Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Education - Page 38

  • Prendre exemple sur les Italiens....

    "En Italie, si vous êtes radicalisé, on vous expulse, c’est aussi simple que cela"

    Depuis 2001, l’Italie est le seul grand pays occidental à n’avoir connu aucun attentat terroriste islamiste. Une exception qui perdure grâce à un cocktail unique de répression policière et de facteurs démographiques. Les explications de Lorenzo Vidino, expert du djihadisme à l’Université George-Washington et ancien coordinateur de la Commission italienne d’étude sur la radicalisation.

     […]

    Pourtant, avant même les attentats du 11 septembre 2001, l’Italie était un foyer de l’idéologie djihadiste…

    La mosquée de l’avenue Jenner à Milan était en effet le principal foyer du djihadisme à destination de la Bosnie dans les années 1990. Le premier attentat suicide en Europe a été commis en 1995 à Rijeka (Croatie), par un djihadiste qui venait de là. La mosquée a alors été perquisitionnée et plus de 50 personnes arrêtées. L’Italie a été l’un des premiers pays européens avec la France à ouvrir les yeux sur ce phénomène. Son grand succès a été de faire en sorte que cette mosquée n’attire pas de nouvelles recrues. La pression policière l’a forcée à se refermer sur elle-même.

    Vous avez parlé de la pression policière. En quoi la méthode italienne est-elle différente ou plus efficace?

    Elle cible avant tout ceux qu’on appelle les "mauvais maîtres", les cattivi maestri, ces mentors qui attirent les jeunes sur la voie de la radicalisation. S’ils ne sont pas Italiens, et la grande majorité ne le sont pas, ils sont expulsés systématiquement. C’est la tolérance zéro: si vous êtes radicalisé ou si vous radicalisez d’autres gens, et que vous n’êtes pas Italien, vous êtes expulsé, c’est aussi simple que cela.

    Depuis le 1er janvier 2018, 109 personnes ont été expulsées d’Italie pour menace à la sécurité nationale. Depuis 2015, cela fait plus de 350 personnes expulsées, soit environ deux par semaine. C’est un outil majeur à disposition du gouvernement italien, issu d’une loi passée après les attentats de Londres en 2005. La déportation est décidée par décret ministériel, sans recours suspensif possible. […]

    Le Temps

     

  • Au lieu de se faire apprécier…

    on va les exécrer tellement que ça finira mal, très, très mal! La coupe est -déjà- archi-pleine

     

    G-B : elle veut vandaliser une fresque en hommage aux étudiants morts durant la 1ère Guerre parce qu’ils sont tous blancs

    La présidente des étudiants de l’Université de Southampton (G-B) a exigé la destruction d’une fresque murale commémorant les étudiants qui sont morts au combat pendant la Première Guerre mondiale, car les hommes représentés sont tous “blancs“.

    Emily Dawes, la présidente de l’Union des étudiants de l’Université de Southampton, a juré de vandaliser le mémorial à moins qu’il ne soit démoli.

    La fresque, exposée au cœur du campus de l’université, représente des soldats tombés au champ d’honneur – qui étaient étudiants avant de partir combattre pendant la Grande Guerre – en train d’obtenir les diplômes qu’ils auraient du recevoir.

    “Croyez-moi, nous enlèverons la fresque murale d’hommes blancs même si je dois la repeindre moi-même“», a déclaré Mme Dawes sur son compte Twitter.

    Mais, il faut l'enfermer jusqu'à la fin de ses jours, cette con….se

    Plus tard, elle a ajouté: “En tant que Blancs, nous sommes tellement ignorants et fermés d’esprit sans même nous en rendre compte. Écoutez vos amis/collègues/étudiants noirs et demandez leur comment vous pouvez être l’allié qu’ils souhaitent !!!!!!!"

    Le syndicat étudiant s’est excusé pour ses commentaires, mais n’a pas supprimé le message original de Twitter. Le site Web de l’université indique que la murale Rothenstein, qui se trouve dans la salle du Sénat du campus Highfield, a été peinte en 1916 “en souvenir des membres des universités britanniques ayant servi pendant la Grande Guerre“.

