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Education - Page 41

  • Anti-vaccins: assassins!

    La troisième victime de la rougeole ne pouvait être vaccinée

    Greffée du cœur à 2 ans et demi, la jeune fille de 16 ans décédée à l'âge de 16 ans de la rougeole ne pouvait être vaccinée à cause des traitements antirejet.

    La troisième victime décédée de la rougeole cette année, une jeune fille de 16 ans, avait été greffée du cœur à 2 ans et demi et ne pouvait être vaccinée à cause des traitements antirejet, a expliqué sa mère mardi à France Bleu Gascogne."À l'âge de 2 ans, elle commençait à être très fatiguée et on m'a annoncé un pronostic vital engagé", a expliqué Sylvie Eraville, la mère de la jeune Marine. "Sans un nouveau coeur elle n'aurait pas survécu". Les patients greffés doivent prendre à vie un traitement immunosuppresseur pour éviter le rejet du nouvel organe. Ces traitements, qui abaissent leurs défenses immunitaires, les empêchent d'être vaccinés contre la rougeole, d'où l'importance que les gens qu'ils côtoient le soient, afin de ne pas leur transmettre la maladie. Le décès de la jeune fille a été annoncé vendredi. On ne sait pas comment elle a contracté cette maladie très contagieuse.

    Comme une deuxième mort pour le donneur du coeur de la jeune fille

    Pour sa mère c'est aussi une deuxième mort pour le donneur du coeur de la jeune fille. "Aujourd'hui, il n'y a pas que Marine qui part, mais il y a aussi le donneur", a souligné sa mère, selon qui l'adolescente avait participé aux Jeux mondiaux des transplantés en 2013, 2015 et 2017, avec à la clé des médailles d'or en natation et en tennis de table. Les premiers signes d'une dégradation de la santé de Marine Eraville sont apparus en mai. La jeune fille a été hospitalisée au CHU de Bordeaux et est finalement décédée de complications neurologiques, selon France Bleu Gascogne. Avant elle, un homme lui aussi immunodéprimé a été emporté par la rougeole, le 9 juin à Marseille, la veille de ses 26 ans. Selon le journal Var Matin, cet homme, prénommé Julien, souffrait depuis sa naissance d'un déficit immunitaire et avait eu une transplantation rénale il y a cinq ans.

    Son histoire "illustre la nécessité d'une couverture vaccinale élevée afin, notamment, d'éviter que ceux qui ne peuvent être vaccinés ne soient touchés par une maladie potentiellement mortelle pour eux", avait alors réagi l'association de greffés rénaux Renaloo. Le premier décès de la rougeole de l'année avait eu lieu le 10 février à Poitiers. Il s'agissait d'une mère de famille de 32 ans qui n'avait jamais été vaccinée et qui a contracté le virus en conduisant son père aux urgences.

     

  • Indécent!

    Seine-et-Marne: “l'inquiétude est prégnante chez les enfants de policiers“

    Alors que vient de sortir un rapport de la Commission d’enquête du Sénat sur la police, un jeune a été tué lors d’un contrôle à Breil (Nantes), le 3 juillet dernier. Deux jours plus tard, un couple de policiers a été agressé à Othis (Seine-et-Marne), en dehors de son service. Autant de faits qui interrogent sur une profession en plein burn-out.

    Les policiers vont mal. Le rapport de la Commission d’enquête du Sénat, "Vaincre le malaise des forces de sécurité intérieure: une exigence républicaine" publié le 3 juillet le prouve. Il pointe notamment un taux de suicide supérieur de 36% à celui de la population générale, des conditions matérielles difficiles, une pression sécuritaire inédite et le sentiment d’être "sans cesse montrés du doigt, mis en cause et stigmatisés". Or, cette semaine, les policiers ont été au cœur de l’actualité avec la mort d’un jeune de 22 ans au Breil à Nantes lors d’un contrôle d’identité et l’agression d’un couple de policiers à Othis, en Seine-et-Marne. Deux événements bien distincts qui, à la lumière du rapport de la Commission d’enquête du Sénat, interrogent sur l’état des forces de sécurité intérieure françaises. Jean-Marie Godard, journaliste indépendant et auteur de "Paroles de flics" chez Fayard, auditionné par la Commission d’enquête du Sénat en amont de la publication du rapport, décrypte pour La Vie ces deux derniers événements.

    Un couple de policiers a été agressé en Seine-et-Marne devant leur enfant de trois ans. Cet événement peut-il renforcer les inquiétudes des policiers sur la sécurité de leur famille?

