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Et la valse continue… Voilà maintenant que l’on peut acheter son sapin de Noël, mais surtout pas les décorations ! Cela en devient comique.
Par Johan Rivalland.
On se croirait dans un mauvais film. Ou une pièce de théâtre comique, ou je ne sais quoi encore. En tous les cas, bien dans un domaine où l’imagination n’est certainement pas en panne pour trouver des idées plus farfelues les unes que les autres.
Le décret sapin de Noël est de sortie
J’en ai un peu honte: on va finir par croire que je suis un spécialiste de la période de Noël. Mais pas du tout. C’en est risible, mais c’est une sorte de hasard. Il faut dire que ce qu’on découvre depuis quelques temps est tellement drôle ou folklorique, que cela en devient irrésistible.
Parfois un peu plus polémique, il est vrai, comme dans le cas du " Noël sans Amazon ", mais toujours le reflet d’une époque un peu folle où certaines choses finissent par ne plus avoir grand sens ou devenir un peu absurdes quand on y pense.
Dernier exemple en date, donc, mais pas des moindres: le " décret sapin de Noël ". Ou comment la bureaucratie dans toute sa splendeur arrive à nous concocter un texte qui nous mène à des situations étonnantes et bien amusantes (car rassurons-nous, ce n’est pas très grave en soi ; en ce moment il y a bien pire).
Le sapin oui, les décorations non
Car, en des temps où un gouvernement s’arroge le droit de décider quels biens ou services nous sont essentiels ou non essentiels – vaste sujet à dimension philosophique (vous avez quatre heures) – on se doit de constater que le sapin semble faire partie des biens dits " essentiels ", mais les décorations non.
De quoi allez-vous vous plaindre? C’est déjà pas mal. Le gouvernement a décrété (au sens propre du terme) que le sapin est désormais autorisé. Quant aux décorations, il ne faudrait tout de même pas perdre la boule: c’est purement accessoire et vous pouvez très bien reprendre celles des années antérieures, il ne faut tout de même pas exagérer ! Il ne s’agirait pas de se faire enguirlander (cela dépend par qui… Les écolos, je ne sais pas. Aïe, je vais me faire des ennemis).
Il y a comme quelque chose qui cloche dans cette affaire… Mais ainsi va la vie, en 2020. Et nous ne sommes pas au bout de nos surprises. Quels cadeaux nous réservera encore ce beau gouvernement jamais à court d’idées, mais sans doute pas né sous la bonne étoile? Nous verrons bien.
Au moins, on ne s’ennuie pas. Et que l’on me pardonne ma mauvaise langue. En ces temps difficiles, où je sais bien que la tâche est difficile pour le gouvernement, avec de nombreux plats au menu et un parcours semé d’embûches, on peut bien prendre le parti de rire un peu, non?
Avignon: le lancer d’élèves interdit à la Trillade
Il n’empêche, depuis la mi-septembre, deux affichettes attachées sur le côté du portail de l’établissement servent de support à un message clair, qui laisse incrédule…
Dessin à l’appui, on peut lire sur la première: “Je ne lance pas mes enfants par-dessus le portail !” Et la seconde de préciser: “Quand je suis en retard, je reviens à 10 heures, ou 15 heures”.
“Des parents qui arrivaient après la sonnerie jetaient littéralement leurs enfants”, assure Sanaa Meziane en étouffant un rire nerveux qui trahit sa consternation.
[…]
L’article dans son intégralité sur La Provence
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Crétin un jour, crétin jusqu'au bout!
Hommage à De Gaulle: Macron fait une faute de conjugaison sur le livre d’or
"Les traces qui nous permettrons": Emmanuel Macron rend hommage à de Gaulle et fait une faute de conjugaison
Le président a écrit un court hommage au général de Gaulle dans le livre d’or de la maison. Voici le texte, tel qu’en lui-même: "Cinquante ans plus tard, le souvenir vivace du Général de Gaulle demeure une source d’inspiration pour notre Nation, notre République. Puissions nous trouver en ces lieux, en ses choix, les traces qui nous permettrons (sic) de bâtir notre action pour la France. En fidélité."