     

  • Une connerie inouï

    Chaque jour, je me dis qu'on ne peut pas être plus con que cela, mais bien sûr, tous les jours, une connerie plus énorme encore, chasse celle de la veille!

    L’association américaine de défense des animaux Peta demande de ne plus boire de lait, symbole de suprémacisme blanc

    L’association américaine de défense des animaux considère que le lait est utilisé comme symbole pour la pureté raciale.

    L’organisation fait référence à des articles de presse relayés par des partisans de l’extrême droite qui utilisent un emoji d’un verre de lait sur leurs réseaux sociaux ou déclarent fièrement qu’ils "tolèrent le lactose". Un symbole pour la pureté raciale.

        Cows' milk has long been a symbol used by white supremacists.

         One more reason to #DitchDairy. https://t.co/EcHYpUmBux

     

        — PETA ❤️

     

    il y a une imbécile en France qui dirait que le lait devrait être noir... comme elle.

    elle nous a déjà fait le coup avec l'intérieur des pansements....

    elle passe sur LCI toutes les semaines, avec des chiffons tarabiscotés dans ses cheveux aussi tarabiscotés que son intelligence...

    et dire qu'elle a fait des études supérieures PAYÉES PAR LA FRANCE pour venir nous faire des leçons de perverse égocentrique....

    combien de ces gens-là dans les médias??? pervers égocentriques, je veux dire.

     

     

  • 1 livre

    0666.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    00654.jpg

  • Enquête autour d’un viol entre élèves de maternelle

    Une "main courante" a été déposée auprès du commissariat après les faits dont aurait été victime une fillette de 4 ans, scolarisée dans le XIIIe arrondissement de Paris.

    Sur le fond, les faits sont graves, dérangeants, mais sur la forme, rien ne dit qu’ils pourraient être matérialisés juridiquement. Encore moins qu’ils donneront lieu à des poursuites. Et pour cause. Cette affaire de " viol en réunion ", dont vient d’être saisie la brigade des mineurs de Paris, implique des enfants âgés de… 4 ans seulement, scolarisés en moyenne section de maternelle. On est donc là aux confins du droit, et de l’éducation.

    Les faits ont éclaté au grand jour en début de semaine, lorsqu’une personne s’est rendue au commissariat du XIIIe arrondissement pour y déposer une "main courante“. D’après ses dires, une fillette de 4 ans a été victime de " viol ". Des faits qui remonteraient à mi-septembre, et auraient eu lieu dans la cour d’une école maternelle du même arrondissement, où est scolarisée la fillette. Celle-ci aurait été isolée par trois camarades sous une structure de jeu, lesquels lui auraient retiré ses vêtements avant de pratiquer une " pénétration digitale ".

    Le même type de faits aurait eu lieu à deux reprises, au cours de l’année scolaire précédente. La fillette aurait alors été victime de deux autres camarades. Avertie de ce qu’il se serait produit mi-septembre, la directrice de l’établissement aurait déconseillé aux parents de porter plainte.

    "Ce type d’actes n’est pas exceptionnel"

    Désormais sur la place publique, ces actes ont provoqué un vif émoi au sein de la communauté scolaire, et particulièrement des parents d’élèves". Une réunion aura lieu très prochainement, sous l’égide de la mairie du XIIIe, au sein de l’école, annonce Jérôme Coumet, le maire (PS) de l’arrondissement. Un pédopsychiatre sera présent, afin de mettre les mots de professionnels sur ce qu’il s’est produit". " Il faut entendre l’inquiétude des parents, la prendre au sérieux, note un autre élu parisien sous couvert d’anonymat. Mais il faut aussi aborder cette question avec sagesse, et se garder de faire des projections d’adultes sur des actes d’enfants".

