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Humain? - Page 232

  • La Peste blanche, par Charles Gave

    Après deux mois passés sous les platanes à écouter le chant des cigales, un verre de Châteauneuf du Pape à la main, un cigare à la bouche, mon ordinateur ou un livre sur les genoux, un chien à mes pieds, et mes petits enfants s’agitant dans le lointain, le temps est revenu de regagner les brumes du « Noooord » et de cesser d’être bêtement heureux.

    Tout d’abord, je veux remercier ceux qui ont répondu à mon billet « Travailler, comprendre, partager ». Il semble bien que le consensus soit que l’IDL doive se mettre à créer et éditer des vidéos, courtes, éducatives et si possible amusantes pour toucher un plus large public. Voilà qui est acquis. J’ai déjà pris un certain nombre de rendez-vous avec des lecteurs spécialistes de la chose et qui ont gentiment proposé de nous aider à mieux comprendre comment nous pourrions faire. A suivre donc…

    Plus sérieusement, je me suis interrogé sur le sujet de cette première chronique de rentrée qui souvent donne le ton à l’année qui va suivre. Devait-elle porter sur le coup d’Etat larvé contre le Président Trump, qui continue de plus belle au moment où j’écris ces lignes ? Devait- elle porter sur le terrorisme islamique qui continue à frapper à l’aveugle autour de nous ? Ou encore, me fallait-il décrire la nouvelle donne monétaire qui s’annonce avec la Chine, manœuvrant pour pouvoir payer son pétrole en monnaie chinoise et non plus en dollars, ce qui pourrait changer la face du monde ?

    Toutes réflexions faites, je me suis dit que j’allais vous parler de la plus importante nouvelle des quarante prochaines années et cette nouvelle c’est bien sur la disparition quasiment certaine de la population « Caucasienne » en Europe.

    Avant de me lancer dans cet exercice, o combien dangereux pour ma respectabilité personnelle et ma chance d’être entendu dans notre belle démocratie, je voudrais rappeler une fois encore une anecdote qui concerne Schumpeter. En 1919, Schumpeter et un ami tombent sur Max Weber dans un café à Vienne et se mettent à parler des communistes en Russie. Calmement, Schumpeter explique que le nouveau régime allait être à l’origine de dizaines de millions de mort. Max Weber, qui trouve insupportable que l’on puisse faire une prévision comme celle-là et ne rien faire pour empêcher les massacres, se met à crier de plus en plus fort. Au bout d’un certain temps de ce dialogue de sourds, Schumpeter se lève, prend son manteau et sort. Son ami le rejoint pour lui demander ce qu’il pensait de la dispute. Et Schumpeter fort calme de répondre « Je ne comprends pas qu’un homme aussi bien élevé puisse crier si fort dans un café… »

    Pas plus que Schumpeter, je n’aime ce que je vais dire. Mais la méthode scientifique consiste à publier les résultats de ses travaux, même s’ils ne sont pas en conformité avec les aprioris moraux de celui qui les a effectués. Aimer ou ne pas aimer n’a rien à voir avec l’esprit scientifique.

    Pour une fois, je ne vais pas parler d’économie mais de démographie, la beauté avec cette science humaine étant que l’on n’a pas besoin de faire des prévisions : Ceux qui sont nés aujourd’hui seront là dans trente ans et ceux qui ne sont pas nés ne seront pas là. Cela est CERTAIN.

    Dans cet article, je ferai abstraction de l’immigration nouvelle qui va continuer sans doute dans les trente ans qui viennent, et donc je ne prendrai en compte que les réalités connues aujourd’hui c’est-à-dire les naissances.

    Commençons par une petite remarque anecdotique.

    Pour la première fois dans l’histoire la quasi-totalité des dirigeants européens n’ont pas d’enfants.

    Madame Merkel, madame May, monsieur Macron, les premiers ministres Italien, Suédois, Néerlandais, Luxembourgeois, Irlandais aucun n’a d’enfants. Seuls le Belge, qui vient de remplacer le précédent premier ministre Belge (sans enfant) et l’Espagnol en ont deux chacun…

    Ma première remarque est que je ne peux pas m’empêcher de penser que celui qui n’a pas d’enfant n’a pas la même notion du futur que celui qui en a eu. Pour celui qui n’a pas d’enfants, le futur s’arrête sans doute à la prochaine élection ou à sa mort. Après moi, le déluge…

    Continuons.

    En Allemagne, 30 % des femmes de plus 45 ans et 40 % de celles qui ont eu des diplômes universitaires sont sans enfants et le taux de fécondité (nombre d’enfants par femme) des populations locales hors immigrants est d’environ 1.4. La situation est la même en Italie, en Espagne, en Grèce au Benelux…

    Ainsi, en Italie ou en Grèce, 100 grands-parents ont en moyenne 42 petits enfants, offrant ainsi l’exemple même d’une pyramide démographique inversée reposant non pas sur la base mais sur la pointe. Et tout le monde sait que si l’on met une pyramide sur la pointe, elle a une fâcheuse tendance à se casser la figure.

    Ce qui m’amène à ma deuxième remarque : les grands parents et les parents ont émis une dette étatique gigantesque lorsqu’ils étaient cent. S’imaginer que leurs petits enfants seront capables de rembourser cette dette alors même qu’ils ne seront plus que 42 relève de l’optimisme le plus béat, à mon humble avis.

    Poussons plus loin : ces 100 grands-parents sont tous logés, et parfois fort bien. Penser que l’immobilier va monter quand il n’y aura que 42 acheteurs pour 100 vendeurs est une idée intéressante mais dont j’ai du mal à comprendre la logique. Et c’est tout aussi vrai des voitures, des frigidaires, des chambres d’hôtel, des places de professeurs ou d’obstétriciens, ou que sais-je encore…

    Venons-en maintenant aux calculs actuariels.

