C'est avec ce genre de tarée que la France perd de la moyenne en QI dans la population!
Lydia Guirous: "Sonia Nour est une élue infiltrée dans les municipalités qui est proche des thèses des islamistes"
Lydia Guirous (LR, auteur de "Ça n’a rien à voir avec l’Islam?).: "L’électoralisme, évidemment est là. Le clientélisme est là. Et d’ailleurs, Sonia Nour fait partie de ces élus qui sont infiltrés dans les municipalités, dans les partis politiques, et qui sont proches des thèses des islamistes, du CCIF, de l’UOIF et des mouvements comme le PIR (Parti des Indigènes de la République, ndlr) qui sont dans une forme de lutte des races, des religions, en France, et qui exacerbent tout ce qu’il y a de plus rance en chacun d’entre nous (…)"
– RMC, 5 octobre 2017, 7h41
"Ca existe partout, de tous les côtés, c’est un véritable problème, j’en parle dans mon livre de cette question de l’infiltration, que ce soit dans l’éducation nationale, dans les lieux de pouvoir, dans la police, dans l’armée également! Il faut absolument qu’on commence à prendre les choses en mains et qu’on mette un frein à cette situation qui va amener la France dans le mur et dans une décennie noire comme a connu l’Algérie. Il faut absolument éviter ça à notre génération, et à celle qui vient. Moi, je suis très inquiète“.
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Valérie Boyer: “Confondre féminisme et islamisme est une dérive perverse de l’idéologie islamique”
La députée et vice-présidente de la délégation aux droits des femmes à l’Assemblée nationale Valérie Boyer adresse une lettre ouverte à Marlène Schiappa, Secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes.
Madame la Secrétaire d’Etat,
Ce dimanche 1er octobre restera une date qui viendra hanter pendant longtemps nos mémoires. Une de trop.
Alors que Maurane et Laura, deux cousines, deux jeunes étudiantes âgées de 20 et 21 ans profitaient paisiblement du soleil marseillais, au cœur de notre ville, elles ont été froidement assassinées par haine de ce que nous sommes. Pourtant, au lendemain de l’attaque sur le parvis de la gare Saint-Charles, Sonia Nou, collaboratrice du Maire communiste de La Courneuve, prend la parole sur les réseaux sociaux et définit alors l’agresseur comme un “martyr”. Je cite : “quand un martyr égorge une femme et poignarde une autre là ça fait du bruit. Terrorisme, du sang, civilisation Bla Bla Bla…”, écrit Sonia Nour. “Par contre que le terrorisme patriarcal nous tue tous les deux jours on l’entend moins votre grande gueule”, ajoute-t-elle, faisant bien sûr référence aux violences contre les femmes. C’est ensuite au tour de Zoé Desbureaux, professeure de français et suppléante de François Ruffin (député Les Insoumis) d’apporter son soutien à ces propos.
Outre les propos orduriers de Sonia Nour, qualifier aujourd’hui le barbare de l’attentat de Marseille de “martyr” est un outrage à la mémoire de Maurane et Laura et une véritable apologie du terrorisme, au sens de l’article 421-2-5 du code pénal. En effet, le “fait de provoquer directement à des actes de terrorisme ou de faire publiquement l’apologie de ces actes et puni de 5 ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende”.
C'est en tant qu'élue et mère de famille que j'ai souhaité rendre hommage à Laura et Mauranne. Jamais je n’oublierai leurs visages souriants pic.twitter.com/eXLcb8oSsr
— Valérie Boyer (@valerieboyer13) 5 octobre 2017
Au-delà de cette apologie du terrorisme, il est scandaleux de tenter d’opérer une hiérarchie de l’horreur entre d’un côté les attentats et de l’autre les violences conjugales. Vous le savez, j’ai beaucoup travaillé sur les violences au sein des couples, notamment en déposant une proposition de loi le 29 mars 2016. çBien sûr que nous ne devons pas minimiser ces drames alors que nous ne savons qu’en France, une femme décède tous les trois jours sous les coups de son conjoint. Pourtant, nous devons condamner unanimement les propos de Sonia Nour qui banalise le terrorisme.
Ce dimanche, ce sont deux jeunes filles qui ont été visées car dans l’islam radical, la femme est inférieure à l’homme mais impure lorsqu’elle n’est pas voilée car elle exciterait les hommes. Les islamistes développent d’ailleurs un discours victimaire en présentant leurs cibles comme des agresseurs.
Je regrette que des féministes tentent de justifier cela en voulant nous faire croire qu’il y a d’un côté les “islamophobes fascistes” et de l’autre les “féministes attachées à l’égalité et à la liberté”. On détourne le féminisme pour justifier la barbarie. On confond et on minimalise tous ces crimes. D’ailleurs, les propos de Sonia Nour et le soutien de Zoé Desbureaux ne sont pas isolés et s’inscrivent dans une certaine lignée opérée par l’extrême gauche. En effet, je vous rappelle que la députée Danièle Obono (Les Insoumis) a tenté de nous expliquer qu’un chauffeur de bus qui refuse de conduire après une femme n’est pas forcement “radicalisé” mais qu’il peut être simplement “sexiste”.
Confondre le féminisme et l’islamisme est une dérive perverse de l’idéologie islamique qui cherche à minimiser ses méfaits.
Notre pays a appris à pleurer mais a organisé sa propre impuissance. Nous ne gagnerons pas cette guerre avec les moyens de la paix. Halte à la théorie de l’excuse ! Il n’y a aucune excuse à la barbarie. Il est plus que temps de cesser de dédouaner l’Etat Islamique ou ceux qui alimentent le terrorisme par leurs agissements quotidien. Mettons fin à cette naïveté, cette complaisance à l’égard des coupables. La réponse à ce totalitarisme islamique doit passer par le réarmement idéologique et militaire. Le féminisme n’est plus une simple question d’égalité salariale, de parité dans les entreprises, d’évolution des carrières.
Plus que jamais nous devons comprendre que l’islam radical cherche à s’attaquer aux femmes par des violences physiques ou psychologiques. Nous ne nous leurrons pas, nous ne sommes plus en paix. L’islamisme nous a déclaré la guerre. Ce ne sont ni des “déséquilibrés”, ni des “loups solitaires”, ni des “criminels de droit commun” mais ce sont des mercenaires qui agissent au nom d’une idéologie morbide. Des hommes qui aiment la mort comme nous aimons la vie.
Se réarmer moralement c’est avant tout cesser de fermer les yeux. Ce réarmement doit se faire dans nos écoles, nos quartiers, nos villes et nos villages. L’Etat ne doit pas abandonner ce combat idéologique.
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