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Humain? - Page 123

  • Education

    Maurice Berger: "Non, la violence gratuite n’est pas due à la ghettoïsation"

    FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Les violences gratuites sont en augmentation constante en France. Pour le pédopsychiatre Maurice Berger, auteur d’un livre sur son expérience auprès des adolescents hyper-violents, elles sont le fruit de facteurs psychologiques et culturels.

    Maurice Berger est pédopsychiatre, psychanalyste, ex-professeur associé de psychologie de l’enfant. Il travaille en Centre Éducatif Renforcé et enseigne à l’École Nationale de la Magistrature. Il vient de publier, Sur la violence gratuite en France. Adolescents, hyper-violents, témoignages et analyses (L’Artilleur, 2019)

    FIGAROVOX.- En tant que pédopsychiatre dans un centre éducatif renforcé (CER), vous êtes confronté quotidiennement aux jeunes qui commettent des "violences gratuites". Un terme revient souvent dans le débat public, surtout récemment: jugez-vous que l’on assiste à un "ensauvagement" de la société?

    Maurice BERGER.- Toutes les deux minutes, une plainte est déposée à la police pour une violence gratuite et tout citoyen peut être confronté à une telle agression. Pour moi, l’ensauvagement, c’est lorsque la parole ne fait plus tiers, lorsqu’existe un différend même minime entre individus.

    Il y a quelques années, 85% des mineurs traduits devant la justice changeaient de comportement après leur rencontre avec l’institution judiciaire, la parole du juge. Ils ne sont plus que 65% actuellement, et c’est d’eux dont je parle ici. L’impulsivité prime, l’autre n’est plus considérée que comme un objet sur lequel décharger la tension qu’on ressent dans l’immédiateté, comme une gêne à éliminer. Ceci soulève la question de savoir quelles sont conditions nécessaires pour qu’un individu se civilise.

    En tant que médecin, j’affirme que ces comportements extrêmes sont de plus en plus fréquents et de plus en plus grave. Cette évolution n’est pas soudaine, j’en écrivais la certitude en 1992. L’attitude des gouvernements successifs a été de penser implicitement "après moi, le déluge", déluge qui est là maintenant ; et aussi de se plier à une idéologie qui définit comme "sécuritaire" et animée d’intentions électorales toute personne qui alarme sur ce sujet.

    En tant que médecin qui, depuis 40 ans, a le plus travaillé en France sur la prise en charge des enfants et adolescents violents, j’affirme que ces comportements extrêmes sont de plus en plus fréquents et de plus en plus graves. Un facteur parmi d’autres est l’impunité importante concernant la première atteinte aux personnes, que j’appelle le droit de tabassage.

    En réadaptation fonctionnelle, où je travaille aussi, je reçois des adultes qui gardent à vie des séquelles physiques ou cérébrales définitives après une agression pour un supposé mauvais regard, et dont l’agresseur mineur n’est puni que d’un sursis car il n’était pas récidiviste. La vie ou la qualité de la vie restante de la victime est ainsi démonétisée. Or c’est simple, quand on n’est pas puni, on recommence.

    FIGAROVOX - À partir de votre expérience, vous choisissez d’écrire ce livre pour dénoncer certaines idées reçues sur la violence: selon vous, l’explication par la "ghettoïsation" et la "stigmatisation" n’est pas la bonne, pourquoi?

    Lorsqu’il existe de graves dysfonctionnements familiaux, donner 3 000 euros à une famille tous les mois n’arrêtera pas, par exemple, un homme de frapper sa femme devant leurs enfants petits, maltraitance qui est souvent liée dans mes recherches à une culture intégrant l’inégalité homme-femme. 69% des adolescents très violents ont été exposés à des scènes de violences conjugales pendant les deux premières années de leur vie. Ils ont en eux l’image violente de leur père qui resurgit lorsqu’ils subissent une bousculade ou un mauvais regard. Détruire, comme frapper, est le jeu de ceux qui n’ont pas d’imagination.

