Education - Page 34
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Honneur à nos héros
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L’odieuse et illégale “grève scolaire mondiale pour le climat”
Par Auteur Benoît Rittaud
Menacés par le ridicule et par l’usure de leurs slogans, les autoproclamés défenseurs de la planète jettent leurs dernières forces dans la bataille: les jeunes. Un procédé outrancier que dénonce Benoît Rittaud, président de l’association des climato-réalistes.
Si vous n’en avez pas encore entendu parler, ça ne va plus tarder: le 15 mars sera le jour d’une " grève scolaire mondiale pour le climat ". Attendez-vous à une prochaine avalanche d’éléments de langage vous expliquant une énième fois que, par votre faute, nous sommes au bord du gouffre: la planète va très bientôt se réchauffer d’une dizaine de degrés, la mer va monter de plusieurs mètres d’ici l’année prochaine, et d’ailleurs la " très sérieuse revue Nature " publie justement un nouvel article bourré de chiffres et de courbes plus sérieuses les unes que les autres montrant une "accélération encore pire que prévu" des catastrophes à redouter pour demain matin. Préparez-vous à vous sentir coupables.
La vie d’un militant de la " cause climatique " est toujours la même: publier des "appels" dans tel ou tel organe de presse bien-pensant sur la question (autant dire la presque totalité des médias), parader auprès des grands de ce monde dans force COP, "one planet summit" et autres réunions inutiles et coûteuses, et enfin orienter la politique énergétique du pays pour mettre consciencieusement à terre notre outil industriel majeur qu’est la production d’électricité nucléaire (qui n’émet pourtant pas de dioxyde de carbone, mais la cohérence n’est pas requise lorsqu’il s’agit de sauver la planète).
Malgré ces valeurs sûres pour faire les importants, les inquiets du climat doivent désormais faire face à trois gros problèmes. Le premier, c’est que leurs éléments de langage sont si stéréotypés qu’à peine nos prophètes prononcent-ils trois mots qu’il est possible à tout un chacun, avec un entraînement minimal, d’anticiper la fin de leur phrase. Le ridicule guette, ce dont ils se passeraient volontiers même si celui-ci ne tue heureusement pas davantage que quelques dixièmes de degrés centigrades de plus en un siècle.
“Les alarmes sur tel ou tel phénomène soi-disant "inédit" relèvent davantage de la stratégie de communication que de l’exposition objective de la situation climatique.
Le second problème, c’est qu’après avoir entendu crier au loup climatique pendant tant d’années, passant de la banquise aux cyclones et voguant de coraux en glaciers, le grand public se lasse de plus en plus de ces focalisations sélectives, changeantes au gré des inévitables fluctuations des multiples courbes climatiques à disposition. Les alarmes sur tel ou tel phénomène soi-disant "inédit" relèvent davantage de la stratégie de communication que de l’exposition objective de la situation climatique, qui n’est en réalité pas plus inquiétante aujourd’hui qu’hier.
Troisième problème: les "solutions" proposées telles que la transition énergétique sont progressivement en train d’apparaître pour ce qu’elles sont: des politiques dispendieuses, socialement injustes, et dont les effets sur le climat seront nuls, même en supposant la validité des modèles les plus décidés à désigner le dioxyde de carbone comme gaz satanique.
Pour faire face à ces vents contraires, les ayatollahs du climat ont alors eu une idée: exploiter les enfants. Ne reculant devant aucune outrance, ils se sont choisis une égérie en la personne d’une adolescente suédoise atteinte d’autisme pour promouvoir une " grève scolaire " de tous les enfants du monde, destinée à dénoncer l’inaction climatique.
Quiconque a des enfants sait combien ceux-ci peuvent être angoissés devant le monde qui s’offre à leurs yeux, un monde qu’ils ne maîtrisent pas et connaissent mal. Ils s’effraient à l’idée qu’ils puissent ne jamais réussir à y évoluer de manière autonome. C’est l’un des rôles les plus fondamentaux des adultes que de les rassurer, leur apprendre à surmonter leur peur, leur enseigner qu’un jour ils seront de taille à faire face aux inévitables difficultés de l’existence, que tout n’est pas rose mais que l’on peut tout de même tâcher d’être heureux et de répandre un peu de joie autour de soi.
