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Humain? - Page 87

  • 2e Tribune complète des militaires d'active

    Monsieur le Président de la République,

    Mesdames et Messieurs les ministres, parlementaires, officiers généraux, en vos grades et qualités,

    On ne chante plus le septième couplet de la Marseillaise, dit “couplet des enfants”. Il est pourtant riche d’enseignements. Laissons-lui le soin de nous les prodiguer:

     

        “Nous entrerons dans la carrière quand nos aînés n’y seront plus. Nous y trouverons leur poussière, et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre que de partager leur cercueil, nous aurons le sublime orgueil de les venger ou de les suivre”

     

    Nos aînés, ce sont des combattants qui ont mérité qu’on les respecte. Ce sont par exemple les vieux soldats dont vous avez piétiné l’honneur ces dernières semaines. Ce sont ces milliers de serviteurs de la France, signataires d’une tribune de simple bon sens, des soldats qui ont donné leurs plus belles années pour défendre notre liberté, obéissant à vos ordres, pour faire vos guerres ou mettre en œuvre vos restrictions budgétaires, que vous avez salis alors que le peuple de France les soutenait.

    Ces gens qui ont lutté contre tous les ennemis de la France, vous les avez traités de factieux alors que leur seul tort est d’aimer leur pays et de pleurer sa visible déchéance.

    Dans ces conditions, c’est à nous, qui somme récemment entrés dans la carrière, d’entrer dans l’arène pour avoir simplement l’honneur d’y dire la vérité.

    Nous sommes de ce que les journaux ont nommé “la génération du feu”. Hommes et femmes, militaires en activité, de toutes les armées et de tous les grades, de toutes les sensibilités, nous aimons notre pays. Ce sont nos seuls titres de gloire. Et si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire.

    Afghanistan, Mali, Centrafrique ou ailleurs, un certain nombre d’entre nous ont connu le feu ennemi. Certains y ont laissé des camarades. Ils ont offert leur peau pour détruire l’islamisme auquel vous faites des concessions sur notre sol.

    Presque tous, nous avons connu l’opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les banlieues abandonnées, les accommodements avec la délinquance. Nous avons subi les tentatives d’instrumentalisation de plusieurs communautés religieuses, pour qui la France ne signifie rien -rien qu’un objet de sarcasmes, de mépris voire de haine.

    Nous avons défilé le 14 juillet. Et cette foule bienveillante et diverse, qui nous acclamait parce que nous en sommes l’émanation, on nous a demandé de nous en méfier pendant des mois, en nous interdisant de circuler en uniforme, en faisant de nous des victimes en puissance, sur un sol que nous sommes pourtant capables de défendre.

    Oui, nos aînés ont raison sur le fond de leur texte, dans sa totalité. Nous voyons la violence dans nos villes et villages. Nous voyons le communautarisme s’installer dans l’espace public, dans le débat public. Nous voyons la haine de la France et de son histoire devenir la norme.

    Ce n’est peut-être pas à des militaires de dire cela, arguerez-vous. Bien au contraire: parce que nous sommes apolitiques dans nos appréciations de situation, c’est un constat professionnel que nous livrons. Car cette déchéance, nous l’avons vue dans bien des pays en crise. Elle précède l’effondrement. Elle annonce le chaos et la violence, et contrairement à ce que vous affirmez ici où là, ce chaos et cette violence ne viendront pas d’un “pronunciamento militaire” mais d’une insurrection civile.

    Pour ergoter sur la forme de la tribune de nos aînés au lieu de reconnaître l’évidence de leurs constats, il faut être bien lâche. Pour invoquer un devoir de réserve mal interprété dans le but de faire taire des citoyens français, il faut être bien fourbe. Pour encourager les cadres dirigeants de l’armée à prendre position et à s’exposer, avant de les sanctionner rageusement dès qu’ils écrivent autre chose que des récits de batailles, il faut être bien pervers.

    Lâcheté, fourberie, perversion: telle n’est pas notre vision de la hiérarchie.

    L’armée est au contraire, par excellence, le lieu où l’on se parle vrai parce que l’on engage sa vie. C’est cette confiance en l’institution militaire que nous appelons de nos vœux.

    Oui, si une guerre civile éclate, l’armée maintiendra l’ordre sur son propre sol, parce qu’on le lui demandera. C’est même la définition de la guerre civile. Personne ne peut vouloir une situation aussi terrible, nos aînés pas plus que nous, mais oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement.

    Le cri d’alarme de nos Anciens renvoie enfin à de plus lointains échos. Nos aînés, ce sont les résistants de 1940, que, bien souvent, des gens comme vous traitaient de factieux, et qui ont continué le combat pendant que les légalistes, transis de peur, misaient déjà sur les concessions avec le mal pour limiter les dégâts ; ce sont les poilus de 14, qui mouraient pour quelques mètres de terre, alors que vous abandonnez, sans réagir, des quartiers entiers de notre pays à la loi du plus fort; ce sont tous les morts, célèbres ou anonymes, tombés au front ou après une vie de service.

    Tous nos aînés, ceux qui ont fait de notre pays ce qu’il est, qui ont dessiné son territoire, défendu sa culture, donné ou reçu des ordres dans sa langue, ont-ils combattu pour que vous laissiez la France devenir un Etat failli, qui remplace son impuissance régalienne de plus en plus patente par une tyrannie brutale contre ceux de ses serviteurs qui veulent encore l’avertir?

    Agissez, Mesdames et Messieurs. Il ne s’agit pas, cette fois,  d’émotion sur commande, de formules toutes faites ou de médiatisation. Il ne s’agit pas de prolonger vos mandats ou d’en conquérir d’autres. Il s’agit de la survie de notre pays, de votre pays.

