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Blog - Page 47

  • DOSSIER: coronavirus, ce qu'il faut savoir

    La Covid-19 est un réel danger!"

    deux scientifiques font le point sur le coronavirus SARS-CoV-2

    "Nous sommes très préoccupés". Pour les médecins qui souhaiteraient avoir un panorama complet des connaissances sur le nouveau coronavirus, deux scientifiques proposent une revue exhaustive de la littérature. Laurent Lagrost est Directeur de recherche à̀ l’INSERM. Didier Payen est l'ancien chef du service d'anesthésie-réanimation de l’Hôpital Lariboisière à Paris.

    Après deux mois d’annonces, de révélations, d’étonnements et de réactions, nous y voyons un peu plus clair, grâce à la fulgurance de la réaction sanitaire, épidémiologique, scientifique, sociologique, politique et économique. La lecture attentive des données récentes, et maintenant disponibles, semble confirmer l’impérieuse nécessité de considérer la maladie à coronavirus 2019 (Covid-19), maladie infectieuse causée par le coronavirus SARS-CoV-2, avec beaucoup de sérieux et de pragmatisme. Ceci n’exclut pas, bien au contraire, de rester positif et optimiste grâce à la rigueur d’analyse des faits, en évitant la panique née de l’ignorance, de l’incohérence d’attitude ou de la course au sensationnel.

    Ainsi, les sources les plus sérieuses comme le relevé global des cas rapportés chaque jour par l’Université Johns Hopkins CSSE, les publications volontairement rapides en accès libre dans les prestigieux Lancet, Journal of American Medical Association et New England Journal of Medicine par des équipes chinoises en collaboration avec des auteurs extérieurs, nous éclairent et nous instruisent (1-3). Le SARS-CoV-2 qui nous touche (ou peut-être les SARS-CoV-2 comme il ressortira peut-être un jour des études rétrospectives) est un réel danger. Si les comparatifs en vogue mais nécessaires avec le SRAS, le MERS, Ebola ou autres épidémies H1N1 présentent un réel intérêt pour les experts épidémiologistes et cliniciens, leur présentation "à la découpe" dans les médias semble pouvoir produire aujourd’hui un effet contre-productif et erratique dans l’esprit du grand public, premier concerné. La transparence, si nécessaire pour tous, semble trouver des limites dictées parfois par des connotations affairistes et/ou politiques, arguant de la nécessité d’éviter la "panique".

    Celle- ci naît pourtant de l’ignorance ou pire du doute sur l’information donnée. Ainsi, s’il est reconnu aujourd’hui que la pandémie de grippe espagnole de 1918, due à une souche H1N1, a tué entre 50 et 100 millions d’individus, plus que la peste noire, bien peu de nos compatriotes la placeraient pourtant d’emblée devant la première guerre mondiale et la considèreraient tout aussi massacrante que la seconde. Et pourtant.

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  • La journée internationale ses seins nus!

    En attendant la journée internationale des seins nus du 26 août prochain, organisée par le mouvement américain Go Topless Day pour commémorer aux États-Unis le droit de vote obtenu par les femmes le 26 août 1920. Une journée où l’homme ne saura plus à quel saint se vouer, ni où donner de la tête.

    https://ripostelaique.com/jai-fait-un-reve-de-seins-nus.html

    Donc notre histoire se passe à New York où l’on sait honorer la femme. Ce que Balzac avait déjà décrit dans ses scènes de la vie privée: "Émanciper les femmes, c’est les corrompre".

    Voilà donc que notre très belle jeune femme écrit à un cabinet de conseil en investissements pour demander des adresses en vue d’épouser un homme très riche.

    "Je suis une belle jeune femme, je dirais même très belle, de 25 ans, bien élevée et j’ai de la classe. Je souhaite me marier avec un homme qui gagne au moins un demi-million de dollars par an.

    Avez-vous dans vos fichiers les adresses de quelques hommes célibataires de New York, veufs ou divorcés, qui gagnent annuellement 500 000 dollars ou plus?

    J’ai déjà été fiancée à des hommes qui gagnent de 200 à 250 000 dollars pas plus mais 250 000 ce n’est pas suffisant pour que je puisse vivre à Central Park West.

