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Humain? - Page 120

  • Histoire de France

    Les premiers musulmans arrivèrent en France à la suite de leur conquête de l’Hispanie débutée en 711 et envahirent la Région de Toulouse et avancent leurs incursions jusqu’en Bourgogne. La Septimanie et sa capitale Narbonne furent sous souveraineté musulmane de 719 à 759.

    Un événement connu de l’histoire de France est la bataille de Poitiers, qui voit le maire du palais franc Charles Martel, appelé à la rescousse par Eudes d’Aquitaine, vaincre l’armée musulmane dirigée par Abd el Rahman, tué au cours de la bataille. Cette victoire ne marque pas pour autant la fin des raids arabes dans les royaumes francs: ceux-ci continuent jusqu’à la fin du Xe siècle. Puis vint le règne des Capétiens et de la longue lignée des rois de France…

    Au XVIII° siècle la confrontation n’est plus fondamentalement religieuse comme ça a pu être le cas auparavant. Les Lumières et la Révolution ont laïcisé le pays, l’influence de l’Église est moindre et par conséquent le but n’est pas de sauver la chrétienté de l’islam mais de sauver la civilisation occidentale de toutes ces anciennes civilisations qui n’ont pas fait l’effort de modernisation comme l’a connue la France.

    La première grande période d’immigration d’Afrique du Nord se produit de 1920 à 1924, date à laquelle la France devient l’un des tout premiers pays d’immigration au monde (les Nord-Africains présents sur le sol métropolitain représentait alors 0,3 % de la population française!).

    L’autre grande période d’immigration débute dans les années 1950 jusqu’à nos jours L’autre grande période d’immigration débute dans les années 1950

    En 1990, pour contrer la montée du Front national, le parti de droite Rassemblement pour la République débat, entre autres, sur l’" incompatibilité entre l’islam et nos lois "…

    En 2002, pour que le gouvernement puisse réguler les activités religieuses musulmanes en France, le ministère de l’Intérieur fonde le Conseil français du culte musulman (CFCM).

    L’islam n’a jamais été une religion de France et les patriotes n’accepteront jamais de reconnaitre ce système politique totalitaire qui avance sous le couvert d’une religion tant que cette dernière n’aura pas effectuer son "aggiornamento", c’est-à-dire qu’elle n’aura pas accepté officiellement la séparation de son Eglise et de l’Etat français.

    En dépit de vos anathèmes, les patriotes n’accepteront jamais de renier leur Histoire, et vu votre position ils vous invitent à rejoindre vos collègues en "Macronie" qui semblent sur la même ligne que vous.

    Patrick Verro

    https://ripostelaique.com/lislam-une-religion-francaise-valerie-pecresse-demande-un-droit-de-reponse.html

    Secte: organisation spirituelle ou politique qui régit l’intégralité des actes de la vie de ses adeptes, qui modifie en profondeur et via un dogme stricte la manière de penser et d’agir de ses adeptes, qui interdit de sortir de se dogme ou de s’en éloigner sous peine de mort ou de vengeance, qui accapare la famille, les biens et les revenus de ses adeptes… voila ce qu’est une secte…

     

  • Enfin!

    Algérie: un initiateur de la Marche des Beurs de 83, se tourne vers son pays natal " car il ne fait toujours pas bon être arabe en France"

     […] "Dans certains quartiers, des gens sont en train de se dire qu’il faut quitter la France, car cela devient de plus en plus difficile d’y vivre. Ils feront en quelque sorte l’exil à l’envers". […] Djamel Atallah n’a rien d’"un Français comme les autres " […] Avec quelques potes du quartier, pour la plupart d’origine algérienne, il a relié Marseille à Paris en passant par Strasbourg. Plus de 1.200 kilomètres pour dénoncer les violences policières, la xénophobie et dire à tous ceux qu’il a croisés au coin d’une rue: "N’ayez pas peur des jeunes de banlieue".

