Mais SURTOUT écoutez,
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Evry (91): jugé pour avoir tué sa femme à coups de hache
Khemissi reconnaît les faits. “Le 17 août, j’ai commis un crime, déclare-t-il en début d’audience. Ma femme, je l’ai aimée depuis que je l’ai vue le premier jour. Je regrette vraiment ce que j’ai fait". Trente plaies profondes ont été constatées sur le corps de la victime.
La description des blessures par une enquêtrice du commissariat d’Evry fait froid dans le dos: "Le pied gauche est désolidarisé du corps, les mains sont coupées, le pied droit aussi. Il y a une coupure au crâne, on peut voir le cerveau".
Comment expliquer un tel déchaînement de violences?
[…]
Le couple s’était marié en Algérie en 1992 et a cinq filles. Ils arrivent en France en 2002. A partir de 2006, les relations se dégradent. Les disputes sont quotidiennes et les époux font chambre à part. Si la femme travaille, lui touche le RSA…
[…]
Il disait qu’il était allé chercher la hache parce que sa femme et sa fille lui manquaient de respect. Donc il allait tabasser sa femme car elle l’avait trop énervé, décrit la policière.
[…]
Le Parisien
Voilà pourquoi je ne me suis jamais mariée!!!!
Je vivais avec un mec... je l'avais averti: ne lève jamais la main, il pourrait t'en cuire....
Un jour, j'ai vu qu'il m'avait trompée: on s'est disputé, il a levé la main.... juste le geste et avant qu'il ne le termine,
en moins de temps que j'ai pris pour l'écrire, j'ai pris un tabouret dans la cuisine et le lui ait asséné sur la tête: il est resté évanoui sur le carrelage durant 5 bonnes minutes... quand il s'est réveillé, il est resté par terre, me prenant les jambes, me demandant pardon... pas de pardon pour les violents... JAMAIS!
c'était trois semaines avant que l'on se marie... même pas qu'ils attendent deux ou trois ans pour vous tromper...
donc, jamais mariée!
Toulouse: l’aéroport privatisé revendu par les Chinois
Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
En avril 2015, l’aéroport de Toulouse est privatisé et revendu en grande partie à un consortium chinois sorti un peu de nulle part. À l’époque, nous sommes en 2014, c’est le ministre de l’Économie qui intervient sur ce sujet directement, un ministre de l’Économie qui n’est autre… qu’Emmanuel Macron, devenu entre-temps président de la République.
Or, à peine 3 ans après, les Chinois qui avaient acheté l’aéroport cherchent à le revendre presque 200 millions d’euros plus cher que ce qu’ils l’ont payé, tout en ayant soigneusement pompé, semble-t-il, la trésorerie de la structure distribuée sous forme de plantureux dividendes.
Une bonne affaire donc, mais pas pour le " con-tribuable".
On fait taire les débats avec le chantage à l’emploi
Evidemment, si nous voulons vendre des Airbus à la Chine et faire travailler les "Françaises zet les Français, toutes zet tous", il faut bien vendre nos bijoux de famille à vil prix, c’est le prix à payer pour vendre nos avions…
Sauf que c’est un marché de dupes, et que les Chinois achèteront, dans les années qui viennent, de moins en moins d’Airbus pour la simple et bonne raison qu’ils vont être en mesure de produire leur propre appareil en grande série d’ici quelques années. La Chine n’a pas vocation, et c’est une évidence, à continuer à nous acheter des avions alors qu’elle est le plus gros marché pour l’aérien!
Comprendre rapidement ce dossier et les doutes de la Cour des comptes
Avril 2015, l’État vend 49,99% du capital de la société de gestion de l’aéroport de Toulouse à Casil Europe, holding française créée par le groupe d’État chinois associé à un fonds d’investissement de Hong Kong.
Deux phases sont prévues pour cette privatisation. D’abord une vente de 49,9% des parts, puis 10,01% supplémentaires deux ans plus tard.