    " Ce type d’actes n’est pas fréquent, mais pas exceptionnel non plus, relève pour sa part Michèle Créoff, vice-présidente du Conseil national de protection de l’enfance (CNPE). On est à l’âge des premiers émois. A un stade de développement où la curiosité émerge, notamment au niveau sensoriel et sexuel". Techniquement, s’il n’existe pas d’immunité pénale liée à l’âge, " les parquets, dans la pratique, n’engagent bien évidemment pas de poursuites contre des enfants aussi petits", précise un policier spécialisé.

    Déposer plainte pour qu’une enquête sociale soit ouverte

    Cela étant, ce type de comportements pose question". Là, on n’est pas dans une histoire de touche-pipi entre deux bambins, relève ce même policier. Il y a plusieurs enfants impliqués, et une violence exercée envers cette petite victime". Michèle Créoff ne dit pas autre chose". Là où il y a problème, c’est quand on a affaire à un phénomène de groupe, dans une forme de surenchère émotionnelle. Il faut alors comprendre comment un groupe d’enfants, aussi jeunes, peut en abuser un autre sans qu’il n’y ait eu de prise de conscience du milieu éducatif ou parental".

    C’est pour cela que ce policier préconise qu’" en pareil cas, une plainte soit systématiquement déposée ". Sous l’égide du parquet, un juge des enfants est alors généralement saisi. Le magistrat a la possibilité d’ordonner une enquête sociale en milieu ouvert. L’audition des parents, mais aussi des enseignants ou intervenants, doit permettre une levée de doute. Et de vérifier qu’à travers ces pratiques, les enfants, victimes comme auteurs, n’ont pas reproduit des gestes qu’un adulte aurait pu leur faire subir, ou dont ils auraient été par inadvertance les témoins.

    http://www.leparisien.fr/paris-75/enquete-autour-d-un-viol-entre-eleves-de-maternelle-10-10-2018-7916028.php

     

    Désolée, jamais vu de gamine de 4 ans violée par 3 de ses camarades avant l’invasion musulmane

    Et ils essaient de nous faire croire que ce serait sinon normal du moins pas vraiment étonnant. Il faut lire l’article du Parisien ci-dessous en se maîtrisant pour ne pas aller fiche des pains à répétition, à défaut d’enfermer les fautifs sans boire ni manger dans un cul-de-basse-fosse jusqu’à ce que mort s’ensuive.

    1 pain à la directrice de l’école :  ils étaient où les enseignants pensant que 3 autres gamins de 4ans la déshabillaient et la pénétraient avec leurs doigts? Et pas qu’une fois, c’était déjà arrivé 2 fois l’année précédente ! 3 fautes graves, défaut de surveillance. Ils étaient où les enseignants? En train de boire le café en tapant sur Marine Le Pen?

    1  pain supplémentaire à la directrice de l’école pour avoir conseillé aux parents de ne pas aller porter plainte, des fois qu’on dénonce son incompétence, des fois qu’on stigmatise les violeurs?

    1 un pain aux violeurs, qu’ils aient 4 ans n’empêche pas qu’ils savaient ce qu’ils faisaient, qu’ils savaient qu’ils usaient de violence, qu’ils savaient que ce qu’ils faisaient était interdit.

    1 pain à tous les Taubira et Belloubette qui ont décidé que les mineurs étaient irresponsables et pouvaient donc tuer sans en payer le prix.

    1 pain à Jérôme Coumet, maire socialiste du XIIIème qui n’a pas d’autre solution qu’une réunion avec un pédopsychiâtre. Pour enfumer les parents, les rassurer, leur faire croire que ce n’est pas grave, que ce n’est qu’une espèce de "touche-pipi"?

    2 pains à l’autre élu parisien qui tient à garder l’anonymat (tiens donc!)  pour faire croire que ce serait normal, que les parents feraient  des projections d’adultes sur des actes d’enfants.

    3 pains à Michèle Créoff, vice-présidente du Conseil national de protection de l’enfance (CNPE) qui relativise clairement les choses, tout cela serait presque normal, quoi, c’est vrai, à 4 ans on se demande comment sont faites les filles, on découvre la sexualité…  Vous attendez encore beaucoup de choses du CNPE vous?  Même si  elle corrige un peu sa première réaction en ciblant les parents et en s’interrogeant sur le phénomène de groupe, elle a tout de même relativisé les choses dans un premier temps. Impardonnable. Il est vrai qu’il y a toute une génération Cohn Bendit qui considère que les enfants ont droit à la même sexualité que les adultes.