    Je connais une femme, dans mon cours de yoga, qui s’est mariée à un banquier. Elle vit à New York, dans le quartier branché Tribeca, et pourtant elle n’est ni aussi belle que moi, et pas même intelligente. Mais alors, qu’a-t-elle fait que je n’ai pas fait? Comment puis-je atteindre son niveau de vie?".

    Et la réponse de l’expert financier, fleurant bon le machisme patriarcal adulé par les féministes bien de chez nous, pour lui proposer une savante et implacable négociation:

    "J’ai lu votre courrier avec une grande attention, et après avoir longuement étudié votre demande c’est avec grand soin que je me suis livré à une analyse financière de votre situation.

    Premièrement, je ne vous fais pas perdre de temps puisque moi-même je gagne plus de 500 000 dollars par an. Ceci étant dit, je considère les faits de la façon suivante. Ce que vous offrez est simplement une bien mauvaise affaire.

    Voici pourquoi:

    Laissons les subterfuges de côté. Ce que vous proposez est une affaire simple à résumer. Vous mettez votre beauté physique et je mets l’argent.

    L’offre est claire et sans détours. Cependant un problème existe: il est certain que votre beauté va s’étioler et va un jour disparaître, alors qu’en même temps, mes revenus et ma fortune continueront très probablement de croître.

    Ainsi, en termes économiques, vous êtes un passif qui subit une dépréciation et je suis un actif qui produit des dividendes.

    Vous subissez donc une dépréciation, mais comme celle-ci est progressive, votre valeur diminue de plus en plus vite!

    Soyons plus précis: Vous avez aujourd’hui 25 ans, vous êtes belle et sans doute le resterez- vous durant les 5 ou 10 années à venir.

    Mais chaque année un peu moins, et quand vous vous comparerez à une photo prise aujourd’hui, vous constaterez combien vous avez vieilli.

    Cela signifie que vous êtes aujourd’hui dans la phase de croissance: c’est donc le bon moment pour être vendue mais non pour être achetée.

    En utilisant le langage de Wall Street, celui qui vous possède aujourd’hui à intérêt à vous avoir en "Trading position", position de vente, et non dans "buy and hold", acheter et conserver. C’est pourtant ce que vous offrez.

    Par conséquent, toujours en termes économiques, le mariage, qui est un " buy and hold " avec vous n’est pas une bonne affaire à moyen ou à long terme.

    En revanche, la location pourrait se révéler une affaire raisonnable dont nous pourrions discuter vous et moi.

    Cependant, ce qui est une pratique habituelle en affaire, je souhaite faire un essai, c’est à dire un "test drive" avant de concrétiser l’opération.

    Somme toute: comme le fait de vous acheter est une mauvaise affaire pour cause de dévaluation croissante, je vous propose une location aussi longtemps que le matériel restera en bon état.

    En attendant de vos nouvelles. Cordialement à vous".

    Balzac nous donne la morale de cette histoire: "La plus corrompue exige, même avant tout, une absolution pour le passé, en vendant son avenir, et tâche de faire comprendre à son amant qu’elle échange, contre d’irrésistibles félicités, les honneurs que le monde lui refusera".

    Alain Lussay

    https://ripostelaique.com/reponse-a-une-jeune-femme-qui-voulait-epouser-un-riche-mari.html

     

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  • Gôôôôchiasse: L’insulte au Colonel Beltrame

    Si certaines villes n’ont pas traîné pour honorer le sacrifice du Colonel Beltrame en lui attribuant une rue ou une place, il en est allé autrement à Marseille où il aura fallu attendre deux ans pour qu’enfin, une plaque soit posée à son nom sur une des places de la ville…

    Le Colonel Beltrame, c’est ce militaire qui a choisi d’échanger sa place avec celle d’un otage lors de l’attaque terroriste de Trèbes, le 23 mars 2018. L’otage survivra, le militaire non. Beaucoup jugèrent nécessaire de garder trace de ce comportement héroïque, comme en témoigne l’assez longue liste de lieux qui portent désormais le nom du militaire.

    À Marseille cependant, il fut prudemment décidé que bah non finalement: selon les élus socialistes et communistes, aucune place ne semblait assez prestigieuse pour un tel nom (et en tout cas, pas chez eux). Selon l’élu Rassemblement National, il s’agissait surtout de " ne pas provoquer les populations locales ".

