1920 - 2020
Le martyre de la sainte patronne de la France
ECOUTEZ!
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1920 - 2020
Le martyre de la sainte patronne de la France
ECOUTEZ!
J’ai enseigné à des Asiatiques, à des Maliens, et à des Maghrébins…
Dans son article "Bons élèves à l’école, pourquoi les Asiatiques font la course en tête, et les Maghrébins et les Turcs en queue", Jean-Paul Brighelli pointe une réalité que j’ai moi-même observée lorsque j’enseignais dans un collège de Marne-la-Vallée au début des années 1980.
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Un certain nombre d’élèves, fuyant avec leurs parents les crimes génocidaires de Pol Pot mais aussi les boat-people provenant du Vietnam quittant l’enfer du pays "libéré" par les communistes, ont trouvé refuge en France et dans d’autres pays européens.
Beaucoup de Cambodgiens étaient d’origine chinoise. Ils faisaient partie de l’élite de la population cambodgienne car les Chinois étaient excellents commerçants. Beaucoup avaient donc pu financer un voyage très périlleux. Je me souviens très bien d’une famille cambodgienne qui avait trois enfants, deux filles qui étaient dans ma classe en cinquième et un garçon en primaire. Le père était médecin au Cambodge. Il dut repasser tous les examens pour obtenir une équivalence de ses diplômes afin de pouvoir exercer en France. Ce qu’il fit brillamment.
Tous les Asiatiques qui avaient trouvé un domicile dans la commune étaient d’excellents élèves et ceux qui ne parlaient pas couramment le français ont rapidement progressé. Leurs parents étaient très attentifs au fait de bien parler la langue du pays d’accueil.
Non seulement il n’y a jamais eu un seul problème de discipline avec ces élèves, mais ils furent très vite parmi les meilleurs des classes où ils se trouvaient, leurs résultats scolaires étant excellents. Leur soif d’apprendre était évidente. Lorsque je rencontrais les parents (ou les grandes sœurs quand ces derniers ne parlaient pas bien le français), ils montraient une réelle attention aux études de leurs enfants, à leurs progrès et ils soutenaient les professeurs en nous remerciant. Je dois dire que ce fut un des moments les plus agréables de ma carrière. Les parents voulaient que leurs enfants réussissent à l’école pour obtenir un bon métier plus tard. Même lorsqu’ils parlaient le français avec quelques difficultés, ils suivaient de près les études de leurs enfants.
Au bout de quatre années, le médecin cambodgien dont j’avais les deux filles en classe put monter son propre cabinet. J’évoque ce cas parce que j’ai particulièrement bien connu cette famille, et si tous n’étaient pas médecins parmi les arrivants, tous ont trouvé un travail.
En conclusion, je peux dire que cette population asiatique établie dans une commune de la périphérie s’est bien adaptée, elle n’a jamais posé de problèmes, a ouvert plusieurs restaurants et commerces chinois ou vietnamiens, ce qui était bien accepté car notre commune faisait partie de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée où tout était à construire.
Avec la politique de regroupement familial, largement encouragée par la gauche, nous avons vu arriver un contingent de Maliens (tous musulmans) dans cette même commune, ainsi que de nombreuses familles maghrébines.
Les Maliens qui, pour beaucoup, ne parlaient pas le français, ont tout de suite posé problème. À tel point que dans une commune voisine, qui avait accueilli un nombre explosif d’élèves de ce pays, le collège a dû fermer car les élèves étaient ingérables. C’est ainsi que nous avons récupéré une partie de ces enfants qui, dès l’âge de dix ou douze ans, posaient de graves problèmes d’intégration et de discipline. Je me souviens d’un élève de cinquième, venant de cet établissement, qui avait fait un passage en prison pour le viol d’une élève de sixième dans les toilettes. Il était incapable de s’adapter au travail scolaire et il a fini par être renvoyé pour aller sévir ailleurs. Avec les élèves maghrébins, ce n’était guère mieux ! Les garçons ne travaillaient pas alors que les filles étaient plus soucieuses de réussite scolaire. Certaines ont continué des études supérieures brillantes. Par contre, les garçons, pour la plupart, ne montraient pas une grande appétence pour apprendre et travailler. (Bien sûr, il y avait quelques exceptions !) Dans l’ensemble, ils ne supportaient pas l’autorité et surtout pas celle des femmes professeurs. C’était avec eux une tension permanente. Ils mettaient constamment en cause la notation et prenaient pour une insulte à leur virilité une observation négative ou une mauvaise note pourtant justifiée. On peut dire qu’avec ces nouveaux élèves, le niveau élevé que nous avions obtenu avec les Asiatiques a vigoureusement dégringolé.
Je précise aussi que la commune accueillant un grand nombre de Maghrébins, la population asiatique a plié bagage et s’est retirée dans les villages du Val d’Europe.
Ajoutons que les choses ne se sont pas améliorées avec les réformes insensées de l’an 2000 et surtout la politique de l’excuse et de laxisme à l’égard de ces élèves, imposée par l’Éducation nationale. Et pour montrer qu’il ne s’agit pas d’un problème racial mais culturel, je mentionne que nous avons eu également des élèves africains d’origine catholique. Non seulement, ces enfants ne posaient aucun problème de discipline mais ils travaillaient bien. Je citerai une anecdote révélatrice à ce sujet :
J’étais professeur principal d’une classe de cinquième. La meilleure élève en français était une fillette de douze ans, venant du Zaïre. Non seulement elle écrivait sans fautes d’orthographe mais elle possédait les règles grammaticales que les petits Français " de souche " ignoraient depuis que la grammaire s’apprend à la volée, à la faveur d’une lecture de texte. Lors de la rencontre parents–enseignants, le père s’est présenté et a reçu les compliments qui convenaient à sa fille. Il m’a fait part de ses remarques : oui, sa fille avait bien appris à lire à l’école catholique au Zaïre. Malheureusement, il était très perturbé par les méthodes d’apprentissage que subissait sa cadette. Il n’y comprenait rien. Ce qu’il constatait, c’est qu’à la fin du préparatoire, elle ne lisait pas très bien et surtout ne savait pas écrire. Il ne reconnaissait pas la rigueur méthodique qui avait permis à sa fille aînée d’être excellente en français.
Conclusion
Si "Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits", ils ont aussi des devoirs, envers eux-mêmes, envers leurs concitoyens et envers l’État dans lequel ils ont choisi de vivre. Des générations d’étrangers qui se sont installées par le passé sur notre sol se sont intégrées et ont participé à la mesure de leurs moyens et de leurs talents à l’édification de notre société. Même s’il y a pu y avoir des problèmes de rejet, ici ou là, parce que l’on voyait en eux des concurrents dans le travail, notamment en périodes difficiles, on peut dire que, bon an mal an, l’intégration s’est faite.
Or, on ne peut éviter de constater qu’il en va autrement avec les populations d’origine musulmane. Leur culture différente, l’excessive valorisation des garçons par les parents – et surtout les mères – qui vivent l’arrivée d’un fils comme une reconnaissance de leur statut de femme/mère, et surtout la religion coranique, érigée en dogme supérieur à toute autre croyance, rend difficile cette intégration surtout quand elle n’est plus exigée par le pays d’accueil. Ajoutons, comme je l’ai mentionné plus haut, que l’Éducation nationale a failli à sa mission en abaissant ses exigences au nom d’une égalité qui ne passe plus par le mérite mais par la discrimination positive – qui n’est positive pour personne. Notons à ce sujet qu’un nombre non négligeable de parents d’origine maghrébine mettent leurs enfants dans des écoles privées catholiques car ils ont compris que les conditions de travail et de discipline y seront plus favorables que dans l’école publique!
La culture d’un peuple, la valorisation faite ou non de l’apprentissage scolaire et à celui de la Raison, l’acceptation ou non de la culture du pays d’accueil avec le soutien des parents, sont des facteurs qui influent considérablement sur le développement d’un enfant et sa capacité à progresser. Faute de quoi, c’est l’ensauvagement qui prend le dessus. C’est ainsi que l’on peut expliquer que certaines populations réussissent moins bien que les autres.
Évelyne Tschirhart
Enseignants agressés: beaucoup n’ont que ce qu’ils méritent!
