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Insolite - Page 5

  • Faire pisser Mirza, c'est pour mon papa…(chanson)

    Aurore Lalucq veut interdire aux hommes de pisser debout!

    GROTESQUES EN FURIE

    L’heure de gloire de la députée européenne Aurore Lalucq, qui vient de chez Benoit Hamon. 10 000 euros par mois pour raconter de telles conneries. Déjà évoquée mais digne d’un second séjour à l’étalonnage de la bêtise. Et puis tout de même, ce sourire… mon Dieu…

        " La nature a doté les hommes d’un immense avantage: celui de pisser debout " disait Philippe Fremeaux.

     

        Ou quand faire la queue aux toilettes est un sujet d’inégalité femmes/hommes. #LaMinuteLalucq#JournéeMondialeToilettes pic.twitter.com/fJbFT25RbZ

        — Aurore Lalucq (@AuroreLalucq) November 19, 2021

    Une parasite de plus.

     

    Dans les années 70, j'étais féministe, j'avais 20 ans: je réclamais seulement la pilule en vente libre et l'avortement…

    Aujourd'hui, les chiennes de féministes ont perdu la raison…

  • MDR

    A bac + 5, Il ne sait pas écrire "Mauriac" et n’en a jamais entendu parler!

    J’ai quelques innocentes petites manies, dont celle d’avoir toujours dans mes livres les quelques classiques incontournables que j’ai lus et aimés dans ma jeunesse: Maupassant, Zola, Dumas, Hugo, Montaigne, et puis Jules Verne et d’autres. François Mauriac par exemple.

    (félicitations: moi aussi. NdlaR)

    Ayant perdu "Le Nœud de vipères" dans un déménagement, je suis entrée hier dans une FNAC pour l’acheter en livre de poche.

    Ne l’ayant pas trouvé j’ai demandé à un jeune vendeur de m’aider. Sa première question a été: "comment vous écrivez Mauriac, Madame"?…

    J’ai sursauté, j’ai cru que les yeux me tombaient de la tête, et je lui ai dit du tac au tac: "comment ça, vous ne savez pas comment on écrit Mauriac?".

    Ce jeune, qui n’était même pas d’une inculte diversité, avec ses grands yeux bien bleus, m’a répondu, très calme: – Non, Madame. C’est la première fois que j’entends parler de ce monsieur!

    – La première fois? (J’en bégayais presque)…Et au lycée, au collège, jamais entendu parler?

    – Non! Jamais.

    – Mais c’est un grand auteur classique du XXe siècle! Écrivain engagé, prix Nobel de littérature…Vous pourriez au moins le connaître de nom.

    – Mais moi, Madame, je suis du XXIe siècle !…dit-il fièrement, balayant d’un beau geste plein de panache tout ce qui avait été écrit avant.

    – D’accord vous êtes du XXIe siècle, mais cela ne doit pas vous empêcher d’avoir lu quelques auteurs précédents! Sinon comment comprendre notre époque?

    (Pas possible: un vendeur de livres? NdlaR)

    – Oh moi, je lis surtout des mangas. Quelques rares polars, aussi. Très rarement. Vous avez déjà lu des mangas?

    – Euh non mais j’en connais de nom…

    – Ah vous voyez, ça vous manque! Vous devriez les lire, dit-il, d’un ton judicieux, comme si finalement c’était à lui de m’apprendre quelque chose.

    Je promis d’essayer les mangas, mais je n’en pensais pas moins.

    – Bon alors Mauriac ça s’écrit m, a, u, r, i, a, c.

    C’était, pour moi, surréaliste. Mauriac est décédé en 1970, ce n’est pas si ancien que cela! Cela ne remonte pas à Néanderthal! Le jeune vendeur a pris note très sérieusement. Il l’a commandé. J’étais étonnée qu’une grande Fnac n’ait que deux livres de Mauriac, "Thérèse Desqueyroux" et "Le livre de raison de Malagar".

