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Humain? - Page 83

  • Macron dictateur: la superbe démonstration de Michel Onfray

    Nous aurons donc demain la composition du gouvernement Macron-Castex. Le nouveau Premier ministre, homme de droite, probablement franc-maçon, a annoncé l’ouverture de quatre grands chantiers, dont celui des retraites. Il prédit une rentrée sociale douloureuse pour les Français. Mais curieusement, aucun mot sur l’immigration, et encore moins sur l’islamisation du pays. Donc, on peut penser que cela va continuer de plus belle. Bien sûr, certains farceurs s’amusent à imaginer à quoi pourrait ressembler le prochain gouvernement Macron…

    Les Français, depuis le début de cette année 2020, auront donc subi les grèves dues à la réforme des retraites, un confinement à la chinoise, test pour mesurer la docilité de nos compatriotes devant des mesures liberticides, des entreprises stupidement fermées dans des régions non touchées, la dégradation continue de nos églises et de nos crucifix, la mascarade des " Black Lives Matter", où des Noirs racistes, soutenus par toutes les gauches et les islamistes, se permettent de jouer les victimes et de réécrire l’Histoire, tout en menant une véritable guerre culturelle contre notre pays, avec la complicité de ce régime.

    Puis ils ont appris que 150 abrutis, tirés au sort, allaient décider de la politique énergétique des prochaines décennies, mettant au rencart le nucléaire, et promouvant encore davantage les éoliennes. Et bien sûr, dans la foulée, pour le plus grand plaisir de Macron et sa bande, les Verts ont pris des grandes villes comme Marseille, Lyon, Bordeaux et Strasbourg, avec l’obscurantisme qui va aller avec.

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  • Quel bonheur de vivre libre loin de l’islam!

    L’ex-musulmane Najat Kasler a partagé avec ses lecteurs arabophones le récit de sa libération de l’islam dans un témoignage publié le 21 juillet 2012 sur le site ahewar.org. En commémoration de son souvenir, nous publions aujourd’hui en français ce dernier témoignage qu’elle a laissé en arabe avant sa disparition forcée ou délibérée.

    Depuis l’apostasie de Najat Kasler, moult contestataires venant de l’islam l’ont félicitée pour son courage et sa lucidité. En même temps, des musulmans présumés modérés et d’autres fanatiques ainsi que des gardiens du temple de l’islam l’ont menacée, insultée, maudite et persécutée pour son crime d’apostasie. C’est malheureusement le rituel classique que tout apostat en islam se trouve condamné à subir tout au long de sa vie, s’il n’est pas liquidé sur le tas. C’est la loi d’une pseudo-religion qui cherche à s’imposer comme "religion d’amour, de tolérance et de paix" (RATP) et qui prétend à sa révélation par un dieu qui se qualifie de "clément et miséricordieux .

    "Je voudrais décrire avec sincérité et fidélité mon expérience sur ma libération de l’islam. En effet, j’ai vécu de longues années dans la tourmente dans cette religion, à cause de son dieu Allah et de son prophète autoproclamé, avant que la délivrance ne survienne.

    Autrefois, pour satisfaire cet Allah, je faisais beaucoup de sacrifices. J’appliquais à la lettre ses préceptes avec conviction et fermeté. Je jeûnais et je priais conformément aux règles de la charia. En même temps, je m’efforçais de ne jamais offenser quiconque, de faire du bien aux humains, aux animaux, aux plantes et même à tout ce qui est figé dans la nature. Je m’efforçais tout particulièrement à ne scandaliser personne et à être aimable avec tout le monde.

    Ce périple était cependant terrible, puisque à chaque fois que je cherchais auprès d’un musulman des réponses convaincantes aux controverses ahurissantes que je trouvais en islam et dans le Coran, les réponses fournies m’irritaient et m’exacerbaient davantage. Suite à ce parcours parsemé de chocs et de contrechocs, j’ai enfin fini par tout comprendre. J’ai réussi à me libérer de la secte islamique avec un grand soulagement.