    Beaucoup d’entre eux ont intégré le risque de mourir dans l’exercice de leur fonction. Mais réaliser que des personnes pourraient s’en prendre à des membres de leur famille est une éventualité très difficile à gérer. Cela leur demande d’être constamment sur le qui-vive. Je pense notamment à ce policier qui a mis récemment en place un "code secret" pour communiquer avec ses enfants et sa femme en cas de rencontre dans un centre commercial ou dans la rue d’une personne interpellée ces derniers mois. J’ai rencontré également plusieurs policiers qui, pour protéger leurs enfants, leur ont demandé de taire la profession de leur parent à l’école et ce, dès la maternelle et l’élémentaire. Enfin, beaucoup gardent 24h/24h avec eux leur arme de service. Une façon pour eux de protéger leur vie ou celle de leur famille si une attaque devait brutalement survenir.

    Comment les familles gèrent-elles cette inquiétude permanente, en particulier les enfants?

    A chaque fois que les compagnons, les compagnes et les enfants apprennent qu’un policier est tué ou agressé, ils sont fortement choqués. Une femme m’a raconté comment elle était restée sidérée devant sa TV le soir de l’assassinat de Xavier Jugelé sur les Champs-Elysées. Elle n’avait alors pas réalisé que derrière elle, son fils de 6 ans regardait toutes les images. Pendant plusieurs semaines, le petit a été perturbé. Il s’est dit: " Cela aurait pu être Papa". En passant du temps dans les familles de policiers, j’ai mesuré à quel point l’inquiétude est prégnante chez les enfants, notamment le matin, quand les parents partent au travail.

    L’onde de choc de l’attentat du couple de Magnanville, en juin 2016, est donc toujours vive ...

    Cet événement a généré un immense traumatisme chez les policiers, surtout ceux qui ont moins de 40 ans et ont des enfants en bas âge. Même si l’agression des policiers de Seine-et-Marne de la nuit dernière, le 5 juillet, ne se situe pas sur un registre terroriste – l’auteur est un dealer, elle ravive les peurs: Le couple a été attaqué en dehors de son service et face à son enfant. Ajoutons que ce type d’agressions semble se répéter. Pas plus tard que la nuit du 30 juin dernier, dans l’Ain, un policier des frontières a été tabassé chez lui, dans son jardin, par six jeunes qui avaient reconnu qu’il était flic.

    Les agressions dont les policiers sont victimes ont-elles un impact sur leur façon d’utiliser leur arme de service comme cela a été le cas à Nantes, le 3 juillet dernier?

    Les faits qui se sont déroulés dans le quartier du Breil sont difficiles à analyser car les versions divergent et sont très médiatisées. L’enquête est en cours et c’est elle qui révélera les conditions de la mort de ce jeune. En attendant, l’Inspection générale de la police nationale (IPGN) n’a pas pour l’instant signalé de hausse des bavures. La part des opérations policières qui dérapent reste donc aujourd’hui infime. De mon côté, j’ai toujours rencontré des policiers très conscients du risque très grave d’un manquement aux règles d’utilisation de leur arme de service. Pour beaucoup, savoir qu’ils ont entre les mains la possibilité de donner la mort est difficile à vivre.

    Othis, en Seine-et-Marne et le Breil à Nantes sont toutes deux des banlieues. Or, selon le rapport de la Commission d’enquête du Sénat, c’est en banlieue que les policiers sont le plus en difficulté...

    Il faut savoir que 90% des policiers qui sortent d’école sont envoyés en banlieue pour leur première mission. Or, beaucoup ne sont pas préparés à un tel choc et craquent face à cette première confrontation. Ajouté à cela, la difficulté pour eux de se loger. Le rapport de la Commission d’enquête du Sénat a mis à jour des failles dans les offres de logements locatifs proposées par le ministère de l’Intérieur aux jeunes affectés en Île-de-France (sur 145.000 policiers en France, 50.000 policiers sont actuellement à Paris et en région parisienne). J’ai été étonné de voir à quel point l’audit des conditions de logement est catastrophique. Par manque de logements, certains policiers sont contraints de dormir dans leur voiture.

    www.lavie.fr/

  • Totalement fous ces anglais!

    Un mois après qu'un lycée privé en Angleterre ait interdit à ses étudiants de porter des shorts durant l'été - demandant plutôt à ce qu'ils portent un ensemble plus "neutre" avec une jupe, des dizaines d'écoles privées ont adopté la bannière du féminisme intersectionnel et interdit à leurs étudiantes de porter des jupes dans le cadre de leur uniformes.

