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Savoir - Page 114

  • Ha! la belle vie d'avant la pollution!

     

    C’est la richesse créée par l’industrialisation qui nous a permis d’améliorer l’environnement.

    Par Marian L. Tupy.

    Un article de HumanProgress.org

    Récemment, j’évoquais l’idée romantique développée par l’anthropologue anglais Jason Hickel selon laquelle les gens du passé " vivaient bien " avec des revenus monétaires faibles ou nuls. Je rappelais qu’avant la révolution industrielle, les vêtements étaient extrêmement chers et inconfortables. Les filatures de coton ont tout changé. Comme le faisait remarquer un historien français en 1846, " la production mécanique […] a mis à la portée des pauvres un monde d’objets utiles, voire luxueux et esthétiques, auxquels ils n’auraient jamais pu prétendre auparavant ".

    Aujourd’hui, j’aimerais évoquer la question de la pollution. Il est bien connu que l’industrialisation a contribué à polluer l’environnement, mais cela ne signifie pas que l’air et l’eau étaient purs avant l’arrivée des fabriques et des usines ! Par rapport à aujourd’hui, nos ancêtres ont dû endurer d’atroces conditions environnementales.

    Commençons par la qualité de l’air. La biographe anglaise Claire Tomalin constate qu’au XVIIe siècle à Londres1 :

    Tous les foyers brûlaient du charbon […] La fumée de leurs cheminées obscurcissait l’air et recouvrait chaque surface d’une suie crasseuse. Certains jours, on pouvait observer un nuage de fumée d’un kilomètre de haut et de trente kilomètres de large au-dessus de la ville […] Les crachats des Londoniens étaient noirs.

    Dans le même ordre d’idées, l’historien italien Carlo Cipolla cite2 le journal de l’écrivain britannique John Evelyn, qui écrivait en 1661 :

    À Londres, nous voyons des gens marcher et converser, poursuivis et hantés par cette infernale fumée. Les habitants ne respirent rien d’autre qu’un brouillard impur et épais, accompagnée d’une brume fuligineuse et crasseuse… altérant les poumons et compromettant le fonctionnement des organismes.

    Les rues étaient tout aussi sales. John Harrington a inventé les toilettes en 1596, mais les WC sont restés un luxe rare deux cents ans plus tard. Les pots de chambre continuaient d’être vidés dans les rues, les transformant en égouts. Pire, même les grandes villes ont continué à pratiquer l’élevage jusqu’au XVIIIe siècle. Comme le note l’historien français Fernand Braudel dans Les structures du quotidien3, " les porcs étaient élevés en liberté dans la rue. Et les rues étaient si sales et boueuses qu’il fallait les traverser sur des échasses".

    Des trous de pauvres

    L’historien anglais Lawrence Stone a fait les observations suivantes dans The Family, Sex and Marriage in England 1500-18004 :

     Dans les villes du XVIIIe siècle, les égouts, désormais régulièrement remplis d’eau stagnante, étaient couramment utilisés comme latrines; les bouchers tuaient des animaux dans leurs échoppes et jetaient les restes des carcasses dans les rues; les cadavres d’animaux pourrissaient et s’infectaient là où ils étaient laissés; des fosses de latrines étaient creusées près des puits et contaminaient l’approvisionnement en eau. Les corps des riches en décomposition dans les caveaux funéraires, situés sous l’église, incommodaient fréquemment le pasteur et sa congrégation.

    Lawrence Stone rapporte qu’un " problème spécifique " à Londres était les poor holes (littéralement, les trous de pauvres) : " de larges fosses profondes et ouvertes dans lesquelles étaient alignés les corps des pauvres, les uns à côté des autres. Ce n’est que lorsque la fosse était remplie de corps qu’elle était finalement couverte de terre". Comme l’a souligné un écrivain de cette époque, cité par Stone : " Quelle odeur nauséabonde se dégage de ces trous!"

    De plus, "de grandes quantités d’excréments humains étaient jetés dans les rues la nuit […] Ils étaient également déversés sur les routes environnantes et leurs bas-côtés: les visiteurs qui sortaient ou se rendaient à la ville étaient obligés de se boucher le nez pour se protéger des mauvaises odeurs".