    Imaginons que dans un pays les femmes liées à la population de « souche » aient en moyenne 1.3 ou 1.4 enfant/ femme tandis que la population d’origine immigrée (ce qui veut dire en Europe : musulmane) ait un taux de fécondité de 3.4 à 4 enfants par femme.

    Postulons qui plus est que cette population nouvelle ne représente que 10 % de la population totale…

    Chacun va penser que « bien du temps » va se passer avant que la majorité ne bascule en direction de la population immigrée et que d’ici là tous ces enfants feront comme dans la chanson « et tout cela ça fait d’excellents Français », après être passés par notre remarquable système éducatif.

    Tout dépend en fait de ce que l’on recouvre par la formule « bien du temps ».

    En fait, et si l’on retient mes hypothèses, le basculement se produira au bout de trente à quarante ans. Dans quarante ans, il y aura autant de petits enfants issus des 90 % que de petits enfants issus des 10 %…  Et à ce moment-là, la majorité de la population française deviendra inéluctablement « d’origine musulmane ».

    Je ne dis pas que cela sera mal, ou que cela sera bien. Je dis simplement que cela sera fort différent et que nécessairement cela aura de l’influence sur le système politique.

    Et donc, dans quarante ans au plus tard, il est à peu près certain que la majorité de la population sera d’origine musulmane, en Autriche, en Allemagne, en Espagne, en Italie, en Belgique, en Hollande.  Encore une fois, il ne s’agit pas de prédictions mais de calculs et je ne fais même pas appel à l’arrivée de nouveaux immigrants.

    Je ne verrai pas ce basculement, mais mes enfants le verront sans doute et certainement mes petits-enfants. Ce qui est arrivée à l’Espagne ou à l’Asie mineure au X et XI eme siècle va arriver à l’Europe au XXI eme siècle, c’est une certitude.

    Quelques exemples : A Anvers, la majorité des enfants dans les classes du primaire aujourd’hui sont musulmans. C’est donc dire que dans 15 ans, la majorité des nouveaux entrants sur le marché du travail sera musulmane.

    A Bruxelles, la capitale de l’Europe, 25 % des nouvelles naissances sont musulmanes, au pays de Galles, en Ecosse le nom le plus populaire à la naissance est Mohamed, et ainsi de suite.

    Venons-en à notre pays.

    Nos élites se congratulent tous les jours au prétexte que notre taux de fécondité par femme en France serait d’environ 2 enfants par femme, assurant ainsi le remplacement des générations, ce qui est une très bonne chose. Cependant, et pour des raisons que je n’ai pas à expliquer, il est interdit en France de recenser les différentes populations en fonction de leurs croyances religieuses et donc nul ne sait quel est le taux de fertilité des femmes françaises « arrivées récemment », comme il est convenu de les appeler. Habitant une partie de l’année dans la région d’Avignon et allant fréquemment pour des raisons professionnelles à Roubaix, à Toulouse ou dans l’Est de Paris, j’ai du mal à croire que nous ne soyons pas déjà à 10 % de citoyens d’origine musulmane, et que ces 10 % auraient une fécondité par femme de seulement 1.4.

    La réalité est probablement que nous en sommes déjà à 90 % de la population ayant un taux de fécondité des femmes de 1. 4, comme partout ailleurs en Europe et que les 10 % restantes (non françaises de souche) doivent être à 4 ou à 5 enfants par femme (ce que je peux constater dans les zones commerciales autour d’Avignon), ce qui nous amène aux alentours de 1.8 pour le taux de fécondité « nationale ».  (1,4*0.9+4*10).

    Nous serions dans ce cas dans la même situation que nos voisins, la seule différence étant que nous aurions plus d’immigrés et/ou que ces immigrés auraient plus d’enfants. Et donc, le basculement arriverait plus tôt chez nous que chez eux.

    Une possibilité existe pour atténuer ce phénomène : que 10 % des jeunes femmes françaises depuis longtemps et en âge d’avoir des enfants décident, sans que personne ne comprenne pourquoi un peu comme leurs grands-mères à partir de 1942, d’avoir quatre, cinq, six enfants, ce qui maintiendrait l’équilibre des populations.

    J’en vois quelques signes ici ou là dans les milieux très Catholiques…

    Conclusion

    Les hommes politiques vivent dans un présent perpétuel et essayent de vendre à leurs électeurs l’idée qu’ils sont capables d’arrêter le temps, que tout le monde restera toujours jeune et que ce présent si agréable durera toujours, un peu comme dans la chanson « Plus d’un million d’années, et toujours en été ».

    Monsieur Macron a fait toute sa campagne sur sa capacité ‘’magique’’ à arrêter le temps et ceux parmi nous qui vivent fort agréablement ont beaucoup aimé ce message et donc voté pour lui (les autres, une majorité, se sont abstenus ou ont voté contre).

    Mais tout enfant sait assez vite que l’été interminable qui commence fin Juin est toujours suivi de la rentrée scolaire en Septembre, où les choses se gâtent singulièrement à chaque fois, du moins si j’en crois mes souvenirs. L’été démographique Français, commencé en 1968 se termine, nous arrivons hélas à sa fin bien que les français aient voté pour que l’été dure toute l’année.  Mais on ne peut voter pour retourner au Paradis, nous en avons été chassés, et il y a bien longtemps. Comme tout un chacun le sait, en France les fins d’été sont souvent difficiles politiquement. Je crains qu’il n’en soit de même pour la fin de notre été démographique qui aura duré de 1968 à 2010 environ, soit les quarante ans habituels.