    Je voudrais évoquer ici l’une des multiples raisons qui m’ont conduite à prendre cette décision. À un moment où le scepticisme me tourmentait, j’avais besoin d’aide, de conseils et d’éclairage lors d’une visite de mon pays d’origine, car je suis une migrante et je vivais à l’étranger. On m’a conseillé d’aller consulter et discuter avec un cheikh, dit imam, et présumé grand érudit. Il semble que c’était un personnage bien connu. Même des gens riches dans la région et des expatriés vont souvent le consulter.

    Personnellement, je figurais sur la liste des expatriés qui visitaient pendant les vacances le pays de leurs parents et de leurs ancêtres. C’est grâce à l’une des épouses d’un grand fortuné dans notre commune, une connaissance de mes parents, que j’ai pu avoir accès au domicile du " vénérable cheikh " en question, croyant pouvoir obtenir davantage de bénédictions de sa part, puiser de son savoir et profiter de ses conseils. Si je n’étais pas recommandée par cette riche dame bien vue dans le milieu de la haute société locale, je n’aurais pas pu aller le voir. Habituée des lieux, cette dame avait libre accès chez lui. Elle venait régulièrement le consulter pour différentes raisons et "l’arroser", bien entendu, en conséquence.

    En arrivant chez lui, une de ses filles m’a reçue. Dès le premier contact, elle m’a donné l’impression qu’elle était fort dépressive à cause de l’autoritarisme hégémonique de son père. Puis, j’ai rencontré son épouse qui souffrait également de la même pathologie. Enfin, j’ai vu dans un état effrayant et déplorable les domestiques qui travaillaient dans cette grande demeure de 5 h du matin à 1 h du lendemain, presque sans interruption.

    Je me souviens toujours de cet homme qui m’a reçue avec d’autres visiteurs. Il était assis, recroquevillé sur un divan. Il nous a demandé de nous assoir par terre face à lui, avant de commencer à nous parler avec un air hautain et un langage purement raciste. En effet, j’ai vite compris que c’était un homme arrogant, orgueilleux, pédant et surtout obèse. Il se prenait pour une haute référence en islam ou pour un grand potentat en matière de religion. Effectivement, il était un potentat, mais en matière de tartufferie.

    Ce "vénérable cheikh" se vantait également de sa grande hospitalité devant ses riches visiteurs comme devant les citoyens qui retournent de l’étranger pour un court séjour dans leur pays d’origine. En effet, sa générosité n’était pas totalement anodine, car les riches visiteurs devaient payer cher le fait de s’approcher de lui et de solliciter la présumée bénédiction de ce potentat religieux.

    Avant de me retirer de cette petite assemblée, sa fille m’a demandé si j’avais une question à poser à son père. Déjà profondément irritée par son discours comme par son regard suspect et inquisiteur fixé sur moi, je suis restée coite avant de la remercier et de quitter promptement les lieux. Au lieu de bénéficier de ses conseils, j’étais stupéfaite du discours de ce présumé homme de religion.

    Durant presque trois mois après cette triste rencontre, je n’ai pas cessé de pleurer, notamment sur ma condition d’être humain. J’ai regretté les années perdues de ma vie durant lesquelles je m’efforçais de trouver une lueur de bonté dans cet islam corrompu de l’intérieur et de chercher un aspect humain dans le comportement vicieux des gardiens du temple de cette secte.

    Si j’avais autrefois respecté les préceptes de l’islam, c’était pour une seule raison, car mes parents, nés musulmans, étaient par nature d’une grande bonté. Ils ne connaissaient rien aux affres de leur religion, mais ils ignoraient, hélas, qu’ils adoraient instinctivement des utopies. Ils croyaient que l’islam était l’antithèse de ce qu’il est. Comme la plupart des musulmans, ils étaient convaincus que les maux de l’islam étaient des vertus divines qui devraient leur procurer une vie tranquille et idéale dans ce monde comme dans l’autre.

