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  • Tapisserie de Bayeux

    Emmanuel Macron, en visite d’État, a promis au roi Charles III le prêt de la tapisserie de Bayeux.

    Une splendeur millénaire, fragile comme un parchemin, qui traversera la Manche pour quelques semaines d’exposition au British Museum. Les conservateurs s'inquiètent, mais ce n'est pas grave, le pouvoir passera outre les recommandations avec son habituelle désinvolture.

    Le président de la région Normandie, Hervé Morin, explique que ce prêt constitue un " geste de réconciliation après le Brexit ". Le Brexit n’est pas la guerre de Cent Ans, mais décidément nos politiques adorent ces gestes symboliques qui - croit-on - ne mangent pas de pain...

    Celui-là coûtera cher: les élus normands, flattés d’être au centre d’une telle opération, ont ouvert leur bourse avec enthousiasme. Le projet, estimé à 38 millions d’euros, sera financé conjointement par plusieurs collectivités: la région Normandie et le département du Calvados y contribueront chacun à hauteur de 10,5 millions d’euros, tandis que la ville de Bayeux apportera 7 millions d’euros.

    Par ailleurs, l’État prendra en charge la totalité des frais liés à la restauration de la tapisserie, s’élevant à 2 millions d’euros.

    Depuis toujours, les angliches veulent que cette tapisserie soit "rendue" à l’Angleterre" On n'a rien volé, Bayeux est en France!

    Avez-vous remarqué que Macron dit oui à chaque demande???

  • Largage programmé de la Nouvelle-Calédonie:

    les loyalistes ont capitulé

    Les Chinois, qui lorgnent sur ce territoire depuis des décennies, doivent saliver. Car c’est bien une séparation du couple France-Calédonie qui est actée, en attendant le divorce définitif que convoitent les Kanaks.

    Ceux qui doutent de l’intérêt stratégique de la Nouvelle-Calédonie et de l’enjeu qu’elle représente aussi bien pour les Occidentaux que pour les Chinois devraient parcourir ce lien. Par ailleurs, les richesses minérales et halieutiques sont toujours bonnes à prendre…

     

    https://www.areion24.news/2024/12/30/quand-la-chine-frappe-a-la-porte-de-la-nouvelle-caledonie/

     

    Après la débâcle de mai dernier, Manuel Valls peut aujourd’hui pavoiser. C’est vers l’indépendance que se dirige la Nouvelle-Calédonie, sous couvert d’un statut bidon et temporaire, qui fait de l’archipel un véritable Etat dans l’Etat avant le divorce définitif.

    La "souveraineté avec la France" initialement rejetée par les loyalistes s’est finalement transformée en une arnaque totale pour ces anti-indépendantistes qui ne voient rien venir et se font rouler dans la farine avec le sourire.

    Ces bisounours ont accepté que la Nouvelle-Calédonie devienne un Etat au sein de la République, avec la double nationalité française et calédonienne pour les citoyens de l’archipel. Si ce n’est pas un aller sans retour vers l’indépendance, qu’est-ce que c’est?

    Les trois référendums ayant rejeté l’indépendance ont été passés à la trappe (2018, 2020, 2021). Française depuis 1853, la Nouvelle-Calédonie ne le restera plus très longtemps. Les Kanaks réclameront le divorce définitif. Manipulés par certains pays, comme l’Azerbaïdjan, ils jouent la carte indépendantiste sans aucun état d’âme.

    Dans l’immédiat, une Loi fondamentale réglera les questions identitaires, comme le choix d’un drapeau, d’un hymne national et d’une devise.

    Mais ensuite, après un vote du Congrès en 2026, le nouvel Etat pourra obtenir le transfert de certaines compétences régaliennes, dans les domaines de la diplomatie, de la sécurité, de la justice ou de la monnaie.

    Et tout cela en restant dans le giron de la France, veulent se rassurer les loyalistes! Quelle naïveté!

    Il est clair que l’archipel bénéficiant d’une diplomatie indépendante, il sera aussitôt courtisé par Pékin. Ceux qui s’imaginent que ce statut bancal va s’éterniser au sein de la République sont de doux rêveurs. Les Chinois n’auront aucun mal à faire miroiter aux Kanaks les bienfaits d’une indépendance totale.