    La raison? Parce que le nombre "croissant" d'étudiants transgenres dans ces écoles ne sont pas à l'aise avec les uniformes traditionnels "genre", selon RT. Au lieu de cela, les écoles secondaires comme l'école du Prieuré à Lewes, dans le Sussex de l'Est, demandent aux étudiantes "d'accommoder" leurs camarades transgenres en portant des pantalons, tout comme les étudiants masculins. "Nous avons un petit nombre mais de plus en plus d'étudiants transgenres et donc avoir le même uniforme est important pour eux", a déclaré le chef d'établissement Tony Smith. Cependant, certains parents s'inquiètent du fait qu'ils n'ont pas été consultés au sujet de l'interdiction, et d'autres ont soutenu que les étudiantes devraient toujours avoir l'option de porter une jupe, selon RT.

    Diane Burdaky, la mère d'un élève de la Philips High School, a déclaré à RT qu'il n'y avait pas eu de processus de consultation et que les enfants "ne voulaient pas porter de pantalons tout le temps". Elle a déclaré: "J'ai été très choquée, il n'y a eu aucune consultation avec les parents ou les élèves, aucune explication de l'interdiction, aucune raison donnée, je sais que les enfants à l'école ne veulent pas porter de pantalons tout le temps.

    Copleston High School à Ipswich a placé des jupes sur une liste d'articles "inadmissibles" - avec "jeans skinny et piercings faciaux." Huit écoles secondaires d'Ipswich ont maintenant interdit les jupes et ont choisi de devenir des écoles "pantalons seulement". Certaines écoles ont choisi de mettre leurs interdictions sous le prétexte que les jupes - que les étudiantes portent depuis des décennies - sexualisent injustement les filles.

     

  • Poissons et cons de Bruxelles

    En bas du texte:

    comment se débarrasser des ponctionnaires Con de Bruxelles

    Les poissonniers du Vieux-Port verbalisés pour absence du nom latin sur les étals

    "C’est une galéjade!": les poissonniers du Vieux-Port de Marseille ne décolèrent pas samedi après la verbalisation de plusieurs d’entre eux il y a une semaine pour ne pas avoir inscrit le nom latin des poissons sur leurs étals.

    "Les clients ne font même pas la différence entre la rascasse et le rouget, qu’est-ce qu’on vient nous demander de mettre le nom en latin!", s’agace Marie qui a été verbalisée pour la première fois en 25 ans de métier.

    Comme elle, une dizaine de poissonniers vendant chaque matin leur marchandise sur le célèbre Vieux-Port ont été sanctionnés le 14 juin à l’occasion d’une opération de contrôle mobilisant une vingtaine d’agents des services de l’État (Directions départementales des territoires et de la mer, de la protection des populations et de la Direccte). Il leur est notamment reproché de ne pas avoir affiché le nom scientifique des poissons comme le veut la réglementation européenne et pour d’autres, ne pas avoir affiché les prix.

    "Ce sont des bureaucrates qui ne connaissent pas le terrain. Aucun client me demande le nom en latin", poursuit Marie…

    Le poisson, qu’il soit désigné en latin ou en français, est-il frais?

    Non parce que de vous à moi, les normes, c’est fondamental et essentiel, surtout si elles sont utiles, ce qui est généralement le cas pour les normes sanitaires (mais certaines restent stupides ou excessives). Alors le poisson était-il frais à défaut d’être désigné sous le nom latin

    "Emmanuel Macron m’a garanti, après avoir éclaté de rire quand je le lui ai appris, que les poissonnières du Vieux-Port n’auraient désormais plus à écrire, en latin, le nom des poissons qu’elles vendent…", a indiqué pour sa part dans un communiqué le maire, Jean-Claude Gaudin qui a déjeuné vendredi avec le président de la République…

    Super, nous voilà rassurés, en revanche, vous pouvez constater à quel point nous sommes incapables de réduire les normes, et règlements qui étouffent la croissance française en rendant tout projet terriblement long, lent, compliqué et coûteux.

    Les pays et nations s’effondrent toujours sous le poids de leur propre complexité.

    Charles SANNAT

    Source AFP via Romandie.com

    Tous les habitants de la Terre émettent des ondes électriques, associées aux pensées, c'est de la télépathie; la télépathie concentrée, ça fonctionne!

    voir ce film-textes sur mon compte youtube

    https://youtu.be/dLLpUv8C1FA

    Mettons-nous d'accord: choisissons un jour et une heure précise et que tous les Français-es consacrent deux minutes à penser violemment contre tous ces cons de ponctionnaires de Bruxelles. Si nous sommes très, très nombreux, croyez-moi, la télépathie fonctionnera!

    Ouvrez une page sur réseaux sociaux pour informer le plus grand nombre, que celui ou celle qui ouvre la page donne un jour et une heure précise et les phrases mentales à utiliser (mettre phrase positive, genre: “que les fonctionnaires de l'Europe retournent à leurs chères études….")

     et que TOUS, en Europe, nous pensions très fortement un même texte au même moment et vous verrez!