    Et il n’y aura pas d’automne, nous allons rentrer directement dans un hiver démographique qui je le crains ne sera suivi d’aucun printemps…

    Notre été sera vraiment terminé le jour où la démographie basculera, tout simplement parce que nous serons devenus minoritaires dans nos propres pays et que la majorité ne fera plus attention aux jérémiades de vieux soixante-huitards, qui seront tous à la retraite ou morts, c’est-à dire insignifiants.

    L’immense nouvelle des trente ou quarante prochaines années sera donc la disparition des populations Européennes, dont les ancêtres ont créé le monde moderne.

    Et avec ces populations disparaitront les Nations européennes si diverses et si complémentaires qui ont fait l’immense succès du vieux continent depuis cinq siècles au moins.

    Comme le disait Toynbee, les civilisations ne meurent pas assassinées, elles meurent parce qu’elles se suicident.

    Pierre Chaunu, le grand historien français disparu en 2009, fort inquiet de ce phénomène l’avait appelé la « peste blanche », par opposition à la « peste noire » qui avait décimé l’Europe au XIV eme siècle. Ce suicide, comme tout suicide est un refus de la vie. Dans le fond, l’Europe va mourir parce qu’elle a refusé la vie en privilégiant les cultures de mort.

    Ce n’est ni bien ni mal.

    C’EST.

     Cette chronique m’a été inspirée par les travaux de l’une des meilleures plumes actuelles, Mark Steyn, Canadien vivant aux USA. Je ne saurai trop recommander à ceux qui lisent l’anglais d’aller sur son site.

    https://www.steynonline.com/

    http://institutdeslibertes.org/la-peste-blanche/

  • Pas souchiens pour deux sous... mais pour CAF

    Les médias cachent presque systématiquement l’origine ethnique des délinquants et criminels (voir ici). Je tiens à rappeler que ces listes ne représentent pas tous les méfaits de France mais juste un relevé non exhaustif d’articles des presses régionales et nationales.