    Personnellement je ne partage pas l’enthousiasme de l’Elysée et de Matignon. Si les signataires du projet se réjouissent, le FLNKS ne s’est pas encore prononcé.

    Rien n’est réglé entre les communautés et c’est un territoire économiquement exsangue qui ressort des récentes émeutes meurtrières qui ont ravagé le pays. 14 morts et 2 milliards de dégâts, cela laisse une plaie béante qui n’est pas près de se refermer.

    Cet accord historique a des relents de grande braderie. Macron ne s’est jamais intéressé à l’outre-mer. Souvenez-vous de " l’île de Guyane et des expatriés de Guadeloupe ". Tout cela ne représente rien pour lui.

    En lâchant la Nouvelle-Calédonie, il faut donc s’attendre à un effet domino dans tous nos territoires ultramarins. Après le Pacifique, ce sera le tour de l’Océan Indien puis des Antilles. Toutes les coutures de la nation finiront par lâcher une à une.

    La France perdra son statut de deuxième puissance maritime du monde avec son immense zone économique exclusive. C’est l’abandon de l’outre-mer que l’Elysée et Matignon saluent comme un accord historique. Pas de quoi s’en féliciter.

    Avec ce projet irresponsable, on ne peut qu’espérer que les Caldoches ne connaîtront jamais le sort tragique des pieds-noirs d’Algérie ou des Boers d’Afrique du Sud.

    Jacques Guillemain

     

    Merci Macron: j'ai toujours appris que "la République est UNE et INDIVISIBLE!"

  • 14-Juillet: VIVE  LA  RÉPUBLIQUE  FRANÇAISE!

    VIVE  NOUS!

    La fête nationale française, également appelée 14 Juillet, est la fête nationale et un jour férié en France. Le terme peut s'écrire "14-Juillet" avec trait d'union: La majuscule, c’est capital! disent certains lexicologues…

     

    Elle est instituée par la loi Raspail du 6 juillet 1880 ("La République adopte le 14 Juillet comme jour de fête nationale annuelle"), qui ne mentionne pas quel événement est commémoré: la prise de la Bastille du 14 juillet 1789, symbole de la fin de la monarchie absolue, ou la Fête de la Fédération de 1790, symbole de l'union de la Nation et premier anniversaire de la prise de la Bastille; tous deux étant des symboles de la Révolution française.

     

    Un défilé militaire a lieu chaque 14 juillet sur les Champs-Élysées de Paris. Son départ a lieu généralement à 10 heures juste après le passage de la Patrouille de France et la revue des différents corps armés par le président de la République.

     

    Ces spectacles nocturnes prennent place autour de sites dégagés au sein des villes, comme des esplanades, des parcs ou des cours d'eau. Malgré leur coût parfois élevé, les feux d'artifice sont des spectacles très appréciés de la population. Le feu d'artifice peut être tiré la veille au soir (13 juillet).

     

    De nombreux bals sont organisés dans le pays, notamment des bals musette ou des bals des pompiers. Souvent, le bal a lieu le 13 juillet, veille de jour férié, ce qui permet d'aller travailler le 15 juillet tôt le matin.

     

    La promotion dite "du 14 Juillet" est l'une des deux promotions civiles annuelles dans l'Ordre national de la Légion d'honneur. Et comme certains présidents de la république se poussent du col, des tas de pignoufs étrangers y ont droit… ce qui revient à diminuer le courage et l'honneur des militaires et forces de l'ordre tombés pour la France!

     

    Certaines années, le président de la République accorde une grâce collective à l'occasion de la fête nationale, aux alentours du 14 juillet ce qui permet de "soulager"  les prisons et de remettre des raclures dans la nature.

    Vive la République Française, vive la France!

    VIVE NOUS!

  • Votre maison est-elle trop grande?

    L’INSEE vient de publier une étude recensant les logements "sous-occupés" en France, c’est-à-dire trop grands pour ceux qui y vivent, selon ses propres critères.

    C’est le rêve humide des technocrates de Bercy et des khmers verts de la planification écologique: fliquer chaque mètre carré, chaque chambre inoccupée, chaque espace vital un peu trop large aux yeux de leur dogme collectiviste. Voilà donc l’ogre bureaucratique qui s’invite dans nos foyers pour compter les pièces, mesurer les mètres et juger – depuis les couloirs feutrés de la technostructure – si nous vivons "trop confortablement".