     

    Selon Stone,

    Ces conditions sanitaires primitives ont entraîné des épidémies récurrentes d’infections bactériennes de l’estomac, la plus redoutable de toutes étant la dysenterie, qui emportaient de nombreuses victimes des deux sexes et de tout âge en quelques heures ou quelques jours. Des troubles de l’estomac, de différents types, étaient chroniques, en raison d’une malnutrition chez les riches et d’une sous-alimentation ou d’une consommation d’aliments avariés chez les pauvres.

    Puis il y a eu "la prévalence de parasitose intestinale ", " une longue maladie, pénible et incapacitante qui a causé nombre de problèmes de santé et une vaste misère humaine. […] Dans les nombreuses régions marécageuses mal drainées, les fièvres paludéennes répétées étaient courantes et incapacitantes… (et) peut-être encore plus effroyable était la lente, inexorable et dévastatrice puissance de la tuberculose".

    La situation n’était pas meilleure sur le continent européen. Au milieu du XVIIe siècle, la reine Anne d’Autriche, mère de Louis XIV, notait que " Paris est un endroit horrible et malodorant. Les rues sont si méphitiques qu’on ne peut s’y attarder à cause de l’odeur putride des viandes et des poissons en décomposition et à cause d’une foule de gens qui urinent dans les rues".

    Au XIXe siècle, la pollution demeurait un problème. Spécialiste de la période victorienne, l’historienne Judith Flanders rapporte5 l’observation de Waldo Emerson selon laquelle " plus personne ne portait de blanc (en Angleterre) parce qu’il était impossible de le garder propre ". Selon Flanders, les brosses à cheveux paraissaient "noires après usage" et les nappes étaient posées juste avant de manger, "sinon les cendres du feu venaient s’y déposer et elles étaient salies en quelques heures".

    La puanteur atroce de la Tamise

    En 1858, l’odeur pestilentielle de la Tamise était si forte que " les rideaux donnant sur la rivière étaient trempés dans du chlorure de chaux pour en éliminer l’odeur ". L’effort s’était révélé infructueux : le Premier ministre Benjamin Disraeli a fui un jour une salle de réunion "avec une pile de papiers dans une main et un mouchoir de poche sur le nez", parce que la puanteur était trop atroce. Il qualifiait la rivière de "bassin stygien, qui empeste des horreurs indescriptibles et insoutenables".

    Gardez à l’esprit que même après le début de la révolution industrielle, une grande partie de la pollution n’était toujours pas industrielle. Henry Mayhew, chercheur en sciences sociales et journaliste anglais, a découvert6 que la Tamise contenait "des éléments provenant de brasseries, d’usines à gaz, de fabriques chimiques et minérales; des cadavres de chiens, de chats et de chaton; des matières grasses et des déchets d’abattoir; des saletés de toutes sortes issues des trottoir; des déchets végétaux; du fumier d’étables; des ordures de charcuterie; des excréments humains; de la cendre; des casseroles et des marmites […], des pots, des bocaux, des cruches et des pots de fleurs cassés; des morceaux de bois et des ordures de toutes sortes".

    Il ne fait aucun doute que l’industrialisation a causé de grands dommages à l’environnement au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. Mais elle a également créé des richesses qui ont permis aux sociétés avancées de construire de meilleures installations d’assainissement et ont favorisé l’émergence d’une population éclairée, dotée d’une préoccupation sans précédent pour l’environnement et disposée à payer davantage de taxes locales pour sa gestion.

    Londres, devenue moderne, est propre

    En 2015, la BBC a rapporté que "plus de 2000 phoques ont été repérés dans la Tamise au cours de la dernière décennie […] ainsi que des centaines de marsouins et de dauphins et même quelques baleines errantes. […] Il y a maintenant 125 espèces de poissons dans la Tamise, contre quasiment aucune dans les années 1950".

    De même, les concentrations moyennes de particules en suspension à Londres sont passées de 390 microgrammes par mètre cube en 1800 à un pic de 623 en 1891, avant de tomber à 16 en 2016. Aujourd’hui, l’air de la capitale du Royaume-Uni la place parmi les grandes villes du monde les plus propres.