    Je suis allée faire un tour dans la librairie (car on était, quand même, dans une librairie, avec c’est vrai pas mal de mangas et de BD). Puis je suis revenue vers lui et m’excusant, je lui ai demandé son niveau d’études. Je m’attendais un peu à un CAP de manutentionnaire…métier d’ailleurs très utile dans une librairie.

    Il m’a répondu qu’il avait un bac + 5, c’est à dire qu’il avait fait après le bac un DUT d’études commerciales, suivi de deux années d’études de création et gestion d’entreprise. Ce n’était pas la Sorbonne, mais quand même…

    Mais il m’affirma que jamais, au grand jamais, il n’avait entendu parler de Mauriac, nulle part, ni au lycée ni ailleurs. Bon, il reconnaissait qu’il ne s’était jamais intéressé à la littérature, que ça l’ennuyait profondément. Mais finalement il était plein de bonne volonté.

    Je concédai que Mauriac, ce n’est pas toujours très facile, ni très engageant, mais qu’il pouvait commencer par Maupassant, Zola. Il promit qu’il essaierait, un jour. Et je ne partis pas sans un petit couplet sur sa sortie "je suis du XXIème siècle", plaidant que quand même, les siècles qui nous ont précédés, ce n’est pas totalement inintéressant…Il était d’accord.

    Bref finalement il avait manqué à ce jeune une Education Nationale digne de ce nom. Une instruction qui se tienne, qui tente au moins de lui faire savoir que nous avons en France un patrimoine littéraire qui ne doit pas devenir un archipel totalement perdu à l’est de l'illettrisme, ou de l’ignorance, superbe (c’était son cas) ou honteuse.

    Une instruction qui, à défaut de l’avoir baigné dans la littérature, ou de lui en avoir au moins laissé une teinture, aurait donné à ce jeune au minimum la connaissance que la littérature existe, et le moyen de s’y intéresser un jour, si l’envie lui en prenait. Et davantage, si affinités.

    Si la littérature française ennuie à ce point un jeune, c’est qu’il n’a eu que de très mauvais profs, selon moi. Sans même oser parler de littérature étrangère.

    Comment ne pas s’inquiéter pour l’avenir de notre culture, si un jeune bac +5 de nos jours n’a jamais entendu parler de Mauriac? Ou alors convenons tout de suite que notre culture est morte. De profundis.

    Ne sachant même pas qui était Mauriac, c’est tout un pan de culture qui lui échappe.

    Comment alors goûter ce bon mot d’André Frossard, (dont il ne doit même pas soupçonner l’existence), essayiste, journaliste, académicien, qui rentre un jour de Rome et croise Mauriac dans le hall du Figaro. Mauriac demande à Frossard: "alors, Rome?".

    Réponse de Frossard: "un nœud de vicaires, mon cher, un nœud de vicaires!".

    Sophie Durand

     

    Source:

  • Blé dur: panique autour des nouilles

    Par André Heitz. Contrepoints

    Le 16 août 2021, le Comité français de la semoule industrielle (CFSI) et le Syndicat des industriels fabricants de pâtes alimentaires de France (SIFPAF) publiaient un communiqué de presse alarmiste.

    " Le dérèglement climatique met en danger le marché des pâtes alimentaires: des pluies beaucoup trop abondantes en Europe et une sécheresse sans précédent au Canada conduisent à une pénurie de blé dur, seule matière première des pâtes alimentaires, et à la flambée historique des prix mondiaux".

    Le " dérèglement climatique " a évidemment bon dos.

    Mais le fait est que la récolte sera catastrophique au Canada, premier producteur mondial, du fait aussi de la vague de chaleur (quelque -30% prévus par rapport à la moyenne quinquennale), que la récolte européenne est insuffisante (7,3 Mt pour un besoin de 9,5 Mt selon les deux entités) et qu’une partie de la récolte française ne sera pas utilisable par l’industrie de la semoule et des pâtes du fait d’une qualité fortement affectée par les pluies.