    En arrivant à Paris le 3 décembre 1983, la marche a été accueillie par plus de 100.000 personnes". Nous n’étions même pas une vingtaine au départ", se souvient-il. En voyant cette masse bleu, blanc, rouge à Montparnasse, il s’est dit que la France n’était pas aussi " raciste et violente " qu’il le pensait". Enfin, on m’accepte tel que je suis ", se rappelle-t-il". Je me suis tourné vers l’Algérie parce que la République m’a tourné le dos", se justifie-t-il. […]

    Il n’avait jamais rompu les liens avec sa seconde patrie: "Enfant, je passais tous mes étés au bled", raconte-t-il. La vie est plus simple sous le soleil du Sahara, plus exactement à El Oued, sa terre natale, situé à l’est du pays. A partir de l’an 2000, il multiplie les allers-retours entre les deux rives de la Méditerranée et, après la France, il veut participer à la transformation politique de l’Algérie. […]

    Le Monde

  • Une honte française

    Une honte française

    Menacée de mort, Christine Kelly reçoit de nombreux soutiens

    valeursactuelles.com

    La présentatrice affirme avoir été menacée de mort à cause de son émission “Face à l'info”, dans laquelle Eric Zemmour officie.

    Le simple fait de présenter une émission impertinente, à contre-courant d'une bien-pensance omniprésente, vaut désormais... des menaces de mort. C'est ce qu'a indiqué Christine Kelly, à la tête de Face à l'info, sur CNews, depuis la rentrée. "Qui a déjà survécu à des mois ou semaines de menaces de mort en travaillant? Merci pour vos témoignages. Ça peut aider", a-t-elle écrit sur Twitter, vendredi 29 novembre.

    "Inadmissible" pour Marlène Schiappa

    Une déclaration rapidement commentée par Marlène Schiappa, secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, également sur le réseau social.    Chère Christine, avez vous déposé plainte? C’est inadmissible cette situation et pas tenable psychologiquement, pour personne.

        —

  • Pauvres ex-musulmans!

    Ces anciens musulmans qui fustigent l’islam accusés de " flirter avec l’extrême-droite " (MàJ)

    Déjà structuré à l’étranger, le mouvement #ExMuslim émerge en France. Deux journalistes de l’Obs ont enquêté sur le sujet pour en déduire que ce courant initié par d’anciens musulmans critiques de l’islam flirte avec… l’extrême droite. Un raccourci qui interroge.

    […]

    Leur article, paru dimanche dans l’hebdomadaire, a suscité de vives réactions. De la part de Waleed Al-husseini notamment. L’écrivain a fustigé sur ses réseaux sociaux le " manque de soutien " de la part de ce " journal de gauche " aux ex-musulmans qui ont souffert lorsqu’ils ont quitté l’islam et qui sont pour la plupart encore recherchés. " C’est de pire en pire. Avant même notre rencontre, ce journaliste de l’Obs avait déjà ses conclusions en tête, et tout ce que je lui avais dit pendant l’entretien n’y a rien changé, a-t-il ajouté sur le réseau social. A chaque fois que j’ai l’espoir que cette gauche ouvre les yeux, je suis déçu encore un peu plus. Si les discours de défense des libertés et de la laïcité des ex-musulmans sonnent d’extrême droite aux oreilles de l’Obs, ce n’est pas parce qu’on a été récupérés par la fachosphère mais parce qu’on a été abandonné par le gauchosphère … "Le message a été partagé plus de 400 fois sur Twitter et plus de 1100 fois sur Facebook.

    Est-il surprenant de la part d’un journal de gauche de porter le sujet des #Exmuslim sur leur prétendue proximité avec l’extrême droite plutôt que d’envisager l’exclusion ou les menaces qu’ils reçoivent chaque jour de la part de la communauté musulmane ? " Ce qui me met en colère c’est que l’Obs suit sa ligne gauchiste et est dans une logique de collaboration intellectuelle avec l’islamisme, portant atteinte aux valeurs de la République française, s’indigne Waleed Al-husseini auprès de Valeurs actuelles. Quiconque s’écarte de cette ligne est taxé d’être dans la " fachosphère " ou de flirter avec l’extrême droite ".