    Le comportement de mes parents me semblait normal, car, vu leur instruction limitée, ils n’ont eu la chance de connaître de l’islam que ce que les chouyoukh [pluriel de cheikh] leur racontaient. Ils n’avaient pas accès, comme de nos jours, à d’autres sources d’information. Ils ne savaient absolument pas que ces chouyoukh sont des charlatans, des vendeurs de vent et qu’ils n’ont pas d’autre choix que de défendre d’une manière désespérée leur entreprise ou plutôt leur fonds de commerce pour se constituer des fortunes exorbitantes au nom d’Allah. Quant à leurs armes d’action et de défense, elles ne sont rien d’autres que la manipulation, l’imposture et la duperie au nom de ce même Allah. Leur souci est centré sur des biens purement terrestres, notamment bien manger, bien boire, se loger très confortablement, collecter de l’argent et forniquer, si possible, avec des gamines et des garçons. C’est tout.

    Celui qui gagne ainsi son pain quotidien bénéficie d’une demeure luxueuse et génère des fortunes, seulement en rabâchant les hérésies de l’islam 24 heures sur 24, n’arrêtera jamais l’exercice de cette fonction. Au contraire, il s’y attèle de toutes ses forces et n’y renoncera jamais.

    Pour consolider leur pouvoir, ils se comportent comme des démons. Ils décrètent des fatwas pour se débarrasser de leurs détracteurs ou de ceux qui les contestent. Ils voyagent partout dans le monde. Ils squattent les plateaux des chaînes de télévision pour débattre avec les différentes stars de l’audiovisuel et du cinéma et les diffament en public. Ils les accusent de diverses abominations aberrantes, uniquement pour acquérir du prestige et de célébrité.

    Oui, j’ai enfin bien compris que l’islam est une religion vicieuse et abominable.

    Elle accorde à ceux qui vendent ses hérésies le pouvoir de dominer les autres pour réaliser leurs ambitions. Alors ils se moquent des simples musulmans. Ils leur radotent des affirmations préjudiciables, qu’ils sont au service d’un dieu doté d’une superpuissance… Ils s’identifient à lui et considèrent qu’en dehors de lui et des gardiens de son temple il n’y aura pas de salut pour les croyants mais uniquement l’enfer.

    En réalité, la majorité des musulmans se trouve, hélas, engouffrée dans un sommeil profond mais aussi dans la lâcheté. Ils croient mener une vie vertueuse, alors qu’ils commettent les choses les plus vicieuses. Un musulman se vante d’être né avec un noble caractère grâce à l’islam. En revanche, dès qu’on s’approche de lui, qu’on le fréquente et qu’on évoque avec lui une question religieuse sensible, on découvre qu’il est pire que tous ceux qui n’ont pas encore été touchés par le virus mortifère de l’islam.

    Rares sont les musulmans qui osent s’interroger sur l’authenticité du discours d’un cheikh à la télévision ou du prêche d’un imam à la mosquée. N’avons-nous pas le droit de nous interroger sur tant de choses dans cette croyance dans laquelle nous sommes nés?

    Est-ce que c’est vraiment Allah qui se promène dans un véhicule luxueux lorsque le cheikh ou l’imam l’achète avec l’argent de zakat [" aumône légale ", 3e pilier de l’islam] et se vante que c’est un don d’Allah?

    Est-ce que c’est vraiment Allah qui habite dans une villa ou un palais luxueux ou c’est le cheikh qui en profite seul?

    Est-ce que c’est vraiment Allah qui épouse les jeunes filles que les chouyoukh de 50, 60, 70 et même de 80 ans cherchent à épouser? [Le cas du cheikh Al-Qaradawi qui, à 82 ans, s’est lâché en 2016 sur son ex-épouse, une jeune étudiante algérienne, en est l’exemple type.

    https://www.algeriepatriotique.com/2016/06/29/al-qaradawi-se-lache…

    Est-ce que c’est Allah qui profite du prestige et de la gloire lorsque les chouyoukh vantent sa religion à la télévision?

    Est-ce que c’est Allah qui voyage par avion en première classe pour faire du tourisme en Europe, en Asie et en Amérique, en ébouriffant ses plumes comme un paon afin d’afficher sa religion?