    L’affaire aurait pu en rester là: après tout, rien n’oblige une municipalité à nommer les places et les rues en fonction des individus les plus héroïques du pays. D’ailleurs, on n’oubliera pas que certaines mairies, largement aux mains d’idéologues détendus du communisme (même le plus brutal), ont trouvé l’habile subterfuge de distribuer du Stalingrad (place, rue, avenue et j’en passe) en lieu et place du Staline tout court, par trop corrosif pour notre République. Dès lors, oublier Beltrame à Marseille aurait été parfaitement possible et apparemment tout à fait souhaitable pour une partie des élus de gauche de la municipalité phocéenne.

    Cependant, à force d’insister, les élus Rassemblement National ont fini par obtenir gain de cause: une plaque a finalement été posée sur la place devant l’école Sainte-Marthe Audisio (dans le quatorzième arrondissement de Marseille), sans tambours ni trompettes et dans une telle discrétion qu’absolument aucune cérémonie n’avait été préparée. Les édiles ont été obligés d’improviser quelque peu.

    Rassurez-vous: comme toute la représentation politique de la municipalité marseillaise était là, il n’y a plus aucun doute que cet hommage ne posait en réalité qu’un problème temporaire d’emplacement comme l’expliquait alors Patrick Mennucci, le socialiste assumé du cru. Tout est bien qui fi… Oups, on me fait savoir dans l’oreillette qu’en réalité, il n’y avait que les élus du Rassemblement National sur place, ce qui tend malheureusement à accréditer la thèse que les gauchistes marseillais ont jugé totalement inutile de se déplacer pour cet hommage.

    Pourtant, ce sont ces mêmes socialistes et autres communistes qui se gargarisent d’habitude de ces valeurs républicaines qu’il convient d’appeler à la rescousse à chaque fois qu’il le faut mais qu’on se gardera bien ni de définir, ni d’appliquer lorsqu’une occasion pourtant ô combien symbolique se présente…

    Pourtant, ce sont ces mêmes socialistes et autres communistes qui poussent les cris les plus stridents lorsqu’on laisse le champ libre à ces élus d’un autre bord, d’une autre extrémité que la leur, douillette et validée par tous.

    Pourtant, ce sont ces mêmes socialistes et autres communistes qui n’ont que l’État français et le vivrensemble à la bouche ; on ne peut que s’étonner de les voir se carapater alors qu’on entendait là honorer un représentant tout ce qu’il y a de plus officiel de l’État français, dans l’exercice tout ce qu’il y a de plus officiel de ses fonctions, qui a fait preuve d’un acte tout ce qu’il y a de plus honorable.

    Dans le meilleur des cas, on en viendrait à croire que ces brochettes de gauchistes refusent simplement d’être vues en compagnie des élus RN. Attitude aussi infantile que peu digne de l’occasion, mais – il faut l’avouer – pas vraiment en décalage avec le niveau moyen des politiciens.

    Dans le pire des cas, on arrive à imaginer qu’en fait, c’est bien parce que cet hommage dérangerait effectivement certaines populations, celles qui seraient trop heureuses de la mort d’un militaire français tué par un terroriste islamiste. Et que déranger ces populations, ce serait risquer, pour ces élus en carton, de perdre leur mandat aux (trop) prochaines élections.

     

    La couardise de cette attitude électoraliste de courte vue contraste assez violemment avec l’acte héroïque du Colonel Beltrame. On comprend mieux, dès lors, que ces lâches méprisables ne veuillent pas infliger la flétrissure de leur présence à un hommage qui lui serait rendu.

    En cela, ils ont raison.

    Mais leur attitude lamentable est véritablement exécrable en ce qu’elle contient les germes d’une démission complète du courage, du bon sens et, surtout, un aplatissement consternant d’officiels républicains devant ceux qui entendent pourtant de façon de plus en plus claire en finir avec eux, par l’épée s’il le faut. Pire encore, ce manque minable de courage donne un argument de plus à ces populations décidément fort sensibles émotives pour les mépriser et les manipuler électoralement: prisonniers de leur mandat par la bonne soupe municipale, on les retrouve donc prêts à toutes les démissions et les compromissions idéologiques les plus basses pour conserver la gamelle.