On nous bassine avec le manque de moyens, et ce n’est pas le problème. Le problème, c’est la lâcheté et le laxisme du gouvernement! On a laissé des malotrus s’amuser depuis des décennies. Les politiciens sont coupables. Un lycée est un sanctuaire de l’enseignement! Pourquoi les personnes entrées sans autorisation ne sont-elles pas immédiatement arrêtées?
Il y a quelques années encore, les parents conviés par un enseignant pour parler de leur enfant s’habillaient avec soin, étaient intimidés, respectueux, apportaient parfois une douzaine d’œufs frais ou quelques fleurs du jardin.
Nous, les élèves, nous levions automatiquement à l’entrée du prof et ne quittions le banc qu’avec son autorisation. Le bavardage était sévèrement puni. On levait le doigt pour avoir l’autorisation de répondre. Aujourd’hui, on ne peut qu’en rêver, du bavardage!
Les années ont passé, et je m’étonne toujours du manque de civisme des ados et des "jeunes" dans la circulation. Le respect est une notion poussiéreuse.
J’avoue qu’à plusieurs reprises, j’ai eu des envies de meurtre envers certains profs de mes enfants, assez régulièrement, même. A une occasion, je suis entrée dans la classe en pleine matinée, ai tiré ma fille par la main et l’ai emmenée dans le lycée de la ville voisine.
Où elle a immédiatement été acceptée. Quant à la principale de mon fils ainé, j’en rêvais la nuit. Parfois sur un bucher, d’autres au cachot, et toujours torturée par une armée de sauvages. Je n’ai jamais passé à l’action, Dieu merci!
Sources:
Créteil: il menace sa professeure avec un pistolet factice (20.10.2018).
Pantin: pourquoi ne révèle-t-on pas le contenu des lettres de la directrice d’école qui s’est suicidée?
Sarcelles: un enseignant du lycée de la Tourelle violemment agressé par un élève
Dans les années 1970, ma cousine était institutrice. Un soir elle rentre chez nous bouleversée et nous raconte ceci: elle a puni un petit élève de famille marocaine et il lui a répondu: "Maintenant c’est toi qui commandes, d’ici peu ce sera nous qui commanderons"
Un gosse d’une dizaine d’années n’invente pas cela, il répète ce qu’il entend à la maison. (Source: Anne Lauwaert):
Marseille: le personnel de Camille Jullian bloque le lycée
Le 8 janvier, les élèves du lycée ont été renvoyés chez eux, une pancarte mise sur l’entrée. Le personnel a bloqué l’établissement toute la matinée. En cause: les agressions répétées de parents d’élèves. L’établissement est resté fermé toute la matinée.
Le personnel a voulu mettre en avant son droit de retrait qui leur avait été refusé par l’inspecteur académique. La dernière agression avait eu lieu lundi.
Des attaques répétées depuis la rentrée.
Les professeurs et les assistants d’éducation ont été victimes de multiples violences depuis le début de l’année scolaire. Les parents d’élèves n’hésitant pas à pénétrer dans l’établissement. "Nous sommes agressés. Se prenant pour Mamadou le Malien, certains parents d’élèves escaladent le portail pour venir nous insulter, nous menacer et prendre des photos. La situation est intolérable", indique un professeur désirant garder l’anonymat.
Lundi 6 janvier, la conseillère principale d’éducation avait déjà été agressée verbalement et menacée par un parent d’élève. Choquée, elle a décidé de porter plainte et a été mise en arrêt. Le personnel souhaite plus de sécurité dans l’établissement.
"Nous ne sommes plus en sécurité. Nous travaillons en paniquant, ce n’est plus possible", explique une enseignante.
Taverny: agression par un de leurs élèves, la troisième dans le département en quelques jours, soupçonné d’avoir giflé lundi deux enseignantes. Cet élève avait une altercation avec une enseignante dans les couloirs du lycée Louis-Jouvet quand une autre collègue est venue lui apporter de l’aide: les deux profs "ont reçu des gifles", a indiqué la direction des services départementaux de l’éducation nationale (DSDEN).