"Les traces qui nous permettrons"…
Emmanuel Macron, président de la République française
9 novembre 2020 pic.twitter.com/jENbhceELw
— René Chiche (@rene_chiche) November 9, 2020
www.lefigaro.fr
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Lannion (22): Ils avaient séquestré un couple de septuagénaires, 4 individus originaires de Montreuil interpellés, “l’un a été mis en cause par la police 95 fois, un autre 56 fois”
Le 31 mai 2020, un couple de septuagénaires avait été séquestré à son domicile de Lannion. Les quatre malfaiteurs étaient repartis avec leur collection de pièces de monnaie en argent.
Les auteurs présumés, originaires de Montreuil, en région parisienne, ont été interpellés le 3 novembre par la police judiciaire de Paris. "80% du butin a été retrouvé", annonce Daniel Kerdraon, à la tête du commissariat de Lannion.
Les quatre individus, âgés d’une trentaine d’années, ont été écroués à l’issue de leur garde à vue. Leur casier judiciaire est déjà bien chargé. "L’un a été mis en cause par la police 95 fois, un autre 56 fois", énumère le commandant.
(…) Le Trégor
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Mons-en-Baroeul (59): Émeutes urbaines, 40 tirs de mortiers contre pompiers et policiers, aucun “jeune” interpellé
Nos amis immigrés illégaux, après avoir utilisé des voitures pour “marcher” vers Paris, ont été arrêtés à SENS dans l’Yonne (89) ce jour. Toutes leurs manifestations dans le 89 sont désormais interdites.
Et ceux malgré le pathos étalé par tartines entières de nos bons journalistes…
À vos mouchoirs et surtout, à votre porte-monnaie ”siou plaît, une pièce, un ticket restaurant ou un billet de train pour Paris!”
Le journaliste confirme: “Au total 4 000 euros ont été récoltés pour permettre d’offrir des repas mais aussi des trajets en bus ou en train pour faciliter la progression des marcheurs.
Ben oui, des marcheurs qui marchent, ça fatigue !!! Et puis ça use les semelles…
Et comme le courage de nos zouaves du pavé est inversement proportionnel aux donc récoltés.
C’est pas chez eux que les futurs Nelson Mandela ou Che Guevara vont se trouver, on aime son confort avant tout et se confronter aux vraies épreuves pour sculpter un caractère ou une légende, c’est bon pour les livres.
Déjà rien que cela nous faisait rire.
Mais en plus la décision du préfet d’interdire les activités des pseudo-marcheurs, mendiants, nous prouve que notre action n’est pas restée sans résultat.
Nous les avons arrêtés à SENS. Du balai et hop…
Pour le 77 et le 75, si des volontaires se sentent des envies de continuer, l’équipe est prête à les soutenir.
Lorsqu’un mot entre dans la langue, il arrive que les règles régissant son usage ne soient pas fixées du premier coup.
Le Covid-19 a apporté son lot de nouveaux mots (lundimanche, apérue, coronabdos, voire encore corona-boomeurs, whatsappéros ou coronapéro), mais aussi de nouveaux débats linguistiques. (N'importe quoi!)
Exit le match "pain au chocolat vs chocolatine", (NON, ya pas débat: c'est chocolatine, un point c'est tout: pourquoi? parce que l'on peut faire du pain au chocolat, AVEC DE LA PÂTE A PAIN,
et que les chocolatines sont réalisées avec DE LA PÂTE FEUILLETÉE. CQFD)
et place à des questionnements davantage en rapport avec les nouvelles réalités auxquelles sont désormais confrontés les francophones.
Doit-on dire "le" ou "la" Covid-19?