    31/08: (77) Un reseau de pickpockets Roumains condamné de 2 à 6 ans ferme (source)
    31/08: (35) La bagarre entre migrants mineurs vire à la tentative de meurtre (source)
    30/08: M’Jid El Guerrab frappe un responsable PS à coups de casque à Paris (source)
    30/08: (76) Mohamed, exhibitionniste Tunisien se masturbe devant 2 femmes (source)
    30/08: (75) Tensions et violence au centre de France terre d’asile de la Villette (source)
    30/08: (84) Après une bagarre avec gitans, un Maghrébin menace les policiers (source)
    29/08: (75) Des enfants Roms descendent sur les voies du métro parisien (source/vidéo)
    29/08: (67) Mohamed Bouraoui agresse une femme et trouve cela normal (source)
    29/08: (78) Un ‘déséquilibré’ blesse un policier dans la rue+crie Allahou akbar (source)
    29/08: (52) Chaumont: Il enlève une mineure pour l’emmener faire le jihad (source)
    29/08: (26) Djamel Schikhi veut envoyer 3 tchétchènes pour tuer des policiers (source)
    29/08: (46) Cahors: un homme qui rentrait de Syrie interpellé par le Raid (source)
    28/08: (63) Issoire: un ‘déséquilibré’ armé fonce sur l’entrée d’un site militaire (source)
    28/08: (73) Chambéry fait face à un afflux de migrants n’arrive plus à suivre (source)
    28/08: (75) Paris: Des centaines de nouveaux clandestins errent dans les rues (source)
    27/08: (51) Châlons: des voisins exaspérés par les nuisances d’un bar à chicha (source)
    26/08: (13) Marseille: Mohamed Mohamed sort son sexe devant un juge (source)
    26/08: (13) Un principal de Marseille témoigne de la montée de l’Islamisme (source)
    26/08: (75) Omar, vendeur à la sauvette, jette des cocktails molotov à Barbès (source)
    26/08: (24) Mimoun Boukraa: prison pour l’agression d’une serveuse enceinte (source)
    25/08: France: En un mois, 12 agressions inspirées du terrorisme Islamiste (source)
    25/08: (94) Un Afghan se jette sur une policière et veux lui voler son arme (source)
    25/08: (78) Terrorisme: 3 Marocains radicalisés à l’Islam expulsés de France (source)
    25/08: (60) Youssef, le steward Marocain entre illégalement sur le sol français (source)
    24/08: (29) Deux spectateurs font leur prière dans le couloir du cinéma (source)
    24/08: (71) Un Syrien interdit de territoire après une rixe avec un couteau (source)
    23/08: Nantes: des centaines de migrants clandestins errent dans les rues (source)
    23/08: (75) Un musulman en djellaba agresse une femme blanche à Paris (source)
    23/08: Paris/la Chapelle, la crainte de nouveaux campements de migrants (source)
    23/08: (57) Elle part en Algérie et laisse seuls ses enfants de 8 et 12 ans (source)
    22/08: (94) ‘Je vais faire comme Daech au Bataclan et comme les Kouachi’ (source)
    22/08: (66) ‘Si vous me radiez, je fais comme Merah, je vous tire dans le tas’ (source)
    22/08: (62) Plusieurs rixes impliquant 200 migrants Afghans et des Africains (source)
    22/08: (75) Le terroriste Younès Abouyaaqoub était à Paris avec 2 individus (source)
    22/08: (44) 7 clandestins Soudanais squattent la maison de deux retraités (source)
    21/08: (75) Il fonce sur la police, crie Allah Akbar en écoutant des sourates (source)
    21/08: (69) Il étrangle une femme qui fumait devant sa mosquée à Lyon IIIe (source)
    21/08: (13) Idriss.H, ‘déséquilibré’ fonce dans 2 abribus, une femme meurt (source)
    19/08: (62) Malik meurt poignardé lors d’une rixe avec des migrants Africains (source)
    18/08: (74) Il crie ‘Allah Akbar’ en quittant la salle d’audience du tribunal (source)
    16/08: (75) Des Marocains volent et se droguent quartier de la Goutte d’Or (source)
    16/08: (77) Un Nigérian tente d’étrangler sa femme avec un câble électrique (source)
    16/08: (69) Un jeune Algérien arrêté pour achats avec une carte bleue volée (source)
    16/08: (69) Trois Roumains volent pour 100 euros de bijoux: rappel à la loi (source)
    15/08: (42) Un Turc tue son ex-compagne en pleine rue a coups de couteau (source)
    11/08: (91) Mamadou Sakho, le braqueur dangereux évadé de prison arrêté (source)
    10/08: (FR) Le nombre de radicalisés a augmenté de 60 % en moins de 2 ans (source)
    10/08: (08) Un Algérien de 34 ans, interdit de séjour en France, condamné (source)
    10/08: (85) + de 250 cambriolages par des Roumains en region Vendéenne (source)
    09/08: (60) Mustapha.B, le détenu ingérable encore condamné en prison (source)
    09/08: (94) Un fiché S en djellaba menace les vigiles d’un commerce deux fois (source)
    09/08: (92) Hamou.B, Algérien clandestin, fonce sur des militaires Sentinelle (source)
    09/08: (26) Un Tunisien tue une mère de famille, plusieurs coups de couteau (source)
    08/08: (57) Des Albanais sèment la terreur dans un camp de clandestins (source)
    08/08: (83) Ayman.M donne un coup de couteau à la gorge d’un innoncent (source)
    08/08: (91) Un individu fiché S menace les policiers avec une hache aux Ulis (source)
    07/08: (42) Un homme originaire du Maghreb tue sa femme à son domicile (source)
    07/08: (59) Bagarre générale entre migrants clandetins+’jeunes’ de quartier (source)
    06/08: (50) Un Tchétchène violence avec arme+apologie d’actes terroristes (source)
    06/08: (60) Ibrahim.B: vente de crack contre un rapport sexuel sur mineure (source)
    06/08: (75) T-Eiffel: Un Africain voulait tuer un militaire au cri d’Allah Akbar (source)
    06/08: Des Africains arnaquent des Européennes célibataires et plus âgées (source)
    05/08: (33) 5 Roumains volent 50 km de câbles: 1 million d’€ de préjudice (source)`
    05/08: (77) Conflit entre Arabes: des tentes visés par des cocktails Molotov (source)
    04/08: (75) Des migrants interpellés dans des moteurs de bus à la Tour Eiffel (source)
    03/08: (69) Un lance-roquette trouvé près d’une école Coranique musulmane (source)
    03/08: (75) Des mineurs isolés Marocains, drogués et violents à Paris 18eme (source)
    03/08: (75) Le bidonville clandestin Rom de la petite-ceinture encore evacué (source)
    02/08: (59) Il hurle ‘Allah Akbar’ et mentionne qu’il va tuer tous les Français (source)
    02/08: (54) Ils lancent un pétard sur une policière en hurlant ‘Allah Akbar’ (source)
    01/08: (76) Houari agresse sa voisine octogénaire et de son petit-fils: tribunal (source)
    01/08: (69) Un boucher Antillais sort sa machette dans le train et crie ‘Daech’ (source)

     

  • Des “françaises“ beaucoup foutent la merde en Allemagne!

    beaucoup??? qui sont Françaises depuis peu, qui ne tente même pas de parler français, qui s'habillent comme des "carnavals", qui gueulent youyou à tout bout de champs, etc., etc.....

    Excédée par le comportement des " Françaises ", une piscine allemande fait appel à … l’Arabie saoudite

    Les responsables du Damenbad de Fribourg [piscine réservée depuis un siècle et demi aux femmes et aux jeunes enfants] en ont assez : parce qu’il faut faire appel continuellement à la police à cause de jeunes musulmanes, l’association [qui gère l’établissement] a une idée peu conventionnelle pour éloigner ces clientes – et les Saoudiens jouent ici un rôle clé. ‎

    Le conflit sur le règlement de la Loretto-Damenbad, vénérable piscine de Fribourg, est désamorcé, du moins provisoirement. Lancée en juin, une pétition en ligne demandant la suppression du personnel masculin s’est achevée jeudi, sans succès. […] ‎

    ‎La pétition avait causé un certain émoi dans toute l’Allemagne, parce qu’elle était dirigée contre la prétendue discrimination que subiraient les visiteuses musulmanes de la piscine.‎[…]

    Le nouveau règlement de la piscine correspond à un changement rampant du public fréquentant l’unique piscine pour femmes d’Allemagne. C’est ainsi que, depuis l’été 2016, des femmes musulmanes arrivent par bus entiers depuis l’Alsace. Elles ont choisi Fribourg comme nouvelle destination, car la piscine pour femmes de Bâle " Fraueli " a rendu plus sévère son règlement à cause des Françaises. Comme précédemment à Bâle, il y a eu également à Fribourg des querelles parmi les femmes musulmanes. […] il a fallu faire appel de plus en plus souvent à la police pour des bagarres.‎