Ces 60% appartiennent à l’État. Le reste, soit 40% des parts, est détenu par la région, le département, la métropole de Toulouse et la CCI, qui tempêtent fortement devant la gouvernance douteuse des Chinois qui pillent la trésorerie de la société de gestion de l’aéroport de Toulouse. Ils font donc pression sur l’État pour qu’il ne vende pas les 10% restant et qui empêchent du coup la CASIL d’avoir la majorité absolue.
Début 2018, l’État officialise son refus, du coup, les Chinois prennent la décision de mettre en vente les parts qu’ils détiennent de l’aéroport en confiant un mandat de vente à la banque d’affaires Lazard. On reste entre amis et beau linge.
Comme quoi, on pouvait prendre les raccourcis et ne pas vendre nos aéroports à des Chinois qui ne nous ont pas plus acheté d’avions, pillent nos technologies, copient, espionnent, produisent leurs propres appareils et vident la trésorerie des entreprises qui se portent bien à la vente…
Une procédure de revente très rapide
D’après le site L’Écho touristique, "la procédure est très courte. Les marques d’intérêt doivent être déposées pour le 6 février prochain. Parmi les intéressés, Vinci Airports, qui vient de débourser 3,2 milliards d’euros pour mettre la main sur 50% de l’aéroport de Gatwick, la Banque populaire occitane et la Caisse d’Épargne Midi-Pyrénées adossées aux fonds de Natixis, le fonds français Ardian associé au groupe de BTP espagnol Ferrovial, Eiffage ou encore l’Australien Macquarie"!
Cela est une procédure très rapide, car il n’y a que quelques jours laissés aux acquéreurs potentiels pour racheter les parts, ce qui, dans ce genre d’affaires, est très rare, car en quelques jours, vous n’avez pas du tout le temps ni les moyens matériels par exemple de….vérifier les comptes.
Et de préciser que… "à la revente Casil se serait fixé un objectif de prix de 500 M€ alors qu’il avait acheté les 49,9% pour 308 M€".
Comme quoi, si le profit est aussi important en aussi peu de temps c’est que la mise à prix avait été particulièrement mal réalisée.
Pourtant, la Cour des comptes l’avait bien dit…
Dans son rapport en novembre dernier, la Cour des comptes avait critiqué ce rachat et la situation de l’aéroport de Toulouse en disant: " un acquéreur dont le profil soulève des inquiétudes "quant à" son manque d’expérience en matière de gestion aéroportuaire", "son manque de transparence financière" et ses "liens avec la puissance publique chinoise".
Plus grave, le rapport soulignait la situation "ambiguë et instable d’une entreprise dont le capital est majoritairement public, mais dont le contrôle appartient à l’actionnaire privé par l’effet du pacte d’actionnaires qu’il a conclu avec l’État".
En clair, les Chinois ne détenaient que 49,9% des parts, et étaient donc minoritaires, mais le contrôle des décisions leur appartenait pleinement, car un pacte d’actionnaires, c’est-à-dire un accord, avait été conclu entre l’État et la Casil, abandonnant tout pouvoir à cette dernière. Absurde évidemment, et totalement contraire aux intérêts nationaux et de ceux des… "con-tribuables" de notre pays.
Les privatisations sont l’organisation "légale" du pillage de notre pays !
Il se passe la même chose dans tous les pays du monde.
Les profits sont privatisés.
Les pertes, socialisées.
On vend aux copains, ce qui est très rentable, et on garde dans la sphère publique ce qui coûte cher et dont personne ne veut.
La Russie a été pillée par les oligarques que Poutine s’est chargé de mettre en prison en nettoyant les écuries d’Augias de son prédécesseur Boris Eltsine.
Les privatisations des autoroutes ont privé notre pays d’une manne récurrente, et chaque augmentation de tarif vient désormais augmenter les dividendes d’actionnaires privés.
Ce patrimoine est un bien commun qui ne doit en aucun cas être bradé à vil prix.
Pourtant, le gouvernement s’apprête à recommencer en vendant tout ce qui pourra l’être.
À l’arrivée, comme la Grèce, nous aurons tout cédé, mais la dette aura continué à grimper, inexorablement.
Miette à miette, petit à petit, nous démantelons notre pays.
