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Blog - Page 119

  • Inteligent: plateforme pour soit aider à voyager, soit demander un accompagnement au voyage pour personne en situation de handicap

    Bon, allez-y! C'est une des plus intelligente plateforme apparue sur le net depuis très, très longtemps...

    Et croyez-moi: je suis internaute depuis 1996 (du temps où il n'y avait même pas Google et Yahoo pour nous aider à surfer comme on disait à l'époque...) et j'en ai vu bien d'autres!

    http://faciligo.fr

    En plus, ils sont à Montpellier, les créateurs, la petite ville d'Occitanie qui se croit plus grosse que Toulouse, MA ville, Ma capitale Occitane.

    Si j'ai compris leur truc (le pitch comme y disent) elle vient en aide aux personnes âgées, aux enfants seuls qui voyagent (pour aller voir l'autre parent divorcé?), aux personnes handicapés qui sont plus ennuyées qu'on ne le croit dans les transports....

    et de l'autre côté, si un "debout" ou "mobile" en pleine santé veut faire un petit acte de solidarité, il indique qu'il sera dans l'avion, le train... et qu'il aidera la personne à monter sa valise, monter une marche, etc....

    Merci aux concepteurs, merci aux aidants temporaires qui vont faire une bonne action!

    Waoouh, je vais, ENFIN, pouvoir partir en vacances!

    Poutous de Toulouse à Montpellier tout entier!

    La rédactrice

     

  • Suivre la mode…..

    Il y a plus d'une centaine d'années, il y avait, dans mon pays toulousain, une expression qui courrait et qu'il fallait prendre au pied de la lettre: il faut suivre la mode ou quitter le pays.

    Cela signifiait que, si tu es un breton et que les hasards de la vie t'emmènent vivre à Toulouse, il vaut mieux porter un béret plutôt qu'un chapeau rond… sinon, le conseil c'est de quitter le pays… sous entendu, toulousain. Mon papa portait le béret: il est né dans les Hautes Pyrénées. Mon papa, sans le béret sur la tête, je ne l'ai pas souvent vu. Même à table, il portait son béret.

    Je me souviens qu'enfants, quand nous croisiions un pépé à casquette (les vieux en ce temps-là mourrait avant d'atteindre leur 75 ans), ce papy à casquette nous faisait “crever“ de rire tant son couvre-chef était inusité dans nos parages.

    Quand j'ai eu 17 ans, (en 1967) il y eût un sacré raz-de-marée qui s'appelait: la mini-jupe. Elle était peut-être arrivée bien plus tôt dans la capitale, mais, moi, je bossais à l'usine et je ne sortais jamais que le dimanche après-midi, à la balloche car, on ne laissait pas sortir les filles de 17 ans le soir. Interdiction de sortir jusqu'à ses 21 ans. C'était comme cela, la bienséance, même chez les filles d'ouvriers.

    Mais, à 17 ans, on se voulait “dans le coup“ comme nous disions en 67. Donc, nous avions des ruses de sioux pour raccourcir nos jupes car, selon la vieille expression, déjà détournée de son sens: si tu ne suis pas la mode teen-ager, tu peux quitter Toulouse… sinon on va t'aligner comme un plouc de cambrouse. Horreur dans la jeunesse seventies!

    Aujourd'hui, l'expression court toujours: je vous laisse deviner dans quelle acception, elle court dans nos conversations quotidiennes.

     

  • Des soucis récurrents avec Mobibus 31?

     

    Allez vous plaindre sur cette page Facebook

     

    https://www.facebook.com/josyane.escudero

  • Les juges rouges: ça suffit!

    Il faut que le parquet anti-terroriste ait la primeur sur le parquet des juges rouges fous qui libèrent les fous d'Allah...

     

    Remarquez, entre fous, ils se comprennent!

     

     

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  • Vive la République Française, vive NOTRE FRANCE!

    Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines?

    Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu´on enchaîne?

    Ohé, partisans, ouvriers et paysans, c´est l´alarme.

    Ce soir l´ennemi connaîtra le prix du sang et les larmes.

    Montez de la mine, descendez des collines, camarades!

    Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades.

    Ohé, les tueurs à la balle et au couteau, tuez vite!

    Ohé, saboteur, attention à ton fardeau : dynamite...

    C´est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères.

    La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse, la misère.

    Il y a des pays où les gens au creux des lits font des rêves.

    Ici, nous, vois-tu, nous on marche et nous on tue, nous on crève...

    Ici chacun sait ce qu´il veut, ce qu´il fait quand il passe.

    Ami, si tu tombes un ami sort de l´ombre à ta place.

    Demain du sang noir sèchera au grand soleil sur les routes.

    Sifflez, compagnons, dans la nuit la liberté nous écoute...

    Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines?

    Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne?

    Oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh...

     

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  • Vivent les VRAIES femmes de France, libres et indépendantes!