Lorsque des adultes tournent le dos à ce devoir, lorsqu’ils s’abaissent à exploiter une angoisse infantile en l’étalant, en l’exposant comme jadis on exhibait des infirmes, ils commettent un crime moral qui ne peut avoir aucune circonstance atténuante, aucune indulgence de principe, quoi que l’on pense de la cause ainsi "défendue".
Malheureusement le terrorisme intellectuel sur ces questions n’a que trop bien fonctionné. Qui, chez les personnes "raisonnables", dénonce cette instrumentalisation des souffrances psychiques d’une adolescente, alors qu’un tel procédé indignerait n’importe quel éditorialiste s’il était question d’autre chose que de l’intouchable religion climatique?
“Les mots qui sortent de la bouche des adolescents ne sont que ceux qui leur ont été rabâchés depuis des années par les adultes.
Pour l’instant, il semble que les jeunes ne soient heureusement pas trop nombreux à se laisser manipuler— car il s’agit bien de cela. Sans doute les manifestants ont-ils l’impression d’agir en révolutionnaires, mais la réalité est que les mots qui sortent de leur bouche [mettre: des adolescents] ne sont que ceux qui leur ont été rabâchés depuis des années par les adultes. S’il est de bon ton aujourd’hui de critiquer le mouvement étudiant de mai 68, du moins doit-on convenir que celui-ci émanait vraiment de la jeunesse. Aujourd’hui, les slogans de l’époque, contestables mais néanmoins joyeusement subversifs, ont laissé la place aux " punchlines " d’importation, aux banals copiés-collés d’éléments de langages élaborés bien loin des manifestants.
En plus d’être odieuse dans son principe, la "grève climatique" à laquelle certains enseignants et certains chercheurs ont appelé est parfaitement illégale. Les textes en vigueur sont très clairs: par définition, "la grève est une cessation collective et concertée du travail destinée à appuyer des revendications professionnelles".
À moins d’une interprétation particulièrement extensive (mais politiquement correcte, donc comptons sur quelques juristes pour l’endosser quand même), exiger qu’on empêche la pluie de tomber ou le soleil de briller n’a rien d’une "revendication professionnelle". Il s’agit d’une revendication politique, explicitement exclue du champ du droit de grève par un arrêt du Conseil d’État (Rousset, 8 février 1961).
S’agissant des enseignants et des chercheurs de la fonction publique, leur appel à la grève se devrait, toujours aux termes de la loi, d’être "précédé d’un préavis émanant d’une ou plusieurs organisations syndicales représentatives au niveau national, dans la catégorie professionnelle ou dans l’administration ou le service concerné".
Même s’il reste possible que tel ou tel syndicat enseignant prenne le train en marche et soutienne le mouvement, il n’en demeurera pas moins que l’appel à la grève l’aura précédé, en violation donc de l’obligation de préavis syndical.
Le plus comique est pour la fin: "Pendant la durée du préavis, les organisations syndicales et l’administration employeur sont tenues de négocier". C’est sans doute ce point qui montre le plus clairement le caractère non-professionnel de la "grève climatique": l’employeur des enseignants et des chercheurs étant le ministère de l’Éducation nationale ou celui de la Recherche, on attend que s’ouvre une négociation dans laquelle Jean-Michel Blanquer serait sommé d’interdire aux États-Unis et à la Chine d’émettre du CO2…
Le droit de grève fait partie de notre paysage démocratique. En dénoncer les dévoiements est important pour lui permettre de remplir utilement son rôle. Si les extrémistes du climat ont le droit de défendre leur point de vue, cela ne doit donc pas nous empêcher d’exiger d’eux deux choses: qu’ils n’instrumentalisent pas le droit de grève et, surtout, qu’ils cessent d’enrôler nos enfants dans leurs passions tristes.
valeurs-actuelles
C'est la collectivité qui est responsable et c'est aux parents à interdire à leurs enfants de jouer les guignols au profit des écolos bobos complètement cinglés et incompétents qui poursuivent un projet de dérèglement civilisationnel prétexté par un dérèglement climatique naturel que nous ne maîtrisons et maîtriserons en aucun cas.