    Les données actuelles montrent clairement que, avant l’industrialisation, la vie de nombreux Occidentaux était extrêmement désagréable, du moins au regard des normes actuelles. Prétendre qu’ils "vivaient bien" est tiré par les cheveux.

    Traduction : Raphaël Marfaux pour Contrepoints.

    Claire Tomalin, Samuel Pepys : The Unequalled Self, Londres, Viking, 2002.

    Carlo Cipolla, Before the industrial revolution: European society and economy, 1000-1700, Routledge, London, New York, 1993.

    Fernand Braudel, Civilisation matérielle, économie et capitalisme, XVe et XVIIIe siècles 1. Les Structures du quotidien, Paris, Armand Colin, 1979

    Lawrence Stone, The Family, Sex and Marriage in England, 1500-1800, Penguin, 1977.

    Judith Flanders, The Victorian House: Domestic Life from Childbirth to Deathbed, HarperCollins, 2003.

    Henry Mayhew, London Labour and the London Poor, Royaume-Uni, 185

  • Rien ne va plus en France: Y’en a marre!

    La France se meurt. La France est malade, très malade. Elle souffre et s’étiole, dépérit peu à peu, par une absence totale de rigueur, et par un amollissement et la léthargie de ses enfants.

    En outre, notre cher et beau pays héberge un nombre croissant de parasites, véritable sangsues de la République.

    Ces importuns, ces écornifleurs se retrouvent à tous les niveaux de la société. Profitant du système et de ses privilèges, fuyant toute responsabilité, on les retrouve dans les ministères, les grands corps de l’État, et même dans les allées de l’Élysée

    Les scandales suivent d’autres infamies, les affaires s’amoncellent sans que rien ne bouge, et le pire est l’absence totale d’information de la part de certains " responsables " qui ne savent rien, qui ne sont au courant de rien, s’étonnant même qu’on leur pose des questions.

     

    Après la tragédie d’AZF, l’incendie tragique de Notre-Dame de Paris, les rocambolesques aventures d’un protégé de l’Élysée, un certain Benalla, le drame incompréhensible survenu à la préfecture de police de Paris. Rien n’est dévoilé, rien n’est expliqué, et personne n’est responsable, personne n’est coupable. Après quelques envolées des médias, quelques réquisitoires cinglants de citoyens clairvoyants, rien de nouveau de la part des hauts dirigeants.

    Pendant une semaine, voire deux, les informations déroulent en continu les " affaires ", puis on passe à autre chose, sans pour autant poser un diagnostic sur ces maux qui nous rongent et nous affaiblissent, et enfin trouver les coupables et les châtier.

    La République française est devenue une société à irresponsabilité illimitée.

    Rien ne va plus en France. Les drames se succèdent, les crimes restent impunis, les banlieues s’embrasent, nos villes et nos campagnes sont envahies de hordes de sans-papiers qui auraient dû être ramenées aux frontières. C’est à se demander si le pays est gouverné, dirigé, administré. Vous connaissez la blague favorite de Coluche " circulez, y a rien à voir ".

    C’est aujourd’hui la marque de notre société.

    Depuis des mois, des années, bon nombre de Français s’insurgent de voir notre pays sombrer peu à peu dans une léthargie, une prostration, une  soumission aux appétits insatiables d’un islam conquérant.  Sur tous les plans, dans tous les domaines, l’islam avance déguisé ou à visage découvert, sapant les lois et les règles d’une république laïque et démocratique. L’État, les médias et l’ensemble de la population sont terrorisés à l’idée d’être traités d’islamophobes, aussi on ne dit plus rien, on n’ose critiquer ou condamner. Les cantines scolaires, les facultés, les hôpitaux, les piscines font l’objet de revendications, de protestations sous le prétexte que nous sommes racistes et islamophobes. Demain, on nous reprochera de ne pas nous  soumettre aux coutumes vestimentaires des pays musulmans, de ne pas respecter le jeûne du ramadan, de manger des cochonnailles.

    Marre des barbus, marre des djellabas, des voiles et niqabs, marre des prétentions, marre des bassesses de nos gouvernants, marre des apitoiements de nos intellectuels dès que l’on aborde les questions d’immigration et que dire de l’envahissement de nos villes et  de nos villages…

    Comme le disait notre regretté J. Chirac " on fait des greffes de tout : de rein, de cœur, de foie, mais jamais de testicules. La raison est toute simple, il n’y a plus de donneur ". Effectivement, il n’y a plus d’hommes.