    Les deux entités en ont donc appelé au gouvernement pour qu’il mette en place un plan d’urgence permettant aux semouliers et pastiers d’assurer leur approvisionnement en blé français et faire en sorte que les distributeurs répercutent " l’explosion du prix du blé dur dans les prix de vente pour traverser cette crise exceptionnelle ".

    Il y a quelque chose de pathétique dans cet appel au secours fait à l’État nounou par une industrie passablement concentrée (par exemple trois semouliers et cinq usines). Mais nous sommes en France…

    C’est du pain bénit pour des médias et décroissantistes

    Le communiqué a été répercuté par l’AFP… et les médias s’en sont délectés. Libération a ainsi  titré: "Dérèglement climatique: l’industrie des pâtes en manque de blé".

    L’écologiste Dominique Bourg s’est particulièrement illustré sur Twitter:

     

        Ce qui devait arriver arrive, nous touchons pour la première fois du doigt la fragilisation climatique de nos capacités de production alimentaire: pénurie de blé annoncée. https://t.co/zVCG4pBe6U

        — Dominique Bourg (@bourg_d) August 17, 2021

    Sauf qu’il s’agissait de blé dur (pour le blé tendre, on peut aussi avoir des inquiétudes s’agissant de la production, mais les stocks sont un peu plus conséquents quoique, historiquement bas).

    Aurons-nous suffisamment de nouilles ?

    La situation sera sans doute tendue dans le monde. Et comme nous l’ont montré les émeutes de la faim de 2008, il y a un sérieux risque d’instabilité politique et géopolitique dans certains pays.

    Pour la France, le 19 août 2021, s’exprimant d’une manière générale, “Intercéréales“ déclarait:

        " La moisson française de 2021 encore en cours dans le nord du pays saura répondre aux besoins des consommateurs (français en particulier)".

    Mais “Réussir“ écrivait le 17 août 2021 pour les produits à base de blé dur, sans nul doute sur la base de l’alerte des industriels:

        "Comme en 2007, il serait possible que certains marchés "bagarrés" doivent faire face à des ruptures en Europe".

    “Pleinchamp“ et la “Coopération agricole“ ont donné des indications plus précises les 16 et 27 août 2021, respectivement: les surfaces de blé dur ont été estimées à 288 000 hectares, en progression par rapport à 2020, mais en retrait de près de 11% par rapport à la moyenne quinquennale 2016-2020. La production atteindrait 1,6 Mt (+22% par rapport à 2020 mais – 6% par rapport à la moyenne quinquennale).

    De quoi, a priori, produire les quelque 240 000 tonnes de pâtes/an et 84 000 tonnes de couscous/an de l’industrie française. Reste la question de la qualité, la filière industrielle ayant des exigences précises.

     

    S’agissant des pâtes aux œufs alsaciennes, la matière première céréalière ne sera pas locale…

    La flambée des cours

    Au 31 août 2021, le blé dur rendu “La Pallice“ était coté à 400 euros/t, contre 247 euros/t pour le blé tendre meunier. Au 2 septembre, au moment du bouclage de cet article, il est à 430 euros/t. Au cours de l’année écoulée, jusqu’à début juillet 2021, les cours se situaient entre 260 et 275 euros/t.

    Cet indice a été élaboré en collaboration avec le ministère de l’Agriculture et partagé avec la DGCCRF afin d’être le plus représentatif des cours du blé dur mis en œuvre en France (source).

    On peut penser que les cours se maintiendront à un niveau élevé. Cela se répercutera sur les prix des produits de consommation, dont l’essentiel est composé par le coût de la matière première (75% pour les pâtes ordinaires et 50% pour les pâtes aux œufs).

    La guerre des prix est-elle déclarée?

    Les pastiers et semouliers s’étaient déjà dits préoccupés en septembre 2012. Ils avaient déjà fait le coup de l’annonce de l’apocalypse en octobre 2014. Et ils avaient déjà demandé un "plan d’urgence".

    Le contexte était similaire, à deux nuances près.

    Le réchauffement climatique n’était pas encore devenu l’alpha et l’oméga des programmes politiques et de la gesticulation publique.

    Et la récolte française avait baissé de 2,3 Mt en 2012 à 1,5 Mt (dont plus du tiers déclassé) en raison d’une chute de 40% des surfaces, elle-même due à des prix peu ou pas assez rémunérateurs pour une culture de surcroît très technique et délicate. Ainsi, le 5 novembre 2014, le blé dur cotait 430 euros/t rendu La Pallice contre 200 euros/t en 2013 à la même époque. C’était la séquence "flambée historique des prix mondiaux" en 2021…

    Le communiqué de presse du CFSI et du SIFPAF apparaît en définitive comme un nouvel appel au loup. À l’avant-veille des grandes négociations tarifaires – qui débuteront en octobre et doivent s’inscrire dans le fiasco législatif qu’est la loi "EGALIM" de 2018 – il a toutefois eu l’avantage de préparer le terrain en faveur d’industriels pris entre le marteau de la guerre des prix entre distributeurs et l’enclume des cours des denrées de base.

    Sera-ce suffisant?

    Michel-Édouard Leclerc a déjà tonné le 27 août 2021: "des industriels profitent de la crise":

        " Avant même les négociations commerciales qui seront encadrées cette année avec la loi Egalim 2 [pas encore adoptée…], on nous annonce des hausses sur le sucre raffiné de 10%, sur les pâtes de 23%, sur la charcuterie entre 9 et 15%, sur le vinaigre 15%, sur l’huile d’olive 11%".

        Oui, certains profitent de la crise, il y a de la spéculation sur un manque de disponibilité du blé et du mais. On nous annonce trop de hausses: c’est pas sérieux! @Leclerc défendra le pouvoir d’achat. https://t.co/tDUIkeV9aj

        — Michel-Edouard Leclerc (@Leclerc_MEL) August 27, 2021

     

    Pour les pâtes, la présidente de la FNSEA Christiane Lambert a voulu se faire rassurante le 23 août 2021 sur BFM Business:

        " Il faut relativiser […] Si par exemple le prix du blé dur augmente de 10%, ça va représenter quatre centimes de plus par kilo de pâtes. On en consomme 9,1 kg […] ça fait 36 centimes par an par personne".

        #GrandOral

       

  • Les journalistes ne sont pas des cadors de l'Académie Française

    Ce matin, j'écoute LCI où une fille nous apprends que Bansky a refait des dessins en Angleterre... mais, finalement personne n'en est sûr...

    Elle dit à un certain moment: "on se perd en conjonction...."

    Le présentateur, un vieux de la vieille, âgé d'une cinquantaine d'année ne l'a pas reprise: soit il est aussi ignare soit il est compatissant....

    On se perd en conjectures, voyons! (et toujours au pluriel, ce mot!).

  • Pas très intelligents!

    Des touristes consomment sans payer en Belgique, mais oublient leur carte d’identité

    En Belgique, un couple qui s’éclipsait de restaurants avant que lui soit amenée l’addition a pu être identifié grâce à une carte d’identité oubliée. Ce n’est pas la première fois que des escrocs se montrent si distraits.

    Alors que l’extension du passe sanitaire aux restaurants continue de diviser en France, en Belgique, le gérant d’une brasserie s’est livré à un contrôle d’identité d’un genre un peu différent. Il a en effet retrouvé la carte d’identité d’un couple parti sans payer de son établissement situé à Houffalize, rapporte le Nieuwsblad.

        "Ils ont passé toute l’après-midi sur notre terrasse et ils avaient bien mangé et bien bu […] Puis, soudainement, alors que je préparais un cocktail derrière le bar, je les ai vus partir. J’ai essayé de les rattraper, en vain", a ainsi expliqué le gérant au quotidien.

    Le restaurateur a retrouvé le document d’identité sous une table. Il a alors tenté de se mettre en relation avec les fuyards, qui lui ont promis de revenir payer. Une promesse jamais tenue, qui a poussé la victime à afficher les resquilleurs sur Facebook, pour mettre en garde ses collègues de la restauration et de l’hôtellerie. Il s’est d’ailleurs avéré que le couple avait déjà agi de la sorte, partant au moins trois fois sans payer d’autres établissements d’Houffalize.

    Le gérant de la brasserie a finalement retiré sa publication Facebook, après que le couple et leurs proches aient reçu des menaces.

    Des étourderies déjà vues

    Ce n’est pas la première que des malfaiteurs se montrent étourdis au point de laisser noms et prénoms sur les lieux de leur forfait.

    En mars dernier, un cambrioleur avait ainsi oublié sa carte d’identité dans un hôtel d’Albi, après y avoir dérobé de la petite monnaie et des pots de confitures, rapportait La Dépêche du Midi. Pris au dépourvu, il s’était finalement rendu de lui-même au commissariat, avant d’écoper de huit mois de prison ferme.

    Même scénario à Lannion (Côtes-d'Armor), où un voleur multirécidiviste a pu être identifié après une course non payée en taxi. L’étourdi avait oublié son sac-à-dos avec sa pièce d’identité dans le coffre du véhicule, selon l’hebdomadaire Le Trégor. Les forces de l’ordre ont facilement pu l’interpeller, puis faire le lien avec plusieurs vols commis précédemment, dont l’auteur était resté introuvable.

    Durant le confinement, les contrôles ont également pu jouer des tours aux délinquants distraits. Près de Toulouse, un individu a ainsi été contrôlé par la police pour non-respect du couvre-feu, début janvier. Ayant oublié sa carte d’identité chez lui, il a dû y retourner en compagnie des agents, qui ont finalement découvert dans son appartement 6 kilos d'herbe et un demi-kilo de cocaïne, selon La Dépêche du Midi.

    De nouvelles cartes d’identité électroniques ont été lancées sur le territoire français en mars dernier. Plus petites et présentées comme "inviolables" par les autorités, elles ont vocation à remplacer les anciens

    https://fr.sputniknews.com/europe/202108021045953538-des-touristes-consomment-sans-payer-en-belgique-mais-oublient-leur-carte-didentite/

     

  • Pauvres femmes bâchées

    " Par inadvertance " il clique sur un site porno, croit reconnaître sa femme voilée dans une vidéo et va la tabasser, 31 jours d’ITT

    ITT: Incapacité temporaire de travail

    Convaincu d’avoir reconnu sa femme sur un site porno, un homme de Lannion l’a tabassée. Au vu de détails anatomiques, une méprise. Mais une vraie plainte de la malheureuse. Les faits qui lui sont reprochés sont d’une gravité incontestable et d’une tristesse affligeante: une fois encore il s’agit de violences sur conjointe. Le couple installé à Lannion (22) ne parlant pas français, un interprète est chargé de la bonne compréhension des débats.

    […]

    Malgré le voile porté en permanence par la jeune femme, les traces de coups restent particulièrement visibles. La barrière de la langue est certes un problème, mais le constat de l’urgentiste sera éloquent:  les traces de coups, œdèmes et les marques de strangulations sont profondes et caractérisées. Elles justifieront  une ITT de 31 jours  signée par le médecin. A la barre le prévenu est consterné. C’est un jaloux, doublé d’un impulsif. Alors quand par inadvertance, au détour d’un clic de souris malencontreux, il reconnaît sa femme sur un site pornographique, toute souriante et dans des postures qui ne laissent planer aucun doute.

    […]

    La victime veut retirer sa plainte… en dépit de ce volte-face, "il y a matière à poursuivre et à condamner le prévenu. Le délit est bien caractérisé et en conséquence je requiers une peine de 10 mois de prison assortie d’un sursis probatoire de 5 ans, avec obligation de soins", conclut la procureur. Le tribunal de Saint-Brieuc a confirmé la peine requise.   

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