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Education - Page 29

  • C'est complètement fou!

    Un jour j'ai vu passer un article (avec photo) montrant des collégiens sodomisant un âne dans un bled pas catholique…

    Marly-la-Ville (95): Louis, 12 ans, harcelé et violé au collège

    Qui imaginerait des collégiens de 6e harceler un élève au point de lui infliger agressions sexuelles et viol ? C’est ce qui est arrivé à Louis [Le prénom a été modifié], scolarisé au collège Françoise-Dolto, à Marly-la-Ville (Val-d’Oise). Au paroxysme de cet enfer, il a cherché à mettre fin à ses jours. Il est encore sous traitement et suivi psychologique en raison de tendances suicidaires. Ses parents ne le lâchent pas d’un pas.

    Ce grand garçon (1,78 m) de 12 ans aux yeux bleus évoque ces sévices d’une voix calme et timide. "Ils font le jeu de l’olive. On prend quelqu’un et on cherche à lui mettre un doigt dans l’anus", explique-t-il. À plusieurs reprises, ses agresseurs lui ont mis un doigt, un stylo ou un témoin de relais d’athlétisme entre les fesses. L’épisode le plus violent date de juin. "Il était accoudé à une barre en cours de sport, relate Julia [Le prénom a été modifié], sa mère.

    Un des gamins est arrivé derrière lui et a plongé ses mains jointes dans son derrière. "La doublure de son short est trouée. "Ça a été très douloureux, car très profond. Je saigne encore beaucoup", témoigne-t-il. […]

    D’autres agressions surviennent. À nouveau l’établissement est contacté. Les parents préviennent qu’ils porteront plainte la prochaine fois. Leur fils sombre dans le mutisme. Ils comprennent que le harcèlement n’a pas cessé quand Louis évoque les propos qui visent sa sœur. "Ils ont dit qu’ils allaient la sodomiser", indique-t-il. Elle était en CM2 cette année. "Du coup, j’ai très peur parce qu’elle rentre au collège l’année prochaine. Je ne voudrais pas qu’elle subisse ça à cause de moi", ajoute le jeune garçon.

    Le Parisien

    Sale pourriture!

     

     

  • Sciences: les nouveaux obscurantistes

     […] L’ampleur du phénomène devrait inquiéter, parce qu’il percole (hé crétin, tu bois trop de café: on dit: infuse…) dangereusement dans la société. Tous les sondages précités font la même analyse: les plus jeunes se trouvent être les plus défiants vis-à-vis de la science. Un fossé générationnel se creuse insidieusement.

    Aux Etats-Unis, une professeur de biologie à au William College, une université privée du Massachusetts, a fait part dans une retentissante tribune sur le site The Atlantic de son désarroi face à sa difficulté à enseigner à certains de ses élèves des notions de biologie et de génétique (héritabilité, QI, etc.) et de se sentir contestée au nom de "l’égalité, de l’antiracisme et de l’antisexisme". Avant de conclure: "Si les étudiants [continuent à nier] l’évidence scientifique, cela aura un effet sur la façon dont les professeurs enseigneront“.

    On va tous se retrouver à l'obscurantisme du Moyen-âge!

    De ce côté-ci de l’Atlantique, les effets de ce nouveau politiquement correct ne se font pas autant ressentir sur les bancs des facs: "Je ne crois pas que nous rencontrons le même type d’opposition, confie Erwann Gueguen, chercheur en microbiologie à l’université Claude-Bernard-Lyon I. Sur ces questions, mes étudiants peuvent engager une discussion, mais ne sont pas dans la contestation. "En revanche, cette résistance semble perceptible aujourd’hui au niveau du secondaire, où des élèves plus jeunes peuvent être guidés par des croyances religieuses“.

    L’Express

    Obscurantisme, etc…

     

  • Celles qui se prennent pour Isadora Duncan….

    sans en avoir le très grand désir de liberté et l'échappée de toutes les conventions sociales

     

    Montréal: Une jeune femme étranglée par son voile dans un karting

    Une jeune femme de 18 ans reposait toujours à l’hôpital dans un état grave, hier soir, après avoir été étranglée par son hidjab qui s’est coincé dans la roue d’un go-kart qu’elle pilotait sur un circuit récréatif, à Montréal

    "Quand on a coupé le hidjab, elle s’est remise à respirer. C’était comme dans un film", a relaté au Journal Detroyt Pereira, un employé du Parc d’Amusement Anjou, rencontré hier soir sur son lieu de travail.

