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Opinions - Page 37

  • Attention les retraités!

    Comment l’État s’apprête à faire les poches des retraités

    Il semble que l’État s’apprête, notamment sur les conseils du Comité de Suivi des Retraites, à faire une nouvelle fois la poche des retraités, et ce pour deux raisons mensongères.

    Par Thierry Benne.

    Un article de l’Iref-Europe

    Tel la cigale de la fable, une fois de plus fort pris au dépourvu après avoir dépensé sans compter pour faire face à la pandémie, il semble que l’État s’apprête, notamment sur les conseils du Comité de Suivi des Retraites, à faire une nouvelle fois la poche des retraités.

    Deux raisons sont avancées :

        leurs pensions de retraite font partie des rémunérations qui n’ont pas été affectées par les diverses mesures de restriction ou de fermetures prises au titre de l’épidémie et pour rétablir l’équité il faut donc exiger des retraités une sorte de contribution de solidarité sous une forme ou sous une autre ;

        leur niveau de vie dépasse encore légèrement aujourd’hui le niveau de vie moyen de l’ensemble des ménages.

    En réalité, et comme nous allons le démontrer, ces deux raisons sont toutes aussi mensongères l’une que l’autre.

    Le maintien du montant des pensions de retraite

    Le chœur des censeurs, qui ne brille pas davantage par sa clairvoyance que par son sens de la justice sociale, dénonce l’injustice insoutenable qui fait, qu’à l’écart de la pandémie, les pensions des retraités ont continué à être versées dans leur intégralité, alors que d’autres catégories sociales, telles les chômeurs partiellement indemnisés ou les indépendants contraints de cesser leur activité, ont vu chuter leurs rémunérations en dépit des indemnisations mises en place.

    Ils estiment donc que les retraités ainsi privilégiés doivent en retour à la solidarité nationale un sacrifice particulier sur leurs pensions.

    Assurément, c’est aller un peu vite en besogne.

    En termes de vies humaines, les retraités sont ceux qui ont payé le plus lourd tribut à la pandémie, aggravé encore par le comportement erratique des pouvoirs publics qui ont confiné nombre d’EHPAD, en les interdisant pratiquement de soins et dans des conditions qui s’apparentent davantage à une forme larvée d’euthanasie qu’à une approche curative.

    En dehors des indépendants de nombreuses catégories sociales, la plupart des employés des services publics n’ont rien perdu à l’occasion de la pandémie, tout simplement parce que leurs salaires et avantages ont été intégralement maintenus, même pendant les périodes de confinement les plus strictes.

    On observe même que certains actifs ont fait mieux que tirer leur épingle du jeu, soit que le télétravail mis en place ait considérablement réduit leurs frais d’emploi et de garde, soit que le maintien intégral de leur rémunération antérieure se soit accompagné de substantielles réductions de service, voire parfois de quasi- suppressions de service; notamment poste, justice, enseignement, guichets de Sécurité sociale et comme de juste, RATP et SNCF.

    Pourtant, entre un retraité ayant perçu l’intégralité de sa pension après avoir dûment acquitté ses cotisations et un salarié dont tout le salaire a été maintenu pendant les périodes de confinement sans plus accomplir son service, quel a été le mieux traité?

    Il n’existe donc aucune raison que les retraités les plus durement touchés par la pandémie soient les seuls à acquitter sous une forme ou sous une autre une sorte de nouvelle contribution de solidarité nationale, alors que de nombreuses catégories sociales davantage épargnées et mieux soignées et d’autres plus chanceuses encore ont réussi jusqu’ici à traverser la crise sans dommage pécuniaire ou sanitaire apparent et même parfois avec profit.

    Et si vraiment nos censeurs tiennent à leur contribution, qu’ils la proposent donc en priorité à tous les corps de la fonction publique dont le salaire a été intégralement maintenu sans que le service le soit également ! Mais ce n’est sans doute pas un hasard si la plupart des bonnes âmes qui veulent taxer les retraités appartiennent précisément à la fonction publique.

    La référence fallacieuse au niveau de vie des retraités

    Dans les milieux gouvernementaux, comme dans certaines publications statistiques ou encore dans la haute fonction publique il est de bon ton de substituer la référence du niveau de vie à celle du montant des pensions pour piloter l’indexation de ces dernières, en en profitant pour réduire au pain sec les retraités qui assistent impuissant au gel répété de leurs pensions ou à l’augmentation non compensée de leur CSG.

    Cela permet de faire des retraités des privilégiés puisqu’en 2018, leur niveau de vie mensuel par unité de consommation s’établit à 2100 euros contre 2041 euros pour la moyenne de l’ensemble de la population. Or dans tous les cas, ce calcul est intellectuellement malhonnête et moralement inadmissible.

    En effet le niveau de vie ajoute au montant des pensions de retraite d’éventuelles rémunérations accessoires, divers transferts et surtout le montant des revenus du patrimoine des retraités.

    Or, le patrimoine, qui s’acquiert par accumulation, croît normalement avec l’âge de son détenteur et toutes conditions égales par ailleurs un septuagénaire ayant gravi tous les échelons de sa carrière, dégagé au surplus des charges de famille et d’emprunts dispose inévitablement d’un patrimoine plus important qu’une jeune quadragénaire au milieu de sa carrière et supportant à la fois des charges de famille et d’emprunt.

    On ne peut donc statistiquement comparer les revenus du patrimoine d’un retraité avec ceux nécessairement très inférieurs de la moyenne des Français développant une moyenne d’âge inférieure de moitié ou presque à celle des retraités. Les premiers sont inévitablement plus importants que les seconds. Et ce sont essentiellement les écarts enregistrés sur ces revenus du patrimoine qui permettent aux retraités, malgré des pensions inévitablement inférieures aux salaires, d’obtenir in fine un niveau de vie légèrement supérieur à celui de l’ensemble de la population, en sachant toutefois que cette situation n’est que provisoire, car les salaires augmentent plus vite que les pensions.