    ‎Dans le journal ‎‎"Badische Zeitung"‎‎, on pouvait lire que " de jeunes Françaises d’origine maghrébine se faisaient fâcheusement remarquer" et se disputaient avec d’autres En raison de ces conflits persistants, on craint à l’association pour l’avenir de la piscine . […]. Et on a finalement eu l’idée de s’adresser par écrit à l’ambassade ‎‎d’Arabie saoudite‎‎ à Berlin.‎

     "Comme il apparaît qu’il existe manifestement un très fort besoin d’une piscine réservée aux femmes chez les femmes musulmanes venant d’Alsace, l’association a suggéré dans sa lettre à l’ambassade du Royaume d’Arabie saoudite que ce pays fournisse des fonds pour la construction d’une piscine pour femmes en Alsace", peut-on lire dans le communiqué de l’association fribourgeoise.‎

    Die Welt

     

  • Les nouveaux autodafés de l'Histoire de France… non, mais, quelles conne…..es on nous fait ingurgiter!

    COUPONS LA TÊTE AUX COUPEURS DE TÊTE!!!! Dehors, sales c..... uniquement avides de nos allocs!

    Eux, ils n'ont pour histoire que des tentes dans le désert, des cabanes en tôles, des youyous, des cases, des os dans le nez, des noires à plateaux, de l'excision et de l'esclavage MODERNE.... oui, l'esclavage existe toujours dans certains pays africains; il faut le dire!

    Alors, leurs leçons d'histoire... dans la raie! Oui, je suis grossière, mais on laisse de plus en plus faire, de plus en plus grignotter notre espace public.

    Moi, j'aime l'Histoire de mon pays.... et, dehors, ceux qui ne l'aiment pas... je ne vais pas donner des leçons chez eux.... pourquoi je supporterais en entendre chez moi?????

     

    "Qui arrêtera les grands épurateurs de l'Histoire?"

    Par  Bérénice Levet

    FIGAROVOX/TRIBUNE - À la suite de la polémique sur la statue déboulonnée du général Lee à Charlottesville, les demandes de réécriture de l'Histoire se multiplient. Pour la philosophe, ces exigences trahissent une démesure consistant à réécrire le passé avec nos grilles du présent.

    Bérénice Levet est docteur en philosophie et professeur de philosophie au Centre Sèvres. Son dernier livre Le crépuscule des idoles progressistes, a été publié chez Stock en février 2017.

    Mardi dernier, le 28, se saisissant de la condamnation unanime par les médias français des événements de Charlottesville déclenchés par la décision de la municipalité de destituer la statue du ségrégationniste Général Lee, et la dénonciation non moins unanime du racisme persistant des Américains, de l'attitude des "suprémacistes blancs", le très prévisible président du Conseil Représentation des Associations noires de France (Cran), Louis-Georges Tin, publiait dans Libération une tribune intitulée "Vos héros sont parfois nos bourreaux" - précisons que la nuance n'est pas de Tin lui-même ; pour lui, il n'y a pas de "parfois": "Vos héros sont nos bourreaux", écrit-il.

    Dans cette tribune, il somme le peuple français de procéder à son examen de conscience, de prendre acte de sa propre complaisance envers "les négriers", et réclame des édiles une vaste politique d'épuration urbaine: débaptiser les noms de rues, déboulonner les statues et, parmi les cibles visées par le militant, un nom se détache, nullement choisi au hasard tant la charge symbolique est forte, celui d'une des grandes figures de l'histoire de France: le nom de Colbert. "Lequel des deux pays est le plus problématique, feint de s'interroger Tin, celui où il y a un conflit autour de la statue d'un général esclavagiste, ou celui où il y a l'Assemblée nationale une statue de Colbert, une salle Colbert, une aile Colbert au ministère de l'Économie, des lycées Colbert, des dizaines de rues ou d'avenue Colbert sans qu'il y ait le moindre conflit, la moindre gêne, le moindre embarras?"

    S'attaquer aux statues est un geste hautement significatif. Une ville est sédimentée historiquement et les statues sont les incarnations de ces couches successives qui la composent

    Souvenons-nous de l'Abbé Grégoire et de sa grande croisade contre le vandalisme (mot qu'il forgea) révolutionnaire, qu'il interprétait comme une volonté de "ramener le peuple à l'ignorance en détruisant les monuments des arts". Une ville est sédimentée historiquement et les statues sont les incarnations de ces couches successives qui la composent. Une ville se raconte au travers de ses statues. Celles-ci sont riches d'une double épaisseur temporelle: elles renvoient au siècle de la personne statufiée - témoins d'un temps passé, elles sont les marqueurs de la continuité historique d'une nation - mais aussi à l'époque où elles ont été érigées. (Je renvoie sur cette question aux précieux travaux de Maurice Agulhon).

    Ces grands démolisseurs ignorent les racines affectives de ces monuments. "Ces mois derniers, racontait le philosophe Ortega y Gasset dans sa préface à la Révolte des masses destinée aux lecteurs français, tout en traînant ma solitude par les rues de Paris, je découvrais qu'en vérité je ne connaissais personne dans la grande ville, personne sauf les statues (…) N'ayant personne à qui parler, c'est avec elles que je m'entretins". Et chacun de nous fait au moins l'expérience de ces itinéraires urbains jalonnés par la présence de ces grands hommes, écrivains, monarques, révolutionnaires, qui ont fait la France.

