accusations des Français en période de canicule: l'Etat ne fait rien ou, au contraire, ferait tout pour spéculer sur la cherté du blé, c'est ce qu'on appelle au XVIIIe siècle le "complot de famine".

    Comment les gens ou les autorités anticipaient-ils les étés trop chauds?

    Plus encore qu'aujourd'hui, les Français ne parlaient que de cela: le climat était le sujet principal de conversation. Les marchés, par exemple, étaient suspendus aux nouvelles. On trouve aussi des théories, assez tôt, non pas sur les prévisions, impossibles, mais sur les tendances.

    Les fontes de glaciers ou les séries étaient interprétées: Mme de Sévigné évoque le fait que"le procédé du soleil et des saisons a changé" pour expliquer une série d'étés caniculaires successifs. Les curés jouaient aussi un rôle spécifique, ils étaient les baromètres de l'époque, prédisant plus ou moins le climat à venir.

    Si bien que les autorités, souvent sous la pression des Français, pouvaient anticiper. Arrachage de vignes, par exemple (entre 1587 et 1600), ou même constitution de réserves d'eau potable, qui commencent dès le début du XIXe siècle dans certaines municipalités.

     

  • Français, pratiquez l’évitement...

    regroupez-vous hors des zones islamisées

    Les récentes déclarations du Président Macron sur la partition musulmane en cours ne laissent rien espérer de bon. Surtout comme l’ont déjà très bien dit Lucette Jean-Pierre et Josiane Filio, qu’il n’entend rien faire pour s’y opposer.

    Le président de la République française ne compte rien faire pour enrayer le mouvement. Au contraire, il nous recommande de nous y faire. Pire, on peut largement comprendre que son projet est justement de consacrer cette partition afin de finir de dissoudre ce qu’il reste de la France telle que nous l’avons connue.

    Les Français abandonnés. Nous voilà donc prévenus, les citoyens français sont laissés seuls face à la menace. L’État ne fera rien pour les protéger. Au contraire, il fera tout pour aggraver la situation: signature du pacte de Marrakech, laxisme judiciaire, libération et réimportation de terroristes avérés qui formeront l’encadrement militaire de la cinquième colonne, importation accélérée et sans contrôle de nouveaux venus dont certains sortent directement des prisons de leurs pays d’origine, immigration de masse et sans aucun contrôle, victimisation et légitimation de la vindicte des masses musulmanes.

    Dans ces conditions, nous ne pouvons plus compter que sur nous-mêmes. L’abandon est tel que dans nos vies personnelles, nous ne pouvons plus compter que sur nous-mêmes. Personne ne nous protège plus, ni ne nous protègera. Ainsi il n’est que de voir le déni de l’Éducation nationale face aux agressions barbares de professeurs ou d’enfants blancs par de jeunes barbares totalement désinhibés. Quel professeur, quel enfant peut se sentir protégé par l’Éducation nationale? Que dire de la justice? Et que dire des forces de l’ordre auxquelles il est donné consigne de laisser faire les barbares et de nous casser la gueule à nous?

    Que faire à titre personnel pour se protéger au quotidien? Il ne s’agit pas ici de savoir comment lutter au plan politique contre cette volonté de destruction du pays. Simplement de voir comment, à titre personnel, on peut se protéger des conséquences de cette avancée de la barbarie ou, plus simplement, échapper aux incivilités et à la promiscuité insupportable. Qui a envie de vivre dans un cloaque urbain au milieu de gens qui nous détestent, qui ne respectent aucune règle et qui au contraire vont tout faire pour vous pourrir la vie?

    L’évitement, seule protection du citoyen abandonné par l’État. Dans ces conditions et à ce point d’avancement de la pression et du risque pour chacun, l’évitement est la seule solution pour tenter de se protéger. D’ores et déjà, le niveau de la menace est devenu extrêmement prégnant. Qui n’a pas eu connaissance dans son entourage ou dans sa proximité géographique, d’incivilités récurrentes, d’une agression, d’une attaque, voire d’un assassinat ou d’un massacre?

    Qui peut sérieusement se dire qu’il ne risque strictement rien dans certains endroits, à certaines heures ou dans telle ou telle circonstance? Quelle femme n’est pas d’ores et déjà dans l’évitement, même si elle s’en défend pour se conformer au politiquement correct.