    Ici, on pourrait s’en tenir à ce constat.

    Malheureusement, ce qui s’est passé sur cette place Beltrame dans le 14ème à Marseille n’est pas la simple dérive d’une brochette de larves gauchistes en mal de réélection, dont l’appétit de la gamelle dépasse de loin tout sens de l’honneur: ce genre d’électoralisme se retrouve dans un nombre croissant de communes urbaines et périurbaines de grandes métropoles, gangrenées par ces quartiers trop émotifs et qui, d’abandons républicains en recherches forcenées de compromis et d’apaisements artificiels, se sont muées en zones de non-droit où imaginer faire revenir le droit et la loi revient à déclencher des émeutes et l’inévitable Niagara d’outrances de toutes les associations lucratives sans autre but que celui de surjouer une victimisation qui rapporte (financièrement et électoralement).

    Ces élus font la démonstration de ce qu’avoir choisi la République du #Padevague entraîne en déliquescence du pays, où plus personne ne semble en mesure de faire simplement appliquer les lois essentielles de la vie en société. Par abandon successif de tout courage, de peur de passer pour un affreux réactionnaire, voire un homme de drouate ou pire encore, un fasciste (pensez donc: réclamer le retour de l’Ordre, c’est l’horreur, quasiment le nazisme !), ces élus ont choisi, sinon consciemment mais en tout cas par défaut, de laisser s’installer les pires pratiques (incivilités au départ, puis trafics en tous genres, puis activités de plus en plus criminelles jusqu’au terrorisme maintenant).

    En délavant les valeurs françaises de liberté, d’égalité et de fraternité au point d’arriver à un simple triplet d’égalité, de taxes et de pantoufles, ces élus ont ouvertement choisi le suicide pour tous, par contrition, par attrition et par soumission à des racailles.

    Ce pays est foutu.

    https://www.contrepoints.org

  • PENURIE DE MASQUES?

    PÉNURIE DE GEL HYDROALCOOLIQUE?

    Fabriquez des lingettes maison et FAITES PASSEZ A TOUT LE MONDE CETTE INFO

    Pour commencer, et je vais vous faire frémir… les gels hydro-alcooliques achetés fort cher en pharmacie ne valent RIEN, RIEN DU TOUT contre les virus de la grippe, coronavirus et autres… gardez votre argent.

    Ceux qui sont efficaces sont vendus par des sociétés pour des sociétés et autres gens de la santé (Delcourt, l'Equipier et les sites de fournisseurs de matériels de bureau pour les entreprises). BON A SAVOIR: certains ne demandent pas un numéro siret.

    JE VOUS ENSEIGNE A FABRIQUER DES LINGETTES NETTOYANTES ÉCONOMIQUES ET ANTISEPTIQUES.

    Elles seront tout aussi efficaces (même plus) que ces gels de pharmacie.

    Achetez des petits sacs zip en plastique transparent, de l'alcool à 90°, des mouchoirs papiers. Quelques gouttes d'huile essentielle de citron, thym, origan.

    Dans un petit saladier en verre, verser trois-quart de verre d'alcool à 90° et versez des huiles essentielles thym, origan environ 30 gouttes de chacune d'elles et pour donner une meilleure odeur, ajoutez 40 gouttes d'HE de citron.

    Fouettez pour bien mélanger; les HE s'intègrent à l'alcool pour peu que vous fouettez longuement.

    Prenez un mouchoir en papier et dépliez-le entièrement puis pliez-le en 4 (ce sera plus facile a ouvrir lorsqu'ils seront mouillés).

    Prenez un sac: ouvrez-le entièrement, glissez le mouchoir en papier et versez suffisamment du mélange d'alcool/ H.E. pour qu'il soit bien imbibé. Fermez bien.

    Voila, vous avez des lingettes de propreté suffisamment efficaces.

    Ne remplissez pas trop, il ne faut pas que vos lingettes soient bombées: trop lourdes, le paquet peut s'ouvrir et parfumer votre sac à main!

    L'alcool dessèche les mains, donc à utiliser uniquement quand vous n'avez pas un point d'eau à proximité avec du savon de Marseille et un bon système de séchage, c'est-à-dire, des feuilles de papiers. En effet, le système genre sèche-cheveux sèche les mains, mais vous gardez des bactéries qui, au contraire, restent sur le papier.