    Les causes premières de la violence se situent dans la petite enfance. Les mères elles-mêmes ont souvent eu une enfance tellement désastreuse qu’elles sont incapables de sourire à leur bébé, de lui parler, de comprendre quand il a besoin d’être rassuré par un câlin. Surtout, ces parents ne jouent jamais avec leur enfant petit (les jeux vidéos ne sont pas de vrais jeux). Ces enfants n’apprennent jamais le "faire semblant", et devenus adolescents, leur pensée est pauvre, le mot qui revient le plus souvent dans mes entretiens est "normal", sans plus d’explication sur leurs actes.

    Quand on n’a pas joué à faire des accidents avec des petites voitures, ou avec des figurines de pompiers qui viennent éteindre le feu en faisant "pin pon", on ne sait jouer qu’en vrai. Un jeune m’explique "on s’ennuyait, alors on a mis le feu à un entrepôt" (coût 1.700.00 euros totalement remboursés par les assurances responsabilité civile scolaires).

    Pas de "comme si" signifie que tout mot peut être pris au sens littéral. Ces adolescents ne comprennent pas le mot "rêvasser". Quand je demande ce qu’ils feraient s’ils gagnaient un million d’euros au loto, rêverie universelle, la réponse est "votre question est bête, je n’y penserai que lorsque j’aurai le million posé devant moi".

    Dans ce contexte, détruire, comme frapper, est le jeu de ceux qui n’ont pas d’imagination. Faire venir les pompiers pour les attaquer n’est pas une révolte contre l’uniforme en général, c’est un jeu des plus sommaires, qui peut être à "mort réelle".

    Il est évident qu’avec une pensée aussi endommagée, la scolarité au collège unique est vouée à l’échec et que ces sujets ne progressent qu’avec des dispositifs qui passent par des apprentissages manuels: "Il faut me montrer pour que je comprenne". Faute d’attention et d’échanges avec leurs parents, certains jeunes que vous accompagnez ne sont même pas capables de reconnaître les émotions d’autrui…

    Un bébé ne sait qu’il sourit que s’il rencontre un sourire en miroir sur le visage du parent, il ne reconnaît ses émotions que si un adulte lui nomme ce qu’il ressent. Conséquence, certains de ces jeunes ne sont pas capables de comprendre la structure d’un visage. Les émotions qu’exprime le visage d’autrui peuvent être aussi indéchiffrables et ses mimiques sont alors interprétées comme menaçantes, donc il faut l’attaquer. Aucun des jeunes que j’ai rencontrés n’a manifesté de réel sentiment de culpabilité pour ses violences.

    Le plus grave est l’absence d’empathie, de capacité de comprendre ce que l’autre peut ressentir. Ainsi je demande à un jeune qui a mis un adulte dans le coma pour un supposé mauvais regard, pourquoi il n’a pas tué sa victime. Réponse: "parce qu’un copain m’a tiré en arrière par mon sweat". Je l’interroge sur ce que cela aurait fait à la mère de sa victime si son fils était mort. "Elle aurait été triste un moment, puis il faut passer à autre chose, ne pas s’apitoyer toute sa vie, c’est ballot. Il aurait dû mourir un jour de toute manière". Aucun des jeunes que j’ai rencontrés n’a manifesté de réel sentiment de culpabilité pour ses violences, ce qui est très déstabilisant pour les professionnels, il faut passer par d’autres voies.

    FIGAROVOX - En quoi les structures familiales sont-elles en partie responsables de l’apparition de comportements violents?

    Je demande à chaque jeune que je rencontre de me raconter son histoire, et il apparaît que dans la région où je travaille, la grande majorité de ces mineurs sont issus de l’immigration originaire du Maghreb. Ce qui m’a amené à travailler à partir des écrits de psychologues maghrébins, et les membres de l’équipe de Centres Éducatifs Renforcés, en majorité originaires eux aussi d’Afrique du Nord, m’ont aidé à comprendre. Les codes du groupe priment sur la loi extérieure.