    L’évitement par un apartheid à l’envers. L’évitement consiste à raréfier au maximum les contacts avec ces populations, à éviter les zones où elles nidifient, à n’entretenir aucun commerce avec elles, aucun rapport. L’évitement consiste en une sorte d’apartheid à l’envers.

    Si on nous impose leur présence, alors qu’ils restent entre eux et nous entre nous. Bien entendu, cela n’est pas simple pour tout le monde, et il appartient à chacun, en fonction de sa situation personnelle, de définir les limites de ce qu’il peut faire et selon quel agenda. Mais, chaque personne inquiète de la tournure des événements et pessimiste quant à l’avenir doit se mettre en disposition d’échapper au gros du risque lié à un côtoiement subi.

    La localisation géographique, première condition de l’évitement. La première des dispositions est de s’éloigner des zones concernées. Sortez des villes gangrenées, fuyez au loin dans la France périphérique. Tant pis pour le travail, vous trouverez toujours à vous réorganiser ou à changer d’orientation. Surtout, vous y ferez des économies de loyer, ou sur l’acquisition de votre logement, la vie y sera plus agréable pour vous et pour vos enfants. Arrêtez de conditionner votre lieu de résidence et votre vie à votre travail. Conditionnez votre travail à votre lieu de résidence.

    Le regroupement dans des zones homogènes pour anticiper l’avenir. On en parle de plus en plus et certains auteurs commencent à y faire référence. Compte tenu de ce qui se prépare et, contre quoi il semble bien que nos ne puissions plus rien dans le registre de l’action politique globale, une solution pourrait être d’anticiper la confrontation finale en nous regroupant dans des zones homogènes, non encore envahies. Bien entendu, le pouvoir fait tout ce qu’il peut pour accélérer l’épandage et pour farcir le pays dans la profondeur. Toutefois, ce n’est pas encore fait et des zones subsisteront où nous serons encore largement majoritaires. Une décantation géographique permettrait de préparer la reconquête.

    Évitez de vous exposer. N’entrez plus dans les grandes villes. Pratiquez l’évitement social, culturel, scolaire, sortez vos enfants des écoles ou des clubs sportifs trop envahis, évitez les grandes zones commerciales, évitez les gares, les stades, les zones de forte concentration humaine où vous ne pourrez pas échapper au côtoiement.  Même chose au travail, n’entrez pas dans des boîtes qui font de la mixité une raison sociale.

    Boycottez les produits qui nous assomment de publicités ethniques. Bref, discriminez tout ce qui ne vous convient pas. Vous y perdrez peut-être en commodité, mais vous y gagnerez en sécurité, en cohérence personnelle et en estime de vous-même. Bref, ça ira mieux pour vous.

    La première des résistances, c’est de se soustraire à la soumission par la promiscuité imposée. Libérons- nous, regroupons-nous hors de zones tenues par les islamistes.

    Carte des zones sensibles. Les informations sont occultées et les cartes documentées ont disparu d’internet. Toutefois, il en reste une datant de 2010 qui recense toutes les ZUS. Vous y verrez le détail département par département et zone par zone, ainsi que les rues concernées au cas par cas.

    Enregistrez ce document tant qu’il est encore disponible et surtout regardez ce qu’il se passe à côté de chez vous et là où vous projetez de vous relocaliser. N’allez pas retomber de Charybde en Scylla. Si vous le pouvez, à titre personnel, mettez-le à jour en fonction de ce que vous aurez pu constater dans votre voisinage.

    ZUS

    Addendum. Bien entendu, je suis profondément nationaliste et jamais je ne me résoudrai à une partition territoriale. Malheureusement, le pire n’est pas exclu et il n’est pas inutile de s’y préparer. Surtout si par ailleurs, cela permet de mieux vivre.

    Martin Moisan

    Une décision lourde de conséquences. Suppression de l’ONDRP : “Autrement dit, toutes les statistiques sur l’état général du pays et sur la façon dont l’État s’acquitte de ses fonctions régaliennes, lourdement payées avec vos impôts, seront entièrement dans les mains de ceux qu’elles sont censées évaluer“. Un beau piège aménagé sur mesure pour des Français bien peu réactifs :

     https://www.dreuz.info/2020/01/23/la-disparition-bien-commode-de-lobservatoire-de-la-delinquance/?fbclid=IwAR0lz9Q8yxtpX3WoSd_qnJ3Ex1DC1f9am-hv7TO_qlQorYg2jbJDrroB_18