    Pensez à passer de la crème sur les mains régulièrement pour lutter contre le dessèchement.

    Éventuellement, vous pouvez achetez des sachets zip plus grands et, avec le même mélange, imbiber des pages de papier absorbant. Vous pourrez utiliser au moins deux fois le papier s'il est non tissé et  si vous avez utilisé un seul côté la première fois.

    C'est moi qui est eu l'idée d'inventer ces lingettes, j'ai testé. Utilisées lorsque je remplissait mon réservoir voiture.

    On peut les garder longtemps (si vous conservez le sachet bien fermé et à l'abri de la lumière).

  • Je suis partiellement inculte…

    ... puisque je n'ai, pour tout bagage scolaire, que le certif', délivré en 1964…

    Mais, il me semble bien que l'on m'a toujours enseigné que le mot “déféré“ veut dire “ôter les fers (aux pieds)“ et que, par contre,

    Le mot “enféré“ voulait dire mettre les fers (aux galères) ou écrouer ou mettre en prison…

    Tour de passe-passe des journalistes de la médiacratie qui eux, oui, sont vraiment incultes et moutons de Panurge, répétant -si je peux m'exprimer ainsi- idiopathiquement (qui signifie en médecine: on ne sait d'où cela vient) et donc, de façon stupide, les mêmes antiennes que leurs coreligionnaires insanes. Les baveux sont totalement idiots.

    Vous devriez lire, chers gens de la gauchiasse progressiviste et moutons de la start-up nation, vous devriez lire le news Valeurs Actuelles où on parle -et écrit- le bon Français de France…

    Je sais, je sais, c'est un sale torchon nauséabond, nazifiant et d'extrême droite (selon vous) mais qui voit chaque semaine, augmenter ses abonnés tandis que vous périclitez malgré les subventions de l'Etat français. Plus bas vous descendez au niveau de vos racontars blèmes et incohérents à vos derniers lecteurs, plus vous vous vautrez dans la bassesse de classe, le fameux “camp des bien-pensants“ et plus vous perdez d'abonnés!

    L’état, c'est moi…

    et je trouve qu'à force de vous mordre la queue, comme l'Ouroboros, vous oubliez un peu trop que les subventions que vous touchez sont l'argent des impôts du petit peuple d'en-bas; vous savez, celui qui roule en diésel avec la clope au bec et dont les femmes d'usines, sont totalement illettrées -comme a dit l'Arrogant qui nous sert de président.

    Hélas, celui-ci, révérence gardée, est à l'Elysée parce que des imbéciles de Français ont voté pour lui, ceux de sa caste qui s'auto-complimentent en regardant leur joli nombril genré et venant de la brigade des  alphabets (lgbt et le reste d'abrutis)...

    J'espère que le locataire de l'Elysée va prendre la pelée du siècle aux prochaines municipales!

  • La chronique des cinglés à l’Université: la Folie du Gender

    Vi, je suis vulgaire!

    La chronique des cinglés: Jean Robert : "Assemblée Nationale: La France Insoumise demande la suppression de la mention du sexe à l’état civil, la jugeant "très oppressante et oppressive" ! Ben voyons!

    "Notre amendement propose la suppression de la mention du sexe à l’état civil. Cette mention, qui n’a, aujourd’hui, plus aucun intérêt, a, pour les personnes transgenres et intersexuées, des conséquences concrètes parfois très oppressives. " #LGBT Députée Obono (@Deputee_Obono) October 3, 2019

    Voilà une qui fume sa moquette tous les matins!

    Affranchir l’homme de tout ce qui peut l’oppresser et de tout ce qui n’est pas lui-même, le ramener à son existence concrète sur terre, lui apprendre à se réaliser lui-même dans ses rapports réels avec le monde, l’émanciper des chimères de la folie du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT qui obscurcissent son esprit et qui le rendent étranger à son vrai être : ces principes pour lui apprendre à se réaliser lui-même ont leur origine dans la vaste critique à laquelle Hegel et ses disciples ont soumis les valeurs traditionnelles.