    On nous dit que c’est pour "optimiser l’usage du parc immobilier". En novlangue, cela signifie: rançonner les classes moyennes avec un nouvel impôt sur la " sous-occupation " pour mieux financer leur grande lubie: l’accueil sans fin de l’immigration. Car oui, ne soyons pas naïfs: derrière le vernis écologique et humaniste, il s’agit bien d’organiser le Grand remplacement foncier.

    Après la voiture, la viande, la cheminée, voilà maintenant que le salon trop vide devient suspect. Le propriétaire devient coupable. Et bientôt, pourquoi pas, contraint d’ouvrir sa porte – sous peine d’amende ou de honte médiatique – à la nouvelle France importée. Une chambre d’ami, Quelle indécence! Une pièce vide, Une trahison républicaine!

    Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste. Mais qu’on se rassure: leurs palaces, leurs résidences secondaires, leurs duplex parisiens, eux, ne seront pas concernés.

    Thomas Joly

  • Votre maison est-elle trop grande?

    L’INSEE vient de publier une étude recensant les logements "sous-occupés" en France, c’est-à-dire trop grands pour ceux qui y vivent, selon ses propres critères.

    C’est le rêve humide des technocrates de Bercy et des khmers verts de la planification écologique: fliquer chaque mètre carré, chaque chambre inoccupée, chaque espace vital un peu trop large aux yeux de leur dogme collectiviste. Voilà donc l’ogre bureaucratique qui s’invite dans nos foyers pour compter les pièces, mesurer les mètres et juger – depuis les couloirs feutrés de la technostructure – si nous vivons "trop confortablement".

    On nous dit que c’est pour "optimiser l’usage du parc immobilier". En novlangue, cela signifie: rançonner les classes moyennes avec un nouvel impôt sur la " sous-occupation " pour mieux financer leur grande lubie: l’accueil sans fin de l’immigration. Car oui, ne soyons pas naïfs: derrière le vernis écologique et humaniste, il s’agit bien d’organiser le Grand remplacement foncier.

    Après la voiture, la viande, la cheminée, voilà maintenant que le salon trop vide devient suspect. Le propriétaire devient coupable. Et bientôt, pourquoi pas, contraint d’ouvrir sa porte – sous peine d’amende ou de honte médiatique – à la nouvelle France importée. Une chambre d’ami, Quelle indécence! Une pièce vide, Une trahison républicaine!

    Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste. Mais qu’on se rassure: leurs palaces, leurs résidences secondaires, leurs duplex parisiens, eux, ne seront pas concernés.

    Thomas Joly

  • Eric Denécé, François Faivre, Olivier Marleix et les autres gêneurs du pouvoir

    Le suicide de Marleix, qui y croit? Personne. Il se trouve que le député en était à finaliser un livre dans lequel il évoquait l’affaire Alstom et le financement de la campagne présidentielle de 2017. Avant lui, s’étaient suicidés un médecin et une journaliste, qui allaient peut-être faire des révélations sur Brigitte. Il y eut aussi un général, des agents de la DGSE, à ce point que ça commence à faire beaucoup.

    Mais c’est le hasard évidemment. Un peu comme en Russie, quand un opposant à Poutine se suicide en tombant d’un balcon, une fois par an. Sauf qu’en France, c’est tous les quatre matins. Il faut croire que, dans le pays garant des libertés individuelles, de la liberté d’expression et de la démocratie, qui se permet de donner des leçons à la Terre entière, les malheureux hasards qui frappent les opposants sont bien plus fréquents que dans les pays désignés comme des dictatures. Les mauvaises langues diront qu’il n’y a pas de hasard et que ce sont des éliminations réalisées avec doigté.

    Avec doigté, pensez donc, même pas besoin, vu que les exécutants, les enquêteurs et les communicants sont les mêmes, ou de la même bande et que la presse subventionnée aux ordres ne répète que ce qu’on lui demande de répéter. Le pire est que tout le monde qui sait ce que le quidam ne sait pas a bien compris qu’il risquait sa peau, donc il se la ferme. Si ça continue comme ça, en 2027, il n’y aura pas d’élection, parce que tous les candidats se seront, par hasard bien sûr, suicidés.

     

    Blog du RPF

    ET ENCORE

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