    Certes, le musulman n’a ni l’honnêteté, ni la probité, ni le courage de s’interroger, ni de discuter de ce qui est dit dans les livres sacrés de l’islam.

    Sinon, pourquoi ne demande-t-il pas à son Allah de quelle manière il a pu profiter du cuissage de Mahomet avec Aïcha, une gamine de six ans? S’est-il vraiment réjoui avec Mahomet lorsqu’il a consommé son mariage avec elle à l’âge de 9 ans?

    Quelle est cette ordure de père de Aïcha, dit Abu Bakr, qui a sacrifié sa fillette sous prétexte de se rapprocher de Mahomet et de bénéficier également de la satisfaction de son Allah?

    Comment cet Allah crée-t-il les gens et les nourrit-il, et en même temps ordonne à Mahomet de les attaquer de façon honteuse, de faire couler leur sang et de capturer leurs filles et leurs femmes?

    Comment Allah, ce présumé dieu, pouvait-il faire tout cela? Pourquoi ne les a-t-il pas tués lui-même? Est-ce qu’il était si faiblard et lâche et avait-il effectivement besoin de Mahomet pour commettre ces crimes à sa place?

    Cet Allah de Mahomet n’était-il pas, s’il existait, un malade mental pour s’adonner à ce sale jeu?

    Même si nous supposons que Mahomet avait raison, pourquoi son Allah, dit omnipotent, n’a-t-il pas transformé ses ennemis en amis sans avoir besoin de l’effusion de leur sang, ni de la captivité de leurs femmes et de leurs filles?

    Quel bénéfice cet Allah a-t-il tiré de tous les crimes commis par Mahomet en son nom?

    Et dans quelle mesure Mahomet en a-t-il lui aussi profité? Chaque fois que je me pose ce genre de questions, la colère et l’exaspération m’embrasent contre Mahomet et sa marionnette Allah. Tous les griefs de Mahomet gravitaient autour de ses intérêts mondains et matériels. Tout était purement centré sur l’argent, le butin, les conquêtes militaires, les invasions, le pouvoir de dominer les autres et les plaisirs de la chair.

    Mahomet s’est attribué tout ce qu’il pouvait, en se servant d’Allah, de son épée, de ceux qu’il a asservis comme de ceux qui l’ont suivi. Il a alors commis les crimes les plus abominables et s’en vantait. Il s’est servi de son Allah comme outil, alors qu’il était l’acteur principal et le grand bénéficiaire.

    Oui, je savoure maintenant l’euphorie de ma libération de l’islam et de mon réveil, quoique tardif, de la dormition des musulmans. J’ai définitivement renoncé à suivre Mahomet et ses enseignements. Je ne veux plus entendre parler de ses actes, ni de ses paroles, ni de sa secte. Cette libération m’a donné le bonheur de vivre".

    [Najat Kasler a réussi, après ce témoignage poignant, à échapper aux pièges de ses guetteurs. Il semble qu’elle mène depuis une nouvelle vie loin des yeux de ses détracteurs et persécuteurs qui cherchaient à lui appliquer la peine de l’apostasie.]

    Maurice SALIBA

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    D'autres abandonnistes

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    Un commentaire de lecteur

    Lisez donc le coran, mais plume en main!

    Relevez tous les versets qui vous choquent, par thème:

    Versets assassins: tuez les tous

    Versets misogynes: la femme est un champ à labourer à loisir

    Versets scientifiques: la terre est plate comme un tapis, surmontée de sept strates de cieux

    Versets sadiques: du cuivre fondu à boire et des herbes sèches à manger pour les mécréants

    etc.

  • Je n’aurais jamais imaginé que notre civilisation puisse tomber aussi bas

    Je me demande sincèrement si l’Occident a encore un avenir en ce bas monde et surtout si des peuples aussi avachis que les Américains et les Européens ont encore envie de vivre.