"Je vais te crever" l’agression violente d’une enseignante menacée de mort par deux parents d’élèves
https://www.gentside.com/agression
Un enseignant violemment agressé par un parent d’élève
Un père de famille s’en est pris au directeur de l’école Buisson, à Valence (Drôme), ce jeudi. L’homme a été interpellé. Il s’est introduit dans l’école et s’est précipité dans la classe du directeur et lui a porté deux coups de poing au visage devant les élèves de CM1-CM2.
La directrice de l’école Hubert-Monnais, à Lunéville (54), a été victime d’une agression. Un père de famille, invité à venir récupérer son enfant malade s’en est pris verbalement et physiquement à la directrice devant plusieurs témoins mais également des enfants, présents au moment des faits.
Les parents d’un élève du lycée Jean-Mermoz, à Béziers (Hérault), sont accusés d’avoir roué de coups un professeur, ce vendredi matin, dans l’enceinte de l’établissement. Le couple se serait présenté à l’accueil du lycée, pour évoquer le cas de leur fils de 15 ans. Alors qu’un professeur de leur progéniture serait passé par là, les parents se seraient jetés sur lui, et l’auraient violemment frappé.
Les professeurs n’ont pas donné cours pendant deux heures
Le couple aurait été maîtrisé, avant d’être interpellé par la police et placé en garde à vue
La violence est une tache au fronton de la République. Les médecins en sont victimes, plus de 1.000 d’entre eux ont été agressés dans leur cabinet l’an dernier. Les écoles aussi en sont victimes, cette semaine, une école maternelle a été incendiée à Chanteloup-les-Vignes. En Seine-Saint-Denis, près d’un lycée, des jeunes s’attaquent au marteau et à la machette.
Et les mêmes scènes se reproduisent en province. Les maires de la banlieue parisienne de toute tendance, gauche et droite, sont exaspérés et pensent faire comme le maire de Sevran, qui a préféré démissionner, désespéré par l’indifférence de l’État. La violence, présente depuis des années, ne fait que s’aggraver. Dans ces quartiers, la violence est devenue un mode de vie, un mode d’expression pour beaucoup d’adolescents ou de jeunes adultes.
Je n’ai qu’une idée à donner aux enseignants agressés. Immédiatement se porter malade. Quitter le lycée, se rendre illico chez le médecin et en sortir avec le papier. (Plusieurs jours seraient recommandables) A récidiver à chaque fois. Il devra bien se passer quelque chose.
Anne Schubert
C’est la République des copains et des pourris
La femme de Gilles Legendre a été nommée à la tête de la Française des jeux. Jusque-là rien de bien anormal, sauf que Gilles Legendre, en tant que député en marche de la deuxième circonscription de Paris et président du groupe LaREM à l’Assemblée nationale, a voté la loi de privatisation de FDJ alors que sa femme était nommée directrice de la communication de l’entreprise!
Pourtant Macron nous avait promis une République IRRÉPROCHABLE; apparemment nous n’avons pas du tout la même façon de juger de l’irréprochabilité de son entourage. Richard Ferrand (abus de confiance autour des mutuelles de Bretagne,
Marielle de Sarnez (abus abus de confiance avec son assistante parlementaire du parlement européen),
Didier Martin (tentatives d’escroquerie),
Romain Grau (harcèlement moral),
Bruno Bonnel (spéculations boursières douteuses, il possède 2 sociétés au Delaware, paradis fiscal lui permettant de se soustraire à l’ISF),
Houmria Berrada (falsification de diplôme de l’Institut d’études judiciaires),
Émilie Guérel (escroquerie à l’assurance maladie),
Véronique Avril (location d’un logement insalubre),
Olivier Servant (propos homophobes),
Thierry Solère (soupçons de fraude fiscale),
Moussa Ouarouss (député suppléant et cadre LaREM mis en examen pour importation, transport et détention de drogue),
Mustapha Laabid (détournement d’argent),
François Bayrou (détournements de fonds publics),
Alexandre Benalla, (mis en examen pour violences volontaires, immixtion dans l’exercice d’une fonction publique, port public et sans droit d’insignes réglementés, recel et détournement d’images issue d’un système de vidéo-protection et recel de violation de secret professionnel),
M’Jid El Guerrab (député LaREM mis en examen pour violences avec arme), Jean Jacques Bridey (mis en examen pour concussion et détournement de fonds publics),
Laura Flessel (fraude fiscale),
Françoise Nyssen (travaux sans autorisation et pas de déclaration au fisc),
Alexis Kohler (enquête du parquet financier),
Muriel Péricaud (soupçons de favoritisme),
Gérald Darmanin (accusé de viol il a bénéficié d’un non-lieu, la victime a fait appel) et je pourrais continuer comme ça très longtemps, mais la lecture deviendrait longue et fastidieuse, et n’aurait que très peu d’intérêt.