Essayez de demander à votre ado d'éteindre la lumière quand il quitte sa chambre...
ou de débrancher son portable dès que la batterie est remplie (car il continue à "brûler" le compteur)
etc, etc....
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Cette info peut vous rendre service…
ou bien, elle va vous remonter le moral si vous pensez être nul-le en français…
Vaucluse : une classe de CE1 travaille sur un tract de propagande immigrationniste, truffé de fautes d’orthographe.
On embauche des instit's qui ont réussi l'examen avec 3,5 de moyenne sur 20. Allez-y, tentez votre chance! c'est formid' d'être fonctionnaire, croyez-moi…..
Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, toutes les fautes ne sont pas marquées en rouge!
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Qui contrôle nos vies?
Des Gilets jaunes le découvrent
Nos vies sont largement contrôlées par de puissantes forces. La bonne nouvelle est que des Gilets jaunes nous ont montré la voie pour nous en libérer.
Où vont les Gilets jaunes? La réponse n’est pas évidente et bien des signes ne sont guère encourageants. Un aspect du mouvement peut néanmoins prêter à l’optimisme.
Beaucoup de Gilets jaunes ont découvert, en particulier sur les ronds-points, que grâce aux nouvelles technologies comme les réseaux sociaux, les applications de messagerie, les vidéos tournées avec des smartphones, il est désormais beaucoup plus facile de s’organiser pour s’entraider, sans passer par l’État ni par d’autres institutions établies, syndicats ou partis politiques.
C’est là une découverte fondamentale.
Elle contraste par ailleurs largement avec l’organisation de nos vies aujourd’hui ; maternité, crèche, maternelle, école, collège, lycée, université, sécurité, protection contre le crime, transports en commun, Sécurité sociale, chômage, santé, vieillesse, nous avons presque entièrement livré nos existences, pour ainsi dire pieds et poings liés, au pouvoir, aux autorités, aux politiciens, aux grandes administrations incontrôlables ; en un mot, à l’État.
Bien des Gilets jaunes ont le sentiment diffus que des puissances occultes contrôlent leurs vies. De fait, elles le sont, par des forces puissantes et moins bienveillantes que nous aimerions le penser, mais pas si mystérieuses que cela. Non content de contrôler l’éducation que nous recevons, l’État en fait largement de même dans le domaine de l’information: chaînes publiques, médias aux mains de milliardaires vivant grassement de marchés publics (BTP, armement), aides à la presse. Tous ces canaux d’information insistent fort peu sur l’ingérence de l’État dans nos vies.
Les lobbies sont très influents, par exemple celui de la finance ou de l’industrie pharmaceutique. Beaucoup de gens sont convaincus qu’ils contrôlent l’État, raison pour laquelle le système est défaillant. La réalité est plus subtile: la seule force de ces lobbies est précisément que l’État s’immisce partout. Ils s’adressent à lui pour parvenir à leurs fins via des méthodes plus ou moins recommandables.
Cela s’applique d’ailleurs tout autant à des lobbies qui ne disent pas leur nom, telles les ONG écologistes, faisant campagne en faveur des politiques d’État consistant, par exemple, à saupoudrer tous nos paysages d’éoliennes, renchérissant par là même le prix de l’électricité.
Le problème majeur est bien que l’État nous contrôle trop, et permet aux lobbies d’obtenir des faveurs, au détriment des individus. Vous souhaitez vous libérer des lobbies? Alors vous devez trouver le moyen de vous libérer du contrôle de l’État.
Pour en revenir aux Gilets jaunes et aux ronds-points, et à les observer, on s’aperçoit qu’ils ont entr’ouvert une porte menant à une issue pour sortir de cette regrettable situation.
Un autre monde est possible
Il est désormais plus facile que jamais de s’organiser sans passer par ceux qui aujourd’hui contrôlent nos vies, et l’organisation spontanée, initiale, des Gilets jaunes, l’a fort bien montré.
