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Insolite - Page 3

  • PAS DE POUTOUS DE TOULOUSE

    Le népotisme à de beaux jours devant lui!

    Bordeaux : Elu à la ville, Philippe Poutou fait embaucher sa femme par la mairie comme collaboratrice "en toute transparence"

    Le candidat du NPA à la dernière présidentielle affirme avoir fait valider cette embauche aux services juridiques des collectivités. Un choix fait "en toute transparence", assume-t-il.

    C’est une information qui n’est pas sans rappeler l’énorme attaque du candidat du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) contre François Fillon. Philippe Poutou, trois fois candidat à la présidence de la République, est désormais conseiller municipal de Bordeaux où il est élu dans l’opposition.

    Poutou a recruté, depuis novembre dernier, sa femme comme collaboratrice. Une information confirmée par la mairie de Bordeaux. "On a droit à deux mi-temps de collaborateurs de groupe. Et depuis quatre mois, on a renouvelé un des deux contrats, celui de ma compagne, assume Philippe Poutou. Ce n’est pas si simple que ça d’avoir des gens qui ont le temps d’aider et qui correspondent aux critères. On n’a pas d’équipe de 20 personnes autour de nous, nous faisons avec les moyens que nous avons".

    HO, LE PAUVRE PETIT, QUELLE MISERE DANS SA VIE!

    Pour ce travail, sa compagne, enseignante à mi-temps dans l’élémentaire, percevrait environ 1 000 euros net par mois pour ce mi-temps.

    Le Parisien

    En fait, je me demande comment une institutrice peut travailler dans un service juridique: elle n'a, certes pas, les compétences... les juristes qui ont fait un certain nombre d'années d'études, sans compter la difficulté de l'examen que peu arrivent à obtenir, apprécieront sans aucun doute!

  • Ils sont fous, ces Canadiens???!!!

    Canada: un lycéen arrêté pour avoir dénoncé la théorie du genre!!!

    "J’ai dit qu’il n’y avait que deux sexes et que vous étiez né soit un homme soit une femme, et cela m’a causé des ennuis".

    Josh Alexander est un jeune Canadien âgé de 16 ans. Il n’est pas près d’oublier sa scolarité à l’école secondaire (l’équivalent d’un lycée français) Saint-Joseph, un établissement catholique à Renfrew, en Ontario.

    Son tort? Avoir remis en cause la théorie du genre en classe. Il a défendu sa position en argumentant qu’en accord avec l’enseignement catholique et la Bible, il n’y a que deux genres, masculin et féminin — et que, par conséquent, les hommes biologiques ne devraient pas être autorisés à entrer dans les toilettes des femmes.

    Grand mal lui en a pris, ses opinions l’ont fait suspendre: fin novembre, l’école a décidé d’interdire son accès à Josh. Le 6 février, celui-ci a voulu retourner en classe et a été accueilli par le directeur adjoint de l’établissement assisté de deux policiers locaux, qui ont interpellé le jeune homme pour pénétration illégale dans l’enceinte d’un lycée dont il ne faisait plus partie.

    Il a été escorté, sans menottes, jusqu’au véhicule de police. Un avocat représentant le lycéen a déclaré que l’école ne le laissera plus assister aux cours tant qu’il n’acceptera pas "de cesser d’utiliser l’ancien prénom d’un étudiant transgenre, et de ne plus participer à deux cours de l’après-midi car ces cours sont suivis par deux étudiants transgenres qui désapprouvent les croyances religieuses de Josh".

    En réponse à cette polémique, Josh Alexander a déclaré au National Post que les étudiants transgenres qui rejettent ses opinions devraient peut-être réfléchir au fait qu’ils fréquentent une école catholique, ou du moins une école qui se dit catholique.

  • Non mais, on rêve!!!!!!

    La Norvège s’accuse d’avoir participé au racisme dans le monde!!

    “Comment la Norvège a rendu le monde plus blanc.” Voilà l’intitulé du projet de recherche NorWhite de l’université de Bergen en Norvège, que révèle Fdesouche. Un projet par ailleurs financé à hauteur de plus d’un million d’euros par le gouvernement. Et ce, à quelle fin ? Expliquer que les Norvégiens ont contribué au racisme en diffusant la “blanchité” dans le monde par le biais du colonialisme et de la peinture.

    Le document de présentation décrit la “blanchité” comme " l’une des principales préoccupations sociétales et politiques actuelles ". L’objectif est donc d’aborder " un champ de bataille distinctement différent avec la politique de la blanchité dans l’art et l’architecture ". Très simplement, ces chercheurs expliquent que les chimistes norvégiens ont révolutionné la peinture blanche en 1916, la dotant de bien meilleures couverture et opacité que celle qui était utilisée jusqu’alors. Ce qui a eu pour conséquence que de nombreux bâtiments du pays ont été peints en blanc brillant… et prouverait donc que la blanchité a été imposée comme une valeur supérieure. 

    En introduction, les chercheurs affirment: "La blanchité n’est pas seulement une condition culturelle et sociétale liée à la couleur de la peau, aux privilèges et à l’exclusion systématique, mais elle se matérialise partout autour de nous ", et poursuivent : " Bien que la Norvège ne soit pas une puissance coloniale conventionnelle, ce projet montrera comment le pays a joué un rôle de premier plan au niveau mondial dans l’établissement du blanc comme couleur supérieure.

    " Voilà, maintenant vous le savez, de votre maison peinte en blanc à l’apartheid, c’est de la faute de la Norvège.

     

  • Ce crétin de ministre: plus sinistre que ministre !

  • Totalement fous!

    Allemagne : un Monet aspergé de purée par des militants écologistes

    L’art est-il responsable de tous les maux de la société ? A priori, non. Mais les écologistes les plus extrêmes ont décidé, pour d’obscures raisons, de faire payer aux musées leur contribution à “l’appropriation culturelle” et au “barbarisme politique”. Après Londres et le saccage d’un tableau de Van Gogh, ils ont réitéré ce week-end leur expédition punitive. Cette fois-ci, la cible de leur courroux était le musée Barberini de Potsdam, en Allemagne.

    Leur acte est une nouvelle fois prémédité. Grimés en ouvriers de chantier, deux militants du groupe de désobéissance civile Letzte Generation se glissent entre les visiteurs.

    Brusquement, ils déversent des seaux de purée sur une toile du maître français Claude Monet, les Meules. Ce chef-d’œuvre de l’impressionnisme est réduit à une grosse tâche grasse, dégoulinant sur les moulures du cadre.

    Les deux activistes se précipitent ensuite dans le carré consacré à la toile, se collent les mains puis mettent un genou à terre, en s’écriant: "Les gens meurent de faim, de froid, les gens meurent. Nous vivons une catastrophe climatique. Et tout ce dont vous avez peur, c’est de la soupe de tomate ou de la purée de pomme de terre sur un tableau".

    Affligeant.

    Tellement CONS!