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Education - Page 32

  • Y'a des coups de pieds au... qui se perdent!

    Les églises, victimes d’un inquiétant vandalisme

    Saccages, vols, profanations… Les lieux de culte catholiques sont pris pour cible sur tout le territoire, avec près de trois actes commis par jour. Des élus LR interpellent les autorités.

    "Dieu pardonnera, moi pas": Bernard Carayon, maire de Lavaur, dans le Tarn, ne décolère pas depuis la profanation qui a visé, le 5 février dernier, la cathédrale Saint-Alain, joyau du gothique méridional. En fin de journée, deux lycéens, identifiés grâce à des caméras situées à proximité, investissent le lieu de culte, embrasent l’autel d’une des chapelles de l’édifice ainsi qu’une crèche. Un crucifix est retourné, un second jeté tandis qu’un troisième Christ en croix a le bras tordu pour lui faire prendre une pose grotesque dans le confessionnal.

    "Cet acte fondamentalement antichrétien a été perpétré au moment même où l’on venait d’achever cinq années de travaux de restauration, pour une facture de 2 millions d’euros, s’indigne l’édile du Tarn. Il a fallu en appeler aux pompiers pour aspirer l’épaisse fumée noire et à une quarantaine de paroissiens pour remettre de l’ordre".

     (…) Le Figaro

  • Barbares

    Grande-Bretagne : 1000 Africaines se sont faites "repasser" les seins de force pour ne pas attirer le regard des hommes

    La sensibilisation au repassage des seins devrait faire partie du programme scolaire obligatoire afin de protéger les jeunes filles contre les abus, a déclaré le National Education Union.

    La pratique consiste à repasser la poitrine d’une fille avec des objets chauds pour retarder la croissance des seins, afin qu’elle n’attire pas l’attention des hommes.

    La députée conservatrice Nicky Morgan a déclaré que les enseignants doivent aussi être éduqués, car ils ont un "rôle très important à jouer".

    Le Home Office a déclaré que les enseignants ont le devoir de signaler leurs problèmes.

     ‘Pas le droit de pleurer’

    " Kinaya " – dont nous avons changé le nom – vit au Royaume-Uni.

    Sa famille est originaire d’Afrique de l’Ouest – d’où provient le repassage des seins – et elle y a été soumise à l’âge de 10 ans.

    Elle a dit que sa mère lui avait dit que "si je ne les repasse pas, les hommes commenceront à venir vers vous pour avoir des relations sexuelles avec vous".

    C’est souvent la mère de l’enfant qui se charge du repassage des seins, qui consiste généralement à chauffer une pierre ou une cuillère à la flamme, puis à appuyer, masser ou aplatir la poitrine.

    Cela peut durer des mois.

    "Le temps n’efface pas ce genre de douleur", expliqua Kinaya.

    "Tu n’as même pas le droit de pleurer. Si tu le fais, on a fait honte à ta famille, tu n’es pas une "fille forte".

     (…) On pense qu’environ 1 000 filles au Royaume-Uni ont été touchées par le repassage des seins.

    www.bbc.com

     

  • Entre patriotes

    Création du premier site d’annonces en ligne "entre patriotes"

    " Tous ces échanges de notre vie courante, et si nous les faisions prioritairement avec des personnes partageant nos valeurs ? " Le Rucher Patriote: c’est sous ce nom qu’une jeune équipe s’attèle à la création du premier site internet d’annonces " entre patriotes, par des patriotes, pour des patriotes ". Entretien avec son initiateur, Thomas Whyte.

    Tout d’abord, pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs?

    Thomas Whyte (Le Rucher Patriote): Avocat pendant une décennie, je travaille depuis 2018 à des projets entrepreneuriaux dans les domaines informatiques et patriotes. Un retour à un engagement de jeunesse, puisque entre mes 15 et 25 ans j’ai beaucoup milité au service de convictions patriotes, principalement dans le secteur associatif. Une fois mon activité professionnelle engagée, j’ai "levé le pied", mais au fil des ans il me taraudait de plus en plus d’y revenir, c’est-à-dire de consacrer à nouveau une part significative de mon temps et de mon énergie à la cause de notre peuple ; ce que je m’efforce de faire à présent, notamment à travers le Rucher Patriote.

    Vous lancez un site d’annonces intitulé Le Rucher Patriote, pouvez-vous nous présenter le concept?

    Thomas Whyte: "Je cherche un plombier… une garde d’enfants… un locataire… une location… la bonne recrue pour mon entreprise… un stage de fin d’études… un meuble… j’ai des vêtements à donner… ".

    Tous ces échanges de notre vie courante, et si nous les faisions prioritairement avec des personnes partageant nos valeurs? Ces valeurs communes héritées de 1.500 ans d’histoire de notre pays, et de plus de 3.000 ans d’histoire de notre grande civilisation, aux profondes racines gréco-romaines, chrétiennes, mais aussi celtiques, germaniques et nordiques.

    Voilà le concept. Échanger avec des personnes animées du même amour sincère de nos terres, de notre pays, de notre histoire, de notre peuple, de notre culture, de notre civilisation. En un mot, avec des patriotes. Aujourd’hui, beaucoup de patriotes se sentent isolés, à cause d’une propagande mondialiste hégémonique.

    Mais nous sommes nombreux! Nous serions étonnés de découvrir combien de personnes très proches géographiquement partagent nos valeurs. Encore faut-il se trouver: voilà l’utilité première du Rucher Patriote […]

    Breizh-Info & Le Rucher Patriote

  • Même l'Académie Française est ficelée par la gauchiasse!

     

     

  • L’odieuse et illégale “grève scolaire mondiale pour le climat”

    Par Auteur Benoît Rittaud   

    Menacés par le ridicule et par l’usure de leurs slogans, les autoproclamés défenseurs de la planète jettent leurs dernières forces dans la bataille: les jeunes. Un procédé outrancier que dénonce Benoît Rittaud, président de l’association des climato-réalistes.

    Si vous n’en avez pas encore entendu parler, ça ne va plus tarder: le 15 mars sera le jour d’une " grève scolaire mondiale pour le climat ". Attendez-vous à une prochaine avalanche d’éléments de langage vous expliquant une énième fois que, par votre faute, nous sommes au bord du gouffre: la planète va très bientôt se réchauffer d’une dizaine de degrés, la mer va monter de plusieurs mètres d’ici l’année prochaine, et d’ailleurs la " très sérieuse revue Nature " publie justement un nouvel article bourré de chiffres et de courbes plus sérieuses les unes que les autres montrant une "accélération encore pire que prévu" des catastrophes à redouter pour demain matin. Préparez-vous à vous sentir coupables.

    La vie d’un militant de la " cause climatique " est toujours la même: publier des "appels" dans tel ou tel organe de presse bien-pensant sur la question (autant dire la presque totalité des médias), parader auprès des grands de ce monde dans force COP, "one planet summit" et autres réunions inutiles et coûteuses, et enfin orienter la politique énergétique du pays pour mettre consciencieusement à terre notre outil industriel majeur qu’est la production d’électricité nucléaire (qui n’émet pourtant pas de dioxyde de carbone, mais la cohérence n’est pas requise lorsqu’il s’agit de sauver la planète).

    Malgré ces valeurs sûres pour faire les importants, les inquiets du climat doivent désormais faire face à trois gros problèmes. Le premier, c’est que leurs éléments de langage sont si stéréotypés qu’à peine nos prophètes prononcent-ils trois mots qu’il est possible à tout un chacun, avec un entraînement minimal, d’anticiper la fin de leur phrase. Le ridicule guette, ce dont ils se passeraient volontiers même si celui-ci ne tue heureusement pas davantage que quelques dixièmes de degrés centigrades de plus en un siècle.

    “Les alarmes sur tel ou tel phénomène soi-disant "inédit" relèvent davantage de la stratégie de communication que de l’exposition objective de la situation climatique.

    Le second problème, c’est qu’après avoir entendu crier au loup climatique pendant tant d’années, passant de la banquise aux cyclones et voguant de coraux en glaciers, le grand public se lasse de plus en plus de ces focalisations sélectives, changeantes au gré des inévitables fluctuations des multiples courbes climatiques à disposition. Les alarmes sur tel ou tel phénomène soi-disant "inédit" relèvent davantage de la stratégie de communication que de l’exposition objective de la situation climatique, qui n’est en réalité pas plus inquiétante aujourd’hui qu’hier.

    Troisième problème: les "solutions" proposées telles que la transition énergétique sont progressivement en train d’apparaître pour ce qu’elles sont: des politiques dispendieuses, socialement injustes, et dont les effets sur le climat seront nuls, même en supposant la validité des modèles les plus décidés à désigner le dioxyde de carbone comme gaz satanique.

     Pour faire face à ces vents contraires, les ayatollahs du climat ont alors eu une idée: exploiter les enfants. Ne reculant devant aucune outrance, ils se sont choisis une égérie en la personne d’une adolescente suédoise atteinte d’autisme pour promouvoir une " grève scolaire " de tous les enfants du monde, destinée à dénoncer l’inaction climatique.

    Quiconque a des enfants sait combien ceux-ci peuvent être angoissés devant le monde qui s’offre à leurs yeux, un monde qu’ils ne maîtrisent pas et connaissent mal. Ils s’effraient à l’idée qu’ils puissent ne jamais réussir à y évoluer de manière autonome. C’est l’un des rôles les plus fondamentaux des adultes que de les rassurer, leur apprendre à surmonter leur peur, leur enseigner qu’un jour ils seront de taille à faire face aux inévitables difficultés de l’existence, que tout n’est pas rose mais que l’on peut tout de même tâcher d’être heureux et de répandre un peu de joie autour de soi.

    Lorsque des adultes tournent le dos à ce devoir, lorsqu’ils s’abaissent à exploiter une angoisse infantile en l’étalant, en l’exposant comme jadis on exhibait des infirmes, ils commettent un crime moral qui ne peut avoir aucune circonstance atténuante, aucune indulgence de principe, quoi que l’on pense de la cause ainsi "défendue".

    Malheureusement le terrorisme intellectuel sur ces questions n’a que trop bien fonctionné. Qui, chez les personnes "raisonnables", dénonce cette instrumentalisation des souffrances psychiques d’une adolescente, alors qu’un tel procédé indignerait n’importe quel éditorialiste s’il était question d’autre chose que de l’intouchable religion climatique?

    “Les mots qui sortent de la bouche des adolescents ne sont que ceux qui leur ont été rabâchés depuis des années par les adultes.

    Pour l’instant, il semble que les jeunes ne soient heureusement pas trop nombreux à se laisser manipuler— car il s’agit bien de cela. Sans doute les manifestants ont-ils l’impression d’agir en révolutionnaires, mais la réalité est que les mots qui sortent de leur bouche [mettre: des adolescents] ne sont que ceux qui leur ont été rabâchés depuis des années par les adultes. S’il est de bon ton aujourd’hui de critiquer le mouvement étudiant de mai 68, du moins doit-on convenir que celui-ci émanait vraiment de la jeunesse. Aujourd’hui, les slogans de l’époque, contestables mais néanmoins joyeusement subversifs, ont laissé la place aux " punchlines " d’importation, aux banals copiés-collés d’éléments de langages élaborés bien loin des manifestants.

    En plus d’être odieuse dans son principe, la "grève climatique" à laquelle certains enseignants et certains chercheurs ont appelé est parfaitement illégale. Les textes en vigueur sont très clairs: par définition, "la grève est une cessation collective et concertée du travail destinée à appuyer des revendications professionnelles".

    À moins d’une interprétation particulièrement extensive (mais politiquement correcte, donc comptons sur quelques juristes pour l’endosser quand même), exiger qu’on empêche la pluie de tomber ou le soleil de briller n’a rien d’une "revendication professionnelle". Il s’agit d’une revendication politique, explicitement exclue du champ du droit de grève par un arrêt du Conseil d’État (Rousset, 8 février 1961).

    S’agissant des enseignants et des chercheurs de la fonction publique, leur appel à la grève se devrait, toujours aux termes de la loi, d’être "précédé d’un préavis émanant d’une ou plusieurs organisations syndicales représentatives au niveau national, dans la catégorie professionnelle ou dans l’administration ou le service concerné".

    Même s’il reste possible que tel ou tel syndicat enseignant prenne le train en marche et soutienne le mouvement, il n’en demeurera pas moins que l’appel à la grève l’aura précédé, en violation donc de l’obligation de préavis syndical.

    Le plus comique est pour la fin: "Pendant la durée du préavis, les organisations syndicales et l’administration employeur sont tenues de négocier". C’est sans doute ce point qui montre le plus clairement le caractère non-professionnel de la "grève climatique": l’employeur des enseignants et des chercheurs étant le ministère de l’Éducation nationale ou celui de la Recherche, on attend que s’ouvre une négociation dans laquelle Jean-Michel Blanquer serait sommé d’interdire aux États-Unis et à la Chine d’émettre du CO2…

    Le droit de grève fait partie de notre paysage démocratique. En dénoncer les dévoiements est important pour lui permettre de remplir utilement son rôle. Si les extrémistes du climat ont le droit de défendre leur point de vue, cela ne doit donc pas nous empêcher d’exiger d’eux deux choses: qu’ils n’instrumentalisent pas le droit de grève et, surtout, qu’ils cessent d’enrôler nos enfants dans leurs passions tristes.

    valeurs-actuelles

    C'est la collectivité qui est responsable et c'est aux parents à interdire à leurs enfants de jouer les guignols au profit des écolos bobos complètement cinglés et incompétents qui poursuivent un projet de dérèglement civilisationnel prétexté par un dérèglement climatique naturel que nous ne maîtrisons et maîtriserons en aucun cas.

    Essayez de demander à votre ado d'éteindre la lumière quand il quitte sa chambre...

    ou de débrancher son portable dès que la batterie est remplie (car il continue à "brûler" le compteur)

    etc, etc....