    […]

    Si Waleed Al-husseini s’est réfugié en France, c’est à cause de l’islam et de l’islamisme. " C’est parce j’étais en danger " confie-t-il. […]

    Valeurs Actuelles

    24/11/19

    Venu d’Allemagne et du Royaume-Uni, le mouvement #ExMuslim " se développe en France. Ces anciens musulmans défendent leur droit à l’apostasie et à la critique de l’islam. Jusqu’à flirter avec l’extrême droite ?

    Ici, c’est une femme qui a quitté l’islam pour "Jésus" et subit depuis d’incessantes "agressions physiques et verbales". Là, une autre qui s’est détachée de la religion mais continue de porter le voile en présence de son mari. Ou une jeune lesbienne de 16 ans qui ne se sent plus musulmane et dont le père lui a " juré [qu’elle irait] en enfer " après son coming out. Ces témoignages d’anciens musulmans, " apostats de l’islam ", foisonnent sur les réseaux sociaux, souvent accompagnés du mot-clé #ExMuslim.

    Déjà structuré à l’étranger, le mouvement émerge en France mais reste méconnu, même si des figures, comme l’ex-journaliste de " Charlie Hebdo " Zineb El Rhazoui, s’en revendiquent. Le but de ces "ex-musulmans" ? Défendre la liberté de conscience et le droit à critiquer non pas seulement l’islamisme mais l’islam tout court. Même si cela leur vaut souvent, en France, d’être récupérés par l’extrême droite… […]

    Nouvel Obs

    Parait qu'en Allemagne, certains se sont convertis à une religion chrétienne car on leur a dit qu'ils obtiendraient plus facilement la nationalité allemande!

    Pauvre Jésus!

     

  • Toubib, toubib, où est-tu?

    Morts sur ordonnance?

    La situation actuelle n’est qu’une petite partie immergée d’un gigantesque iceberg. Pourquoi cette catastrophe sanitaire? Parce que certains ont cru avoir une idée de génie pour diminuer les dépenses de santé: diminuer l’offre.

    Par Gérard Maudrux.

    Je n’ai pas seulement présidé la Caisse de retraite des médecins, mais aussi la Caisse maladie des professions libérales de province, la plus grosse caisse après le régime général et la MSA, et je me suis toujours battu contre ce qui nous arrive.

    L’article que voici l’annonçait, il a été écrit il y a environ cinq ans.

    Une pénurie organisée

    La situation actuelle n’est qu’une petite partie immergée d’un gigantesque iceberg. Nous avons cinq ans pour connaitre une catastrophe sanitaire dont personne ne mesure l’ampleur.

    Des campagnes sans médecin généraliste à moins de 30 km, des villes de quelques dizaines de milliers d’habitants sans gynécologue là où il y en avait cinq, sans cardiologue, des départements sans ophtalmologiste. Les gardes ne pourront plus être assurées après des journées de 12 heures et si vous ne trouvez pas de médecin il vous restera le 15, tout aussi saturé et n’ayant rien d’autre à vous proposer.

    Ce n’est pas de la science-fiction, c’est demain. Déjà aujourd’hui, malgré plus de 10 000 médecins formés à l’étranger, des services hospitaliers et des hôpitaux entiers ferment, non par faute de moyens, mais de médecins. Sans eux, c’est l’ensemble de notre système hospitalier qui ferme, y compris les grands centres hospitaliers universitaires.

    Tout ceci a été volontairement organisé. Les responsables ne seront pas inquiétés, seuls les patients et les médecins en feront les frais.

    Sachez aussi qu’il n’existe pas de solution efficace, même en employant de grands moyens, et cela durera une dizaine d’années.

    Tout est inscrit depuis 20 ans et comme d’habitude, on gère au jour le jour, trop tard.

    Président de la Caisse de Retraite des médecins pendant 18 ans, je connaissais tous les médecins, ainsi que leur âge. Je savais à quelle date et combien prendraient leur retraite, et combien s’installaient, et tout ceci 20 à 30 ans à l’avance. Voici plus de 15 années j’alertais l’Ordre des médecins, qui depuis sort des statistiques identiques, sans que cela ne fasse bouger les autorités.