    Inversement, et cette évidence semble curieusement échapper au Comité de Suivi des Retraites, tous les retraités n’ont pas nécessairement un patrimoine important et on ne peut pas régler de manière uniforme, aveugle et a minima la revalorisation uniforme des pensions de tous les retraités en se référant aux revenus moyens d’un patrimoine moyen, dont beaucoup de retraités ne disposent pas.

    Enfin, si malgré tout on tient à ce que l’indexation des retraites puisse être plafonnée en fonction du niveau de vie moyen des retraités, il n’y a aucune raison qu’une telle restriction ne pèse pas également sur les revenus de toutes les autres catégories sociales, dont la hausse des rémunérations devrait être aussi individuellement pilotée en fonction de l’importance de leur niveau de vie.

    On voit la suite… et certains des plus hauts corps de la fonction publique non dépourvus en patrimoine risqueraient fort de devoir prendre à leur compte l’inflation et plus si nécessaire. À défaut, les principes constitutionnels d’égalité entre les citoyens et d’égalité devant la contribution aux charges de la Nation seraient donc une nouvelle fois bafoués, à moins que le Conseil constitutionnel ne se décide enfin à appliquer le texte même de la Constitution au lieu de l’interpréter et de l’infléchir au gré de ses humeurs!

    Conclusion

    Il est donc clair que, quelque soit le bout par lequel on aborde la question, elle ne reçoit jamais une réponse logiquement satisfaisante, juridiquement fondée, ni économiquement juste.

    Contrairement à ce que l’on tente de nous expliquer, l’institution d’une nouvelle mesure attentatoire au pouvoir d’achat des retraités ne correspond à aucun souci de solidarité, mais à une nouvelle manifestation de cette hargne anti-générationnelle que l’on voit poindre et s’épanouir librement contre les retraités considérés par certains comme autant de bouches inutiles à nourrir, par d’autres comme des parasites pour les générations plus jeunes, les derniers y voyant des nantis insouciants passant le plus clair de leur temps dans de luxueuses croisières vers des pays lointains.

     

     

     

    Quand en plus on s’aperçoit qu’en violation de toutes les déclarations internationales protectrices des droits de l’Homme, ces retraités sont abusivement exclus de toutes les institutions consultatives et de la plupart des caisses de retraite du pays, quand on sait qu’ils ne manifestent guère qu’exceptionnellement et alors toujours ou presque pacifiquement, on dispose de tous les éléments de réponse à la revendication de nos censeurs.

    On sait maintenant qu’elle ne doit rien à l’intérêt général, mais bien plutôt à une volonté prédatrice et malsaine d’imposer une nouvelle mortification aux aînés, sans même s’apercevoir que ce sont leurs propres parents que nos justiciers s’apprêtent à appauvrir une nouvelle fois.

    Et puis, il n’est pas besoin d’être un politologue avisé pour craindre qu’en 2022 lors des prochaines échéances électorales nationales, les plus de 17 millions de retraités ainsi matraqués ne manifestent plus tout à fait la même fidélité à un pouvoir qui, durant cinq ans, n’aura cessé de se moquer d’eux, de les mépriser et de les châtier. Tous ceux qui leur doivent leur élection feraient bien d’y penser dès maintenant.

  • Un scandale français!

    C’est un combat surréaliste, digne de David contre Goliath, que livre actuellement une petite entreprise du Sud de la France contre la Ministre de l’Ecologie (et de la transition vu le nombre de ministres qui se sont succédés ces dernières années).

    Son crime ?

    Ne pas entrer dans cadre d’une procédure de reconnaissance que l’Etat cherche à lui imposer… alors qu’elle ne la concerne pas.

    Après une première victoire devant le tribunal administratif, la société Vento-Sol et son dispositif ECOBANG (technologie performante et économique pour traiter les effluents aqueux) viennent d’obtenir une nouvelle victoire devant la Cour d’Appel de Bordeaux.

    Pour protéger les grands groupes qui traitent les eaux usées et les effluents, Barbara Pompili et ses sbires ont abusivement utilisé les règlements et la justice pour interdire la commercialisation d’un dispositif simple et peu coûteux, inventé par une entreprise bien française.

    Le système révolutionnaire Ecobang menacerait, depuis 2008, la sûreté de l’Etat, et surtout, vu son faible coût, la pérennité des commissions versées à certains ministres et hauts fonctionnaires par les grands groupes de traitement des eaux et des eaux usées. Corruption, quand tu nous tiens!

    Le système Ecobang pour caissette de 900 litres. Avec ça, pas besoin de construire une mini station d’épuration!

    A l’origine, le système ECOBANG a été imaginé pour apporter une solution efficace aux problèmes de gestion des faibles volumes d’effluents aqueux. Nicolas Vento, qui travaillait déjà dans ce domaine, avait en effet identifié un besoin spécifique. Il a donc développé un dispositif “nouvelle génération” à partir d’un cahier des charges exigeant.

    Chronologie d’une saga judiciaire: quand l’administration paralyse le développement d’une innovation française

        2008-2010

    Conception d’ECOBANG par Vento-Sol. Nicola Vento crée un premier prototype, qui donne immédiatement de très bons résultats. Il réalise ainsi une quinzaine de prototypes entre 2008 et mars 2010 pour finaliser le produit final.

        Juillet 2010

    Le démarrage de l’activité est officiellement lancé… mais est immédiatement stoppé par des blocages administratifs: le Ministère de l’Ecologie impose une reconnaissance à ECOBANG.

        Juin 2013

    Après 3 années d’efforts, le Ministère reconnait finalement la première version d’ECOBANG… mais avec de telles restrictions que le dispositif est invendable. En septembre, Nicola Vento conteste cette reconnaissance.