    Cette puissante télépathie devrait fonctionner: ils vont tous démissionner. Il ne restera plus qu'aux gouvernements de mettre de nouveaux fonctionnaires plus intelligents!

    Il doit bien exister des gens ayant les pieds sur terre et un coefficient intellectuel de plus de 130 (QI)???

     

  • Les CPF ne supportent pas les clandés sans papiers…

    Le début de gros emmerdements en France, croyez-moi!

    Bagarre entre une soixantaine de jeunes

    Une quarantaine de jeunes du quartier des Saugeraies auraient pris à partie des migrants alors qu’ils jouaient au foot au stade Nord. Photo Laurent BOLLET

    Une bagarre entre jeunes Mâconnais et des migrants a éclaté, samedi en toute fin de journée. Les faits se sont produits au stade Nord, en marge du challenge Griezmann. Une vingtaine de migrants, mineurs et majeurs, s’adonnaient à un match de football quand un jeune mâconnais se serait immiscé pour en découdre.

    D’après les premiers éléments de l’enquête de police, ces jeunes connaissaient déjà un différend avant l’épisode de samedi. Ce jeune mâconnais aurait reçu un coup de chaise sans que celui-ci ne le blesse. Mais, ne voulant sans doute pas en finir là, il serait allé chercher du renfort dans le quartier des Saugeraies. Si bien qu’une quarantaine de jeunes a déboulé au Pâquier Saint-Antoine à l’aide d’une dizaine de véhicules, et des coups ont été échangés. Les joueurs de foot, en minorité, ont fui en direction du port de plaisance. Certains ont même plongé pour échapper à leurs agresseurs. Au total, cinq personnes ont été très légèrement blessées sans nécessiter de prise en charge hospitalière.

    Prévenus, une quinzaine de policiers sont intervenus pour mettre fin à la bagarre. Aucune interpellation n’a été effectuée, mais une enquête est en cours pour déterminer les circonstances de ce différend, qui aurait pu terminer très mal.

    J'avais entendu un "expert" dire que les "chances pour la France" n'allaient pas tarder à vouloir marquer leur territoire par rapport aux clandés sans papiers! donc, ça arrive!

     

  • Macrouille hait les Français de France: la preuve!

    Macron à propos du plan Borloo: " Deux mâles blancs qui ne vivent pas dans les banlieues se remettent un rapport sur les banlieues : ça ne marche plus comme ça " 

    Le président de la République présente actuellement les grandes lignes de ce qui était attendu comme un grand Plan banlieues. Mais Emmanuel Macron préfère s’en tenir à " une philosophie et à une méthode " ne croyant plus aux grands programmes propices, selon lui, à " une politique de clientèle ".

    Devant 400 acteurs impliqués au quotidien dans les politiques de la Ville, Emmanuel Macron détaille ce mardi les grandes mesures très attendues pour les quartiers défavorisés. "Je ne vais pas annoncer un plan banlieues", stratégie "aussi âgée que moi " a d’emblée prévenu le chef de l’État. Ce dernier appelle plutôt à "changer de méthode“ pour sortir de l’" assignation à résidence " dans les quartiers défavorisés.

    Il va rien faire la macrouille! pas de gauche pas de droite, élu pour rien faire! fumiste, va!

    "Deux mâles blancs qui se remettent un rapport"

    Pour le président de la République, la méthode de plans dédiés " a apporté des choses "mais "on est au bout" (le bout, ça te connait!) de ce que cela a pu produire. Et Emmanuel Macron d’ajouter: "aujourd’hui, poursuivre dans cette logique, je n’y crois pas". Aussi invite-t-il à "inventer ensemble une méthode, un rythme différent".

    Rien dans la tête que gagner toujours plus! quand on va le sortir, va falloir surveiller son patrimoine, celui qu'il aura 5 ans après… parce que, on planque le pognon quand on est président et ensuite, on le récupère quelques années après, “faut pas prendre les enfant du bon dieu pour des canards sauvage“! mon film comique français préféré!

    “Oui nos quartiers ont du talent, et patati et patata, patate! mais dans nos quartiers il y a aussi de la violence", rappelle le chef de l’État. On l’aura compris, Emmanuel Macron porte guère de crédit aux plans précédents. Et au passage n’épargne pas Jean-Louis Borloo, à qui il avait demandé un rapport sur les banlieues: "Deux mâles blancs qui ne vivent pas dans les banlieues se remettent un rapport sur les banlieues: ça ne marche plus comme ça". Borloo appréciera…

     (…) Ouest France

     RÉSUMÉ: exigeons l'armée, les chars dans les rues du “vivre ensemble“ et "c'est  une chance pour la France"