    Moins de médecins pour moins de dépenses

    Il y a plus de dix ans j’organisais une grande conférence de presse pour alerter sur le sujet, avertir que déjà avant 2000 nous passerions de 125 000 médecins libéraux à 100 000, alors que dans le même temps la population allait augmenter de 10%. Aucune réaction.

    Il y a trois ans je récidivais par un colloque avec l’Ordre des médecins, les syndicats, la Sécurité sociale et le ministère (invité mais absent). Le but était de lister les solutions. Aucun écho.

    Pourquoi cette catastrophe sanitaire?

    Parce que certains ont cru avoir une idée de génie pour diminuer les dépenses de santé: diminuer l’offre. Moins de médecins, moins de prescriptions, moins de soins et moins de dépenses.

    Comment ont-ils fait?

    En empêchant nos enfants de poursuivre des études de médecine, avec le fameux numerus clausus, passant de plus de 8500 médecins formés chaque année avant 1980 à 3500 de 1990 à 2000.

    Maintenant, chaque politique y va de sa solution: " augmentation d’un tiers du numerus clausus et ouverture de 1000 maisons de santé ". Ces gens ne connaissent rien à la démographie et feraient mieux d’écouter ceux qui savent au lieu de dire n’importe quoi pour créer d’autres problèmes déjà vécus.

    Des mesures inefficaces

     

    Pour ce qui est de l’augmentation du numerus clausus, nos données sont précises et connues: il existe un décalage de 11 ans entre les courbes du numerus clausus et celles des installations. Cette mesure sera sans effet au plus fort de la crise et la situation s’aggravera.

    Messieurs, il fallait le faire il y a 15 ans, vous êtes toujours en retard d’une guerre.

    Par ailleurs, en quoi les autres mesures, comme les primes à l’installation ou les  maisons médicales, permettraient d’augmenter le nombre de médecins?

    Vous pouvez construire des châteaux, le problème est qu’il n’y aura personne pour y loger. Les maisons médicales répondent au problème de changement de mentalité de nos jeunes confrères qui ne veulent plus être disponibles 24 heures sur 24 et 365 jours par an, mais comment trouver trois médecins là où on a du mal à en trouver un? Le résultat sera aussi de sur-doter les communes moyennes et sous-doter les petites.

    Les médecins étrangers?

    Tous les pays en manquent pour des raisons diverses et il y a le problème de la qualification. Un mauvais médecin est pire car un mauvais traitement nécessite l’intervention d’un autre praticien, et deux traitements coûtent deux fois plus! Par ailleurs, étant donné la manière dont les autorités traitent les médecins dans notre pays au lieu de les choyer, les premiers arrivés retournent chez eux, où ils gagneront moins mais vivront mieux.

    Le ministère continue d’ignorer le problème.

    Beaucoup de médecins peuvent rendre des services en exerçant des activités à temps partiel notamment des remplacements en secteur rural. Aujourd’hui un mois de remplacement engendre davantage de charges que de recettes; cela fait 15 ans que je fais des propositions sans coût pour la société, propositions toujours refusées ou ignorées par les autorités et les syndicats, qui se désintéressent du problème.

    Je prends date, il y aura des morts, car il n’existe pas de solution efficace. Les responsables sont tous les ministres et chefs de cabinet qui se sont succédé depuis 20 ans. Ne comptez pas sur eux pour trouver de bonnes solutions. Comme le disait Einstein, vous ne pouvez régler les problèmes avec ceux qui les ont créés.

    https://www.contrepoints.org/2019/11/26/358515-morts-sur-ordonnances

    Gerard MAUDRUX est chirurgien urologue. Il a aussi été durant 20 ans Président d’une des plus grosse caisse de retraite des libéraux, celle des médecins. Il est à l’origine de la transformation de la retraite de base des libéraux de trimestres en points, et d’une retraite à la carte à 62 ans pour la retraite complémentaire des médecins pour contrer les 67 ans demandés par la tutelle. Auteur également de " Retraites, le mensonge permanent " en 2000, qui a reçu le prix Turgot (catégorie grand public).

     

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