    Ces exigences de réécriture de l'histoire se sont multipliées au cours de ces dernières années. En décembre 2015, le Rijksmuseum d'Amsterdam s'engageait dans une vaste opération intitulée "Ajustements au sujet des terminologies colonialistes". Vingt-trois termes figurant sur les cartels des œuvres accrochées aux cimaises du musée, pouvant être jugés "offensants" par les visiteurs, avaient été retenus afin de leur trouver des substituts politiquement corrects: Maure, nègre, esclave, sauvage, hottentot, nain, mahométan. La même année, un Américain de trente-trois attaquait le Metropolitan Museum of Art de New York en justice pour racisme. Il accusait l'institution muséale de n'exposer que des œuvres figurant des Christs de type "arien", des Christs à la peau claire et aux cheveux blonds, provoquant du même coup, chez lui "un sentiment de rejet". Quatre toiles l'offensaient particulièrement, dont une du Tintoret et une autre du Pérugin. Il en exigeait impérieusement le décrochage.

    Cette année, en Martinique, à l'occasion du 23 août, décrété par l'Unesco journée international de la mémoire de l'esclavage et de son abolition, une manifestation à l'initiative du MIR (Mouvement International pour les Réparations) a été organisée afin d'obtenir la destitution de la statue de Joséphine de Beauharnais, sur la place de la Savane. Les militants ont brûlé sur la statue le drapeau aux serpents, emblème très controversé de la Martinique puisque ce pavillon figurait à l'époque sur les navires négriers. D'autres manifestations et revendications de cet ordre ont été récemment rappelées par Mathieu Bock-Côté (Le Figaro, 30 août 2017). Il faudrait également regarder du côté des féministes non moins résolues à reconfigurer l'espace public.

    Politique de reconnaissance importée

    Comment en sommes-nous arrivés là? Plusieurs facteurs y ont contribué et se conjuguent.

    Nous sommes la proie d'une hydre à plusieurs têtes. Effets délétères partout dans le monde, mais plus encore en France tant cet esprit est contraire à notre histoire. L'avènement d'une mémoire pénitentielle et l'importation d'une idéologie et d'une politique de reconnaissance des identités venue des pays anglo-saxons, l'exaltation du droit à la différence avec la création de SOS Racisme par la gauche mitterrandienne en 1984 ont eu raison de la conception française de la République et de sa passion du monde commun.

    Le retrait de la nation, de l'histoire nationale comme principe d'identification a laissé le champ libre à l'affirmation identitaire, aux revendications de chacune des communautés et à l'émiettement du corps national. Un individu ne se satisfait pas longtemps de demeurer sans identité, il se tourne alors vers les plus avenants, les seuls offrants. Une identité de victime, autorisant la haine de la France et de l'Occident, semble un joyeux écrin.

    Le retrait de la nation, de l'histoire nationale comme principe d'identification a laissé le champ libre à l'émiettement du corps national.

    Ces phénomènes témoignent du rapport extrêmement épineux que nous entretenons avec le passé. Nous ne savons plus comment l'appréhender. Le passé appelle des héritiers, car il aspire à être continué, maintenu vivant et enrichi, or, il semble bien qu'il doive se contenter de touristes ou de juges, qui sont souvent les mêmes. L'hubris, la démesure d'un présent qui se voudrait entièrement fondateur, nous domine. L'homme ne veut plus se concevoir comme un héritier, avec ce que cela engage de responsabilité. L'histoire singulière dans laquelle nous entrons nous est confiée et il nous appartient d'en répondre. "Naître, disait Marcel Hénaff, c'est être en dette".

    La passion judiciaire nous habite et le passé ne nous apparaît plus que comme coupable de part en part et indigne d'être continué. Nous sommes devenus inaccessibles à la grandeur du passé, à sa noblesse, à sa puissance d'inspiration, à ses trésors. Dans la novlangue des années 1960-1970, fabriquer des héritiers signifie ipso facto se rendre coupable de collaboration en permettant à une civilisation de se prolonger. La passion de la repentance, l'ivresse pénitentielle, sur lesquelles tout a été écrit, nous habitent.

    Incarcérés dans la prison du présent

    Un point me semble devoir cependant être ajouté, plus rarement souligné. Incarcérés dans la prison du présent, nous sommes devenus incapables de nous extraire de nos catégories de pensée et de jugement - sexisme, racisme, colonialisme, machisme, dominants/dominés et nous revisiterons l'histoire avec pour seule pierre de touche cette indigente grille de lecture. L'inconnu est ramené au connu, l'étrangeté qui marque de son sceau des modalités de pensée et de vie venues d'autres rives temporelles, reconduites à du familier.

     

    Les programmes d'histoire et de littérature sont infestés par l'idéologie contemporaine et l'élève appréhende le passé avec les lunettes du présent.

    Un mal redoutable nous affecte: nous sommes devenus incapables de suspendre nos évidences, de mettre entre parenthèses nos préjugés d'hommes démocratiques, égalitaristes. Incapables, autrement dit, de "nous dépayser dans un sens autre" (Paul Ricoeur) et d'atteindre à la complexité de réalités essentiellement distinctes des nôtres - et le plus grave est que l'école elle-même ne se fait plus le lieu de l'apprentissage de cette faculté, de cet art. Les programmes d'histoire et de littérature sont infestés par l'idéologie contemporaine et l'élève appréhende le passé avec les lunettes du présent, encouragé à distribuer les bons et mauvais points.

    Ainsi de Colbert, cette immense figure de l'histoire de France, qui a permis à notre pays d'accéder à une grandeur jusqu'alors inégalée, Louis-Georges Tin ne sait et ne veut savoir qu'une chose: qu'il fut l' "auteur du code noir" - formule approximative car si Colbert fut à l'initiative du code noir, il n'en fut pas le rédacteur, mais ne demanderons pas à Tin de s'embarrasser de ce qui n'est assurément à ses yeux qu'un détail - et le fondateur de la Compagnie des Indes Occidentales.

    Qu'on ne nous accuse pas de nier la réalité de l'esclavage et la rigueur de cette juridiction. Nous n'ignorons nullement que le Code noir "en vigueur jusqu'en 1848, fut l'un des outils de l'inhumanité du système esclavagiste. Il en demeure l'un des symboles" (Olivier Grenouilleau) mais l'histoire de la France ne s'y réduit pas. Ce que s'obstinent à nier les Tin et consorts pour qui la colonisation est l'essence même de la France. Et dans cette intrigue des plus rudimentaires, les rôles sont aisés à distribuer: nous sommes les bourreaux et eux, les victimes.

    Il est évident que l'établissement des faits, la connaissance historique n'intéressent pas ces militants. L'objectif de ces carabiniers n'est pas le savoir, l'instruction, mais la comparution: ils veulent une France à terre, une France qui batte sa coulpe. La haine, le ressentiment - passion vile des hommes démocratiques, disait Nietzsche - les dévorent.

    L'objectif de ces carabiniers n'est pas le savoir, l'instruction, mais la comparution: ils veulent une France à terre, une France qui batte sa coulpe.

    Lecture infantilisante de l'histoire

    Cette lecture en blanc et en noir de l'histoire pourrait être dénoncée comme de l'infantilisme, ce qu'elle est assurément - l'adulte, l'homme qui a accédé à l'âge de la majorité, l'homme éclairé est censé savoir que l'histoire est un tissu de complexités - mais ce serait insuffisant car elle est d'une redoutable efficacité, elle séduit et est diffusée, relayée par des esprits qui ont largement dépassé l'âge infantile.

    Nos élites intellectuelles, culturelles, politiques en sont les grandes instigatrices. Ainsi, mardi 28, dès 7h30, avant même de s'être rendu à son kiosque à journaux, l'auditeur de la Matinale de France-inter savait, grâce à son animateur Nicolas Demorand (éditorial accessible en ligne sur le site de la radio), qu'il était ce jour-là un sermon à ne pas manquer et à gravement médité, publié dans le quotidien Libération, la tribune de Louis-Georges Tin. "Examen de conscience nécessaire, donc, de ce côté de l'Atlantique", concluait le journaliste sur un ton solennel mais non moins enjoué, le ton de celui qui se sait appartenir au camp du bien.

    On aurait tort de traiter par le mépris, avec un haussement d'épaules et un sourire au coin des lèvres, ces manifestations et revendications.

    C'est la raison pour laquelle on aurait tort de traiter par le mépris, avec un haussement d'épaules et un sourire au coin des lèvres, ces manifestations et revendications. Comment ces grands épurateurs de notre histoire, de notre passé, ne trouveraient-ils pas audience auprès de nos politiques hantés par l'idée d'être suspects de complicité avec les "péchés", quand ce ne sont pas les "crimes", de la France (colonialisme, sexisme etc.)? Imaginons un instant, Anne Hidalgo, lisant la tribune de Tin: Comment l'exhortation à traquer la moindre trace des "négriers" dont la ville perpétuerait le souvenir, et en conséquence, à débaptiser les rues, les établissements scolaires, déboulonner les statues pécheresses, ne trouverait-elle une oreille des plus bienveillantes auprès de la maire de Paris engagée dans cette vaste opération d'ingénierie urbaine et sociétale, éloquemment intitulée "Réinventer Paris" (entendre régénérer le peuple parisien)? Une ville nettoyée de ces vieilleries au nom de la lutte contre le racisme et l'esclavagisme…Que rêver de mieux!

    Il nous faut être extrêmement vigilants, car les revendications communautaristes sont un tonneau des Danaïdes et nos élites font montre d'une véritable soumission.

    Cette focalisation sur le passé offre l'avantage de se détourner de l'urgence du présent, de se dispenser de juger ici et maintenant. Ainsi la France mérite-t-elle toute leur haine, quand les terroristes islamistes à l'inverse, serinent-ils après chaque nouvel attentat, ne l'auront pas.

    http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2017/09/01/31003-20170901ARTFIG00265-berenice-levet-qui-arretera-les-grands-epurateurs-de-l-histoire.php

  • En retard…..

    Je suis un peu en retard pour mettre des articles; il faut dire que depuis plus d'une semaine, je refais mon site de tisanes, thés, huiles de beauté, gélules, huiles essentielles…. le catalogue du fournisseur a entièrement changé et vous n'imaginez pas le travail que cela me cause.

    En attendant, voici une petite recette à cuisiner avec ou sans huiles essentielles; mais, bien sûr, vous les trouvez sur mon site!

    Tout les prix sont valables… sauf pour les gélules, j'ai encore du travail… mais, je les améliore chaque jour et d'ici trois à quatre jours, vous pourrez en commander…

    C'est un site spécifique pour les SEP… mais, vous trouverez des tas de renseignements pour votre santé ou celle de vos proches.

     

     

     

    Poêlée de légumes d'hiver et divers!

    Pour 6 personnes pour 4 personnes

    Chou romanesco: 600 g; Champignon de Paris : 250 g

    Châtaigne (marrons cuits à la vapeur, nature) : 150 g; Noix (entière) : une dizaine soit 150 g de cerneaux; Echalote : 3;  2 cuillères à soupe d'huile d'olive; 1 cuillère à soupe de bon vinaigre rouge; 1 branche de thym –possible thym au citron; Vous remplacez le thym citron par 2 gouttes d'HE de thym rouge et 4 gouttes d'HE de citron; 1/3 cuillère à café de mélange 5 baies et sel.

    Coupez les branches du chou romanesco, et faites les cuire à l’autocuiseur 4 minutes lorsque la soupape est sous pression.

    Pendant ce temps, lavez les champignons si nécessaire ou coupez les pieds terreux, puis les couper en lamelles, et faites les revenir et rissoler dans une poêle avec une cuillère d’huile d’olive.

    Peler et détailler les échalotes finement, puis ajoutez- les aux champignons. Laissez cuire avec les champignons une dizaine de minutes à feu moyen. Décortiquez les noix et les hacher grossièrement. Coupez grossièrement les châtaignes cuites et épluchées, puis les réserver. Lorsque les champignons sont cuits, ajoutez les branches de chou, les noix et les châtaignes avec la dernière cuillère d’huile d’olive.

    Ajoutez alors le vinaigre, le mélange 5 baies, le sel et le thym citron. Bien mélanger, et laisser 1 minute sur le feu pour que l’assaisonnement s’homogénéise

    Pour ajouter un peu de force au thym, il est possible de le faire griller 1 minute au four à 180°C ou dans une poêle contenant une cuillère d'huile très chaude.

    Vous pouvez utiliser des pois gourmands à la place du chou romanesco ou tout autre chou: fleur, brocolis...

  • Dans quelque pays qu'elle soit, la gauchiasse est toujours aussi con!

    Le touriste, le salafiste et le Catalan

    Par François d'Orcival

    Valeurs actuelles

    Les Catalans avaient rempli les rues de Barcelone aux cris de “Touristes dehors, bienvenue aux réfugiés!”. Les djihadistes leur ont répondu par la terreur.

    L’histoire nous réserve souvent de tragiques rapprochements. À l’heure même où la fourgonnette des djihadistes fonçait sur la foule des Ramblas de Barcelone, le jeudi 17 août, un millier de manifestants défilaient dans le centre historique de Saint-Sébastien aux cris de "Tourists go home!". Ainsi, quand les djihadistes chassaient les touristes par la terreur au coeur de la Catalogne, des Basques d’ultragauche manifestaient contre les mêmes, dénoncés comme une "plaie du capitalisme"…

    Le samedi 18 février, la maire de Barcelone, Ada Colau, fidèle à ses engagements altermondialistes, avait pris les devants : elle avait demandé à ses électeurs de "remplir les rues" pour crier "volem acollir" en catalan — "nous voulons accueillir des réfugiés". Ce que les plus radicaux traduisaient par ce double slogan, en anglais cette fois: "Tourists go home, refugees welcome". Et l’on a pu voir, badigeonné sur un mur, ce slogan définitif à l’endroit des touristes: "You are the terrorists! "Un amalgame qui ne manquait pas de sel à lire les arguments des auteurs: " Ce n’est pas du tourisme, c’est une invasion!": "L’Espagne est pleine": "Nos ressources sont limitées": "Ils saccagent notre environnement"…

    Le problème est que la Catalogne aux bras ouverts est devenue, au fil des années, un nid de salafistes. Et pour cause: le salafiste ne se voit pas, ne boit pas, ne cause pas, il est gentil, serviable, pieux, bon voisin, comme le rapportent les témoins. La maison où s’était réfugié le groupe qui préparait le massacre de Barcelone était remplie de 120 bonbonnes de gaz: personne n’avait rien vu venir. Le touriste, lui, se remarque, en short, tongs et casquette: il se déplace avec son argent, ses habitudes et ses horaires: il boit et fume, mais ne fait que passer.

    Le salafiste n’appartient même pas à une minorité visible, le port de la barbe n’étant plus un signe distinctif depuis que les Occidentaux l’ont adopté: et le Coran lui permet d’être imberbe si nécessaire. Mais, à la différence du touriste, il est venu pour conquérir les âmes. Il a sa maison, veut des enfants nombreux, introduit ses traditions, voile ses filles et ses femmes, propage sa religion, crée sa mosquée et son école coranique.

    Le Catalan redoute le touriste mais voisine avec le salafiste sans rien savoir de lui et, un matin, celui-ci s’en va, avec armes et bagages, accomplir la mission qu’Allah (depuis la Syrie, l’Irak ou l’Afghanistan) lui a désignée. "Ce n’est pas l’islamophobie qui entraîne le terrorisme, dit l’essayiste Pascal Bruckner dans un lumineux entretien au Figaro (19 août), mais le terrorisme qui rend l’islam haïssable et pénalise les musulmans modérés. " Qui accuserait la Catalogne d’islamophobie?

    Il n’y a pas de capitale plus accueillante et moins préparée à la vigilance que Barcelone, au contraire des Israéliens qui sont sur leurs gardes dès leur naissance (voyez notre rencontre avec Aliza Bin-Noun, page 90). C’est pourtant bien elle que les terroristes salafistes ont choisie pour cible à une heure où ils comptaient coucher au sol plus de touristes encore que d’Espagnols catalans. Ils " nous frappent, insiste Bruckner, non pour ce que nous faisons, mais parce que nous sommes " — à cause de notre existence même.

    La Catalogne a ceci de commun avec les Molenbeek de Belgique que ses salafistes sont marocains. C’est parmi eux que se sont recrutés les terroristes du 17 août. Marocains et espagnols, regardés comme binationaux par le droit espagnol, tandis que pour le Maroc on ne peut être que marocain. L’Espagne devrait saisir l’occasion pour extrader au Maroc ses suspects de djihadisme. Les services antiterroristes marocains, les mieux informés sur nos réseaux salafistes, sauraient quoi en faire. Il est vrai que les policiers catalans n’ont pas molli: sur les douze membres identifiés du commando, ils en ont abattu huit.