Quand nous aurons vendu notre dernier actif, nous nous rendrons compte qu’il ne nous reste plus que du… passif !
Rien ne semble plus en mesure d’arrêter le pillage de notre pays.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous!
Charles SANNAT
" Insolentiae " signifie " impertinence " en latin
Pour m’écrire charles@insolentiae.com
"À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes" (JFK)
www.insolentiae.com
Le CNC divise par 3 ses aides pour la restauration des films anciens: aides du fonds "images de la diversité": +65% en 2018)
Rififi et embrouillamini dans la restauration cinématographique. Le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) (NDR: financé par le Ministère de la Culture) se voit contraint, pour des raisons budgétaires, de réduire drastiquement les aides qu’il accordait, depuis 2012, à la numérisation des films de "patrimoine", ceux dont la sortie en salle est antérieure à dix ans. L’établissement public espérait que sa solution pour atténuer ce manque à gagner – un recours au mécénat avec la bénédiction de Bercy – allait séduire. Or, il n’en n’est rien. (…)
Dans toute la filière, chacun se désole évidemment du tarissement de la manne des 64,5 millions d’euros qui a permis de numériser 1123 films. Les aides, qui étaient de 9 millions d’euros en 2018, vont tomber à 2,8 millions par an jusqu’en 2021.
Mis en place en 2007, la Commission Images de la diversité a été créée auprès de l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances et du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
Le Fonds Images de la diversité a pour objectif de soutenir la création et la diffusion des œuvres cinématographiques, audiovisuelles, multimédia ou de jeux vidéo contribuant à donner une représentation plus fidèle de la réalité française et de ses composantes et à écrire une histoire commune de l’ensemble de la population française autour des valeurs de la République, et favorisant l’émergence de nouvelles formes d’écritures et de nouveaux talents, issus notamment des quartiers prioritaires de la politique de la ville.
Pour répondre à ces objectifs, la commission images de la diversité soutient la création, la production et la diffusion d’œuvres cinématographiques, audiovisuelles, multimédias et de jeux vidéo dont l’action se situe principalement en France et qui:
Représentent l’ensemble des populations immigrées, issues de l’immigration et ultramarines qui composent la société française, et notamment celles qui résident dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville ;
Représentent les réalités actuelles, l’histoire et la mémoire, en France, des populations immigrées ou issues de l’immigration, ainsi que des populations ultramarines et des quartiers prioritaires de la politique de la ville situés en territoire urbain ;
Concourent à l’égalité entre les femmes et les hommes, à la politique d’intégration et à la lutte contre les discriminations dont sont victimes les habitants des quartiers défavorisés, notamment celles liées au lieu de résidence et à l’origine réelle ou supposée ;
Contribuent à la reconnaissance et à la valorisation de l’histoire, du patrimoine et de la mémoire des quartiers de la politique de la ville.
Les subventions versées dans le cadre de ce fonds " images de la diversité " sont passées de 666000 € en 2017 à 1086000€ en 2018 (+63%)
Composition de la commission
Président: M. Reda Kateb, acteur
1ER COLLÈGE
Vice-Président: Chad Chenouga, comédien, scénariste et réalisateur
Titulaires:
Xiaoxing Cheng, réalisateur
Alice Diop, réalisatrice
Alexandre Gavras, producteur (KG Production)
Isabella Pisani, directrice des achats et coproductions documentaires (LCP- AN)
Mathilde Le Ricque, directrice de l’association Mille Visages
2ÈME COLLÈGE
Vice-Présidente: France Zobda, productrice (Eloa Prod)
Titulaires:
Pascal Blanchard, historien et documentariste
Pierre Cattan, producteur (Studio Small Bang)
Hakim Jemili, humoriste, auteur, comédien
Olivier Wotling, directeur fiction (ARTE)
Edouard Zambeaux, journaliste et réalisateur
Liste des "œuvres" ayant reçu une subvention de la part du CNC dans le cadre du fonds "images de la diversité" depuis 3 ans:
Le Monde - 22/01/2019
Juste pour information:
Sophier Daumier était atteinte de sclérose en plaques et son mari en a profité pour divorcer… Elle est décédée il y a quelques années…
Son mari? Guy Bedos…
Pensez-y quand vous irez cherchez des places pour le voir sur scène…
N'engraissez pas ce pov' type!