        2014

    Après plusieurs échanges avec l’administration, Nicolas comprend en février 2014 d’où viennent les blocages et pourquoi il est si difficile de faire reconnaître ECOBANG: le dispositif ECOBANG n’entrait pas dans le cadre de la procédure de reconnaissance.

    Il écrit immédiatement au Ministère pour lui demander pourquoi il impose cette obligation alors que son dispositif n’est pas concerné. A partir de ce courrier, le Ministère cesse toute communication avec Vento-Sol.

        Juin 2015

    Après avoir épuisé tous les recours amiables, Nicola saisit le Tribunal Administratif.

        15 Mai 2018

    Le Tribunal Administratif de Toulouse donne raison à la société Vento-Sol. Le Ministère fait alors appel de cette décision.

        10 novembre 2020

    La Cour d’Appel de Bordeaux a confirmé la décision du Tribunal Administratif.

    Cette fois, la condamnation pour faute du Ministère de l’Ecologie a été confirmée.

    “La justice a considéré que notre dispositif ECOBANG aurait pu prendre 20 à 30% du marché agricole si le Ministère de l’Ecologie ne nous avait pas mis, à tort, autant de bâtons dans les roues ! Ce sont ainsi des milliers d’appareils qui auraient pu être commercialisés… nous permettant de devenir leaders sur notre marché” affirme Nicolas Vento, fondateur Vento-Sol en nous lisant les principaux attendus de la décision de justice condamnant Barbara Pompili.

    Si on écoutait la grosse Barbara Pompili, les employés communaux déneigeraient les routes à bicyclette!

    Et maintenant… un nouveau combat devant le Conseil d’Etat

    Malgré cette belle victoire obtenue devant la Cour d’Appel, Vento-Sol n’est pas pour autant libre de développer la commercialisation d’ECOBANG comme elle le souhaiterait!

    “En effet, le Ministère de l’Ecologie se sachant en faute, il a fait évoluer sa réglementation le 27 décembre 2019, pour éviter d’avoir à modifier sa liste officielle devenue non conforme, explique Nicolas Vento.

    “Or les changements apportés posent de sérieux problèmes juridiques et rendent ce texte non applicable selon Vento-Sol.

    “Ainsi, en août 2020, après avoir épuisé tous les recours amiables, la société Vento-Sol a saisi le Conseil d’Etat pour faire annuler les modifications du texte de loi.”

    En essayant de paralyser et de tuer une entreprise française, tous les ministres et hauts fonctionnaires qui se succèdent au ministère de l’écologie se comportent en “nuisibles”.

    – Nuisibles pour les entreprises qui innovent pour protéger la nature, comme l’entreprise Vento-Sol et Nicolas Vento, avec le dispositif révolutionnaire Ecobang.

    – Nuisibles pour 80 000 apiculteurs français, en réintroduisant les néonicotinoïdes tueurs d’abeilles, interdits par la France et l’Europe en 2015 ; en interdisant des produits pas chers pour traiter les ruches contre le varroa destructor ; en ayant refusé de lancer, depuis 10 ans, une campagne de destruction du frelon asiatique, qui détruit désormais des milliers de ruches et des milliards d’insectes pollinisateurs sur le territoire français.

    – Nuisibles pour des tas d’entreprises innovantes, en bloquant des procédés simples pour protéger l’environnement ou recycler les déchets.

    Bravo à l’entreprise Vento-sol pour son invention et pour son combat judiciaire.

    Francis GRUZELLE

    Carte de Presse 55411

    Source:

  • Noël! Noël! Noël!

    La fête de Noël a ses opposants, surtout depuis le développement d’internet et de YouTube. Certains dénigrent le sapin de Noël comme les écologistes, d’autres le Père Noël et la date du 25 décembre comme certains évangélistes et Témoins de Jéhovah, et d’autres fuient Noël comme la peste (je pense à mes voisins musulmans qui rentrent au Maroc chaque année à cette période.)

    https://www.youtube.com/watch?v=lv6PBhNrUuM&feature=youtu.be

    Je me suis donc permis de faire une petite vidéo pour promouvoir cette merveilleuse tradition populaire qu’est Noël. Transmettons aux plus jeunes ce que nous avons vécu dans l’enfance dans les années 50, 60 et 70.

    Le réveillon de Noël est une merveille, un trésor culturel de notre civilisation. Vous imaginez un hiver sans lumières? Sans guirlandes lumineuses? Sans sapin décoré de boules? Sans père Noël? Sans fête de famille? Sans étoiles dans les yeux des enfants?

    Même pour les athées et les personnes éloignées du christianisme, c’est la fête des enfants par excellence, la fête de l’amour dans la famille, l’occasion pour chacun de dire " je t’aime " et de le lui montrer en lui offrant un cadeau ou une attention particulière.

    Je me souviens des Noël de mon enfance, dans les années 60. Un pur bonheur!

    Mes parents n’avaient pas eu cette chance à leur époque, pendant la guerre. Le seul cadeau auquel un enfant avait droit, c’était une simple orange, mais ils avaient l’amour de leur famille réunie, des bougies allumées et des jolis chants de Noël.

    Moi, j’ai eu la chance de pouvoir demander au père Noël le cadeau de mon choix, dans un catalogue. Aujourd’hui les enfants peuvent écrire une vraie lettre au père Noël et ils reçoivent une réponse en plus!

    Qui n’a pas eu sa panoplie? À mon époque, c’était celle de Zorro qui faisait fureur. Aujourd’hui c’est plutôt Spiderman, Ironman ou une tenue de princesse pour les filles.

    Ceux de ma génération ont certainement eu, comme moi, leur train électrique, et aussi une voiture télécommandée. Pour les plus grands, il y avait les jeux éducatifs avec leurs expériences scientifiques, comme Chimie 2000, Biologie 2000, Elec 2000, Magie 2000, etc. L’an 2000 faisait rêver, c’était le futur, la science… Et dire qu’on est en 2020 !

    Les jeux vidéo n’existaient pas à cette époque. Si on avait un télécran, c’était déjà bien !

    Durant tout le mois de décembre, on commence à décorer sa maison, à coller des adhésifs sur les fenêtres, à poser des guirlandes et si possible préparer un sapin dans son salon, comme le veut la tradition. Décorer un sapin en famille, avec ses enfants, est un grand bonheur.

    Dès le début du mois de décembre, l’enfant a droit à un calendrier de l’Avent, et chaque jour il ouvrira une fenêtre qui lui dévoilera un petit cadeau ou un chocolat. Cela l’aidera à patienter jusqu’à jour tant attendu, le 25 décembre, fête de la naissance du divin enfant, Jésus.

    Faire une crèche est aussi un grand moment à partager avec ses enfants. Chaque santon est important : Marie, Joseph, l’âne et le bœuf, mais aussi les rois mages, le petit ange, le berger avec ses moutons, le ravi, et j’en passe…

    On peut ajouter aujourd’hui des personnalités comme le professeur Raoult, ou choisir des crèches plus ludiques comme celle de Playmobil.

    Le soir du réveillon, tout le monde se met sur son " 31 ", les femmes se maquillent et se font belles. Certains membres de la famille viennent de loin, ils ont fait le chemin pour partager cette soirée unique.

    Le repas du réveillon doit être exceptionnel. Le menu est composé de mets spécialement choisis pour l’occasion, des huîtres, les toasts de foie gras et d’œufs de lump, le boudin blanc, la dinde farcie aux marrons, sans oublier les desserts incontournables, la bûche glacée et les treize desserts de Provence : les noix et noisettes, les clémentines ou mandarines, les figues, les dattes, les raisins secs…

     

    Le clou de la soirée sera la remise des cadeaux au pied du sapin, à minuit pétante. Mais avant les cadeaux, on aura pris soin de déposer le santon de l’enfant Jésus dans la paille de la crèche, entre Marie et Joseph.

    Puis les enfants se précipitent sur les cadeaux et cherchent leur nom sur les papiers cadeaux. Ils ont des étoiles dans les yeux. C’est une grande joie. Les adultes s’embrassent pour se remercier mutuellement. C’est un état de grâce très particulier.

    La soirée se finira en chansons et en musique. Et tous se coucheront avec la joie dans leur cœur.

    Je remercie tout spécialement mes parents, qui ne sont plus de ce monde, de m’avoir fait vivre ces moments de bonheur en famille.

    Dites-moi dans les commentaires quels étaient vos cadeaux de Noël dans l’enfance et racontez-nous vos anecdotes.

    Je souhaite un merveilleux réveillon de Noël à Riposte laïque et tous ses sympathisants !

     

    Louis Davignon

    Source:

  • Danger pour nous

    Wafa Sultan: “L’Occident doit prendre conscience de la réalité de l'islam et se préparer à l'affronter“

    Née dans une famille musulmane en Syrie, Wafa Sultan vit maintenant aux Etats-Unis où elle est devenue psychiatre et où elle a banni la religion. Connue notamment pour ses interventions polémiques sur la chaîne Al Jazeera, elle se bat depuis des années contre l'étau islamique. Elle a vécu plusieurs temps cachée à cause de nombreuses menaces de morts qu'elle a reçues. Entretien.

    Valeurs Actuelles. Vous êtes née en Syrie dans une famille musulmane. Pourquoi vous êtes-vous affranchie de ce milieu religieux?

    Wafa Sultan. Les poissons ne voient pas l’eau dans laquelle ils nagent. Au cours de ma vie en Syrie, je ne connaissais pas la réalité de l’islam. La peur nous empêchait de chercher à comprendre ses enseignements ni à approfondir l’étude de la charia. Mon immigration aux États-Unis m’a offert la liberté dont j’avais besoin. C’est là où j’ai commencé à me documenter et à éplucher les livres du patrimoine islamique. À mesure que j’approfondissais, j’étais foudroyée par la barbarie des enseignements de l’islam. Je suis arrivé à un moment de mes réflexions où je n’avais plus qu’un seul choix: abandonner très vite cette religion sans regrets et sans jamais regarder dans le rétroviseur.

    L’approfondissement de la connaissance de l’islam m’a permis de déceler le secret du marécage dans lequel les gens vivent dans tout pays musulman. L’injustice frappante que subit la femme soumise à la charia de l’islam m’a révoltée. J’ai compris encore davantage la répression honteuse que subissent les non musulmans sous les régimes des pays musulmans. Alors, ma décision de quitter définitivement l’islam fut sans appel.

    Je ne l’ai pas seulement banni, mais j’ai décidé de consacrer ma vie à le démasquer et à sensibiliser les gens dans mon pays et dans tout le monde arabe et musulman quant à la nocivité de cette religion. Depuis lors, l’écho de ma voix ne cesse de retentir partout. Aujourd’hui, je me rends compte que ma mission et mon engagement ont porté leurs fruits. Des millions de musulmans m’ont suivie. Aujourd’hui des milliers de voix s’élèvent et ne sont pas moins fortes que la mienne.

    Faites-vous une différence entre les islamistes et les musulmans?

    Je vous confirme sans aucune hésitation qu’il n’y en a pas et qu’il n’y en aura jamais. Au cours de mes trente premières années passées en Syrie, je n’avais jamais entendu l’expression " islamistes ". Je suis profondément persuadé que ce sont les mouvements gauchistes en Occident qui ont inventé ce qualificatif dans le cadre de ce qu’ils appellent le " politiquement correct ". Ils se sont voilés la face et ont voilé l’islam d’une couverture avenante mais fragile et sans aucune valeur. Sont-ils capables de trouver la moindre trace de cette expression dans la charia, les livres sacrés ou les références islamiques? Bien sûr que non! Donc, d’où l’ont-ils sortie? Moi, je ne vois aucune différence entre un musulman et un islamiste.

    Pourquoi concevez-vous l’islam comme une "prison"? Les musulmans ne le voient absolument pas comme tel ...

    Oui, c’est une prison déjà incorporée (ou enracinée) à l’intérieur de l’esprit du musulman. Elle est hermétiquement fermée par une muraille épaisse en béton armé comme un "blockhaus". Elle est entourée par des gardiens criminels qui ne lésinent pas de décapiter tout individu qui tente d’en échapper. Le musulman qui naît et passe toute sa vie à l’intérieur de cette prison, ne pourra pas comprendre la nature de la vie à l’extérieur.

    Par conséquent, il s’y accroche, car il ne connaît rien d’autre.  Cependant, l’ère de l’internet a tout bouleversé. Elle a ouvert un trou dans les murs de cette prison. Ce trou n’a cessé de s’élargir au cours des deux dernières décennies. Tout musulman est aujourd’hui en mesure de savoir comment l’être humain vit en dehors de sa prison islamique. Certes, le processus de changement a commencé, mais à un rythme encore lent pour les raisons suivantes.

     

    Premièrement, parce que la mentalité qui s’est construite et consolidée durant quatorze siècles ne peut être rapidement modifiée ni facilement réhabilitée. C’est un processus qui nécessite beaucoup d’efforts et de temps.

    Deuxièmement, parce qu’en face, il y a des campagnes intensives menées par des groupes qui ont un grand intérêt à maintenir à tout prix le statu quo, afin de conserver leurs intérêts, leurs privilèges, leur fonds de commerce. Ils constituent l’obstacle majeur sur la voie du changement. Les mouvements libéraux et gauchistes en Occident en font partie. Au prétexte de respecter la liberté de croyance, ils mettent des bâtons dans les roues.

    Nous croyons tous à la liberté de croyance, mais lorsqu’il s’agit d’une idéologie criminelle, destructive et terroriste, nous devons avoir le courage et la détermination de la réfuter, de la condamner et de l’interdire par la force.

    La technologie moderne et les réseaux sociaux peuvent jouer un rôle efficace dans ce domaine s’ils bénéficient d’un appui suffisant. Mais malheureusement, toute expression visant à éclairer l’esprit des jeunes musulmans, est censurée sur les pages Facebook et d’autres réseaux sociaux, toujours sous prétexte de non-conformité ou d’incompatibilité avec les normes ou les critères de l’édition. En revanche, les mêmes réseaux ouvrent béatement leurs pages aux terroristes, à leurs mentors comme à leurs partisans sans contrôle ni restrictions, pour diffuser leur haine sans frontières.

    Voilà la raison qui me force à croire que des efforts énormes sont déployés et programmés par différents groupes d’intérêt pour maintenir le statu quo.

    Qu'est-ce qui vous a poussé à ferrailler contre cette religion?

    J’ai la conviction intime que chaque être humain sur cette terre a une mission à accomplir avec les moyens nécessaires pour y parvenir. C’était mon destin d’avoir eu la possibilité d’immigrer en Amérique, où j’ai pu trouver ma liberté et exercer mes droits tels que n’importe quelle femme américaine. En revanche, je n’ai jamais oublié comment vivent les femmes dans mon pays. Je ressens chaque jour ma responsabilité envers elles comme envers le pays d’où je viens.

    Par conséquent, je me suis engagée à bouger et à contribuer à apporter le changement nécessaire pour un avenir meilleur pour les générations musulmanes afin d’améliorer leur vie et celle du monde dans lequel nous vivons. Je considère cette mission comme le but pour lequel je vis et mon devoir sacré. Aujourd’hui, je suis très heureuse de récolter les fruits de mon combat. Chaque jour, je vois mes pensées se diffuser dans le monde islamique et les jeunes les transmettent entre eux. Je voudrais bien vous citer un proverbe syrien qui dit: " Une goutte d’eau qui tombe en permanence est capable de creuser avec le temps une fissure dans la roche la plus solide. " C’est pourquoi, je continue mon action, car mes pensées creuseront un jour leur chemin dans le désert spirituel des musulmans, et elles porteront leurs fruits. Croyez-moi, aujourd’hui j’en récolte beaucoup.

    Mes pensées creuseront un jour leur chemin dans le désert spirituel des musulmans

    Quelles ont été les conséquences de ce combat que vous menez?

    Au début, les conséquences ont été très graves. Les menaces fusaient de partout. J’ai vécu les cinq premières années dans la tourmente. Je me déplaçais d’un endroit à l’autre pour me cacher, tout en dissimulant mon identité. J’ai également perdu tout contact avec les membres de ma famille en Syrie. Leur réaction sur la décision que j’ai prise était très dure. Ils m’ont rejetée moi et tout ce que je faisais. Mais le vent a tourné dès le début de ce qu’on appelle le "printemps arabe". Leur attitude a radicalement changé en ma faveur. Ils ont enfin compris mon combat. Ils ont vécu et subi dans leur chair comment les terroristes dévastaient et détruisaient le pays au nom de leur idéologie islamique.

    Je vous rappelle que la guerre civile en Syrie a permis à beaucoup de Syriens, dont ma famille, de découvrir la vérité des enseignements de l’islam. Je craignais beaucoup pour la vie de mes proches et pour la dégradation de leurs conditions de vie. Aujourd’hui ils ont heureusement tout compris. Nous sommes de nouveau très proches les uns des autres. Nous sommes redevenus une vraie famille. Je suis convaincue qu’en fin de compte, et quelles que soient les difficultés, seule la vérité triomphera.

     

    Aujourd’hui, de nombreuses voix réclament ce que je demande. Le danger persiste toujours, mais avec moins d’intensité qu’au début, notamment suite à mes deux interventions sur la chaîne arabe Al Jazeera, où j’ai crié haut et fort au cours d’un débat avec un représentant de l’Université islamique Al Azhar que " le vrai problème c’est l’islam " . Le processus de changement est en cours. Il avance lentement mais sûrement ... Nous avons besoin de plus de soutien de la part des gouvernements occidentaux pour continuer notre action avec plus de force, mais, hélas, ce soutien est absent.

    Le processus de changement est en cours. Il avance lentement mais sûrement ...

    Ces conséquences sont les mêmes que celles que l’Occident récolte aujourd'hui, n’est-ce pas? Et pourtant il n’a pas du tout le même regard que vous sur cette religion… Pourquoi?

    Les valeurs, dit-on, sur lesquelles une société est édifiée sont les mêmes qui contribueront à sa destruction. L’Occident s’est constitué en fonction du respect des libertés et des droits humains, mais l’application excessive de ces valeurs et le manque d’analyse et de compréhension de la réalité des maux qu’incarne l’idéologie de l’islam, sont de nature à provoquer des conséquences désastreuses dont il m’est difficile d’estimer la gravité. D’autre part, l’Occident ignore la nature de la culture islamique et ne pourra y faire face sans la comprendre et sans saisir la mentalité et les comportements que cette culture génère. Nous avons appris dans nos sociétés musulmanes à voir dans la gentillesse de l’autre un de ses points faibles. C’est pourquoi l’immigrant musulman considère l’homme occidental comme un être faible lors de sa confrontation avec la puissance de l’islam. En fonction de cette vision, les musulmans deviennent de plus en plus vindicatifs, arrogants, extravagants, imprévisibles et incontrôlables.

    Les valeurs sur lesquelles une société est édifiée sont les mêmes qui contribueront à sa destruction.

    Je reviens à mon idée précédente pour dire que les partis de gauche et leurs agents contribuent, sans s’en rendre compte, au soutien des mouvements islamiques qui cherchent à détruire l’Occident et à le transformer en un deuxième Moyen-Orient. Il est extrêmement urgent que l’Occident prenne conscience de la réalité de l’islam et se prépare à l’affronter avant qu’il ne soit trop tard.

    Comment expliquez-vous cette vague de violences? Quelle en est la raison?

    On a demandé à Pharaon: Comment êtes-vous devenu Pharaon? Il a répondu: Personne ne m’a interdit de le devenir.

    L’immigrant musulman considère l’homme occidental comme un être faible

    Le terrorisme a gagné en puissance car les méthodes et les moyens auxquels il est confronté ne sont pas à la hauteur. Ils sont trop faibles et inefficaces. Chaque fois qu’un incident ou un attentat se produit, un tollé de protestations et de réactions verbales se dégagent sur le coup, avant que tout le monde ne l’oublie vite. Entre temps, les terroristes musulmans s’en moquent et manifestent avec de plus en plus de force et  d’arrogance. Le processus de confrontation doit être continu, ferme et autoritaire, et pas seulement de façon verbale et occasionnelle.

    L'Occident n’a pas fait grand-chose contre le soutien financier aux mouvements islamiques en provenance des États pétroliers et d’autres pays musulmans. Il a détourné son regard comme si rien n’était. L’Occident a ignoré ce que rapportent les réseaux sociaux et les chaînes satellitaires islamiques. Il a fermé les yeux sur les publications des universités et des institutions islamiques uniquement pour éviter d’être accusé de racisme ou d’islamophobie. Il a laissé les caïds et les patrons des mouvements islamiques diffuser leurs enseignements truffés de haine et de rancœur sans aucune restriction. Si on n’affronte pas le problème dans tous ses aspects, il n’y aura pas de solution à court terme.

    Il est fort probable que les intérêts économiques de l’Occident l’empêchent d’adopter une position dure. Or, cette posture le conduira inévitablement à perdre ce qui le distingue au moment où il devient trop tard pour faire quoi que ce soit. Aujourd'hui, je vois l’Europe tomber dans un trou profond et il ne lui est pas facile de sortir. Mais ce n’est pas impossible. Tout dépend d’une détermination sérieuse de la part des gouvernements européens face à la menace islamique. Je souhaite qu’il ne soit pas trop tard.

     

    Les musulmans semblent également aveuglés par leur foi... Quelle lecture faites-vous de cette religion au nom de laquelle on nous frappe aujourd’hui? Songeons aux différents sondages Ifop publiés en septembre dernier et dans lesquels il ressort que 74% des jeunes musulmans placent leurs convictions religieuses avant les valeurs de la République…

    L’Occident doit comprendre que l’islam est une doctrine politique et spirituelle, et qu’il est du devoir de chaque musulman de l’imposer par la force. L’Islam est religion et État. Un musulman ne reconnaît aucune constitution ou loi civile autre que celle de l’islam. Il pratique ce qu’on appelle la " taqiya " (la " dissimulation "). Une technique qui consiste à affecter une attitude conciliante, sinon faible, pour déployer secrètement sa puissance et s’imposer in fine.

    Lorsqu’il devient fort, il se révoltera contre tout ce qui n’est pas islamique, en essayant d’imposer la charia. Quant au sondage que vous évoquez, je ne crois pas du tout à sa véracité. Je suis sûre que le pourcentage est beaucoup plus élevé et peut atteindre 100%. Quant à ceux qui prétendent préférer la constitution française, ils pratiquent la taqiya. Ils vont sûrement se révolter contre tout ce qui est occidental le jour où le rapport de force commencera à pencher en faveur de l’islam.

    Il est fort probable que les intérêts économiques de l’Occident l’empêchent d’adopter une position dure.

    En revanche, il ne fait aucun doute que de nombreux musulmans ont quitté l’islam après avoir découvert sa vérité. Mais les médias occidentaux les interrogent toujours en tant que musulmans. Dans ce cas, il ne sera pas étonnant de voir que 26% préfèrent la constitution française à l’islam. Si quelqu’un me demande: préférez-vous vivre sous la loi islamique ou sous la constitution américaine, je dirai certainement " sous la constitution américaine ".  Ensuite, ma réponse sera incluse dans cette catégorie, sans chercher à clarifier que je ne suis pas musulmane, mais plutôt d’origine musulmane. Si vous vérifiez la réalité du pourcentage des gens qui ont préféré la constitution française, vous constaterez qu’ils ont complètement quitté l’islam. Un individu qui se considère comme musulman, n’acceptera jamais d’être gouverné par les constitutions ou les lois occidentales. Non! Ce n’est pas possible!

    Quelle serait la solution pour en finir avec  cette haine de l’Occident? Que proposez-vous pour résoudre le problème?  Une réforme de la religion?

    Voici ce que je propose:

    1. Il est impératif de comprendre avant tout la réalité de l’islam et la nature de la culture dans laquelle le musulman est biberonné. Car on ne peut pas faire face à une force si on ne maîtrise pas très bien toutes ses bases constitutives et ses dimensions.
    2. Les mosquées et les écoles islamiques en Occident doivent être étroitement surveillées. Il faut procéder à l’expulsion de tout individu qui incite au terrorisme et à le déchoir de la nationalité.
    3. Tous les dons aux centres cultuels islamiques en provenance de l’étranger doivent être interdits.
    4. Soit l’on ferme les écoles primaires islamiques, soit on leur impose le même programme que dans les écoles primaires françaises traditionnelles avec un contrôle assidu de la part d’éducateurs et de responsables sérieux non musulmans.
    5. Débattre des enseignements islamiques sans crainte et avec force dans les médias français. Il faut mener des entretiens avec des musulmans, les confronter à des questions de fond et leur réclamer des réponses sérieuses sans ambiguïtés ni dissimulation ou langue de bois.
    6. Élaborer des programmes éducatifs pour les nouveaux immigrants afin de les acculturer et faciliter leur intégration dans le pays d’accueil.
    7. Refuser à tout immigré musulman la nationalité avant de passer un examen sérieux durant lequel il doit répondre à des questions telles que: Votre allégeance va-t-elle d’abord à l’islam ou à la République française? Êtes-vous en faveur de l’égalité homme-femme et au droit des femmes à l’autodétermination? Avez-vous l’intention de changer les lois civiles afin de les remplacer par celles de la charia islamique?

    Bien sûr, il peut avoir recours à la taqiya et mentir dans ses réponses, mais ce n’est pas grave. L’important est de lui adresser par écrit, lors de l’octroi de la nationalité, un message clair, lui indiquant que le gouvernement du pays d’accueil prend au sérieux sa parole et son acculturation. Mais en cas du non-respect de son engagement et des lois du pays, il sera immédiatement déchu de la nationalité et expulsé sans aucun recours.

    1. Ne pas accorder la citoyenneté à un immigré qui ne connaît pas la langue du pays d’accueil.
    2. Revoir les programmes d’aides accordés aux immigrés, surtout lorsqu’ils refusent de s’engager dans le travail et la vie publique.
    3. Rompre les relations diplomatiques et économiques avec tout pays qui soutient la sécession et le terrorisme en France.
    4. Déchoir de la citoyenneté et expulser tout immigré si son comportement porte atteinte à la sécurité et à la sûreté du pays.

    Le musulman ne perçoit à travers la parole douce et gentille que la faiblesse de son interlocuteur.

    S’agissant du deuxième volet de votre question relative à la réforme de l’islam, je pense que ce n’est pas l’affaire de l’Occident. C’est la responsabilité des musulmans eux-mêmes. En revanche, il est du devoir de chaque pays occidental d’imposer ses lois civiles, de les faire respecter par tous ceux qui y vivent et de protéger ses libertés. Avant tout, il ne doit pas laisser le réfugié lui dicter son mode de vie! Il y a un proverbe américain qui dit: " Speak softly but carry a heavy stick " (Parlez doucement mais portez un bâton dur, ou plutôt Une main de fer avec un gant de velours). Lorsque l’Occident commencera à comprendre la mentalité du musulman et sa façon de penser, il sera contraint de lui tenir un langage ferme et de porter un bâton de fer. Car le musulman ne perçoit à travers la parole douce et gentille que la faiblesse de son interlocuteur. Il en profite pour consolider ses positions et sa stratégie vindicative et avancer par la suite ses pions.  Si l’Occident ne change pas de stratégie, il ne fait aucun doute que des catastrophes seront sur le point de se produire chez lui. N’intervenez pas dans la réforme de l’islam, mais forcez les musulmans à assumer cette tâche.

    Protégez-vous, défendez vos pays et ouvrez vos yeux à la réalité avant qu’il ne soit trop tard.

    https://www.valeursactuelles.com

  • Le peuple allemand se lève pour défendre les libertés

     

    Ce que l'on nous cache, en FRANCE!

    Senta Depuydt la journaliste belge qui ne compte pas son énergie pour sauver la liberté et la civilisation de notre monde a partagé avec nous la vidéo de la manifestation de Leipzig qui fait suite à celle de berlin occulté par les médias, mais qui malgré tous les énormes efforts du camp mondialiste avait été une réussite formidable avec plus d’un million de participants. La présence de Robert Jr Kennedy, neveu de l’illustre président des USA avait galvanisé les foules avec son évocation du " i bin ein berliner " de son oncle à Berlin quelques décennies plutôt.

    Senta raconte: " 7 novembre… " Das Folk ", le peuple est à nouveau dans la rue. Des milliers de personnes se sont rassemblées au cœur de la ville de Leipzig lors d’un autre événement pour la paix, l’amour et la liberté. Des manifestations ont eu lieu dans toute l’Europe ces dernières semaines, mais ce qui se passe en Allemagne est vraiment unique… "

    (…) Oui, nous savions que l’Allemagne serait un moment historique, quelque chose de significatif. Et c’était… au-delà de notre imagination !!!

    Malgré tous les efforts déployés par les responsables de la ville de Berlin pour interdire l’événement et décourager les gens de venir, plus d’un million de personnes de toutes les régions d’Allemagne et d’Europe se sont jointes à l’un des plus grands rassemblements pour la liberté du siècle. Le discours inoubliable de Robert F. Kennedy, Jr., faisant écho aux paroles de son oncle en 1963 dans un message pour défendre le " peuple libre de Berlin " contre la menace du communisme et de la dictature, a instantanément atteint des dizaines de millions de personnes dans le monde. Et son avertissement était très clair. La démocratie est à nouveau en danger, cette pandémie est un coup d’État et nous sommes ici ensemble pour lutter pour nos droits ".

    Senta raconte également ce que nous percevons des messages de nos amis allemands qui se battent bec et ongles pour libérer le monde de ce nouvel ordre mondial qui ne se cache plus ! Les avocats appellent à un Nuremberg 2.

    Le " plus jamais cela " a une énorme signification pour eux, alors même que les petits français et même certains médecins qui appliquent des vaccins obligatoires ou euthanasient des patients sans leur consentement, ne connaissent même pas ce que signifie le code de Nuremberg .

    Les Allemands ne sont pas remis de la honte du nazisme, tandis que les français ont intériorisé le combat de magnifiques résistants, comme le leur, mais sont prêts aujourd’hui à dénoncer leur voisin pour une fête familiale interdite par le sieur Castex … sans compter les monceaux de lettres anonymes de dénonciation encore en stock à la bibliothèque nationale. Des héros ? Non certains oui le furent au-delà de notre imagination ; mais pas tous les français.

    Les Français de la deuxième guerre mondiale ont-ils été globalement plus innocents que les Allemands de la même époque ?

    Pourquoi notre pays a -t-il autant ce sentiment de supériorité, d’invulnérabilité qui nous mène à la soumission outrancière, au massacre des cerveaux de nos enfants aggravé encore par ce port du masque obligatoire au- delà du stress psycho traumatique subi pendant le confinement et les aberrantes et honteuses mesures de " distanciation " imposées à l’école pour calmer les foules, les syndicats bien conditionnés par les représentants zélés de big pharma via la peur induite par les relais gouvernementaux obéissants.

     

    Senta raconte ce que nous lisons trop souvent de la part de nos amis allemands. " Chaque personne que j’ai rencontrée à Berlin m’a raconté la même histoire:

    "En tant qu’Allemands, nous avons dû grandir avec la honte du régime nazi et la misère du communisme. Cela ne peut plus jamais se reproduire ! Il n’y a tout simplement aucun moyen d’accepter une autre société totalitaire. C’est une question de vie ou de mort … ".

    " Les Allemands sont dans les rues tous les samedis depuis août dans des dizaines de villes. Des centaines, voire des milliers de médecins sont totalement en désaccord avec les " coronamesures". Ils s’expriment, soutenus par des dizaines d’avocats, de scientifiques, d’artistes, de sportifs, d’hommes d’affaires, de parents. Il est difficile d’estimer le nombre de personnes au courant de la situation en Allemagne, mais certains disent que cela pourrait représenter jusqu’à 20% de la population.

    Les combattants de la liberté ont défilé chaque semaine avec des portraits de Ghandi, des messages d’amour, des prières, des chants de paix et de la méditation et semaine après semaine, ils ont été qualifiés d’extrémistes, de fascistes et de criminels violents par leurs médias et leur gouvernement. Des blocs noirs se sont infiltrés dans leurs rangs pour provoquer des incidents, les forces de l’ordre ont tenté de les intimider. Lors de l’une des récentes manifestations à Berlin, nous avons vu des images de nos bons amis brutalisés et arrêtés par des " robocops " alors qu’ils se promenaient simplement dans la foule. Mais les voici de nouveau. Rien ne les arrêtera. "

    Nous-mêmes et nos médias se taisent, taisent le comportement du voisin soi-disant notre modèle, taisent le fait qu’ils ont contrôlé de façon beaucoup plus adaptée de la crise covid. Les allemands ont non seulement évité le confinement mortifère et ses victimes collatérales de non ou retard de traitement et surtout évité un grand nombre de morts en laissant ses médecins choisir le traitement adapté, précocement, en d’autres termes l’usage de la chloroquine.

    Relayons le combat de nos voisins allemands et nous ferons écho aux manifestations italiennes, espagnoles etc… dans d’autres tribunes.

    "Je vous invite à regarder ce moment unique à Leipzig. La police a annoncé la fin de la manifestation à 15 heures “parce que la foule ne respectait pas la distance sociale et ne portait pas de masques”. Mais lorsque les organisateurs ont quitté la scène, les gens ont tout simplement refusé d’y aller. Ils ont montré tant de force, tant de courage, ils étaient si nombreux que personne ne pouvait les forcer à partir. Nos amis ont résisté avec paix et amour et une part croissante des forces de police se tourne de leur côté. Tel est le nouvel esprit du peuple allemand, un esprit qui doit à la fois nous éveiller et nous inspirer. "

    "Regardez cette belle vidéo des habitants de Leipzig. (…) Laissez le nouvel esprit de l’Allemagne vous surprendre et vous guider, comme une lumière qui monte du plus profond des ténèbres. "

    https://www.youtube.com/watch?v=sdNqAmCAHYg&feature=youtu.be

    Les rues de Leipzig, le 7 Novembre

    Nicole Delépine