"Rouvrir" ou "ré-ouvrir": que faut-il dire et écrire? Et sinon, faut-il dire "quatorzaine" ou "quarantaine"? Sur les réseaux sociaux, les internautes échangent des arguments en faveur de l’une ou de l’autre réponse à ces questions, sans jamais réussir à se mettre d’accord.
Le ou la Covid-19?
Dans le cas du mot covid-19, le débat porte sur le genre du mot. Doit-on dire la Covid-19, puisqu’il s’agit d’une maladie; ou le Covid-19, puisque c’est un virus? Quand l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a proposé ce terme le 11 février dernier, elle n’a pas précisé son genre (car en anglais la question ne se pose pas).
Aussi, à partir de la mi-mars, et malgré l’utilisation du féminin sur le site français de l’OMS, les journalistes de France ont spontanément pris l’habitude de l’employer avec des articles masculins (le, un, ce, etc.).
La règle voulant qu’en français, le genre de l’acronyme soit déterminé par le genre du premier mot (co- vient de "corona", vi- de "virus" et d- de l’anglais disease qui veut dire "maladie"; 19 indique l’année de l’apparition du virus), et que le genre du mot corona soit masculin en français.
Puis les internautes leur ont emboîté le pas. C’est ainsi que l’usage du masculin s’est installé dans les pratiques des Français, comme le montre ce graphique réalisé à partir des requêtes sur Google au cours des 90 derniers jours en France. La séquence "la covid" est quasiment inexistante en face de la séquence "le covid":
Outre-Atlantique en revanche, très tôt, une note a circulé encourageant l’usage du féminin ("la covid"), laquelle a été suivie quasi immédiatement d’une notice de l’Office québécois de la langue française (OQLF), le grand organisme qui régule la langue au Québec. Si bien qu’aujourd’hui les deux variantes sont en concurrence dans la Belle Province.
Les Québécois garderont-ils les deux genres, ou basculeront-ils du côté du féminin? Difficile de répondre à cette question pour le moment, il faudra encore être patient pour voir si l’une des deux formes prend le dessus sur l’autre.
Dans l’Hexagone, France Terme, qui publie les résultats de la Commission d’enrichissement de la langue française chargée de nommer en français les réalités nouvelles et les innovations scientifiques et techniques, n’a pas encore proposé de recommandations (alors qu’elle a établi une liste de termes alternatifs aux anglicismes liés au Covid-19 qui commençaient à gagner du terrain).
Quant à l’Académie française, elle vient de rendre son verdict, en optant pour l’usage du féminin, suivant en cela l’OMS et l’OQLF. Mais c’est sans doute déjà trop tard…
Des écoles qui rouvrent ou ré-ouvrent?
Le couple rouvrir/ré-ouvrir a également fait l’objet de pas mal de débats sur les réseaux sociaux.
L’argument invoqué par les opposants à la variante ré-ouvrir est que cette forme est peu plaisante à l’oreille (les linguistes diraient qu’elle n’est pas euphonique), en raison du fait qu’elle comporte deux voyelles contiguës (ce qu’on appelle techniquement un hiatus).
Les Français n'ont qu'à articuler (et parler lentement sans mitrailler), au lieu de zézéter et de taratater.
Pourtant la plupart des dictionnaires commerciaux et libres la mentionnent dans leurs nomenclatures, comme le rappelle le linguiste belge Michel Francard. On trouve ré-ouverture dans les pages du Larousse (mais il est absent du Robert), dans le TFLi (mais pas dans le Littré).
Quand on y pense bien, ce n’est pas étonnant, sachant qu’existent dans la langue de nombreux verbes commençant par le préfixe ré- (et non r-) suivi d’une voyelle: ré-approvisionner, ré-entendre, ré-écouter, etc.