    4 pains aux journaleux, enquêteurs, spécialistes, juges…. qui vont enquêter pour savoir si les petits violeurs ont assisté à des choses de ce genre chez eux, s’ils ont eux-mêmes été violés. C’est bien. Mais très insuffisant, ils vont même vérifier si la victime n’aurait pas été l’instigatrice du viol… Et ils vont se contenter de cela, se gardant bien de poser les questions qui fâchent :

    Personne ne parle des origines de la victime, ni de celles des petits violeurs. Quelles sont-elles?

    Même pas une plainte, seulement une main courante?????

     

  • Nous sommes gouvernés par des fous…

    et jugés par des enragés : la preuve

    Nous observons depuis de nombreuses années une inversion des valeurs dans le fonctionnement des préfectures, de la police et de la justice de notre pays, issue d’une politisation bien pensante et gauchiste, ouvertement hostile au bon sens, au légitime, à ceux qui travaillent et à ceux qui défendent la République et notre civilisation.

    Les exemples sont si nombreux qu’on ne saurait prétendre en établir la liste exhaustive, mais nous pouvons citer quelques exemples :

    À Montpellier, des gauchistes n’ayant aucune autorisation pour pénétrer dans une université occupent celle-ci, détruisant du matériel et empêchant professeurs et étudiants de travailler. Pas d’intervention policière. Ils sont délogés sans ménagement par un groupe non identifié. Le travail peut reprendre et les dégâts seront réparés aux frais de la collectivité. Alors douze policiers sont mobilisés à temps plein durant tout l’été pour identifier les auteurs de l’évacuation. Après quoi il y a des interpellations aux scénarios rocambolesques relevant plus du western que de la nécessité.

    Dans le même temps, la télévision nous montre des policiers interpellant le dangereux automobiliste entrant à 62km/h au lieu de 50 dans l’agglomération (jadis la limitation générale était à 60, avec par endroits 45 ou même 40). Dans le même temps aussi, les racailles d’importation agressent à tout-va dans les rues de Montpellier, frappant, volant, violant, détruisant… Que sont donc les priorités dans l’utilisation de la police et de la justice?

    Un passant est agressé par deux individus au bord du canal de l’Ourcq à Paris. Il se défend, l’un des agresseurs s’enfuit et l’autre tombe à l’eau. Le passant tente vainement de le sauver de la noyade. Et c’est lui qui est inculpé pour la mort de son agresseur. N’aurait-il pas mieux fait de passer son chemin et de ne rien dire?

     Un gendarme gifle un individu qui importune son épouse. Il est sanctionné par la Gendarmerie, muté, puis jugé et condamné pour un geste qui aurait jadis été considéré comme justifié et salutaire. Quel message est ainsi envoyé aux forces de l’ordre et aux voyous?

     Des Identitaires occupent les locaux de SOS-Méditerrannée pour dénoncer sa complicité avec les passeurs et autres pourvoyeurs de délinquance, de désordre international et de morts collectives. C’est eux que la police arrête plutôt que les malfaiteurs. Et 48 heures de garde-à-vue alors qu’ils n’ont rien fait de mal. Pourquoi donc l’Aquarius n’est-il pas encore saisi pour activités illégales et absence de pavillon?

    Chacun peut observer que ces interventions, inculpations et procès sont ceux non pas des malfaiteurs et de l’illégalité, mais ceux de qui réagit à l’inacceptable. Dignité, Bien commun, légitime défense, respect de la loi républicaine, défense de la Patrie et autres considérations objectives, tout ce qui fonde notre civilisation et la République se voit attaqué, réprimé, sanctionné par l’administration préfectorale, la police et la justice. Tout cela est aussi dévalorisé, dénigré, renié par les médias de la propagande gouvernementale qui ne sont plus depuis longtemps des sources d’informations objectives et neutres.