    Je n’aurais jamais imaginé qu’une civilisation qui a quasiment tout inventé du monde moderne, qui a rayonné sur tous les continents et civilisé des contrées entières soumises à la barbarie, je n’aurais jamais pensé que cette civilisation occidentale puisse tomber un jour aussi bas dans la repentance, la haine de soi et l’autoflagellation permanente.

    Ces sanglots sans fin sont tout simplement pitoyables et dépassent l’entendement, alors que la barbarie que nous avions éradiquée partout dans le monde est de retour dans certains pays d’Afrique et  au Moyen-Orient, où  l’État islamique a fait la démonstration de sa suprématie absolue en termes de sauvagerie et d’atrocités en tous genres.

    Nous devrions être fiers de ce que nous sommes et de ce que nos anciens ont bâti, alors que nous avons honte de nous-mêmes, de nos ancêtres et de notre Histoire.

    Être blanc est devenu au mieux une tare, au pire un crime qu’il faudra expier jusqu’à la fin des temps.

    Depuis longtemps, les "Y a bon Banania" du célèbre tirailleur sénégalais ont disparu des rayons. Les gâteaux "tête de nègre" ont quitté les vitrines des pâtissiers.

    "Tintin au Congo" n’amuse plus nos multi-culturalistes et donneurs de leçons.

    On démolit les statues, on réécrit l’Histoire. On ne demande plus aux historiens de rechercher la vérité mais de culpabiliser l’homme blanc. Et gare à ceux qui s’opposent  à cette soif de repentance. Ils jouent avec leur carrière et avec leur avenir.

    Mais pour ce qui est de la surenchère dans les marques d’allégeance et de soumission à la dictature du politiquement correct, cela relève presque de l’hôpital psychiatrique!

    Jugez plutôt:

    C’est  L’Oréal qui supprime toute référence au mot "blanc" dans ses produits, considérant sans doute que cette couleur dépeint le summum de l’infamie!

    C’est  le New York Times qui s’engage dorénavant à écrire le mot "Noir" avec une majuscule et le mot "blanc" avec une minuscule. L’usage du mot  "blanc" est apparemment devenu le symbole de la honte.

    Mais tout cela n’est rien, tant le délire antiraciste entend frapper toujours plus fort, sombrant dans un ridicule sans limite, qui, s’il tuait, ferait une hécatombe.

    Chez toutes les marques commerciales, on fait la chasse aux pubs ou aux logos politiquement incorrects.

    On ne verra plus de lessive qui lave "plus blanc que blanc" , cette pub que Coluche avait transformée en un sketch savoureux.

    On nous parle de "dentifrice qui rend les dents moins moches", car les dents moins "jaunes", cela peut susciter une polémique.

    Une flopée de films présentent des scènes inavouables, véritables abominations racistes. Même L’inspecteur  Harry, ou Forest Gump, ou Indiana Jones ne passent pas l’obstacle.

    Les westerns ne font qu’étaler un sordide racisme anti-Amérindiens. Et pas certain que l’appellation "Peaux-rouges" soit permise par les Fouquier-Tinville du tribunal de la pensée.

    Comme le suggère le Figmag, "Blanche Neige et les sept nains" pourrait devenir "Privilégiée Neige et les sept personnes de petite taille".

    Tant il est vrai que le fait d’être un Blanc est un insupportable privilège d’un autre âge.

    Il faut donc s’attendre au pire.

    Il faut débaptiser le "mont Blanc" pour "mont des neiges".

    Et de grâce, ne parlons plus de "blanc d’œuf" ou de "blanc cassé".

    Plus question de commander un "petit blanc" au comptoir  ou de hisser le "drapeau blanc".

    Et que dire de "l’ours blanc" ou du "rhinocéros blanc", les très mal nommés?

    C’est tout simplement hallucinant.

    Alors que la France est en train de s’effondrer, que la dislocation de la nation est imminente et que la fracture identitaire va tout emporter, des illuminés s’imaginent qu’on peut combattre le discours indigéniste et anticolonial en changeant quelques pubs et en rayant le mot "blanc" du vocabulaire.