En jetant un coup d’œil aux pratiques des twittos en France (Twitter permet de ne chercher que dans les tweets envoyés pendant les neuf derniers jours), on peut voir que même si l’utilisation de rouvrir est majoritaire, celle de ré-ouvrir est loin d’être nulle:
La variante ré-ouvrir reste toutefois fort stigmatisée, ce qui explique sans doute pourquoi elle est moins employée (trois fois moins, proportionnellement) que sa concurrente rouvrir.
Les internautes ont en effet tendance à l’associer à une mauvaise maîtrise de la langue française, qui serait le propre "- des jeunes qui ne savent plus parler".
Que diraient pourtant ces censeurs s’ils savaient qu’on trouve cette forme déjà au début XVIIe siècle, puis régulièrement sous la plume d’écrivains aussi célèbres que Céline ou Stendhal, et tout récemment dans le discours de notre premier ministre Édouard Philippe ou dans les tweets du ministre de l’Éducation, Jean‑Michel Blanquer? (incompétent et inculte!)
Quarantaine ou quatorzaine?
Un autre néologisme qui irrite pas mal d’internautes, le terme quatorzaine, qui tend à remplacer depuis quelques semaines le classique quarantaine. Sémantiquement, le mot quarantaine est une sorte de terme générique pouvant évoquer une durée variable, alors que quatorzaine est beaucoup plus précis, ce qui explique son succès dans le contexte que l’on vit actuellement, comme l’explique notre collègue Myriam Bergeron Maguire. Beaucoup ont argumenté que le mot n’est pas légitime car il ne figure pas dans les dictionnaires.
Mais quand on y pense bien, est-ce là un motif valable pour le rejeter, sachant que tous les néologismes ont d’abord commencé par ne pas être dans "le" dictionnaire, par la force des choses? En sont témoin les mots déconfinement et re-confinement, qui ont connu une notoriété soudaine plus ou moins au même moment dans les médias, mais qui ne figurent ni dans le Robert, ni dans le Larousse (le premier vient tout juste d’apparaître dans le Wiktionnaire.
Comment les mots entrent dans la langue?
Lorsqu’un mot nouveau entre dans la langue, il arrive que les règles régissant son usage (masculin ou féminin, formes de pluriel, dérivations, etc.) ne soient pas fixées du premier coup, et que des variantes concurrentes circulent. C’est ensuite l’usage – des internautes, des journalistes, des écrivains mais aussi des simples locuteurs – qui permet de faire pencher la balance en faveur de l’une ou de l’autre variante. En bout de chaîne, ce sont les dictionnaires qui entérinent l’issue de ces débats.
Si l’une des deux variantes prend clairement le dessus, l’autre est soit abandonnée (elle sort alors de l’usage, et n’est pas reprise par les dictionnaires), soit considérée comme "marquée" (régionale, archaïque, technique ou autre). Ce sera sans doute le cas du genre féminin de covid, qui devrait être accompagné de l’étiquette " régional " dans les dictionnaires fabriqués en France.
Signalons toutefois que ce genre de question n’est jamais réglé rapidement: le processus peut prendre du temps, et les usages coexister pendant des siècles (voir notamment le couple rouvrir/ré-ouvrir).
Enfin, les chances de voir apparaître de nouveaux mots dans la nomenclature des dictionnaires dépendent de leur vitalité, sur le long terme. Les processus de déconfinement et de re-confinement seront-ils des réalités avec lesquelles il faudra apprendre à vivre dans les années à venir? Pendant combien de temps mettra-t-on encore les gens en quatorzaine? Les réponses à ces questions seront cruciales pour les lexicologues en charge des prochaines éditions de dictionnaires.
Mathieu Avanzi
Maître de conférences en linguistique française, Sorbonne Université
On aurait administré de la mélatonine à Donald Trump: faites très attention de ne pas en prendre (voir en fin d'article les effets indésirables).