    Martine Chapouton: "Nous connaissons parfaitement ces militants (islamo-gauchistes qui sont) déguisés en journalistes et qui expliquent à la terre entière ce qu’il faut penser, comment l’exprimer et qui se croient le camp du bien. Samuel Laurent, des (déglingos)-décodeurs du journal Le Monde, en fait partie".

    Étienne Girard: "Des associations universalistes célèbrent l’universalisme et lancent un "appel de Lille". Sur des tags insultants devant la Maison des associations de Lille, on pouvait lire: "Fil.les de colons", écriture inclusive comprise. Plus loin sur l’édifice, avec la bombe de peinture couleur bleu céleste, d’autres tags précisaient: "Blanc.hes, bourgeois.es et racistes! La laïcité ne justifie pas le racisme" ou "Mort aux Faf".

    Et moi, je dis: Mort aux cons!

    L’objet de ces graffitis: Un colloque "Pour l’universalisme: comprendre l’intersectionnalité, les communautarismes et le multiculturalisme". Les participants à ce "colloque militant" partageaient l’idée qu’il est devenu de plus en plus difficile de défendre les idées universalistes qui supposent que chacun doit être traité de la même façon, par-delà les spécificités de genre, de sexe ou de couleur de peau. Ben voyons!

    Cons à manger du foin

    L’émergence, dans les milieux intellectuels, d’une nouvelle idéologie dite "décoloniale", venue des États-Unis, qui entend redéfinir les relations sociales en terme des "dominants" et de "dominés", la première catégorie représentant les citoyens de couleur de peau blanche et la seconde les autres citoyens.

    Et mon cul, c'est du poulet (B. BARDOT)

    Comme quoi les déglingos-décoloniaux mènent la "guerre des facs" contre l’intelligence!

    La “guerre“: le jour ou on a des chars étrangers en France, ils vont se planquer derrière les jupes de leurs mères!

    Gilles Denis, historien des sciences, a retracé l’histoire de l’usage idéologique de la notion de race. Il a analysé les théories décoloniales comme "reprenant le concept de races auxquelles sont ramenés les individus". Indigénisme, décolonialisme: une "subversion" de l’offensive des obsédés de la race, du sexe, du genre, et de la désidentité… Djemila Benhabib a livré son expérience du multiculturalisme au Canada. "Sous couvert du respect des croyances minoritaires, les juges ont permis d’offrir des privilèges religieux, une forme de droit religieux. Cette démarche a créé deux catégories de citoyens", a-t-elle expliqué, en revenant sur plusieurs polémiques ayant éclaté dans son pays.

    Isabelle Barbéris a décrit la mutation du milieu universitaire culturel où les thèses décoloniales et communautaristes deviennent "hégémoniques" et "académiques".

    Charles Coutel, philosophe du droit, a insisté sur "la crise de l’institution universitaire dont "la dérive néo-libérale" favorise un "entrisme obscurantiste".

    Oui, t'a raison: retour au Moyen-âge et à l'inquisition

    La question du racisme est prégnante en France et figure au cœur du discours décolonial. Djemila Benhabib: "Il faut dire qu’il y a du racisme dans la société, du racisme anti-Maghrébins par exemple, et ne jamais rien laisser passer“. Guylain Chevrier: "La meilleure réponse, c’est la République sociale" (socialiste?). Ben voyons! TAKAYCROIRE!

    Parle à mon cul, tu me fatigue la tête

    Mikaël Faujour et Marion Messina: "Élèves menacés, antiracisme pavlovien… Quand le gauchisme étudiant vire à l’absurde contre des élèves menacés pour des actes ou opinions non conformes (à la tyrannie du) "politiquement correct" d’une gauche moralisatrice contre des situations dégradantes et sexistes!

    Laissez les venir ici, que je leur file un ramponeau à la Toulousaine et vous verrez s'il faut défendre les pauvres femmes??? Ha merde, je suis blanche!

    Étienne Girard et Hadrien Mathoux dénoncent "l’offensive des obsédés de la race, du sexe, du genre“.

    Les signaux sont nombreux qui montrent qu’un nouveau militantisme antiraciste confinant au racisme se propage dans notre société. Les racisés souffrent d’invisibilisation, ce qui devrait pousser à s’interroger sur les privilèges blancs et le racisme d’État en France, ce qui crée un abyme de perplexité à propos de la mouvance décoloniale si chère aux organisations de gauche pour la défense des droits des personnes noires.