    Yves Rectenwald

    https://ripostelaique.com/rien-ne-va-plus-en-france-yen-a-marre.html

     

     

  • Boycottez ces entreprises!

    Le chantage de Nutella et de la Maif: si Zemmour, pas de pub!

    Nous savions que des multinationales avaient choisi leur camp, et par définition, celui du mondialisme! Nous pensions tout de même que leurs intérêts bien compris leur interdiraient de prendre position sur les luttes politiques au sein des nations.

    Il faut croire que l’influence de l’islam, mais surtout le juteux profit du marché halal, leur ont fait perdre la raison et prendre des positions pro-islam.

    Nous savons désormais que l’entreprise Ferrero, société d’industrie agroalimentaire italienne qui commercialise le Nutella (pâte à tartiner à base de sucre, huile de palme, de noisettes, de cacao, de lait, de lactosérum et d’émulsifiants) s’est franchement positionnée contre les patriotes de France et probablement d’Italie et d’ailleurs.

    Cette marque ne peut ignorer les désastres humains que cause l’islam dans le monde.

    Elle ne peut ignorer ces lois, sa logique, sa misogynie, sa violence et au lieu d’être prudente, de ne pas prendre part à cette lutte des patriotes contre la violence islamiste si bien décrite par Éric Zemmour, elle annonce, et tire dans le dos des patriotes européens.

    La mutuelle la MAIF, qui se disait militante, ne se cache plus de son militantisme pro-islam! J’encourage les adhérents de cette si peu mutuelle, mais si fraternellement musulmane à se poser les bonnes questions.

     A-t-elle raison économiquement de trahir ses adhérents/clients qui ne se retrouvent pas du tout dans son action anti-Zemmour?

    Ou est-elle à ce point gangrenée par un islamisme puissant à la manière de la préfecture de Paris?

    Il y a bien quelque chose de pourri dans ce monde des assureurs et des multinationales!

    Quelque chose qui devrait prouver à tous nos concitoyens qu’ils sont manipulés par ces entreprises qui cachent leurs liens avec certaines mouvances, ou ont été phagocytées de l’intérieur!

    Quelle réponse peut-on apporter à ces entreprises?

    Celle au minimum de se faire violence pour les uns, en cessant de financer l’entreprise italienne Ferrero (Nutella, Kinder, Ferrero Rocher, Mon Chéri et Tic Tac, etc.)  De leur écrire sur leur tweed qui est @FerreroFR .

    Vous pouvez également constater son " engagement militant " auprès d’associations qui militent pour favoriser et aider les clandestins  (Source)

    https://www.ferrero.fr/actualites/

    On se doute bien que cette entreprise Ferrero ne fait rien par bonté d’âme, mais cherche à faire oublier sa responsabilité dans la déforestation en mettant sur la table assez d’argent pour que les associations dites écologiques, humanistes, pro-migrantes, animalistes, protectrices des orangs-outans, etc., la mettent en veilleuse! La main gauche donne, la droite reprend dans la poche des consommateurs! Tour de passe-passe classique!

    C’est plus étonnant pour des banques comme Monobanq qui est une banque en ligne française fondée en 2006 et basée à Villeneuve-d’Ascq, dans le nord de la France, en métropole lilloise. Il faut dire que la maison mère est le Crédit Mutuel / Cofidis / CIC. Elle a un slogan surréaliste qui ne s’invente pas: Les gens avant l’argent.

    Ils devraient dire ça aux chrétiens d’Orient, au Yazidis, et à tous ceux qui ont subi une mort violente causée par les adeptes de l’islam dont a parlé Éric Zemmour, à commencer par les 250 morts en France dans les attentats, et les quatre derniers policiers de la préfecture de Paris!

    Bref, si des patriotes de France et de Navarre, êtes adhérents à la MAIF, ou avez des comptes en banque au Crédit Mutuel, à Monobanq, au CIS et/ou avez des crédits chez Cofidis, vous savez ce qu’il vous reste à faire dans la mesure du possible!

    Dans tous les cas, arrêtez au minimum de manger des produits Ferrero! Au moins, en même temps que lutter pour votre santé, vous allez soutenir Éric Zemmour, et vous ferez un acte de résistance en même temps que des économies.#SoutienZemmour

    Gérard Brazon

    https://ripostelaique.com/le-chantage-de-nutella-et-de-la-maif-pour-faire-interdire-zemmour-de-tele.html

  • Scandale Harpon

    L’ahurissant rapport de Françoise Bilancini, patronne de la DRPP

    Françoise Bilancini, la patronne de la direction du renseignement de la préfecture de Paris, vient de remettre son rapport sur le tueur islamique Mickaël Harpon.

    Un rapport qui en dit long sur le dénislamisme français, cette faculté si hexagonale de surtout ne pas voir ce que l’on voit dès qu’il s’agit d’un musulman, de ne pas dire ce que l’on devrait dire dès qu’un "Allahu akbar" est concerné, de ne pas entendre ce que l’on entend dès qu’il s’agit d’un adorateur de Mahomet.

    Mickaël Harpon était habilité secret défense, habilitation renouvelable tous les cinq ans. La première date du 8 juillet 2003. Puis elle a été renouvelée régulièrement. Pas le temps de se faire chier avec ce genre de conneries à la préfecture?

    Et excuse suprême: c’est conforme aux textes.

    Madame Bilancini écrit que depuis son arrivée, elle a mis en place une procédure d’habilitation plus poussée. Ces vérifications auraient permis, selon elle, d’éviter l’affectation à la DRPP de personnes faisant courir des risques divers au service. Des agents russes? Des trafiquants de drogue? Parce qu’en ce qui concerne le Coran et ses lecteurs assidus, la procédure a merdé.

    Doit-on comprendre que Harpon ne risquait rien parce qu’à la DRPP, on ne s’en prend pas aux musulmans?

    Ainsi l’intéressé, un Noir avec des troubles auditifs lourds avec lequel il fallait communiquer par signes était uniquement connu pour avoir tabassé sa concubine et future femme. Harpon avait été dispensé de peine par le TGI de Pontoise. Quand c’est un musulman qui cogne, les hauts-le-cœur féministes, les irritations de la bonne conscience, la sévérité des juges Mur des Cons, sont beaucoup moins tranchants que lorsque Zemmour est en cause.

    L’intéressé, c’est-à-dire le tueur, avait rédigé un rapport sur lui. Y expliquait-il comment il fallait cogner les femmes?

    L’administration française devrait mettre en place cette forme de management dans tous les services. Dans les tribunaux, les coupables issus de la diversité devraient prononcer eux-mêmes le jugement sur eux-mêmes. Gain de temps, clarté dans la sanction. Que du bonheur politiquement correct.

    Plus loin, on apprend que Micka avait demandé en février 2019 à progresser plus vite dans sa carrière. Il n’avait pas accès à assez de fichiers relevant du secret défense à copier pour ses amis en Allah?

    Françoise Bilancini, en vraie femme de terrain, a côtoyé l’assassin " sans constater la moindre difficulté relationnelle ou professionnelle ". Parce qu’il avait une certaine couleur de peau? Parce qu’il avait une certaine religion?

    Certes, des collègues du tueur musulman avaient relevé des signes de radicalisation. " Ils déclarent en avoir alerté leur hiérarchie ou pris conseil auprès des collègues spécialistes de ces problématiques ". Un autre collègue de Harpon dit avoir informé la SDSI (service informatique) des propos que celui-ci avait tenus après le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo, de son refus de serrer la main des femmes. " Il n’embrassait plus la secrétaire de la section mais restait courtois avec les femmes. "

    Tout cela est demeuré tellement informel. " Aucun rapport écrit ni d’avis à la hiérarchie. " " Les deux collègues étaient dans la retenue ", note Françoise Bilancini. Ils n’auraient pas souhaité formaliser le signalement. Pourquoi? Par peur d’apparaître sur la liste des islamophobes si dangereux pour la sécurité du pays? Par trouille que leur carrière en prenne un coup?