La mélatonine ou N-acétyl-5-méthoxytryptamine, souvent dénommée hormone du sommeil, est surtout connue comme étant l'hormone centrale de régulation des rythmes chronobiologiques en étant synthétisée surtout la nuit. Elle régule de nombreuses sécrétions hormonales, chez l'humain et les autres mammifères. Cette neuro-hormone est synthétisée à partir d'un neurotransmetteur, la sérotonine, qui dérive elle-même du tryptophane. Elle est sécrétée par la glande pinéale (dans le cerveau) en réponse à l'absence de lumière.
La mélatonine semble avoir de multiples fonctions autres qu'hormonales, en particulier comme antioxydant. Elle jouerait un rôle particulier dans la protection de l'ADN nucléaire et dans l'ADN mitochondrial. Elle semble aussi jouer un rôle dans le système immunitaire.
Elle régule la sécrétion de la plupart des hormones humaines (paracrines et endocrines). La mélatonine agit différemment selon son origine:
celle produite dans la glande pinéale et dans le tractus gastro-intestinal, agit comme une hormone endocrine car elle se diffuse dans le sang ;
celle produite par la rétine agit comme une hormone paracrine.
Des micro-organismes et diverses plantes produisent aussi de la mélatonine (dite phytomélatonine dans le cas des plantes)
La mélatonine endogène produite par le système pinéal influe positivement sur le système immunitaire . Associée au calcium, la mélatonine peut également aider à la réponse immunitaire des lymphocytes T. Son utilisation médicale pour augmenter la réponse est cependant soumise à controverse puisqu'elle favoriserait également les maladies auto-immunes.
La mélatonine peut supprimer la libido en inhibant la sécrétion de la LH (luteinizing hormone) et de FSH (follicle stimulating hormone) à partir de la glande antéhypophyse, notamment chez les mammifères qui ont une période d'allaitement quand la durée des jours est longue. La reproduction des espèces qui allaitent quand le jour est long est diminuée par la mélatonine et stimulée quand le jour est court. La mélatonine augmenterait la libido (chez les rats mâles) par un antagonisme des récepteurs de la sérotonine de type 5-HT(2A).
Où la trouver?
Les noix et les noisettes sont des sources importantes de mélatonine bio-disponible, c'est-à-dire facilement absorbable par l'organisme.
La mélatonine est également présente chez une grande variété d'autres végétaux comestibles (maïs, tomates, pommes de terre, oignon, ail, ananas, banane, riz, avoine, orge, gingembre, taro, etc.) mais généralement en quantités nettement inférieures. Par ailleurs, la teneur en mélatonine de certains aliments serait encore très mal connue.
La consommation de noix entraîne une multiplication par trois des taux sanguins de mélatonine chez les rats. En raison de la multitude de composés bénéfiques que contiennent les noix, leur consommation serait nettement préférable à la prise de suppléments de mélatonine.
Effets indésirables signalés
(en lien avec le programme français de nutrivigilance qui a reçu 90 cas d'effets indésirables avant 2018), qui évoquent des risques “en particulier des femmes enceintes et allaitantes, des enfants et des adolescents, des personnes souffrant de maladies inflammatoires, auto-immunes, d’épilepsie, d’asthme, de troubles de l’humeur, du comportement ou de la personnalité, ainsi que des personnes suivant un traitement médicamenteux.
La consommation est également déconseillée pour les personnes devant réaliser une activité nécessitant une vigilance soutenue chez lesquelles une somnolence pourrait poser un problème de sécurité“.
La mélatonine affecte l’horloge biologique mais aussi l'humeur, l'immunité, la température corporelle et la motricité intestinale et agit parfois comme vasodilatateur, vasoconstricteur et/ou comme pro-inflammatoire pouvant dans certains contextes ou en interagissant avec d’autres substances induire des effets indésirables généraux (“céphalées, vertiges, somnolence, cauchemars, irritabilité“) voire des troubles neurologiques (“tremblements, migraines“) et gastro-entérologiques (“nausées, vomissements, douleurs abdominales“).
L'Agence recommande aux personnes en bonne santé de limiter ces compléments alimentaires et de les signaler à leur médecin.