    Les familles concernées ici, et ce n’est pas le cas de toutes les familles d’origine maghrébine en France, où prime la solidarité, ont un fonctionnement clanique, c’est un corps dont chaque individu est un membre, sous l’autorité d’un patriarche ou d’une matriarche. Si un sujet s’éloigne géographiquement, ou se met à penser différemment, le groupe se vit comme amputé d’un membre et va chercher à le récupérer.

    Alors que le but d’une famille devrait être que les parents cherchent à ce que leur enfant se construise une pensée personnelle et puisse s’éloigner d’eux pour se construire un projet personnel, dans une famille clanique le mode de pensée est indifférencié, le but n’est pas qu’un sujet pense par lui-même, son identité est d’abord d’appartenir au groupe. Ainsi 50% des jeunes admis au CER ont pour projet de vivre à l’âge adulte dans l’appartement familial ou dans le même immeuble, et quand je demande ce qui se passerait si leur épouse souhaitait un appartement avec plus d’intimité, la réponse est "elle dégage".

    Dans ce cadre indifférencié, certains parents nous déclarent avoir décidé de ne jamais dire non à leur enfant! Les conséquences de ce fonctionnement sont d’abord que les codes du groupe priment sur la loi extérieure. Et la représentation que ces jeunes ont de la relation n’est pas de personne à personne mais de groupe à groupe. Si l’un d’eux est en difficulté dans une relation, il rameute son groupe: "mes frères vont venir te tuer". Un autre demande que le stage professionnel que l’éducateur lui cherche se situe précisément dans l’arrondissement où il vit. Le terme de ghettoïsation est donc inexact, car on est enfermé dans un ghetto ; alors qu’ici au contraire, la contrainte est intérieure, auto-sécrétée, car c’est l’éloignement qui est angoissant, en pensée, ou physiquement hors du territoire.

    FIGAROVOX - En quoi la réponse judiciaire est-elle insuffisante? Comment "mettre une butée", pour reprendre votre expression?

    Le plus souvent, il n’y a pas eu d’interdit cohérent dans ces familles, mais des moments de collage alternant avec des moments de rejet.

    Ces jeunes ont besoin d’un interdit d’agir réel, d’une butée matérialisée, pour comprendre que la loi a une existence.

    Les pères sont souvent partis car pas intéressés par l’enfant. Dans ces conditions, aucune loi ne peut être intégrée, sauf celle du plus fort. Nous, nous n’avons pas besoin d’agir pour savoir que la loi existe, alors que ces sujets n’ont pas la loi dans la tête, certains me disent que les lois ne servent à rien, et ils ont besoin d’un interdit d’agir réel et non symbolique, d’une butée matérialisée, pour comprendre que la loi a une existence et arrêter de commettre des actes au moment même où cela leur vient à l’esprit.

    Nous avons du mal à comprendre qu’il faut d’abord empêcher ces sujets d’agir pour qu’ils se mettent à penser. La décision judiciaire est très souvent le seul repère qui fournit à un jeune un reflet de la gravité de ses actes. La progressivité de la sanction prive certains de ce miroir nécessaire qui leur indique ce qui est permis ou défendu, sans même parler de ce qui est bien ou mal. Et certains jeunes ne profitent du travail éducatif qu’après un passage dans un lieu de privation de liberté, privation de la liberté de frapper. La question n’est pas la prison en soi, mais la qualité de contenance et de pensée qui peut y être proposée.

    La multiplication des sursis, cette justice de la dernière chance, peut alors être pour ces sujets précisément une perte de chance. Ceci est loin d’être compris par beaucoup de responsables politiques. Et c’est souvent seulement lorsqu’une réponse judiciaire est suffisamment ferme que certaines familles sont obligées de venir s’interroger sur leurs dysfonctionnements.

    FIGAROVOX  - Jugez-vous qu’en règle générale, y compris en l’absence de drames familiaux comme ceux évoqués précédemment, cette autorité tend à diminuer?

    Oui, l’autorité diminue. Elle vise à réguler les désirs de chacun, à passer du "je" veux ça au "nous". Qu’est-ce que cela donnerait si tout le monde faisait comme moi et ne respectait pas les lois? Mais pour un parent, poser un interdit cohérent nécessite d’accepter de ne pas être aimé temporairement par son enfant, de souhaiter avoir un enfant aimable par les personnes extérieures à la famille et qui ait envie d’être un citoyen; d’être un parent capable de sortir de son confort personnel pour faire l’effort d’interdire, donc de délaisser temporairement la télévision ou son jeu vidéo, et ne pas se dire que l’école ou le club de foot fera ce travail à sa place.

    Tout ceci est d’autant plus difficile à comprendre qu’à notre époque, les interdits ne sont plus "portés" par le groupe social, beaucoup de parents ne prennent plus en compte le "qu’en-dira-t-on", le regard des autres qui souligne que "ça ne se fait pas", sorte de honte qui aidait les parents à réguler les comportements de leurs enfants. Difficile aussi à notre époque où beaucoup de médias tournent systématiquement en dérision toute tentative de rétablissement des interdits nécessaires. Pourtant il est devenu inévitable de re-légitimer un principe d’autorité très ferme à tous les niveaux (école, respect de la police, etc.) pour restructurer notre fonctionnement collectif et pour empêcher la perte de toute idée de "bien commun".

    https://www.lefigaro.fr

  • Combien Finkielkraut devra-t-il payer pour son "second degré"?

    Quel est aujourd’hui le prix du second degré incompris? On se souvient du déjà tristement célèbre "Violez, violez, violez! Je dis aux hommes: violez les femmes. D’ailleurs, je viole la mienne tous les soirs!", du philosophe Alain Finkielkraut, face à la militante féministe Caroline lors de "La Grande Confrontation" (mercredi 13 novembre, LCI).

    La séquence (quatre secondes), partagée sur les réseaux par l’organisation féministe "Nous Toutes", a été très vue et suscite depuis d’innombrables commentaires. Tandis que certains reprochent le caractère tronqué de l’extrait ou appellent à "voir l’ironie dans la phrase" de l’essayiste, d’autres s’indignent des propos tenus par ce membre de l’Académie française.

    Le CSA a d’ores et déjà été saisi – et une pétition demande son éviction de France Culture, où l’écrivain produit et présente depuis des décennies l’émission " Répliques". " Lorsqu’il prononce ces mots, à moitié en rigolant, il banalise la gravité du viol conjugal ", soutient Caroline De Haas. " Non, ironiser, ce n’est pas banaliser, se défend l’écrivain. Je réagissais par l’absurde à une accusation monstrueuse, celle d’être un violeur parce que je refuse d’assimiler certaines pratiques, comme la drague lourde ou la galanterie, à la “culture du viol”. "

    Quel sera le prix de l’ironie incomprise? Quatre députés LFI ont saisi le procureur de la République de Paris après des propos d’Alain Finkielkraut tenus sur LCI sur le viol, indiquent-ils vendredi 15 novembre dans un communiqué:

    "Mathilde Panot, députée du Val-de Marne, Danièle Obono, députée de Paris, Ugo Bernalicis, député du Nord et Bénédicte Taurine, députée de l’Ariège du groupe la France insoumise ont saisi aujourd’hui le procureur de la République de Paris sur la base de l’article 40 du code de procédure pénale, pour les propos tenus par Alain Finkielkraut le 13 novembre 2019 lors de l’émission La grande confrontation sur LCI".

    Elisabeth Badinter versus Caroline De Haas

    Ciblés, donc, les mots exacts: "Violez, violez, violez. Voilà! Je dis aux hommes: violez les femmes. D’ailleurs je viole la mienne tous les soirs… mais tous les soirs. Elle en a marre, hein, elle en a marre…". Le philosophe avait auparavant, sur le ring, fustigé "le politiquement correct", qualifié de "calvaire de la pensée". Les quatre " insoumis " "considèrent que ces propos peuvent constituer un délit aux termes de l’article 24 de la loi du 29 juillet 1881: provocation  "à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou identité de genre "".

    Le Monde (Nicolas Truong) cite la philosophe Camille Froidevaux-Metterie, qui a publié Le corps des femmes: la bataille de l’intime (Philosophie magazine éditeur, 2018). Selon elle l’attitude de l’essayiste est "un cri de panique caractéristique de ceux qui voient leur monde s’effondrer", car le système patriarcal est en train de s’écrouler.

    Plus co… qu'elle tu meurs!

    Rappelons que les propos d’Alain Finkielkraut avaient été prononcés après un vif échange sur Roman Polanski accusé de viol en 1977 par Samantha Geimer, qui avait 13 ans à l’époque des faits. Lors d’une interview à France Inter en 2015, Alain Finkielkraut avait considéré que cet acte ne pouvait être qualifié de "viol" et ne pouvait être considéré comme "pédophile", notamment parce que Samantha Geimer "était une adolescente qui posait dénudée" pour Vogue Hommes à l’époque. Sur LCI, l’écrivain a assumé cette opinion en estimant que la jeune fille "n’était pas impubère".

    Ben! les journalopes et toute la gauchiasse ne nous l'on jamais dit… vous saviez cela?

    "Je suis admiratif du féminisme historique, qui accompagna notamment l’accès des femmes à tous les métiers, explique Alain Finkielkraut. Or le néo-féminisme en est la trahison. En un mot, je préfère Elisabeth Badinter à Caroline De Haas“. BRAVO!

    On comprend qu’il ne s’agit pas, ici, de second degré. Aucun prix à payer.

    https://jeanyvesnau.com

  • Français: lis cela!

    La grande illusion, ou chronique d’un désastre annoncé

    Le Gal Antoine Martinez lors d’un passage à TV Libertés

    Rencontres de Bretagne 26 et 27 octobre 2019

    Discours prononcé le 26 octobre par le général Martinez

    Chacun s’accorde à dire que le quinquennat du Président Macron est entré dans ce que l’on pourrait appeler, dans cette comédie dramatique qui se joue dans le contexte théâtral que nous connaissons, l’acte II de son mandat.

    Et le passage à cet acte II correspond, ou plus exactement est la conséquence d’un acte I mené avec arrogance dans la conduite de sa politique, avec mépris pour les citoyens en désaccord avec lui et avec violence avec ceux qui souffrent et qui le manifestent dans la rue. Il n’a pas compris que ce comportement dans la conduite des affaires du pays, lui qui est, de son propre aveu, "le fruit d’une forme de brutalité de l’Histoire, d’une effraction", ne pouvait que conduire à l’échec.

    Comme l’un de ses prédécesseurs réélu en 2002 avec plus de 80% des voix mais qui n’avait pas compris, compte tenu des conditions de cette réélection, qu’il était en son pouvoir de nommer un gouvernement d’union nationale pour essayer au moins de rassembler la nation, le Président Macron, lui non plus, grisé par sa victoire, n’a pas compris qu’il était arrivé au pouvoir après un coup d’État institutionnel qui s’est traduit par un hold-up démocratique, après l’élimination dans les conditions que l’on sait du candidat pourtant donné vainqueur.

    Cela aurait dû l’appeler à plus d’humilité.

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  • Tellement écœurante leur débilité intellectuelle

    Comment peut-on croire qu'il faut intégrer ces salo….

    Royaume-Uni: la sorcellerie et la magie noire seraient responsables de l’augmentation des abus sur des enfants

    La sorcellerie et la magie noire seraient de plus en plus à l’origine d’abus sur des enfants, selon des données officielles d’associations de protection de l’enfance, montrant que les cas de maltraitance liés à des croyances ou convictions religieuses sont en augmentation d’un tiers par an en Angleterre, atteignant le nombre de 2.000.

    Le Lancashire, Bradford et Leeds ont enregistré le plus grand nombre de cas en 2018-2019, mais des travailleurs sociaux à travers tout le pays ont enregistré un nombre croissant d’incidents l’année précédente, dont 71 à Nottingham, 35 à Bristol et 34 à Southwark, rapporte le Guardian.

    (…)

    Les données ont également révélé que le nombre d’enfants identifiés par les services sociaux, dans le cadre d’une évaluation comme souffrant ou risquant de subir des mutilations génitales féminines, a atteint un niveau record, avec 1.000 cas de ce type en 2018-2019, en hausse de 6% par rapport à l’année précédente.

     (…)

    CNews

    Pendre ces “sorciers“ la tête en bas et  les émasculer pour éviter qu'ils ne recommencent ou ne continuent… ils pourront chanter “Manon“: on manque de castrats à l'opéra!

     

  • Un robot ménager islamophobe tue une voilée

    On ne plus faire de gâteau en France ma bonne dame, sans risquer sa vie  quand on est une "bonne" musulmane! Il va falloir envisager d’interdire les robots qui finalement se comportent comme Terminator pour les voilées!

    Quand j’ai entendu cette nouvelle, j’ai été pris d’un doute!  Faisait-il si froid chez cette dame pour justifier un foulard?

    Puis, un peu espiègle, un rien blagueur, je me suis demandé si ce ne serait pas une dame portant un voile islamique? Parce qu’en fait, les médias ne se sont pas éternisés sur la victime! On ignore son nom alors même que, si cela avait une Christine, ou une Paulette, nous aurions su toute de suite qui était cette victime! J’ai pensé à Rosette et à son meurtre! On ne sait même pas la marque du robot!  Il faut croire qu’il doit faire partie des annonceurs! Ah la magie publicitaire!

    En conséquence, mes doutes se sont raffermis!

    Puis j’ai lu un article de Bladi.net, un site marocain qui, lui, annonce dans son titre la mort d’une femme voilée en faisant un gâteau! (Source)

    Elle aurait été "happée" par son robot! J’avais vu ça une fois sur un escalator! Une voilée s’était fait "happer" par une marche en haut de l’escalator à la Défense dans le 92! Cris et hurlements! D’autres diraient "crimes et châtiments"! Bref, on était tous pliés de rire! Ce n'est pas gentil, je sais… La mise à poil n’a pas eu lieu!

    Mais poursuivons: Alors qu’une mère de famille de 58 ans faisait du gâteau avec son fils âgé de 10 ans le dimanche 10 novembre à leur domicile, situé dans le quartier de La Métare à Saint-Étienne, elle meurt étranglée par un robot multi-cuiseur.

    La première question qui m’est venue a été de me demander pourquoi cette femme, étant chez elle, portait un voile assez encombrant pour gêner son activité culinaire!

    La réponse serait que son dieu d’amour, de paix, et de tolérance lui aurait fait une misère dans l’au-delà?

    Enfin, c’est pas sérieux! C’est ce que disent des musulmans au sujet du voile islamique! Pas tous bien sûr, car je sais que toutes les musulmanes ne portent tout simplement pas le voile, d’autres, pas en permanence, pas dans leur cuisine, la salle de bains, ou aux toilettes, ni  dans la chambre… quoique! J

    Je ne sais pas finalement! Quand on voit ces femmes voilées dans la rue, qui acceptent de se transformer en Belphégor, on se dit que la bêtise n’a pas de limite!

    La deuxième question qui m’est venue, c’est pourquoi le gamin a-t-il attendu pour éteindre le robot? La panique nous dit l’article!  Paniqué, son fils a appelé les pompiers et l’équipe du Samu. Il aurait pourtant suffit de débrancher l’appareil!

    On pense à Terminator, lui au moins avait une grosse autonomie! En moins de deux, il aurait flingué tout ce qui bouge, le gamin avec! La voilée serait-elle la génitrice d’un futur résistant,  je n’ose dire patriote? Bon, je délire, ce n’est pas possible!

    Le robot est de 2019, il est multi-cuiseur et pas plus! On peut affirmer sans crainte qu’il n’a pas été formaté pour assassiner les voilées qui l’utilisent…. Cela se saurait, tout de même!

    J’en déduis que le gamin de 10 ans pour Bladi.net, de 15 ans pour les médias français, n’a pas eu la présence d’esprit de débrancher le robot.

    Il est vrai que la présence d’un esprit en musulmanie, c’est plutôt haram. On n’aime pas les esprits, surtout s’il est Saint!  Il a donc préféré téléphoner aux pompiers et au Samu pour savoir ce qu’il devait faire, tout en regardant sa mère se faire étrangler! Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a manqué sérieusement de réaction! D’autres diront qu’il avait la tête ailleurs, tandis que celle de sa mère était dans le bol du robot!

    À l’heure actuelle, personne ne sait ce qu’est devenue la préparation pour faire le gâteau…?

    Sans doute embarquée avec la dame, en même temps que le robot "tueur"!

    On ne sait pas si l’équipe du Samu a retiré le foulard de la dame?

    Ni même si le gamin simplet, par son manque de réaction, a protesté le soir venu auprès d’Allah, à la prière du soir, de n’avoir pas attendu la fin de la cuisson!  Il n’y a pas que les robots pour tuer, une gazinière peut le faire aussi! Mais là, cela aurait été plus difficile à expliquer!

    Gérard Brazon

    https://ripostelaique.com/un-robot-menager-islamophobe-tue-une-voilee.html

    A savoir que dans ces pays où on emballe les femmes, il y a recrudescence de la maladie sclérose en plaques car, ne pouvant se mettre au soleil, elles manquent de vitamine D, reconnue comme un des plus important vecteur de cette maladie immunitaire...

    A savoir aussi, qu'au Canada où le soleil n'est pas brillant, la Sep est la maladie qui frappe le plus de monde. Le gouvernement de ce pays à rendu obligatoire la prise de vitamine D durant la grossesse et jusqu'à l'âge de 8 ou 10 ans.

    Les emballeurs de gonzesse sont en train de détériorer leur capital de boniche à vitesse grand V.

    On peut être attaqué par la Sep de la naissance au 4e âge... oui, j'ai lu sur un forum qu'une dame âgée de 81 ans a été diagnostiquée sépianne!

    Le manque de soleil n'est pas le seul vecteur; il en existe 4 autres: la faute à pas de chance, le tabac (hélas, j'ai fumé 3 paquets par jour durant 20 ans) une violente émotion et une suspicion génétique (que j'ai aussi, manque de chance!).

    Moralité, ne jouez pas les Belphégor, ça augmentera vos chances!

     

  • Audiences record pour "Face à l’info"

    avec Eric Zemmour sur CNews

     […]

    Une émission animée par Christine Kelly, qui demeure encore aujourd’hui dépourvue de la moindre page de publicités, ce qui, selon "La Lettre A", aurait un impact non-négligeable sur les finances de la chaîne. Pourtant, CNews a considérablement renforcé son audience à cet horaire, passant du statut de lointain challenger à celui de leader des chaînes info, devant BFMTV et LCI.

    Hier, "Face à l’info" a d’ailleurs fait une nouvelle démonstration de force. Entre 19h et 19h56, l’émission a rassemblé 270.000 téléspectateurs, selon Médiamétrie, soit 1,4% de part d’audience. Un pic d’audience à 331.000 personnes a été observé à 19h53. Sur l’ensemble de la tranche, CNews s’est classée large leader des chaînes d’information.

    Entre 19h et 19h50, 203.000 personnes (1,1% de PDA) étaient branchées devant BFMTV et "19h Ruth Elkrief".

    Sur LCI, "24h Pujadas" pouvait compter à ce moment-là 190.000 fidèles (1,0% du public).

    Enfin, franceinfo, elle, n’a capté que 38.000 personnes (0,2% de PDA).

    […]

    OZAP