    Difficile de faire plus sidérant au nom de la diversité heureuse!

    Oui, vraiment, l’Occident est mûr pour l’échafaud.

    C'est ici:

  • A méditer

     

    Les jours viennent où les hommes vont devenir fous; et quand ils rencontreront un homme qui a gardé ses esprits, ils se lèveront contre lui en disant; "tu es fou parce que tu n'es pas comme nous"

    (Saint Antoine l'Egyptien , 251-356)

  • La force intérieure dure toute la vie

    Aix-en-Provence : une femme de 108 ans a guéri du coronavirus après 35 jours d'hospitalisation

    Depuis quelques jours, Rose Gaudin est devenue la fierté du centre Roger Duquesne, un Ehpahd situé à Aix-en-Provence. La raison? La centenaire, âgée de 108 ans, n’a fait qu’une bouchée du coronavirus!

    Le 20 avril dernier, la résidente de l’Ehpad a été testée positive au coronavirus. La vieille dame a directement été conduite au troisième étage de l’établissement, dans lequel se trouve l’unité Covid.

    Son hospitalisation a provoqué l’inquiétude de Liliane, sa fille âgée de 87 ans: "Quand le médecin m'a prévenue qu'elle était malade, j'étais un peu inquiète bien sûr, avec tout ce que l'on voyait aux informations, confie sa fille âgée de 87 ans. Ça m'a choquée de savoir qu'elle avait attrapé le virus parce que je savais qu'il y avait des tas de morts. Et vu son âge…".

    " Les symptômes n'étaient pas très graves"

    Toutefois, Liliane était persuadée que sa mère allait se battre contre le virus: "Elle est forte, j'étais sûre qu'elle résisterait!".

    Fort heureusement, Rose a contracté la maladie sous une forme légère. En effet, la centenaire n’a pas souffert de problèmes respiratoires ou de complications liées au virus :

    " Les symptômes n'étaient pas très graves. Elle a eu de la fièvre, une grosse fatigue, mais pas de problèmes respiratoires. Les équipes du centre me donnaient des nouvelles. J'ai su que maman ne mangeait pas beaucoup, seulement au petit-déjeuner. Ça ne m'étonne pas, de toute façon elle a toujours fait ce qu'elle a voulu. Elle peut être dure. Mais vous savez, elle n'a pas eu une vie toujours très gaie, elle a perdu sa mère quand elle avait neuf ans", explique sa fille à nos confrères de la Provence.

    Après 35 jours d’hospitalisation, Rose est désormais complètement guérie, pour le plus grand bonheur de sa famille. La centenaire a pu regagner ses appartements, au premier étage de la maison de retraite.

    Il y a quelques jours, elle a reçu la visite de sa fille et de son petit-fils: "Ça faisait trois mois que je ne l'avais pas vue. Je pensais qu'elle serait plus affaiblie", indique Liliane.

    D’après cette dernière, sa mère a toujours été en très bonne santé grâce à la soupe de légumes que son père lui préparait lorsqu’elle était enfant:

    "Elle vous dirait: ' c'est ce qui m'a sauvée'! Maman n'a jamais été opérée, n'a jamais eu la grippe, elle n'a pas de diabète ni de cholestérol. Le cœur, ça va. Elle est simplement devenue sourde", explique sa fille.

    Pour le personnel de la maison de retraite, Rose est une véritable force de la nature:" Elle est tellement forte!", confie l'animatrice de l'Ehpad.

    " Jusqu'à l'an dernier, elle descendait toute seule en déambulateur jusqu'au jardin. On lui disait qu'elle allait trop vite, mais elle nous répondait: 'Je vais pas me calmer à mon âge!' Elle m'a toujours dit: '“e suis un roc!", raconte Nicole, la coiffeuse.

    Avant d’ajouter "Et si aucun créneau n'était disponible, elle faisait semblant de ne pas entendre et elle restait pour que m'occupe d’elle".

  • Trop, c'est trop..

    Aller lire ces infos… Si je reportais les articles, vous ne pourriez me croire…

     

    C'est ici: