Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Insolite

  • Hausse d’impôts et taxes en tout genre:

    ils vont jusque dans le local poubelle!

    Que dire d'une taxe qui aura augmenté de plus de 300% en dix ans?

    Ça y est, le débat parlementaire sur le budget de l’État pour 2026 (projet de loi de finances) a commencé.

    Comme le veut la règle, les députés vont d'abord examiner les recettes ("ressources et équilibre"), après viendra l’examen des dépenses ("crédits des missions"). Un projet de budget qui "ambitionne de redresser les comptes publics", nous explique le site officiel Vie publique.

    Cela, d’une part, à travers une baisse des dépenses de l’État, hors Défense nationale, ce qui représenterait, toujours selon Vie publique, "les deux tiers de l’effort budgétaire total" - sans, d'ailleurs, en indiquer le montant.

    D’autre part, par une hausse des recette fiscales, "en particulier par un effort supplémentaire des contribuables les plus aisés à hauteur de 6,5 milliards d'euros et par la poursuite de la rationalisation des niches fiscales (la France en compte actuellement 474 pour un coût total de 85,1 milliard d’euros)", souligne Vie publique, la hausse des impôts pour les "plus aisés" étant, en quelque sorte, l’arbre qui cache la forêt des hausse d’impôts et de taxes qui vont frapper en 2026 à tous les étages, et ce, même jusqu’au local poubelle!

    UNE TAXE QUI AUGMENTE DE 62% EN CINQ ANS!

    En effet, il est question d’une hausse, au total, de plus de 19 milliards d’euros, ce que le député RN Jean-Philippe Tanguy a qualifié de "boucherie fiscale". Il y a les hausses qui vont faire mal tout de suite, directement sur la feuille d’impôt, comme par exemple le gel du barème de l’impôt sur le revenu et la fin de l’abattement fiscal de 10% pour les retraités (la double peine n’est pas faite pour les chiens), et puis, il y a ces augmentations plus discrètes, plus insidieuses, auxquelles pas grand monde ne comprend grand-chose, celles qui se répercuteront à l’automne 2026, lorsque les propriétaires recevront leur avis d’imposition de taxe sur le foncier bâti ou que les locataires découvriront le nouveau montant de leurs charges répercuté par le propriétaire.

    Ainsi, par exemple, il est question, dans ce projet de loi de finances (PLF) 2026, d’une augmentation de la TGAP jusqu’en 2030 de près de 62% (61,53%, pour être précis), en passant de 65 à 105 euros la tonne traitée. Tant qu’à faire...

    Lire la suite

  • La taxe Zucman: beaucoup de bruit, très peu de recettes.

    Notre dette est plus préoccupante que jamais. La classe politique, de LFI au RN, n’a qu’un mot à la bouche: "augmenter les impôts".
    La nouvelle mode? La taxe Zucman!

    La mesure est désastreuse, le remède serait pire que le mal. Il est temps de le prouver.  Quelle est l’idée de Gabriel Zucman, cet économiste très à gauche, qui signe des tribunes de soutien à la NUPES de Mélenchon et que l’on voit partout sur les antennes du service public? Taxer chaque année 2% des patrimoines de plus de 100 millions d’euros. Il prétend que cela rapportera 20 milliards d’euros par an à l’Etat. Même si son chiffre était correct, notre déficit annuel est de 170 milliards d’euros, donc sa taxe ne résoudrait pas le problème.
    Mais surtout, ce chiffre est très LARGEMENT EXAGÉRÉ.
    D’après Philippe Aghion et 6 autres économistes (Le Monde, 9/09/25), les recettes de cet impôt atteindraient péniblement… 5 milliards d’euros, soit 3 fois moins que ce que nous dépensons chaque année dans l’aide au développement! Pour leur chiffrage, ces économistes s'appuient sur l'étude de Jakobsen (2024), qui montre que pour chaque euro d’impôt supplémentaire, l’adaptation des comportements aboutit à une perte de recettes fiscales de 74 centimes. Bref, la réalité se venge.

    Les contribuables s’adaptent. Les entrepreneurs lèvent le pied: pourquoi faire des efforts dont les fruits vous seront presque tous confisqués? Les contribuables se lancent dans une optimisation fiscale qui nous coûte cher, quand ils ne partent pas tout simplement vivre et travailler à l’étranger.
    Retenez, en règle générale, que trop d'impôt tue l’impôt: à partir d’un certain taux, plus on augmente les impôts plus les recettes fiscales baissent. C’est la courbe de Laffer.

    1. Zucman l’avoue lui-même: cette taxe a un objectif idéologique, bien plus qu’économique.
      M. Zucman le dit noir sur blanc dans son livre: “détruire une partie de l’assiette fiscale peut être l’intérêt de la collectivité”. Traduction: sa taxe n'a pas réellement vocation à rapporter de l'argent à l'Etat, mais uniquement à punir les riches.
      On s’étonnait, en effet, de voir la gauche la plus radicale, qui ne s’est jamais préoccupée de nos finances publiques, réclamer aujourd’hui une taxe au nom de la réduction des déficits. On apprend donc, quand on creuse un peu, que ce qui l’obsède, ce n’est pas le peu de recettes qu’une nouvelle taxe engendrera, mais le fait d’assouvir ses pulsions idéologiques.

    TAXER LES RICHES, ON LE FAIT DÉJÀ ET CELA N’A JAMAIS PERMIS DE RÉDUIRE LA DETTE.

    Lire la suite

  • Les "animalistes" veulent interdire les salons d’animaux

    image générée avec une I.A. par moi

    Comme il est rituel maintenant, des associations dites "animalistes", c’est-à-dire qui défendent les "droits des animaux", s’opposent à la tenue des salons animaliers, notamment des chiens et des chats.

    Cela a été encore le cas lors du salon Univers du chiot organisé à Fontainebleau les 23-24 août (Le Parisien, 23 août 2025), lors du salon du chiot à Nantes les mêmes jours (Ouest-France, 12 août 2025), comme cela avait été le cas lors du salon Animal Expo au Parc Floral de Paris en septembre de l’année dernière (Le Parisien, 16 septembre 2024), lors du salon du chiot à Vannes les 8-9 février de cette année (Ouest-France, 6 février 2025) ou encore lors de celui de Chantilly les 2-3 août (Le Parisien, 3 août 2025), la liste n’étant évidemment pas exhaustive.

    Si nous ne doutons pas que ces réactions partent, au moins pour quelques-unes, de bons sentiments, il ne faut pas être naïfs pour autant, les "intentions" et l’idéologie sous-jacente étant claires.

    LES ANIMALISTES VEULENT EFFACER LES FRONTIERES JURIDIQUES ENTRE LES ETRES HUMAINS ET LES ANIMAUX

    L’association Projet animaux zoopolis (PAZ) s’indigne que ces salons fassent du "business sur l’élevage des chiens", alors que "les animaux ne sont pas des marchandises ni des attractions à exhiber dans un salon" et qu’il y a tant d’abandons dans notre pays.

    Le Parti animaliste a déploré que le salon de Nantes, "comme tant d’autres, encourage l’achat impulsif".

    La correspondante locale dudit parti a même osé: "Notre objectif est clair: mettre fin à ces foires animalières qui déshumanisent (sic) l’animal et le réduisent à un objet de transaction". Le Parti animaliste exige donc l’interdiction législative des salons de chiots sur l’ensemble du territoire.

    Il faut rappeler que, depuis 2014, la vente des chiens et des chats dans les animaleries est interdite; qu’un "certificat d’engagement et de connaissance" doit être signé avant tout achat d’animal de compagnie depuis 2022; que les animaux sont juridiquement des "êtres sensibles" depuis une modification du code civil, mais qu’ils ne sont pas dotés de la personnalité juridique car il ne s’agit pas d’êtres humains.

    La volonté limpide des animalistes, et plus largement des écologistes extrémistes ou autres "antispécistes", est d’effacer les frontières juridiques entre les êtres humains et les êtres "non-humains", avant sans doute de les effacer entre les êtres vivants et les êtres "non-vivants".

    Il s’agit, sur fond de bons sentiments et d’une comparaison implicite et plus qu’hasardeuse avec l’esclavage, d’une perversion de l’humanisme qui caractérise la civilisation occidentale.

    Il n’est dès lors guère surprenant que le Groupe communiste et citoyen de Paris se soit exprimé en février dernier "contre la marchandisation des animaux"…

    Jean-Philippe Feldman

  • Le communiste Ian Brossat nie les crimes du communisme!

    Il n’y a jamais eu que deux régimes totalitaires au 20e siècle: le nazisme hitlérien et le communisme stalinien selon Hannah Arendt. Personne n’a défendu un renouveau quelconque du nazisme, par contre le communisme…

    Inouï que ce système soit encore toléré par l’Occident dit démocratique!

    A l’occasion de la journée des victimes des régimes totalitaires, le 23 août, la ville de Saint-Raphaël (Var) inscrit son nom dans l’histoire mémorielle française; elle inaugure la première stèle du pays à rendre hommage aux dizaines de millions d’êtres humains écrasés par le communisme.

    Une initiative quasi inédite en Europe occidentale et il faut saluer le maire (LR) Frédéric Masquelier, qui en est à l’origine. Il a voulu "briser un tabou mémoriel", les crimes communistes n’étant que très rarement mentionnés.

    Car aujourd’hui, en France, il y a encore un parti communiste et un journal quotidien communiste!??? (qui ne doit sa survie que grâce aux subventions de l'Etat… et c'est fait avec quel argent, à votre avis???

    Ce qui est d’autant plus honteux que les deux, autant le parti que le journal, font de la propagande négationniste: ils nient les crimes du totalitarisme communiste!

    Ils ont –bienenenu- vivement réagi à l’initiative du maire de Saint-Rapahël, en l’accusant – on s’y attendait – de "faire le jeu de l’extrême droite".

    Dans une tribune publiée par L’Humanité, Ian Brossat, sénateur et porte-parole du PCF, soutient que Frédéric Masquelier "cherche à faire oublier le passé collaborationniste de l’extrême droite française et à faire taire toute contestation du capitalisme".

    LE LIVRE DE STEPHANE COURTOIS SUR LES 100 MILLIONS DE VICTIMES DU COMMUNISME?

    Un "calcul qui n’avait aucun sens, qui additionnait des événements qui n’avaient rien à voir entre eux, des régimes disparates aux idéologies qui avaient peu en commun", écrit Brossat.

    C’est de la pure négation de l’Histoire, tous les pays et les régimes mentionnés par Courtois dans le "Livre noir du communisme" se réclament de l’idéologie marxiste-léniniste.

    En fait, Ian Brossat ne peut tolérer aucune critique car cela risquerait de conduire à une "diabolisation" du communisme et donc au final de "disqualifier l’idée elle-même".

    Sauf que cette "idée", partout où elle a été appliquée, n’a engendré que famines, crimes et camps de travail.

    Attirer l’attention sur ces crimes, c’est la détourner sciemment, selon Ian Brossat, de ce qui a constitué l’essentiel: la "rupture avec le capitalisme". (sic)

    Le maire de Saint-Raphaël est vraiment un grand malin, il honore les victimes du totalitarisme marxiste pour qu’on oublie que nous sommes les victimes du capitalisme!…

    En conclusion, Ian Brossat écrit:

    "Il faut donc verrouiller le débat à triple tour, faire taire tous ceux, de plus en plus nombreux, qui perçoivent la folie d’un système qui nous conduit à la ruine, cadenasser le débat politique en un affrontement interne aux partisans du système. Pour tout cela, ne laissons pas faire!"

    C’est… très exactement ce qui se passait dans les dictatures communistes!

    On verrouillait les débats, on faisait taire ceux qui dénonçaient la folie du régime, on les enfermait à triple tour dans les prisons, on les éliminait ou on les envoyait au goulag.

    Les "robert faurisson du communisme" enragent quand on les met enfin face aux crimes marxistes… eux qui ont le mot "génocide" à la bouche toute la journée, feraient mieux de regarder en face leur passé qui ne passe pas!

    Et n’oublions pas au passage l’infect Pacte Germano-Soviétique par lequel les communistes ont aidé activement l’armée raciste nazie à soumettre la Pologne et la France.

    Aujourd’hui ces gens continuent de nous chanter plus ou moins les louanges de Robespierre, Trotsky, Pol-Pot et Khomeiny.

    C’est honteux!

    Petite question subsidiaire aux gauchistes: si Mélenchon est élu, en 2027, ira-t-il fleurir la tombe de Pétain comme le faisait annuellement son mentor Mitterrand?

    Nicolas Lecaussin

     

  • Le Bohemian Club reproduit des croyances païennes archaïques

    Le Bohemian Club est la principale société secrète de la gouvernance occulte. Le point de ralliement est situé à Santa Rosa, en Californie, à 120 kilomètres au Nord de San Francisco. Créé en 1872 par cinq journalistes, c’est l’un des clubs les plus fermés au monde. Il est réservé à une élite, il regroupe environ 2300 hommes d’influence, d’origine nord-américaine, européenne et asiatique. La cotisation annuelle et la compensation aux déficits sont de l’ordre de 10 000 à 20 000 dollars.

    Pour en faire partie, la liste d’attente exige une dizaine d’années de patience. La majorité des membres sont californiens: des PDG d’entreprises, de hauts fonctionnaires, des membres de conseils politiques ou de fondations. L’élite de la justice, du commerce, du milieu universitaire, médical, scientifique, littéraire. Tous se réunissent chaque année, les deux dernières semaines de Juillet dans la forêt californienne.