    Mikaël Faujour et Marion Messina : Indigénisme, décolonialisme : une " subversion " du progressisme.

    Dans les Universités, les théories (déglingos)-postmodernes (genre, décolonialisme) venues des États-Unis gagnent les facs. Avec l’ambition de "déconstruire“ les humanités, chercheurs militants et étudiants mènent une bataille intellectuelle soi-disant contestataire intégrant les discursivités au-delà de l’humain (???)

    La chronique des cinglés à l’Université: "Un projet de recherche d’une post-linguistique, dans une approche écologique et décentrée du langage (???) (prise en compte du discours dans l’ensemble de la vie humaine (???) et perspective pluri-centrique et pluri-versaliste de la production de sens) par Marie-Anne Paveau, professeure à Paris-XIII. (???) Ben voyons! TATKAYCROIRE ! Et tout ça avec votre pognon!

    La chronique des cinglés à l’Université: "À l’université Paul-Valéry de Montpellier, Claire Gallien organise des séances sur la charia, sur l’homo-nationalisme et le futur des politiques Queer. (???) Vincenzo Susca, du département de sociologie, prône les études de genre où il est question de racisme biopolitique, de gender-fluid ou de théorie critique cyborg. (???) David Garibay, déglingo-directrice, fonction féminisée pour combattre le sexisme (???) encourage les étudiants au militantisme, au détriment de leur formation ! (???)

    La Phénoménologie de l’Esprit de Hegel est la critique de l’aliénation de l’esprit et tous les éléments de la critique souvent préparés et élaborés d’une manière qui dépasse la polémique sont cachés.

    Même si la critique chez Hegel de l’aliénation de l’esprit n’est pas encore claire pour elle-même pour découvrir la forme critique adéquate de ce qui chez Hegel est proprement l’aliénation de l’esprit.

    La grande révolution théorique de l’époque accomplie par le XIX ème siècle a été une dénonciation radicale de l’aliénation religieuse: il apparut que dans la religion, comme dans les chimères de la folie du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT, l’homme projette hors de lui sa véritable essence et se perd dans le monde illusoire du Gender qu’il a lui-même créé, et qui le domine comme une idéologie étrangère.

    La folie du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT nie à l’homme sa vraie nature en la pensant en utopie, ce qui la dépouille de toute réalité. Si l’essentiel des chimères de la folie du Gender est emprunté à la nature des fantasmes des déglingos-LGBT, l’homme du Gender est dépouillé de toute réalité.

    Pour que la folie du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT soit enrichie, l’homme doit être appauvri de toute sa réalité humaine, psychique et même biologique. Dans la réalité fantastique du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT, l’homme du Gender, qui se cherchait un surhomme déglingo-LGBT, n’a trouvé en réalité que le reflet du Gender et en réalité une apparence trompeuse de soi-même, une ombre du Gender irréelle, un homme du Gender inexistant et sûrement un non-homme! (En allemand: Unmensch).

    L’utopie de la folie du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT n’est qu’un évanouissement du monde réel pour un mythe progressiste de l’au-delà du réel qui doit empêcher l’homme de rechercher la vérité de son être réel ici-bas et de dénoncer l’anti-réalité du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT.

    Désenchanté par ses vaines expérimentations dans le monde fantasmatique du Gender-déglingo-LGBT, l’homme doit apprendre à renoncer aux paradis illusoires et se dresser contre ce monde absurde du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT qui, pour subsister, a besoin d’illusions et de la propagande du bonheur illusoire des déglingos-LGBT. Le bonheur réel présuppose la suppression des chimères de la folie du Gender des déglingos-LGBT en tant que bonheur illusoire. La démystification du Gender exige que l’homme abandonne une condition déglingo-soumise qui a besoin d’illusions. Le Gender n’est qu’une partie de l’utopie fantasmatique de l’irréalité humaine qui doit dominer l’Université. Il faut dénoncer cette illusion sous toutes ses formes idéologiques dominantes pour chasser enfin ces manifestations mortifères des Universités.

    Thierry Michaud-Nérard

    https://ripostelaique.com/la-chronique-des-cingles-a-luniversite-la-folie-du-gender.html

     

    Le balancier revient toujours de l'autre côté!