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société - Page 367

  • Les ampoules connectées et autres

    Connecté par Wi-Fi, l'ampoule peut diffuser de la musique. connectée par blutooth à des smartphones ou tablettes, elles diffusent la musique de ces terminaux mobiles grâce à un haut-parleur intégré de 10 watts.

    Vous pouvez aussi moduler l'intensité de la lumière et sa couleur.

    Les prochaines intègreront des caméras pour la vidéo-surveillance, haute définition s'il vous plait, grâce à une caméra infra-rouge et une carte mémoire de 32 Go pour enregistrer les images.

    AwoX (Euronext – FR0011800218 – AWOX), pure-player des technologies et des objets connectés dédiés à l’univers du Smart Home (Maison intelligente), et sa filiale Cabasse (détenue à 100% depuis le 1er octobre), fabricant d’enceintes acoustiques haut de gamme et de systèmes de streaming audio connectés, annoncent la commercialisation du Stream AMP 100, véritable concentré technologique design, à la fois amplificateur stéréo et lecteur réseau, capable de répondre aux nouveaux besoins dématérialisés des amateurs de musique.

    AwoX et Cabasse étendent leur gamme de streaming musical avec le Stream AMP 100

    Des fonctions toujours plus innovantes avec l’AromaLIGHT™, la CamLIGHT™ et la StrimLIGHT™ Color !

    AwoX, pure-player des objets connectés et des technologies dédiées à l’univers du Smart Home (Maison intelligente) avec des nouveaux modèles aux fonctions et usages inédits : des senteurs parfumées avec l’AromaLIGHT™, de la vidéo surveillance avec l’AwoX CamLIGHT™, et de la musique version arc en ciel avec la nouvelle gamme AwoX StriimLIGHT™ Color.

    Il faut compter 29 euros pour une ampoule à nuance de blanc soit 5 fois plus qu'une ampoule normale et la musicale coûte dans les 76 euros. Les ampoules devraient durer au moins trois ans alors que la garantie juridique est de deux ans.

    Les ampoules basse consommation vont disparaître face aux leds… et les ingénieux de cette entreprises vont sans doute avoir d'autres idées à proposer un de ces jours; des idées…. lumineuses.

     

     

  • L’oculomotricté…. ça vous dit quelque chose?

    EyeBrain traque les maladies du système nerveux grâce aux mouvements des yeux

    EyeBrain, startup innovante dans le domaine de la santé, installée à Ivry-sur-Seine (94,) met au point des dispositifs médicaux permettant de détecter de potentielles maladies du système nerveux et cérébral grâce aux mouvements oculaires. Syndromes parkinsoniens, sclérose en plaques, dyslexie… : ses machines aident les médecins à compléter leur diagnostic et offrent aux patients des dispositifs non-invasifs comme tests sanguins et autres ponctions lombaires. Ouais, ça fait très mal une ponction lombaire, croyez-moi.

    Et si le mouvement des yeux, l’oculomotricté servait de marqueur des fonctions cérébrales pour aider à diagnostiquer et à suivre l’évolution de pathologies neurologiques et psychiatriques (sclérose en plaques, traumas crâniens légers, dyslexie, Parkinson…) ? C’est l’idée sur laquelle a misé EyeBrain, une des rares sociétés françaises à créer des dispositifs médicaux fondés sur ce principe.

    Des algorithmes sophistiqués pour tester certaines régions du cerveau

    Les machines mises au point par Eyebrain sont basées sur l’étude des mouvements des yeux, à partir d’algorithmes sophistiqués. Leur  technologie permet de tester certaines régions du cerveau. Constituées d’une mentonnière, de deux écrans, d’un ordinateur et de logiciels de stimulation et d’analyse, elles aident les médecins à compléter leur diagnostic avec des résultats " quantifiables et objectifs ". Ce, pour des syndromes parkinsoniens, la sclérose en plaques ou encore la dyslexie. Et, en seulement vingt minutes!