Ce constat peut s’étendre à d’autres domaines. Voici quelques exemples illustrant comment ce mode d’auto-organisation spontanée pourrait se mettre en place.
Éducation: nous gagnerions beaucoup à ce que nos enfants puissent être instruits sans recevoir en même temps une vision du monde dictée par l’État. Des initiatives en ce sens existent déjà: créer son école, SOS éducation, la Fondation pour l’école, et tant d’autres. Ce que les Gilets jaunes ont fait pour leurs manifestations peut être réalisé pour trouver spontanément la bonne organisation pour dispenser à nos enfants la meilleure éducation, loin de la carte scolaire et des établissements négligés.
Santé: les possibilités sont ici gigantesques. Exemple: la société Virta Health propose aux diabétiques une application et un soutien en ligne, incluant des médecins. Après une année, cette start-up a déjà obtenu 60% d’inversions de diabète de type 2, c’est-à-dire qu’elle a permis à des malades de recouvrer la santé, et cesser leur traitement, ou de le réduire pour la plupart des 40% de patients restants. Dans ce domaine comme dans tant d’autres, les nouvelles technologies nous offrent des possibilités énormes de mieux nous porter, sans passer par la voie traditionnelle.
Sécurité et protection contre le crime: nos voisins britanniques ont mis en place des organisations de type neighbourhood watch (surveillance du voisinage), en coordination, bien entendu, avec la police. Nous gagnerions à envisager d’en faire de même. L’organiser spontanément devient de moins en moins difficile. Il ne s’agit pas d’intervenir en personne, mais de prévenir les menaces dans son quartier et de faire le lien avec les autorités. Le préalable sera d’ailleurs de rétablir le lien de confiance avec les forces de l’ordre.
L’information: le journal Contrepoints, qui a pris sa place dans le paysage de l’information, a été créé à l’initiative d’une association, et refuse, et refusera toujours, toute aide de l’État. Il répond clairement à une demande du public et, au bout de quelques années, est devenu une organisation professionnelle, toujours associative, avec des journalistes ayant leur carte de presse. Cela démontre encore qu’on peut bien faire, sans subvention de l’État. Il est même préférable de s’en dispenser.
Le billet ici présent n’a pas pour vocation de donner des liens vers toutes les possibilités d’améliorer grandement sa vie sans rester sous le contrôle de l’État. Dans chacun des domaines de nos vies c’est envisageable, et de plus en plus chaque jour.
Les Gilets jaunes ont démontré que l’entraide, les rencontres, l’organisation sont possibles, sans passer nécessairement par l’étape de la manifestation. Pour y parvenir, il est d’ailleurs plus efficace de ne pas gaspiller de l’énergie en vain, s’adonner à la violence et au chaos. Bien au contraire. Mieux vaut préserver cette énergie et la consacrer à améliorer ses conditions de vie.
Grâce au mode initial de déclenchement du mouvement des Gilets jaunes, un petit pas est franchi qui apporte un nouvel éclairage sur le contrôle de nos vies par l’État et, bien plus important, sur les possibilités qui s’offrent à nous pour y échapper. Libre à chacun de nous, désormais, d’y réfléchir et d’imaginer des solutions qui rendront notre vie meilleure dans un environnement d’entraide.
Charles Boyer
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J'y crois, j'y crois pas.....
Climat: la météo autrichienne sceptique sur le consensus
L’Office Central Météorologique et Géodynamique autrichien (le ZAMG) pose un regard critique sur le sujet du réchauffement climatique.
Un article de NoTricksZone
En science du climat, selon l’expression consacrée, il y a un consensus de 97% sur tous les points. Les 3% restants sont juste des fous. Tel est le cas car quiconque contredit ouvertement ce "consensus" peut oublier sa carrière, se voir ignoré, et exclu des opportunités de financements de projets. Il vaut donc mieux ne pas faire de remous.
Il est donc d’autant plus surprenant que l’Office Central Météorologique et Géodynamique autrichien (le ZAMG) ait posé un regard critique sur le sujet du réchauffement climatique.