Il n’est pas question ici de fustiger les membres de LaREM, bien qu’en deux ans et demi, ce soit déjà élogieux. Le pire étant que dans les autres camps politiques, ce n’est guère mieux.
Cette (petite) évocation prouve bien que nos dirigeants politiques N’EN ONT RIEN À FOUTRE du sort des Français, bien trop préoccupés qu’ils sont d’une part par se remplir les poches à notre détriment, et bien entendu, à leur profit, et quand ils se font prendre (cela doit être rare car beaucoup d’autres "infractions" passent à la trappe) bien trop préoccupés par leur défense. Donc rassurez-vous, la lutte contre l’immigration, ce n’est pas encore pour demain. D’ailleurs, si ça continue, cela ne servira plus à rien de lutter pour nos retraites, vu qu’on sera poignardés et tués par les islamistes bien avant ce qu’ils appellent "l’âge pivot", ce qui renflouera les caisses.
EN 2020 ON NE CHANGE PAS UNE ÉQUIPE QUI PERD…
Patrick Jardin
Cette guerre "civile" qui vient: "Car, du côté des guérilleros des cités, tout est déjà prêt, tout. Qu’il s’agisse de la logistique, des voitures, des armes, des équipes organisées, des réseaux à utiliser si cela devient "trop chaud".
En revanche, nos forces de l’ordre ne le sont pas ; elles seront donc dépassées, elles le savent car rien n’est prévu pour y faire face; d’ailleurs, s’il est difficile de venir à bout de quelques casseurs dans une manifestation pacifique dite des "Gilets jaunes", comment l’emporter face à des centaines de milliers de voyous, surarmés et particulièrement déterminés à en découdre?
La guerre qui s’annonce est, en réalité, déjà asymétrique. Autrement dit, celle qui s’annonce, sans aucun doute possible, est déjà perdue. Nos acteurs politiques le savent pertinemment mais n’ont aucun intérêt à l’expliquer, nos policiers en ont pleinement conscience également pour y être confrontés au quotidien; les avocats pénalistes n’en ignorent rien car ils en reçoivent parfois la confidence de certains clients, mais également les éducateurs spécialisés, les magistrats, les citoyens qui survivent honnêtement dans ces cités".
https://ripostelaique.com/quand-les-gilets-jaunes-renaitront-ce-sera-la-guerre-civile.html
Roanne (42): un homme a été interné en psychiatrie après avoir crié "Allah Akbar" et menacé d’égorger des passants, il a été relâché 3 jours après
"Je vais t’égorger, je suis musulman, Allah Akbar, tu ne sais pas qui je suis. " C’est en ces termes qu’un individu de 31 ans a menacé des Roannais le 26 décembre dans la soirée à Roanne, armé d’une branche de 3 mètres. Maîtrisé par les victimes, il a par la suite été interpellé par la police, puis interné d’office en psychiatrie. Une expertise psychiatrique doit être pratiquée pour évaluer sa responsabilité pénale.
[…]
Des coups ont été échangés et l’individu a été maîtrisé après avoir menacé à plusieurs reprises d’égorger le père et son beau-fils et crié plusieurs fois "Allah Akbar". Des menaces également proférées à l’encontre des fonctionnaires de police quand ceux-ci sont intervenus. Quand la mère lui a demandé pourquoi il avait agi de la sorte, il aurait répondu avoir fait 15 ans de psychiatrie et être schizophrène.
L’individu a été placé en garde à vue puis interné d’office en psychiatrie pendant trois jours, avant d’être relâché. Sa responsabilité pénale doit être évaluée par un expert. "Et s’il est déclaré responsable de ses actes, il sera jugé devant le tribunal", annonce le procureur de la République de Roanne, Abdelkrim Grini.