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société - Page 95

  • Cela se passe à Toulouse

     

    Photo: 1 bébé blanc et rose de chez nous!

    Lettre signée d'un gynécologue connu de Toulouse :

    Moment de grand bonheur en salle de naissance

    Accouchement de rêve.

    Refus de péridurale.

    Patiente voilée, le mari ne souhaite pas qu’un homme" s’en occupe (bien que largement prévenu à l’avance. Document en cours de grossesse, explications orales.

    De garde, j’y vais quand même et m’impose.

    Accouchement dans les hurlements et les contorsions, dans la panique maternelle et le père barbu qui donne les ordres à tout le monde.

    L’enfant se prénomme joyeusement Oussama ; juste à sa sortie, le père s'est prosterné et a fait sur le sol de la salle de naissance la prière, en direction de la Mecque (direction qu’il avait préalablement repérée).

    Puis des chants religieux aux oreilles de l’enfant, à droite, à gauche. Et la mère, il ne la regarde plus, elle a bien servi, et je suppose que le voile va vite être remis sur son visage tentateur.

    Ras le bol de cela.

    La tolérance a des limites, qui se franchissent chaque jour plus loin.

    Dans la ville de Mohamed Merah, je m’interroge sur le devenir de la société dans laquelle je vis et je suis inquiet.

    Mes propos ne sont ni racistes, ni discriminatoires ; ils sont ceux d’un praticien inquiet de voir la religion entrer en salle de naissance et dans mon cabinet médical, ceux d’un citoyen inquiet des incivilités qui se multiplient, ceux d’un homme qui a toujours récusé le racisme ordinaire mais qui est troublé par des dérives de plus en plus quotidiennes.

    Même si mes propos ne sont sans doute pas politiquement corrects, je voulais vous faire partager ce moment, traumatisant pour toute notre équipe médicale, et mes craintes pour l’avenir de mes enfants dans un pays qui ne sait pas fixer de vraies limites.

    Amicalement

    Dr Jean Thévenot

    Gynécologue obstétricien

    Clinique Ambroise Paré

    31082 Toulouse cedex 1

     

     

  • De toutes façons, leurs produits sont de la merde chimique

    Dans la catégorie “RECHERCHE“ de mon blog

    www.cuisine-toulousaine.com

    vous trouverez la recette maison pour faire ses propres cubes aromatiques

    Racisme: Knorr rebaptise sa " sauce tzigane " en Allemagne

    Jugée discriminatoire, la "sauce tsignane" de Knorr va être rabaptisée "sauce paprika à la hongroise", a annoncé l’entreprise ce lundi.

    L’entreprise d’agroalimentaire Knorr, qui appartient au géant anglo-néerlandais Unilever, va rebaptiser sa "sauce tsigane", commercialisée en Allemagne, en raison de son caractère jugé discriminatoire envers la population des Roms et Sintis.

    […]

    "Nous travaillons de manière intensive afin de libérer la publicité de toute discrimination et tout stéréotype", écrit la société.

    "Comme le concept de ‘sauce tsigane’ peut être interprété négativement, nous avons décidé de donner un autre nom à notre sauce Knorr", ajoute-t-elle. Le changement de nom fait suite aux récents débats internationaux sur le racisme, en particulier aux États-Unis, survenus après le meurtre en mai d’un afro-américain George Floyd par la police.

    […]

    BFMTV

     

    En Occitan: pobre cun! (phonétique)

  • Basta ya!

    A force de tirer sur la corde, elle se casse;

    Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se brise!

    Nos proverbes ont toujours dits la vérité…

    La Ville de Paris a-t-elle fait retirer la statue de Voltaire, régulièrement dégradée par des militants "antiracistes"? la Mairie dément

    Lundi 17 août 2020, la statue de Voltaire dans le 6ème arrondissement de Paris a fait l’objet d’un retrait. Sur les réseaux sociaux, le "déboulonnage" a créé la polémique.

    Des photos du retrait de la statue de Voltaire, dans le 6e arrondissement de Paris, ont fleuri sur les réseaux sociaux. Son retrait a fait l’objet de nombreuses spéculations et serait dû à un entretien devenu trop coûteux à cause des dégradations anti-racistes. Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, a réfuté ces allégations.

        C'est dingue. Il suffit d'un démenti de la Mairie de Paris pour qu'on crie à la fake news, sans même vérifier ce qu'ils racontent. Comment peut-on dire qu'on la nettoie et qu'on la rend au FRAC alors qu'elle est là depuis 60 ans, et dire qu'on ne l'a pas enlevée.