(Montauban? moins de 50 km de chez moi)
Brigitte BAREGES, Les Républicains a sauvé l’honneur
Face au petit Nicolas Flamel élyséen, elle a réussi à sortir quelques vérités:
— les étrangers ont des droits supérieurs aux Français, notamment en termes de protection sociale (avec l’aide médicale d’État (AME), un étranger peut s’offrir des lunettes et des soins dentaires sans frais)
— dans certaines écoles de sa ville aux 70 fichés S, l’arabe a remplacé la langue nationale
— un Algérien en situation irrégulière a sodomisé une vieille dame montalbanaise de 81 ans sans que cela n’émeuve particulièrement la presse…
et les pétasse de meetoo ou des balance ton porc, elles sont où, les chiennes de garde... perdues dans leur gauchiasserie décervelée, sans doute.
Brigitte Barèges a lancé que les Gilets jaunes ne sont pas protégés par les ONG contrairement aux immigrants illégaux. Elle a ajouté que le politiquement correct est en train de ruiner la France.
Et ses collègues au lieu de l’applaudir l’ont sifflée, huée, auraient bien aimé la lyncher mais le p’tit Macrouille n’a pas souhaité que l’on aille jusque-là. La prochaine fois peut-être?
Les médias du régime ont persisté dans le train-train habituel: Madame Barèges serait une dame pas très honnête, elle serait soupçonnée de détournement de fonds publics, a refusé un mariage gay avant d’y être contrainte par… un juge.
La réponse du maître de la jactance a été claire: “L’accueil et l’hébergement sont inconditionnels, c’est un vrai investissement de l’État, il a encore augmenté, c’est environ deux milliards d’euros, mais il faut s’en féliciter“.
Deux milliards d’euros, le chiffre de notre organisateur de l’inoubliable Fête de la musique sur le perron de l’Élysée paraît approximatif.
Les mineurs non accompagnés, l’AME, le logement des immigrants illégaux, la scolarisation de leurs nombreuses progénitures, leurs inscriptions dès qu’ils sont régularisés, la délinquance dont ils sont les grands pourvoyeurs (arnaques, viols et petits meurtres), l’installation d’un islam de conquête (mosquées et prétendus centres cultuels), le suivi des fichés S, les massacres à la Kalachnikov ou au couteau, l’apparition de nouvelles maladies et la recrudescence d’anciennes (gale, Sida, tuberculose…), l’augmentation des cas d’IST (Infections sexuellement transmissibles) et de MST (maladies sexuellement transmissibles), les détournements, les fraudes, les escroqueries à la Sécu et aux retraites, ne coûteraient que deux milliards.
Le banquier de l’Élysée sait-il compter?
Et pendant ce temps, nos vieux, nos paysans, nos jeunes de souche, nos artisans crèvent dans la France périphérique.
Après les politicards, les médias, la justice, les forces de l’ordre : les maires.
Qui, demain, par ses courbettes ternira notre fierté d’être français?
Les syndicats? C’est déjà fait.
Les intellectuels? Pour la plupart c’est fait aussi.
Les enseignants? Pas très brillants avec leur soutien aveugle à l’immigration.
Les infirmières?
Les pompiers?
Espérons que pour ces deux derniers ce ne sera jamais le cas.
Marcus Graven
A Toulouse, y'avait une blague qui courrait dans les années soixante:
Un jour, le chef de gare de Montauban -qui annonçait dans ce temps-là les arrivées des trains dans sa gare au micro- n'a pas coupé assez vite celui-ci et tous les voyageurs ont entendu ceci:
"Montauban, Montauban, tout le monde descends!....
et la phrase hilarante: "les cons, comme les intelligents"....
Et bien, quarante ans plus tard, il y a plus de cons que d'intelligents, à Montauban! C.Q.F.D.