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Blog - Page 122

  • Je ne savais pas que j'étais aussi célèbre!!!!! (2)

    Je ne sais pas où ils ont trouvé mon adresse mail ou qui leur a parlé de moi!

    Je gage cependant qu'ils n'envoient pas cela à tout les indépendants de France car, en 33 années de travail en indépendant, je n'avais jamais été contactée officiellement pour ce genre de choses.

     

    Appel à candidature pour vous faire élire juge au Tribunal de Commerce

    www.la-cndi.fr  rubrique "TC" Tribunal de Commerce

    Bonjour,

    Début septembre, dans votre circonscription, il y aura  des candidats  de La CNDI pour être élus magistrat-juges au Tribunal de Commerce.

    Rejoignez cette liste.

    Pour savoir si vous pouvez être candidat- éligible, visitez le site Internet : www.la-cndi.fr  puis la rubrique « TC» -Tribunaux de Commerce.

    Vous y trouverez les conditions d’éligibilité  au Tribunal de Commerce et toutes les démarches à accomplir pour être candidat.

    Toutes les candidatures seront examinées  par La CNDI.

    Les "petits entrepreneurs" ont besoin de développer leur représentation dans les TC. La CNDI vous aidera à vous faire élire.

    Après avoir visité le site Internet, n’hésitez pas à nous contacter ou à nous téléphoner pour plus d’informations.

    La CNDI a déjà de BONS juges aux TC. Rejoignez-les.

    Les BONS JUGES font les BONS TRIBUNAUX.

    Tous les "petits entrepreneurs" comptent  sur vous.

    Cordialement,

    Olivier  B.

    Président de La CNDI.

    01 43 20

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  • RAPPEL

    Ne vous fatiguez plus à laisser des commentaires bidons, j'efface votre courriel et l'url du site que vous promouvez!

    Si vous voulez mettre de la pub ici: faut payer!

    Normal, non?

     

     

     

     

     

  • Je suis Danielle!

    "Des squatteurs m'ont pris ma maison"

    "Je ne ressens même plus de la colère, j'ai de la peine et du chagrin!", assure Danielle Galy, cette retraitée de 69 ans qui ne peut plus rentrer dans sa maison, au 64 route de Blagnac, à Toulouse, car des squatteurs s'y sont introduits illégalement depuis le 6 avril dernier. Hier après-midi, cette propriétaire et retraitée active qui vit dans l'Ariège a mobilisé une vingtaine de riverains ainsi que ses proches pour dénoncer "l'occupation illégale" de cette maison de famille et une situation ubuesque où les nouveaux occupants la menacent aujourd'hui d'appeler la police si ses intrusions intempestives se multiplient.

    "Vous vous rendez compte, il faut que je manifeste devant ma maison pour demander à récupérer mon bien!", s'offusque-t-elle. Visiblement bien organisés, les squatteurs auraient pris possession des lieux le 6 avril en changeant les serrures de cette demeure et en cadenassant le portail d'entrée, rendant plus complexe le constat d'infraction. Dès lors, les recours judiciaires peuvent être très longs et surtout coûteux.

    Cette bâtisse était occupée durant de longues années par l'épouse du père de Danielle Galy qui en avait la jouissance jusqu'à son décès survenu en 2014. Depuis deux ans, la sœur de Danielle passait régulièrement relever le courrier. Jusqu'à ce qu'un riverain l'informe de l'intrusion de squatteurs.

    L'occupation a bien été constatée par un huissier mais c'est désormais par la justice administrative, comme le prévoit la loi, que cette affaire doit se régler. Une audience devant le tribunal d'instance est prévue le 27 mai pour la procédure d'expulsion. "C'est mieux de dormir ici que d'être dans la rue.

    Surtout que les logements sociaux et les hébergements d'urgences sont plein", estime l'un des squatteurs, un jeune allemand de 27 ans, rencontré derrière le portail de la maison.

     

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  • En direct avec la dernière stupidité:

    Stéphane Le Foll: "Nous sommes là pour ce soir pour revendiquer que ce que nous avons fait est conforme aux valeurs de la gauche!" (faute de style livrée avec)

    Mon dieu! qu'il est bête lui aussi, pourrait-on dire….

    Là, désolée mais je crois que même Dieu ne peu plus rien faire.

    Vient un moment où même les miracles deviennent impossibles.

     

     

  • Salopards!

    La belle démocratie à la gauchiasse!

     

    Viols et agressions sexuelles à Nuit Debout

    À Nuit Debout comme ailleurs, les femmes se font agresser, insulter, emmerder. Remarques sexistes et mains aux fesses sont monnaie courante. La commission Féminismes lutte depuis des semaines pour imposer des bonnes pratiques et chasser les relous.

    Déséquilibre de la parole en faveur des hommes, remarques sexistes, mains aux fesses, agressions sexuelles en tous genres: sur la place de la République, les militantes féministes du mouvement Nuit Debout se battent quotidiennement contre cette violence. Nuit Debout n’est pas un repère de prédateurs sexuels, et la place de la République n’est pas la place Tahrir en Egypte. Mais, comme dans tout lieu public, comme dans le métro où toutes les femmes ont subi du harcèlement sexuel, les participantes sont régulièrement confrontées à la misogynie.

    Nuit Debout est face à ses contradictions, celles d’un mouvement de gauche progressiste, au sein duquel des commissions féministes sont actives, mais qui n’abrite pas moins de nombreux actes sexistes.

    Dans le rapport à la parole: les commissions non mixtes sont décriées, mais il a fallu presque un mois pour que dans les lieux mixtes soit acté le principe d’une parité dans les prises de parole, pas encore totalement atteinte dans les faits, selon plusieurs observateurs actifs du mouvement.

    Il arrive que des insultes fusent. Ludivine raconte par exemple cette anecdote, d’un "antifa" qui la prend à partie. "Il a fini par me dire qu’il allait "me baiser", que j’étais une "mal-baisée".

    Dans la violence physique: une militante explique à Slate.fr avoir dû se battre contre un homme "se collant à (elle) de tout son corps", une autre se souvient d’un type "mimant ostensiblement une fellation" qui est ensuite "parti en se marrant". Les mains aux fesses dans le noir sont monnaie courante, comme l’ont vécu Simone, étudiante (nous avons changé son prénom) ou Fatima Benomar, cofondatrice du collectif Les effronté-e-s, qui participent toutes les deux à la "commission Féminismes" qui squatte la place depuis plusieurs semaines.

    Fatima Benomar se souvient également d’un homme ayant plongé brutalement les mains dans ses longs cheveux bouclés, en criant "j’adore vos cheveux". "Dès que le soir commence à tomber, ça s’alcoolise et cela se mélange entre la population de Nuit Debout et d’autres personnes qui ne connaissent pas les fondamentaux du mouvement", regrette-t-elle.

    Au moins un viol a aussi été évoqué: plusieurs personnes interrogées par Slate.fr en ont entendu le récit lors d’une réunion non-mixte de la commission Féminismes, et leurs témoignages concordent. Le récit de ce viol est par ailleurs relaté dans deux posts du blog de la commission Féminismes, dont l’un a été supprimé. Ainsi que dans un article du site Reporterre.

     

    DISSOLUTION! ... et plus vite que ça!