    " Pour chaque pathologie, nous proposons des jeux de tests, des analyses spécifiques et la possibilité d’en tirer un bilan ", explique le président- fondateur d’EyeBrain, Serge Kinkingnéhun.

    Un tiers des CHU français équipés de ces dispositifs

    Outre des diagnostics plus sûrs et un gain de temps, ces machines génèrent des économies. Ce type d’examens coûte en effet moins cher que ceux par imagerie (56 €, versus 150 à 300 € pour une IRM, voire davantage pour un Petscan), avec un remboursement de la Sécurité sociale. Ceci dit, " ils ne les remplacent pas ", mais  viennent utilement " les compléter ", comme tient à le préciser Serge Kinkingnéhun.

     Ces dispositifs sont également non-invasifs, contrairement à des tests sanguins et autres ponctions lombaires. De plus en plus ergonomiques (les dernières versions étant plus légères, plus confortables, plus faciles à utiliser)  et performants, ils facilitent le travail des praticiens. Ils " comblent un vide dans les outils de diagnostic utilisés en neurologie et en psychiatrie ", assure en outre EyeBrain. Et sont " les seuls de ce type à avoir obtenu le marquage CE ", ajoute-t-elle encore. Le coût d’un EyeBrain tracker se situe entre 25 000 et 30 000 euros.

     Aujourd’hui, 30 % des CHU français sont équipés d’une telle machine. EyeBrain envisage aussi d’équiper des cabinets de médecins spécialistes, tels les orthoptistes.

    Eyebrain s’intéresse à la rééducation des membres supérieurs

    EyeBrain entend développer d’autres outils. Son fondateur annonce travailler à une application pour les enfants hyperactifs ou en proie à des troubles de l’attention. Á cet effet, des études vont être menées cette année, notamment en partenariat avec l’hôpital Robert-Debré (Paris) et celui de Rouffach (Alsace). Des résultats pourraient être présentés dès le printemps prochain et éclairer l’utilité ou non des médicaments actuellement utilisés dans cette indication. Les comas et la maladie d’Alzheimer sont aussi, entre autres, dans la ligne de mire d’Eyebrain

     Dans le cadre d’un projet associant quatre universités européennes (britanniques et néerlandaises), la start-up va aussi se pencher sur la rééducation des membres supérieurs et la préhension d’objets avec les mains, que le fonctionnement de ceux-ci ait été endommagé suite à un AVC ou en raison d’un problème périphérique tel la myopathie de Duchenne. " L’analyse du mouvement des yeux va permettre de comprendre ce que veut faire la personne ", insiste Serge Kinkingnéhun. De l’innovation encore et toujours.

     

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  • Le pétrole vert

    Deinove a obtenu son premier brevet aux Etats-Unis

    Son procédé de production d'éthanol a été validé aux Etats-Unis, un marché clé pour les biocarburants.

    Une start-up française pourrait bientôt figurer parmi les acteurs qui compte sur le marché américain des biocarburants. Son nom ? Deinove.  Les Etats-Unis viennent en effet de valider son procédé de production de bioéthanol.

    Son brevet repose sur des  "bactéries à hautes performances métaboliques" qui révolutionnent la production de biocarburants à partir de la biomasse lignocellulosique ou hémicellulosique par un procédé intégré de dégradation et de fermentation fondé sur les bactéries Deinococus. "C’est vraiment une reconnaissance de notre technologie", se félicite ainsi le directeur général de Deinove, Emmanuel Petiot.

    La greentech française s’attaque au marché mondial de l’éthanol 

    Une réelle avancée pour l'entreprise tricolore, puisqu'elle pourrait percer dans un pays considéré comme l'eldorado du biocarburant.  Avec 51 milliards de litres produits en 2013 contre 40,7 milliards de litres au Brésil et seulement 6,7 milliards de litre en Europe, les Etats-Unis sont les premiers producteurs mondiaux d’éthanol. Ils sont également les premiers consommateurs de biocarburants. 

    Ce premier brevet obtenu outre-Atlantique permet ainsi à la fois de faciliter les partenariats entre les industriels américains et Deinove et de renforcer la position de la start-up française dans un pays qui a pour ambition d’atteindre 50% de biocarburant dans la production totale des énergies, contre 5% aujourd'hui. 

    De plus, les principaux producteurs d’éthanol sont implantés aux Etats-Unis et favorisent le développement de procédés de production d’éthanol de deuxième génération (2G). 

    De l’or noir à l’or vert

    Car parallèlement à l'activité liée au pétrole, la production de biocarburants de 2G poursuit son essor. Obtenus à partir de déchets végétaux agricoles ou de résidus forestiers, les biocarburants de 2G présentent en effet un potentiel énergétique non négligeable. 

    Se détacher de la pétrochimie pour se convertir à la chimie verte présente des enjeux stratégiques: un nouveau marché pour les industriels et, d’un point de vu socio-économique, la création d’emplois et le développement de l’agriculture.  En effet, avec un faible coût des matières premières, il favorise la préservation des terres agricoles, contrairement au biocarburant de première génération qui utilise une surface agricole importante.

    Les effets secondaires du biocarburant de 2G

    Mais malgré son objectif de réduire les émissions de gaz à effet de serre, le biocarburant de 2G présente des impacts négatifs sur l’environnement. L’utilisation de végétaux pourrait en effet ouvrir la voie à un recours intensif aux OGM. Ce qui présente une menace pour l'équilibre environnemental.

     

  • Grand bravo!

    Canada: Un jeu vidéo permet de traiter une maladie oculaire

    Des fans de jeux vidéo lors d'un tournoi sur "League of Legends", l'un des jeux en réseau les plus pratiqués, le 9 mai 2014 à Paris

    Des fans de jeux vidéo lors d'un tournoi sur "League of Legends", l'un des jeux en réseau les plus pratiqués, le 9 mai 2014 à Paris

    Deux sociétés canadiennes ont annoncé avoir développé un jeu vidéo accessible sur tablettes qui corrige le décalage de la perception visuelle entre les deux yeux, provoqué par l'amblyopie. Le module s'adresse en particulier aux enfants qui sont les plus touchés par cette maladie oculaire (3% dans le monde, NDLR).

    Le jeu vidéo, nommé Dig Rush, a été mis au point par l'éditeur de jeux Ubisoft et Amblyotech, une société spécialisée dans les applications électroniques pour les déficiences oculaires. Il doit encore être approuvé par les autorités compétentes avant sa commercialisation, mais l'innovation a déjà été brevetée auprès de l'Université McGill de Montréal.

    Fourni par les professionnels de santé

    Le traitement de l'amblyopie est axé sur le renforcement de l'œil le plus faible et le jeu force le cerveau à faire fonctionner les deux yeux de manière identique et simultanée «grâce à la perception de contrastes de rouge et de bleu au travers de lunettes stéréoscopiques», expliquent les concepteurs.

    Plus étonnant encore: le jeu vidéo sera fourni par des professionnels de santé, et son utilisation fera l'objet d'un suivi. «Le médecin pourra mieux ajuster les paramètres du jeu en fonction de l'état de l'œil faible du patient pour permettre aux deux yeux de percevoir ce qui se passe sur l'écran», ont expliqué les concepteurs.

    Voir la vidéo

    http://www.20minutes.fr/sante/1554603-20150304-video-canada-jeu-video-permet-traiter-maladie-oculaire

  • Plein le dos?

    Le travail sédentaire, souvent réalisé dans de mauvaises positions, n’est pas bon pour notre dos… À la clé, des lombalgies chroniques. Il est important de se lever régulièrement de sa chaise, quand on travaille assis, et de faire quelques étirements pour relâcher les muscles du dos.

    L’application pour smarthpone "Backache" pourrait bien vous aider à adopter une meilleure hygiène de vie. Elle envoie des notifications régulièrement pendant la journée pour vous inciter à prendre un micro-break, en proposant un petit exercice facile à faire au bureau. Les 30 exercices proposés prennent environ une minute et ils ne nécessitent pas de matériel. À chaque fois, ils sont présentés en vidéo par un kiné, ce qui facilite leur réalisation.

    Conçus pour mobiliser en douceur les muscles et les articulations, ils sont également adaptés aux personnes qui souhaitent se remettre en mouvement après avoir souffert d’un problème de dos aigu.

    Il est possible de régler la fréquence des notifications au cours de la journée mais aussi de l’adapter en fonction de votre planning de la semaine.  Et si vous êtes vraiment surchargé de boulot, il suffit d’un clic pour annuler le programme du jour!

    L’application "Backache" est disponible en anglais sur l’Appstore et sur Google Play.

  • La main bionique nouvelle est arrivée

    Une main bionique aussi forte qu’une main valide et contrôlée par la pensée

    La revue médicale the Lancet met en avant mercredi les cas de trois hommes autrichiens ayant bénéficié avec succès, entre avril 2011 et mai 2014, de la technique développée par le professeur Oskar Aszmann, de l’université de Vienne qui a mis au point une main bionique commandée par le cerveau offrant des avantages comparables à ceux d’une greffe, et permettant d’assurer de nombreuses manipulations de la vie courante.

    Le premier exemple connu était un Lituanien de 21 ans né avec une malformation congénitale, et dont le professeur Aszmann a remplacé fin 2014 le bras inerte par une prothèse robotisée. Les trois patients cités par la revue britannique ont eux été victimes d’accidents graves qui ont endommagé leur plexus brachial, un réseau de nerfs situé au niveau du cou et qui commande le mouvement des membres supérieurs.

    Les blessures du plexus brachial représentent une sorte d’amputation interne, coupant le lien de façon irréversible entre le réseau nerveux et le membre. La procédure de reconstruction bionique implique donc que le patient accepte préalablement une amputation de la main.

    Selon le professeur Aszmann, la reconstruction bionique est moins risquée que la greffe de la main pratiquée depuis 1997, qui nécessite la prise de médicaments immuno-suppresseurs très puissants, et aboutit parfois à la nécessité de ré-amputer le malade.

    Pas d’effets secondaires

    " Dans le cas de la perte d’une seule main, je pense que la reconstruction bionique a plus de bénéfices, parce qu’elle n’a aucun effet secondaire et que la qualité de la fonction récupérée est presque aussi bonne qu’avec une greffe", témoigne le chirurgien autrichien à l’AFP.

    " Il n’y a pas de sensibilité, ce n’est pas de la chair et du sang, mais du plastique et des composants. Mais du point de vue fonctionnel, c’est comparable à la greffe".

    L’avancée majeure de l’équipe viennoise est d’avoir recréé une transmission complète de signal neurologique jusqu’à la main bionique.

    Cette dernière est équipée de capteurs qui répondent aux impulsions électriques fournies par les muscles.

    Pour ce faire, le professeur Aszmann a greffé dans les avant-bras des patients des muscles prélevés à l’intérieur de leurs cuisses, puis greffé des nerfs provenant d’une autre zone de la moelle épinière que le plexus brachial.

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    La main est très loin du cerveau", explique le médecin:"Cela représente plus d’un mètre de régénération des nerfs. La seconde difficulté, c’est que la main elle-même a besoin d’un grand nombre de signaux envoyés par les nerfs pour faire ce qu’elle peut faire".

    Avant leur amputation, les patients subissent un entraînement cognitif de plusieurs mois, d’abord en commandant une main virtuelle représentée en vidéo, puis en s’exerçant sur une main hybride attachée à leur véritable main.

    "Certains patients, au bout du processus, ne peuvent pas être candidats à la reconstruction bionique", explique Oskar Aszmann, soit parce qu’ils n’ont pas suffisamment de nerfs disponibles, soit parce qu’ils n’y sont pas prêts psychologiquement, ou bien encore faute d’un environnement adéquat", c’est-à-dire la possibilité de faire entretenir leur prothèse là où ils vivent.

     

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