    Cette élite forme la tête et le corps de l’actuelle gouvernance mondiale. Il s’agit d’une classe de personnalités de la société civile, riches, influentes, souvent charismatiques, à l’instar des anciens druides. L’initiation à la cause grandiose produit un impact indélébile sur le psychisme de chacun d’entre eux.

    Ils sont à l’origine de l’actuel enlisement économique et social. Ils sont à l’origine des réformes sociétales, aux conséquences gravissimes. Tout cela afin de conditionner les peuples et les Etats. Les peuples et les Etats doivent finalement accepter le programme de sauvegarde d’un Nouvel Ordre Mondial économique et environnemental. Bon gré, mal gré. Avec le consentement ou de force.

    Dans le parc californien du Bohemian Club, sur une place aménagée, en l’honneur des membres et de leurs invités, placés sous haute surveillance, des représentations théâtrales rituelles consistent à mettre le feu au pied de la haute statue en forme de chouette et de simuler des sacrifices humains. Une statue géante de douze mètres, en forme de hibou, taillée dans la roche, surplombe leurs réunions secrètes. La figure mythique de cet oiseau a été reproduite sur les planches à billets de la FED, en minuscule figurine. Le recours au symbole prouve qu’ils ont besoin d’un support matériel pour tirer force de l’esprit. Pourquoi ont-ils choisi l’emblème de la chouette ou du hibou?

    Lire la suite

  • Les canicules du passé étaient plus chaudes que celle d’août 2025

    En l’an 994, Hugues Capet régnant, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant tous les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux. Les humains mouraient, desséchés.

    Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures égales ou supérieures à 42°C pendant au moins 5 à 6 semaines. Les témoins d’époque, clercs et tabellions, évoquent une "chaleur infernale" pendant près de 3 mois!

    Les ecclésiastiques y voyaient la main du diable comme Greta y sent l’odeur du CO2.

    Peu importe la vérité historique, il faut affoler les gens, ça les rend plus dociles et malléables

    Des canicules de plusieurs mois tarissaient puits et fontaines, faisaient des fleuves de simples ruisseaux et généraient des incendies monstrueux contre lesquels on n’avait pas les moyens de s’opposer sinon en faisant la part du feu, l’expression vient de là, en arasant toute la végétation sur des dizaines d’hectares de zones sacrifiées alentour.

    Ces chaleurs insupportables détruisaient les récoltes et les arbres fruitiers, tandis que les hommes et le bétail crevaient littéralement de soif, puis de faim.

    ON CONNUT 8 CANICULES MAJEURES DE L’AN MIL JUSQU’EN 1682.

    Suscitant autant de jacqueries qu’on qualifierait aujourd’hui d’émeutes de la faim. Les plus meurtrières furent celles de 1540 et de 1636 qui tua 500.000 Français.

    Plusieurs dizaines de canicules moins sévères, comparables à celle de cette année, se succédèrent.

    En plus des phénomènes extrêmes, les fortes chaleurs cycliques n’étaient pas exceptionnelles

    En 1684, l’Académie Royale des Sciences releva 25 jours d’une température d’au moins 31° et 16 jours avec 35° à l’ombre à Paris où le thermomètre marqua plusieurs fois 40° en 1701 selon l’échelle de Santorio.

    Le climat se dérégla à nouveau en 1694, en 1718 et 1719 avec 700.000 morts, puis 1767, 1778, 1803, 1817, 1825, 1842, 1858, 1875, 1893.

    Avec des pics de mortalité et de chaleur en 1846 et 1859. Et ça continua ainsi jusqu’au XXe siècle.

    Mais les astrologues du GIEC n’ont probablement jamais entendu parler de la canicule de 1911 qui fit 45.000 morts en France (19.000 pour celle de 2003 attribuée au léger réchauffement cyclique) pas plus que du pic de chaleur de 56,7°C enregistré en Californie en juillet 1913.

    Les réchauffards sont les premiers à dire d’un ton docte et inspiré qu’il ne faut pas confondre météo contingente et climat rémanent. Mais dès qu’il s’agit de canicule, changement de discours: le casuel et le provisoire, liés à des phénomènes localisés, deviennent l’expression du réchauffement planétaire global.

    C’EST DANS LEURS TÊTES QUE ÇA CHAUFFE!

    Pour les bateleurs du GIEC fédérés en 1990 en chamanes de la religion réchauffarde, la température moyenne de la terre vers 2040 dépasserait de 1,5°C celle du début de l’ère industrielle, deux siècles plus tôt, si les émissions de gaz à effet de serre dont leur obsessionnel CO2 devaient se poursuivre au rythme actuel… Et ce serait la fin du monde!