    Première Tribune: " Pour un retour de l’honneur de nos gouvernants ": 20 généraux appellent Macron à défendre le patriotisme

        Tribune des militaires: le chef d’État-major des armées souhaite la "mise à la retraite d’office" des signataires en activité, soit 18 soldats, qui passeront devant un "conseil supérieur militaire" (MàJ) – https://t.co/rW4cNyRge6 pic.twitter.com/TZabi4InpG

        — Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) April 28, 2021

     

  • Le maire est en congés paternité!

    J'en pleurerai si je n'étais pas morte de rire

    Lyon : les rodéos continuent, mais le maire est en congés paternité

    Rodéos: le foutoir continue à Lyon. Mais Doucet prend ses 11 jours de paternité. Quel homme, quel géant!

        Acte 3 , vous allez intervenir quand bordel @Gregorydoucet @PoliceNat69 @Gendarmerie_069 @GDarmanin , vous attendez un drame

    source

  • Pauvre princesse!

    Etats-Unis: la "cancel culture" s’attaque à Blanche-Neige pour le baiser, jugé "non consenti", du prince charmant

    Et la princesse ne se réveilla jamais de son sommeil éternel… Dernière cible des défenseurs de la "cancel culture", Blanche-Neige et les sept nains, le conte des frères Grimm (1812), fait, au nom d’un progressisme échevelé, l’objet d’une critique au vitriol dans la presse américaine. Alors que les parcs Disney rouvrent leurs portes aux États-Unis, un article crée la polémique autour de la scène du baiser, jugé "non consenti".

    Deux critiques du SF Gate, édition en ligne du San Francisco Chronicle, l’un des quotidiens les plus importants de Californie, pointent, dans un article paru le 1er mai, ce qui relève pour elles d’" un problème majeur". Et ce n’est pas le dessein morbide de la reine – quatre tentatives d’assassinat à l’endroit de la princesse – qui les interpelle. Mais la scène finale du conte, celle du baiser.

    À l’origine du sacrilège: une visite au parc Disneyland d’Anaheim, en Californie, rouvert vendredi 30 avril, après 400 jours de fermeture en raison de la crise sanitaire. Et un tour malheureux des chroniqueuses dans l’attraction adaptée du conte, à laquelle a tout juste été ajoutée la scène du " grand final ", nommée " True love’s kiss " (" Baiser d’amour ").  […]

    Le Point

     

    Princesse, il ne vous a pas demandé votre avis, ça alors! Les harceleurs de rue non plus? Ah mais non mais ce n'est pas pareil, pas pareil du tout! Combien de fois faut-il vous le dire?

     

    Perso: je trouve le dessin animé en lui-même le plus beau de Disney. Pour moi, les nouveaux dessins animés en 3D sont horribles: ça leur fait une tête “carrée“!

  • Soutien à Génération Identitaire

    Avant de râler, lisez le nom du quotidien qui a publié cela!

    Génération identitaire conteste sa dissolution devant le Conseil d’État, la représentante du ministère de l’Intérieur leur reproche notamment le slogan “on les accueille, ils nous égorgent”

    Le groupuscule d’extrême droite Génération identitaire (GI) a contesté vendredi devant le Conseil d’État sa dissolution décrétée en mars par le gouvernement, en rejetant l’idée qu’il incite à la haine en liant systématiquement immigration et insécurité. Lors de l’audience en référé, l’avocat de GI Me Pierre Robillot a estimé que l’association ne faisait qu’" interpeller " sur des questions d’actualité, dans la lignée des débats publics sur ces sujets. " Pour Génération identitaire, tout immigré est une personne violente en puissance et susceptible de passer à l’acte. Il y a un lien automatique entre violence, immigration et insécurité ", a au contraire accusé Pascale Léglise, la directrice adjointe des affaires juridiques au ministère de l’Intérieur, lors de l’audience.

    En appui, elle a cité différents slogans du groupuscule d’extrême droite, égrenés au long de leurs neuf années d’existence: "Quand tu sors de chez toi, tu n’es plus en sécurit ",  la racaille peut frappe ",  on les accueille, ils nous égorgent", " immigration, invasion". "Face à l’insécurité, la racaille et l’islamisation: protège ton peuple!", écrivait aussi l’association sur Twitter.

    (…) En réaction, Génération identitaire a déposé un recours auprès du Conseil d’État pour " xcès de pouvoir" ainsi qu’un référé-suspension (procédure d’urgence) dans le but de suspendre la dissolution de l’association, le temps que le Conseil d’État statue sur le fond.

    (…) La représentante du ministère de l’Intérieur a au contraire fait valoir qu’" essentialiser ces personnes uniquement sur leurs origines, c’est stigmatiser cette origine et en faire une des causes de l’insécurité".

    "Cet amalgame sans nuance est de notre point de vue très dangereux, d’autant plus aujourd’hui avec la fracture de la société sur ces questions-là ", a poursuivi Pascale Léglise.

    (…) Le Point

    Bernard Tapie a dit: "On les accueille, on les défend et ils nous défoncent la gueule !"

    Quel raciste celui là...

     

  • Vivent les nanas!

    29 avril 1945.

    Les femmes votent pour la première fois en France à l’occasion des élections municipales. Ce premier scrutin est la manifestation concrète de l’ordonnance du 21 avril 1944 ouvrant le suffrage universel aux citoyennes françaises.

    Ce droit élémentaire a été obtenu un siècle après les hommes, qui ont pu bénéficier du droit de vote au suffrage universel dès 1848.

    Avant 1848, seuls les nobles avaient le droit de voter!