    L’accident est survenu peu avant minuit, mardi. La victime prenait part à une course amicale avec son frère et deux amis, qui ont été témoins de la scène d’horreur […]. Son état était toujours jugé sérieux hier en soirée, a précisé [la police].

    J'espère que ces crétins comprennent désormais le mal qu'ils font à cette pauvre fille (et à toutes les autres….

    Le propriétaire du Parc d’Amusement, Amedeo Ceccon, a confié hier être secoué par le drame […]. Il assure que ses employés ont averti "à plusieurs reprises" (parle à mon c…) la jeune femme des risques associés au port de ce foulard lors d’une course de kart. Refusant de le retirer, celle-ci aurait plutôt décidé de le coincer à l’intérieur de ses vêtements, une solution qui s’est malheureusement avérée inefficace. "C’est une auto qui roule assez vite, à 30, 40, 50 km/h, alors [le foulard] est parti au vent", a expliqué M. Ceccon.

    "On essaie de les avertir, mais souvent elles se fâchent contre nous. Elles ne veulent pas l’enlever. N’importe quelle chose qui pend, c’est dangereux. Les cheveux longs, on les attache", a-t-il ajouté. (cela s'appelle “la sélection naturelle“….).

    Par souci de sécurité, le propriétaire avoue envisager d’interdire aux femmes qui portent un foulard de parcourir le circuit, même s’il conçoit qu’il s’agit d’une "question assez délicate".

    Le Journal de Montréal

    On en verra d'autres:

    par exemple, le Canada est le pays qui a le plus de malades de la SEP au monde…. le fait de manquer de vitamine D, est un des facteurs déclenchant de la sclérose en plaques…

    le fait “d'embastiller“ ou "encapuchonner" les filles sous des oripeaux sans forme permettra l'éradication de cette obligation cultuelle avec tous ses corollaires. (moins de femme, moins de capital de viande, moins d'enfants, moins d'esclaves filles et femmes)

    Y'a qu'à attendre… sélection naturelle, je vous dis!

     

     

  • Petits et grands: Cervelles éviscérés

    Les profs perdent la tête

    Herblay (95): harcelée par une prof et des collégiens, une fillette de 11 ans se suicide: (obsèques ce mercredi à Paris)

     […] En apprenant le suicide d’Evaëlle, 11 ans, victime de harcèlement scolaire, Leslie a aussitôt pensé à ce qui était arrivé à sa fille l’année dernière. Emma*, également scolarisée au collège Isabelle-Autissier d’Herblay (Val-d’Oise) en 4e, a aussi été victime d’un groupe d’élèves. Le suicide, la jeune fille y a pensé. Avec le recul, sa mère estime qu’elle failli passer à l’acte.

    "Ça a commencé trois semaines après la rentrée, relate Emma. Au début, ils me volaient mon matériel scolaire et ils le jetaient par la fenêtre“.

    Elle n’est pas seule, trois de ses amis dans sa classe subissent le même traitement. "Après ça a été des insultes, on se faisait bousculer et taper tous les jours", ajoute-t-elle. Un groupe tient à provoquer le chaos en classe. Emma et ses copains font partie des plus sages. Alors les coups pleuvent. […]

    […] Si la collégienne de 11 ans qui a été retrouvée pendue le vendredi 21 juin dernier dans sa chambre, subissait les moqueries, le bizutage, les coups et les insultes de ses camarades au collège Georges-Duhamel, elle était aussi victime du harcèlement de l’une de ses professeurs. "C’est parti de là. Elle la traitait de folle", témoigne une amie de la fillette"[…]. En taule, la prof!

    Et une de ses anciennes élèves de renchérir: "Quand tu n’arrives pas à faire quelque chose, elle te dit que tu es nulle. Elle dit à tout le monde: Vous êtes la pire des classes. "Une autre jeune fille déclare: "Ça dépend des élèves. Elle s’attaque aux plus faibles“. "

    Après avoir déposé plainte pour harcèlement scolaire, Marie et Sébastien, les parents d’Evaëlle, en ont déposé une nouvelle, après la mort de leur fille.

    Les parents de la collégienne décrivent une petite fille d’une profonde gentillesse, avec beaucoup d’amour à donner. "Elle était pleine de joie. Une enfant précoce ", confient-ils avant de souligner sa grande empathie. " Elle voulait être amie avec tout le monde. Souvent dans l’excès et, quand on est dans l’excès, on se fait rejeter", déclare son papa. Et d’ajouter: "C’est sûr qu’on a élevé nos enfants dans l’empathie. Mais ce n’est pas le cas de tout le monde“.

    Les obsèques de la petite Evaëlle auront lieu le mercredi 3 juillet au Père-Lachaise de Paris. […]

    Closer

    25/06/2019

    Une jeune fille de 11 ans a mis fin à ses jours, vendredi soir, à son domicile à Herblay (Val-d’Oise). Elle s’est pendue dans sa chambre avec un foulard qu’elle avait accroché à son lit.

     […]

    "Ses harceleurs continuaient sur les réseaux sociaux"

    "Depuis le début de l’année, elle se plaignait d’être harcelée, raconte la mère d’une élève. Elle avait l’impression que tout le monde était contre elle. Elle était très renfermée. "Elle confirme toutefois qu’elle était bien visée par d’autres élèves“.

    Apparemment, elle était dans la pire classe.

     […]

    Le Parisien

     

  • CQFD

    Poutine dénonce des idées pro LGBT "imposées" aux gens

    Selon le président russe une partie de la société est "assez agressive" en voulant imposer son point de vue sur la liberté sexuelle et de genre. Vladimir Poutine ne comprend pas les revendications pro-LGBT. Le président russe a dénoncé ce samedi les idées de liberté sexuelle et de liberté de genre " imposées " aux gens, qui y seraient majoritairement hostiles.

    (…) "Il y a toutes sortes de choses maintenant: on a inventé cinq ou six genres […] Je ne comprends même pas ce que c’est" a déclaré le président russe.

    " Le problème est que cette partie de la société assez agressive impose son point de vue à la majorité écrasante" des gens, a-t-il affirmé. "Les représentants des idées libérales imposent un certain type d’éducation sexuelle à l’école, les parents ne le veulent pas, mais on ne demande pas leur avis" a encore assuré le président russe.

     (…) "Nous avons une loi, critiquée par tout le monde, la loi interdisant la propagande homosexuelle auprès des mineurs" a-t-il rappelé. "Ecoutez, laissez une personne grandir, devenir adulte et puis décider qui elle veut être" a conclu Poutine.

    (…) L’express

  • ENFIN!!!! Vive la langue française

    MANIFESTE ADRESSÉ AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

    Dans sa qualité, dans son usage même, la langue française sombre en déshérence. Comme tant d’autres langues, et avec trop d’autres cultures, elle se trouve de fait colonisée par l’hégémonie anglo-américaine.

    À l’occasion du soixante-dix-neuvième anniversaire de l’appel à la résistance du Général de Gaulle, un collectif composé de représentants de vingt-cinq nations s’adresse au Président de la République française.

    Au chef de l’État premier contributeur de la Francophonie, ce collectif demande de montrer l’exemple de la résistance, plutôt que de collaborer à la colonisation de notre pays.

    Monsieur le Président de la République,

     La langue française va mal. Non plus étoffée mais étouffée par l’anglo-américain, elle voit désormais son usage même évincé par cette dernière langue devenue si peu étrangère. Confrontée à cette invasion, notre mémoire renvoie en écho un passé douloureux de soumission et d’oubli de soi. Une majorité capitulatrice plaidera le réalisme, hermétique aux cris sourds d’une identité enchaînée par une pseudo « langue universelle », en réalité servante d’un maître particulier.

     Le français outragé, le français brisé, le français martyrisé. Mais le français rendu à la dignité si, Monsieur le Président, vous choisissez de suivre enfin la trace laissée par l’esprit de résistance.

     – Il est demandé au chef de l’État premier contributeur à l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), de montrer l’exemple : en renonçant à l’emploi de l’anglo-américain à l’étranger, quand le français demeure l’une des deux premières langues d’usage d’une majorité d’organes internationaux ; en renonçant à l’utilisation peu digne de l’anglo-américain en France même, décourageant ainsi nos visiteurs de pratiquer une langue désertée par ses locuteurs naturels.

     – Il est demandé au chef de l’État : De faire étudier une loi renforçant le dispositif linguistique présent en en rendant notamment l’application contraignante. De rappeler aux autorités judiciaires leur pouvoir de poursuivre les contrevenants à une loi constamment bafouée. De rappeler, immédiatement, les préfets à leur obligation de contrôle de légalité pour les collectivités en infraction, par défaut, avec l’article 15 de la Loi du 4 août 1994.

     – Il est demandé au garant de la Constitution d’interrompre la marche suicidaire vers l’intronisation de la langue anglo-américaine comme seconde langue officielle de la nation ; ainsi devrez-vous mettre un terme au projet sacrilège prétendant dispenser dans les établissements scolaires des cours de matières générales en anglo-américain.

    Ce manifeste reçoit des signatures venues de France, mais aussi des francophones du monde entier. Du pays source de la langue commune, la Francophonie attend légitimement le signal fort d’une résistance enfin consciente de l’enjeu.

    – Il est donc attendu du chef de file de l’OIF qu’il mette la politique étrangère de la France en accord avec les revendications humanistes de l’organisation, fidèle à la langue des Lumières, celle de l’égalité et du partage. À cet égard, nous déplorons l’installation au poste de secrétaire générale de l’OIF d’une personnalité rouandaise membre actif d’un régime politique détestable.

    – Il est attendu du chef de file de l’OIF qu’il défende l’usage de la langue française, non qu’il le rétrécisse. Les francophones se sont particulièrement émus de votre adoubement, lors du dernier Sommet de la Francophonie, de l’anglo-américain comme « langue d’usage » pour le monde. À en juger par le dynamisme économique d’une majeure partie de l’Afrique francophone, comme par la vitalité économique du Canada francophone, terre de créativité et de haute technologie, leur « langue d’usage » – le français – en vaudrait pourtant d’autres.

     Lors de ce Sommet, nous vous avons également entendu ceindre la langue française du titre de « langue de la création ». Conviendrait-il déjà que l’État encourageât les appellations françaises pour baptiser nouveaux produits et services créés par toute entreprise revendiquant son aide ; mieux, par toute entreprise où entrent des capitaux d’État. Or il se produit très exactement l’inverse.

    Faute d’avoir su précéder le Québec comme référence mondiale pour la défense du français, du moins sachons nous inspirer de sa pugnacité et abandonner nos comportements serviles. Il y va de notre identité nationale et de l’avenir de la Francophonie.

     Nous vous remercions de l’attention que vous voudrez bien porter à notre requête.

    Veuillez croire, Monsieur le Président de la République, à notre haute considération.

    Signataires

    Associations du collectif LANGUE FRANÇAISE

    Louis Maisonneuve et Dr Pauline Belenotti, Président et secrétaire d’Observatoire des Libertés, France. Philippe Carron et Jacques Badoux, responsables de l’antenne Suisse romande pour le collectif, Suisse. Jean-Paul Perreault, Président du Mouvement Impératif français, Montréal, Canada.

    Associations partenaires

    Philippe Reynaud et Lucien Berthet, Président et secrétaire de Défense de la Langue Française-Savoie, France. Pierrette Vachon L’Heureux, Présidente de l’Association pour le soutien et l’usage de la langue française, Québec-ville, Canada. Albert Salon, docteur d’État, ancien ambassadeur, Président d’Avenir de la langue française (ALF), Paris, France. Régis Ravat Président de l’Association Francophonie Avenir (AFRAV), Nîmes, France. Edgar Fonck, directeur de l’Association pour la Promotion de la Francophonie en Flandre, De Haan, Belgique. Alain Ripaux, Président de Francophonie Force Oblige, Appilly, France. Catalina Hadra, secrétaire générale de Dicifran (Association pour la diffusion de la Civilisation Française en Argentine), Buenos Aires, Argentine.

    Personnes privées

    Ilyes Zouari Président du Centre d’étude et de réflexion sur le monde francophone, France.Jean-Pierre Luminet, astrophysicien, directeur de recherche au CNRS, Marseille, France. Tahar Ben Jelloun, écrivain, Prix Goncourt, France, Maroc. Michel Bühler, auteur-compositeur et chanteur. Sainte- Croix, Suisse. Vladimir Fédorovski, écrivain, Neuilly, France. Rémy Pagani, Maire honoraire de la ville de Genève, Suisse. Zachary Richard,auteur-compositeur et chanteur (« Travailler c’est trop dur »), Louisiane, États Unis d’Amérique. Jean-Marie Rouart, écrivain, membre de l’Académie française, Paris, France.Jean Ziegler, homme politique, écrivain, vice-président du comité consultatif du « conseil des droits de l’homme » de l’ONU, Suisse. Pierre Perret, chanteur, Seine-et-Marne, France. Jeannie Longo, cycliste, championne olympique et du monde, Savoie, France. Boris Cyrulnik, neuro-psychiatre, Toulon, France. Guimba Konate, ingénieur, ex-conseiller au Ministère des Télécommunications du Sénégal, Sénégal. Didier Van Cauwelaert, écrivain, Prix Goncourt, France. Jacques Drillon, journaliste-écrivain, Paris, France. Lakhdar Amrani, professeur de français, Algérie. Benoit Bergeron, enseignant en biologie, Montréal, Canada. Anna Maria Campogrande, fonctionnaire européenne, président d’Athena, Association pour la défense et la promotion des langues officielles de la Communauté européenne, résident à Bruxelles, Belgique. Huguette Lemieux, interprète, Ottawa, Canada.Michel Feltin-Palas, journaliste, Paris, France Marianne Périllard, traductrice, Lausanne, Suisse. Erasmia Boutsikari, avocate, Gytheion Grèce. Agnès Rosenstiehl, auteur, illustratrice (« Mimi Cracra »), Paris, France. Ingrid Stromman, professeur de français et d’anglais, Trondheim, Norvège. François Delarue, cardiologue, Paris, France. Jean-Pierre Siméon, poète et dramaturge, directeur de la collection poésie, éditions Gallimard, Clermont-Ferrand, France. Paul Miédan-Gros, pilote de ligne, ancien Président de la du Syndicat National des Pilotes de Ligne, Santeny, France. Rosana Pasquale, professeur de français, université nationale de Lujan-Buenos Aires, Argentine. Fernand Melgar, cinéaste, Lausanne, Suisse. Yvan Lepère, journaliste, Bruxelles, Belgique. Alexandre Riblet, professeur de français, Mexico, Mexique. Angel Viñas, enseignant, ancien directeur à la Commission européenne, Bruxelles, Belgique. Miltiades Vassilatos, ingénieur, Montréal, Canada.Renato Corsetti, enseignant, Londres. Royaume Uni. Thierry Saladin, médecin, secrétaire de l’AFRAV, Montpellier, France. Paolo Monaco, expert de l’organisation internationale pour la sécurité de la navigation aérienne, Bruxelles, Belgique. Jean-Louis Carpe, professeur de philosophie, Orléans, France. Pia Sylvie Marquart, enseignante, Hurghada Égypte. Monique Phuoeng, directrice de société, Phnom Penh, Cambodge. Rodolphe Clivaz,artiste, directeur de théâtre, Lausanne, Suisse. Alain Borer, écrivain, poète, Los-Angeles (E.U.A.) et Paris, France. Olivier Belle, auteur-compositeur et chanteur, Neuilly, France. Étienne Guilloud, pasteur, Bière, Suisse. Yves Montenay, Président de l’Institut culture, économie et géopolitique, vice-président de l’ALF, France Bérénice Franca Vilardo Irlando, ex fonctionnaire du Ministère des Affaires Étrangères d’Italie, Rome, Italie. Valeria Pancrazzi, professeur de français, Tigre-Buenos Aires, Argentine. Philippe Mougel, conseiller artistique, Clermont-Ferrand, France. René Fournier, maire honoraire de Carignan, Québec, Canada. Louise Chevrier, romancière, Chambly, Québec, Canada. Micheline Khemissa, enseignante, Écublens, Suisse. Daniel Perrenoud, médecin, Lausanne, Suisse. Gérard Laurin, professeur de français, Gatineau, Québec, Canada.Ralph Stehly, professeur émérite de l’Université de Strasbourg, France. Claude Filatrault,conseiller à Hydro-Québec, Québec-ville, Canada. Françoise Carré, enseignante, Landevieille, France. Philippe Prudhomme, professeur de français, Président de l’association « Les amis de Bougainville », Papeete. Tahiti, France. Benoît Cazabon, linguiste, enseignant en biologie, co-fondateur et ex-directeur de l’Institut franco-ontarien, Vernet, Ontario, Canada. Claude Sybers, auteur littéraire, dramaturge Saly, Sénégal. Jean-Louis Brion, ingénieur, Nouvain-la-Neuve, Belgique. Veronica Gebauer, professeur de français, Université nationale de Cordoba, Argentine. Luc Charrette, pédiatre, Gatineau, Québec, Canada. Cyril R. Vergnaud, professeur de langues, Pingtung, Taiwan. Nicolae Dragulanescu, professeur d’université, Président de la Ligue de coopération culturelle et scientifique Roumanie France, Bucarest, Roumanie. Bert Schumann, ingénieur, Rennes, France. Michel Donceel, violoneux, Bertirx, Belgique. Gérard Cartier, ingénieur et auteur, L’Étang-la-Ville, France. Laurent Martin, pianiste, Vollore, France. Madana Gobalane, Président de l’association indienne des professeurs de français, Chennai, Inde. Fara Nume, professeur de français, Temara, Maroc. Alicia Santana, professeur de français, Tigre-Buenos Aires, Argentine. Jean Maisonneuve, pilote de ligne, Billom, France. Évelyne Raimbault, secrétaire, Fontenay sous Bois, France. Daniela L. Martinez, professeur de français, Buenos-Aires, Argentine. Nicolas Bitterlin, ouvrier du livre, Québec-ville, Canada. Bernard Joss, dessinateur, Lausanne, Suisse. Geneviève Despinoy, professeur d’espagnol, Agen, France. Emilie Szczukiecka,enseignante, Wroclaw Pologne. Damien Feron, photographe. Madrid, Espagne. Ines Mensi, enseignante, Tunis, Tunisie. Dominique Lambilotte, fonctionnaire de police, Bertrix, Belgique.Kader Ali Lahmar, inspecteur d’enseignement du français, Oran, Algérie. Johan Nijp, professeur de français, Groningen, Pays-Bas. Mohamed Farhat, enseignant, Joub Jenin, Liban. Nathalie Pacico, technicienne, Courcelles, Belgique. Didier Catineau, journaliste, écrivain, Plassay, France. Jean-Pierre Roy, réalisateur, Montréal, Canada. Roger Rochat, ingénieur, Cottens, Suisse. André Creusot, administrateur, Ottawa, Canada.

    Avis au lecteur: il lui est proposé ici, donc sur Agora Vox, la version initiale de ce manifeste, accompagnée de l’ensemble des signataires. Ce manifeste est paru ce jour, le dimanche 16 juin 2019, dans Le Parisien / Aujourd’hui en France mais sous une version quelque peu raccourcie du seul fait de la rédaction du quotidien.

    http://www.leparisien.fr/societe/defense-de-la-langue-francaise-100-signatures-pour-refuser-la-dictature-du-tout-anglais-16-06-2019-8094285.php

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/appel-des-100-pour-refuser-la-215939

    Pour tout contact : langue-francaise2018@laposte.net

    06 76 24 24 01

    plus Josyane JOYCE, moi-même