    La belle affaire quand on sait que lors de l’optimum médiéval de 950 à 1350, les moyennes (hors pics de chaleur) accusaient selon les endroits entre 3°C et 6°C de plus qu’aujourd’hui. En un temps où le Groenland était la terre verte des Vikings.

    Quand la vigne poussait en Scandinavie, à Terre-Neuve et sur la côte Nord Est des USA actuels.

    Les évolutions étaient, comme toujours, fonction de la latitude, des reliefs qui orientent les vents et influent sur les précipitations, ainsi que des courants marins et aériens qui pérennisent la répétition des phénomènes.

    Et si on remonte plus loin dans le temps, Hannibal a pu franchir discrètement les Alpes avec ses éléphants il y a 22 siècles parce qu’il n’y avait pas de glaciers sur sa route. L’optimum climatique romain redécouvert par Nature en 1999 a duré de 250 avant JC à 400 après.

    La Tondelière n’a pas osé incriminer les camions, les avions et les centrales à neutrons. Mais on n’est pas passé loin.

    L’EFFET DE SERRE A TOUTES LES SAUCES… UNE IMPOSTURE POUR TERRORISER LES MASSES

    Il n’y a aucun lien démontré entre un léger réchauffement de la planète et les émissions de CO2. Ce gaz a un effet de serre négligeable. Le CO2 ne représente que 0,04% de la composition de l’air. Une légère variation de ppm (partie par million) n’aurait aucune incidence sur les températures.

    D’ailleurs, la teneur en CO2 est stable depuis 35 ans qu’on la surveille. Le surplus est absorbé par les océans, et par la végétation avec des forêts en constante expansion. Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau aux effets plus significatifs. Puisque H2O représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2.

    Dans leurs modèles, le CO2 vire à l’obsession quand, dans l’atmosphère il est mélangé à la vapeur d’eau qui possède des bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1.

    C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infra-rouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s’empile comme des couches de lasagnes.

    En outre, les gugusses du GIEC oublient le gradient thermique vertical. L’air chaud monte et perd 2°C/1000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 5°C à 3000 m (9842 ft). Ils ne tiennent pas compte non plus du cycle de l’eau qui produit avec la chaleur un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.

    L’antienne "Sauvons la planète" sans préciser en asservissant les humains est un mantra de propagande dépourvu de tout fondement scientifique.

    Les prédictions catastrophistes du GIEC qui prétend " guider les actions des gouvernements du monde entier" s’appuie sur l’ignorance des foules dans les domaine de la science et de l’histoire, et la cécité de ceux pour qui le JT tient lieu d’évangile. Sous la surveillance de l’ARCOM, la Gestapo des médias, qui sanctionne quiconque apporte la contradiction aux théories réchauffardes et veille à ce que des scientifiques de réputation internationale, hors doxa, soient ostracisés.

    Les articles de la foi ont été rédigés par de médiocres petits profs cooptés, pillant sans vergogne les travaux de leurs collègues quand ils y trouvent matière à étayer leurs prédictions. Quitte à modifier ou effacer les données qui ne vont pas dans leur sens. Pour servir un triple objectif:

    D’abord l’assujettissement des États-Nations à une plate forme de décision mondiale, en commençant par des traités contraignants d’abandons de souveraineté, anticipant un gouvernement global aux ordres des conglomérats industriels et financiers.

    Avec au moins au début, des simulacres d’élections, sans que les dirigeants désignés soient responsables devant le peuple. Le tout enrobé de diktats auxquels chacun est tenu de croire pour éviter l’exil intérieur et la mort sociale.

    Ensuite le détournement du regard des Occidentaux vers la menace fantôme du réchauffement cataclysmique, en occultant la menace réelle d’une déferlante migratoire qui est en train de modifier radicalement les équilibres géopolitiques et sociétaux ainsi que nos modes de vie…

    Tout en remplissant au profit des banksters et des oligarques des viviers grouillant de manœuvres et de nervis, hors syndicats et aisément manipulables, pour peu qu’on satisfasse leurs lubies religieuses.

    Enfin le parachèvement d’une paupérisation généralisée par la multiplication des faillites accroissant un chômage structurel compensé par un assistanat réduit au minimum vital destiné à rendre les gens encore plus dépendants et à enrayer toute velléité de contestation. Avec une restructuration économique destinée à parachever la transition de l’économie réelle vers le monde de la finance pure…

    En attendant un nouveau minimum de Maunder (petite ère glaciaire) qui pourrait commencer après 2030.

     

    Christian Navis

     

    https://climatorealist.blogspot.com/