        — La Tribune de l'Art (@ltdla) August 17, 2020

    Le 14 juin, Emmanuel Macron déclare, solennellement: "Nous ne déboulonnerons aucune statue".

    MENTEUR!

    Le 17 août, on enlève la statue de Voltaire.

    C'est tout Macron ça…

        "Il faut dépenser le mépris avec une grande économie, à cause du grand nombre de nécessiteux." pic.twitter.com/0VR2W2zAGk

        — La Tribune de l'Art (@ltdla) August 17, 2020

    Des statues prises pour cible

    Le retrait de la statue de Voltaire, rue de Seine dans le square Honoré-Champion, a fait grand bruit sur les réseaux sociaux lundi 17 août. Effectué alors que les statues sont devenues la cible de militants anti-racistes,

    (si les cons étaient satellisés, il y aurait beaucoup de monde à tourner autour de la Terre!)

    perçues comme des symboles offensants de leur oppression.

    (…)

        Le statue de Voltaire rue de Seine dans le 6e arrondissement a été nettoyée. Dépôt de l’État, elle a été rendue au @CNAPfr. La Ville souhaite qu’elle puisse être réinstallée dans l’espace public, avec l’autorisation de l’État. https://t.co/n4RgKkFIO7

        — Emmanuel GREGOIRE (@egregoire) August 17, 2020

    (…) Actu.fr

     

  • Grotesques, ils sont!

    On se demande qui est pire con que l'autre!

    Racisme: Marks & Spencer s’excuse pour avoir appelé " Tabac " la couleur marron d’un soutien-gorge

    Marks & Spencer a présenté ses excuses après avoir été accusé de "racisme caché" à propos de la couleur de son soutien-gorge.

    Kusi Kimani, 29 ans, de l’East Sussex, a été choquée lorsqu’elle a découvert qu’un soutien-gorge brun sur le site du détaillant était appelé "tabac".

    Les couleurs plus claires des soutiens-gorge rembourrés de la collection Marks & Spencer à 12£ sont décrites comme "cannelle" et "caramel".

    Mlle Kimani s’est plainte du fait que le soutien-gorge pour son teint de peau avait des connotations négatives, alors que des mots plus positifs étaient utilisés pour les couleurs plus claires.

    Pourtant, deux mois après sa plainte initiale, le soutien-gorge était toujours vendu dans une couleur "tabac" sur le site web de Marks & Spencer.

    Cependant, le détaillant s’est engagé à retirer le nom après avoir été approché par le Mirror et s’est excusé de ne pas avoir agi plus tôt.

    Mme Kimani l’a dit à Mirror Online: "Je l’ai vu environ deux semaines après la mort de George Floyd et c’était particulièrement cruel à voir à ce moment-là“.

    "Pourquoi ne pas l’appeler cacao, caramel ou chocolat – des desserts sucrés ? Mais ils ont utilisé " tabac". J’ai été choqué quand je l’ai vu.

    […]

    " C’est un exemple de la façon dont les préjugés sont ancrés dans la société et ne font qu’alimenter le racisme, qu’il soit manifeste ou caché, mais dans le cas présent, il s’agit d’une forme de racisme caché".

    […]

    " Dans le passé, j’aurais été contrariée et j’aurais laissé tombé. Mais le mouvement Black Lives Matter m’a donné du courage“.

    Réagissant au revirement de Marks & Spencer sur le nom de la couleur, elle a déclaré "C’est une excellente nouvelle. La seule chose que je dirais, c’est qu’il est dommage que j’aie dû prendre contact avec les médias pour que ce changement se fasse“.

    […]

    The Mirror

  • Militaires agressés pendant leur footing:

    interdiction de se défendre !

    Dans la région d’Annecy également, comme partout ailleurs, les racailles n’ont plus aucune retenue et se frottent désormais aux militaires. Preuve qu’ils ne respectent absolument rien et surtout pas la France.

     

    https://www.ledauphine.com

    Quinze militaires du 27e bataillon de chasseurs alpins faisant leur footing le matin ont été suivis et harcelés par une bande de racailles bien décidées à en découdre.

    Les racailles ont suivi les militaires, leur ont fait des croche-pieds, les ont insultés, des coups ont été échangés. Ils voulaient évidemment en découdre en provoquant les militaires. Une plainte a été déposée, qui n’aboutira probablement à rien.

    Les militaires ont réussi à se débarrasser de la racaille et sont rentrés par un autre chemin pour “ne pas envenimer la situation“. On croit rêver. Nos militaires ne peuvent donc plus circuler librement dans leur propre pays! … C’est céder à la racaille. C’est céder à l’ennemi.

    Des clients d’un magasin ont appelé les secours. On se demande bien pourquoi. C’est surréaliste. Les militaires n’ont-ils pas les moyens de se défendre tout seuls comme des grands?

    Dans le cas présent, les chasseurs alpins étaient une quinzaine mais n’ont rien pu faire en raison des règlements qui les paralysent. Voilà une bande de racailles qui paralyse une quinzaine de militaires : ils sont sur le bon chemin pour paralyser toute notre armée, un jour.

    Les militaires devraient selon moi pouvoir se défendre directement et faire immédiatement taire les agresseurs, dont le comportement n’est absolument pas acceptable.

    Dans le bon vieux temps, un tel harcèlement n’était ni tolérable ni toléré, les militaires étaient rarement agressés et quand ils l’étaient, ils réglaient leurs compte eux-mêmes, de manière virile par une bonne expédition punitive, et personne ne les critiquait.

    Je me souviens d’un fait divers qui m’a été raconté par quelqu’un qui y a participé. Un membre des commandos Marine du poste de commandement des sous-marins nucléaires à Houilles (78) s’était fait sauvagement agresser dans le RER en rentrant d’une permission, il y a environ vingt-cinq ans.

    Les commandos ont voulu savoir qui était l’agresseur. Ils ont arpenté la ville tous les soirs, en marchant au pas en rangers et survêtements. Cela durait plusieurs heures. Une marche au pas, ça fait du bruit, et on n’entendait plus que cela dans les rues, le soir.

    Au bout de quelques jours, les habitants de Houilles en ont eu assez, et ils ont indiqué qui étaient les auteurs de l’agression.

    Les commandos sont allés donner une bonne leçon à ces agresseurs, ils leur ont cassé la figure en bonne et due forme.

    Plus aucun militaire de retour de permission ne s’est fait agresser dans le RER pendant longtemps et à Houilles les commandos ont eu la paix.

    Mais aujourd’hui les militaires ont affaire à des racailles qui sont soutenues en haut lieu et qui ne sont jamais lourdement sanctionnées comme elles le devraient. De plus, ces racailles sont armées et n’hésitent pas à se servir de leurs armes. Enfin quand les militaires se défendent, on parle de bavure, toutes sortes de marches blanches ont lieu pour les soi-disant victimes et toutes sortes de « bonnes âmes » montent au créneau pour cracher sur les militaires. Les médias aux ordres ne sont pas en reste.

    Un militaire qui se défend contre une racaille risque le tribunal et d’être chassé de l’armée en cas de condamnation.

    Bref, le mot d’ordre donné aux militaires est « fermez votre gueule et laissez-vous agresser en silence. On ne veut pas en entendre parler.»

     

    L’urgence aujourd’hui est de ne plus permettre que nos militaires soient agressés. Il en va du respect dû à notre pays. Même des gens comme le minable Micron devraient le comprendre. À travers notre armée, c’est nous tous qui sommes agressés et Macron l’est aussi, doublement : en tant que Français et en tant que chef des armées.

    La racaille se sent forte. Forte de son impunité. Forte de sa victoire annoncée. Que les racailles maliennes qui sont en nombre en France aillent se battre au Mali et on en reparle, mais elles n’ont même pas ce courage élémentaire.

    Nous avons les gouvernants les plus bêtes et les plus lâches du monde. Nous espérons tous retrouver des jours meilleurs où ceux qui ont la belle mission de nous défendre pourront cesser de baisser la tête devant les sauvages. Mais ce n’est pas gagné.

    Sophie Durand

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  • La langue française est menacée

    (depuis longtemps, note de la rédactrice)

    Il est à craindre qu’après avoir lu ce titre, certains lecteurs ne soupirent: " Encore cette rengaine! "
    Espérons néanmoins qu’il demeurera beaucoup de braves pour m’emboîter le pas. Car, l’heure est tragique. De fait, j’aurais dû écrire: "  Jamais la langue française n’a été autant menacée de destruction ". Passées les objurgations d’Etiemble sur le franglais, finie la loi Toubon sur la protection du français, votée mais jamais appliquée. Désormais, l’abîme nous guette.

    Pourquoi?
    D’abord, parce que les médias audiovisuels ont considérablement renforcé leur influence sur les populations. Je parle d’influence mais c’est d’emprise qu’il s’agit. Ils l’ont portée à un niveau sans précédent dans l’Histoire. Du matin au soir et même, du berceau au cimetière, un individu lambda est bombardé par une multitude d’images, d’émissions, de publicités, de vidéos, de films, de débats, de reportages qui modèlent sa façon de voir les choses, mais aussi sa façon de s’exprimer. Limitons-nous au domaine du langage; que constate-t-on?

    Un fait accablant.
    La démultiplication de ces flux audio-visuels gigantesques ne s’accompagne plus, comme ce fut longtemps le cas, d’un strict contrôle de la qualité du français utilisé. Tout au contraire, le Léviathan médiatique qui pèse sur nos vies, véhicule une langue appauvrie, rabougrie et saturée d’anglicismes.
    Quelques exemples pour fixer les idées:
    – Les mots sujet et souci sont constamment utilisés comme synonymes de problème. Qui n’a entendu dire ces temps-ci: "y a pas de souci" pour dire: "Pas de problème"? Or ces trois mots ont des sens différents. Cet usage absurde a été imposé par les médias dont la puissance tentaculaire a propulsé cette erreur au niveau national et même international en deux temps trois mouvements.
    – Les journalistes se croient trop souvent obligés d’annoncer qu’ils vont "décrypter" l’information ; il suffirait de dire qu’ils vont l’analyser. (décrypter est un synonyme de décoder.)
    – Le participe passé dédié a remplacé consacré à ou destiné à. On vous parlera donc d’un emplacement "dédi“" à l’accueil des voyageurs ou d’un personnel " dédié " à la sécurité. Les médias ne reculant devant rien ont même imposé une salle " dédiée " sans complément ce qui signifierait donc une salle particulière, et même des fonctionnaires "dédiés", comprendre: spécialisés. Le tout au mépris des dictionnaires et des notions étymologiques les plus élémentaires.

    De telles âneries sont constamment propagées et imposées par les médias. Rappelons que dédier a originellement un sens religieux et qui a évolué vers l’idée d’attribuer un lieu, un objet, un livre, en hommage à une personne, ou à une divinité.
    La cause de ces impropriétés à la limite du barbarisme est facile à éclairer: la déficience de l’enseignement du français dans nos écoles. Elles produisent des millions de jeunes gens n’ayant qu’une connaissance approximative, fort médiocre de la langue nationale.

    À ce défaut majeur s’ajoute le fléau d’un certain snobisme qui porte des locuteurs francophones à truffer leurs phrases de mots anglais. Ce phénomène est bien connu: il consiste à parsemer leurs propos d’un semis de termes empruntés à la langue de Shakespeare afin de "laisser entendre" – tout est là – que cette langue n’a pas de secret pour eux. C’est là pur enfantillage et sans doute l’explication complète est-elle plus compliquée, mais baste, que c’est irritant!

    Quelques exemples pour fixer les idées:
    – Une grande publicité pour le Ricard… born (né) à Marseille;
    – Le coronavirus faisant des ravages, les plus hautes autorités évoquèrent à la télévision des clusters. Ce mot désigne -en anglais- un massif de fleurs, un bouquet d’arbres, un régime de bananes, un pâté de maisons ou un groupe d’îles. Pourquoi diable le substituer au terme français foyer infectieux, parfaitement clair?
    – Durant cet épisode, j’entendis, toujours sur les petits écrans, un médecin s’inquiéter de la vulnérabilité des personnes âgées. Il déclara benoîtement ceci: "on peut craindre un "strike" (choc) dans les Ehpad".
    Ces sottises et ces faux sens ne datent pas d’aujourd’hui. En 1950 déjà, j’entendais des professeurs expliquer qu’en anglais to control ne signifiait pas contrôler mais dominer ou maîtriser. "Pas grave", diront certains.
    ET pourtant! La traduction de birth control est à l’origine d’un faux sens qui s’est perpétué à ce jour. En français correct, contrôle des naissances signifie stricto sensu vérification des naissances. Or, en anglais, birth control signifie maîtrise de la fécondité et l’on aurait dû le traduire ainsi. Entre ces deux expressions, on admettra qu’il y a plus qu’une nuance.

    Le problème ne se limite pas à des traductions bancales, il y a pire. L’emploi de mots anglais dans la phrase française atteint une densité frappante. Qui n’a déjà entendu des phrases du genre: " il faut booster les process pour éviter un gap"?
    En français régulier, il est pourtant plus simple de dire: " il faut renforcer l’action pour éviter un écart…" (tenu pour trop grand). L’ennui est que pour beaucoup de Français: booster, process, gap, ne sont déjà plus des mots anglais. D’aucuns vous diront, en toute bonne foi, qu’ils les ont toujours entendus. Le mal est fait. Hélas! Il ne sera pas sans conséquence. Nous verrons lesquelles.
    Et alors? Que faire?

    Nous le verrons aussi prochainement.

    Jean Monneret

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