Sur le site du ZAMG, les scientifiques basés à Vienne débattent d’importantes critiques que voici:
Des facteurs futurs du changement climatique ne sont pas pris en compte
Si des facteurs climatiques individuels dans le développement de la température planétaire sont mal jugés par les modèles informatiques climatiques, et même s’ils ont donné des résultats réalistes jusqu’ici, les simulations du futur seront fausses. De plus, à côté des facteurs anthropiques, d’autres facteurs climatiques ne sont même pas pris en compte dans les scénarios du futur. Ils ne peuvent simplement pas être prédits.
Le problème qui se pose avec les modélisations informatiques du climat planétaire, c’est qu’ils concentrent leur contrôle de qualité sur la reproduction des températures planétaires moyennes mesurées. Quoiqu’elles soient relativement bien simulées, il y subsiste des difficultés pour savoir si leur sensibilité aux différents facteurs climatiques (l’activité solaire, les aérosols volcaniques, les gaz à effet de serre, etc.) correspondent à la réalité.
De plus, les facteurs ne sont pas proprement compris, même en ce qui concerne leurs effets de refroidissement ou de réchauffement. Dès lors, il est possible que les modèles informatiques du climat simulent correctement la moyenne de température de la planète, tout en ayant des sensibilités incorrectes attribuées aux différents facteurs.
Des facteurs anthropiques du climat surévalués?
Le 4ème rapport d’évaluation du GIEC (Solomon et al. 2007) note que le réchauffement de la deuxième moitié du XXème Siècle a été "très vraisemblablement" causé par l’augmentation des concentrations de gaz à effet de serre anthropique.
Cette affirmation s’appuie sur les simulations de modèles informatiques du climat de la planète. Des critiques, cependant, disent que ces modèles ont une trop haute sensibilité au CO2 comme facteur et, par exemple, sous-estiment l’influence du soleil.
Une analyse des forces et faiblesses serait d’une grande aide
Il va falloir du temps de développement pour refléter proprement l’équilibre parmi les facteurs dans les modélisations du climat. Cependant, la critique fondamentale de la performance des modélisations du climat est présentée comme étant la même chose qu’une négation de la réalité. Il est crucial de distinguer clairement quels résultats les modèles climatiques peuvent donner avec certitude (leurs forces) et pour quels résultats ce n’est pas le cas (leurs faiblesses).
Traduction par Charles Boyer de " Austria’s ZAMG Meteorology And Geodynamics Institute Concedes Climate Models Not Reliable "
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Comme on fait son lit...
Créteil (94): "Nous voulons de la mixité scolaire, nous voulons du blanc dans nos établissements"
Unis pour la réussite scolaire (Unirsco) organisait ce samedi sa première réunion publique sur les violences scolaires. Le collectif né à Créteil souhaite fédérer ses actions avec d’autres organisations issues des quartiers populaires.
" Les problèmes de l’extérieur viennent à l’intérieur des établissements. Nous voulons de la mixité scolaire, nous voulons du blanc dans nos établissements", soutient Salika Amara.
"Il faut sauver nos gosses, l’école n’est plus un sanctuaire aujourd’hui". C’est le constat fait par Salika Amara, ancienne enseignante et membre du collectif Unirsco (Unis pour la réussite scolaire), constitué à Créteil en septembre 2018 et très actif depuis sa création. […] "Nous avons été alertés par la violence [des jeunes] et nous avions fait des maraudes suite à ces violences, précise Ouarda Iratni, de l’association Parents, membre d’Unirsco. Les jeunes ne touchent pas aux daronnes, il n’y a eu aucun trouble dans les cinq quartiers où nous étions présents à Créteil. Nous sommes des simples mamans et la mère est sacrée chez eux."
Le collectif Unirsco se veut aussi actif sur les problèmes de discriminations au sein des établissements scolaires: "Les parents nous sollicitent, notamment les mères voilées" , confie Salika Amara, également membre de l’association Filles et fils de la République. […]
Yahoo/Le Parisien