    Pas plus tard que la semaine dernière, ils auraient constaté que Harpon embrassait les femmes. Remords d’avoir presque dénoncé un Noir handicapé musulman? Crainte de se retrouver dans un goulag administratif français à Limoges ou Saint-Pierre-et-Miquelon?

    Pas de traces.

    Rien dans le dossier administratif.

    Le service informatique de la DRPP fonctionne, selon Françoise Bilancini, " sur un mode quasi familial ", très soudé, et le tueur coranique y était parfaitement intégré.

    Surtout quand il copiait sur clé USB les adresses des policiers pour les livrer à ses copains en islam?

    La directrice de la DRPP termine par une phrase merveilleuse de naïveté complice, une phrase qui devrait rester dans les annales du dénislamisme: " Si une difficulté était apparue, depuis 2015, avec le comportement de M. Harpon, je ne doute pas du fait qu’elle aurait été portée facilement à la connaissance de la hiérarchie pour prise en compte. Il n’en a rien été. "

    Depuis une petite difficulté est apparue. Harpon était en fait un cuisinier adepte du halal.

    Mais la crainte de paraître islamophobe, raciste, esclavagiste, ne s’est pas arrêtée là. La femme complice du tueur – comment la qualifier autrement? Elle n’aurait prévenu qu’une amie de l’état psychologique du brave Mickaël et pas la police après l’achat des couteaux – a été remise en liberté. L’histoire ne dit pas s’ils lui ont rendu les tranchants ustensiles de cuisine.

    Que nous dit Françoise Bilancini en filigrane? Si vous êtes muzz, vous pouvez postuler, vous ne risquez rien, on a trop la trouille de passer pour des islamophobes.

    Qui veut bosser à la DRPP?

    C’est ça le dénislamisme.

    Bilancini est aussi mortellement coupable que Castaner. Elle est complice comme un certain nombre de fonctionnaires qui me font beaucoup penser à ces agents britanniques qui ont refusé pendant des années de voir le viol des jeunes Anglaises par les Pakis pour ne pas être traités de racistes.

    La moindre des choses que j’attends en tant que citoyen français de la part de gens qui doivent garantir ma sécurité, est qu’ils démissionnent après avoir tant failli dans leur mission. Castaner et Bilancini dehors.

    Marcus Graven

    Rapport intégral:

    https://drive.google.com/file/

     

    https://ripostelaique.com

     

  • Le brûlot de Fabien Bouglé sur les éoliennes

    Les éoliennes, technologie obsolète et néfaste, ont détourné énergies et capitaux aux dépens de l’innovation et de la recherche, seuls à même de trouver une solution à une trop grande dépendance à l’égard des énergies fossiles.

    Voici un livre sur les éoliennes qui vient à son heure. Dans cette triste époque de délire mystico-religieux et d’irrationalité satisfaite, Fabien Bouglé remet les pendules à l’heure. Il dénonce l’escroquerie environnementale, économique et politique que représentent les éoliennes.

    On aura rarement aussi bien démonté le mythe des prétendues énergies renouvelables. Que le discours sur les éoliennes soit du vent, on le sentait bien, mais sans avoir toujours tous les éléments d’informations réunis de façon commode.

    Fabien Bouglé démonte aussi, de façon précise, le business juteux des vertueuses ONG, si promptes par ailleurs à dénoncer les méchants lobbies du nucléaire, du pétrole ou des OGM. Pour paraphraser Voltaire, les prétendus défenseurs de l’environnement crachent dans la soupe pour mieux en dégoûter les autres. Mais ne comptons pas trop sur la presse pour trop se pencher sur certains conflits d’intérêt.

    L’idéologie "planétophile", comme l’appelle l’auteur, enthousiasme les citadins et se fait aux dépens des ruraux.

    L’idéologie écologiste repose sur des paradoxes continuels: les paysages naturels sont défigurés au nom du respect de la nature! Les éoliennes gigantesques se substituent aux clochers, comme l’écologisme supplante le christianisme.

    Bien sûr, derrière l’enthousiasme lyrique continuel propagé par les médias se révèlent des intérêts financiers bien juteux, dont certaines ONG, par le biais de prises d’intérêt, profitent largement. Fabien Bouglé dénonce dans l’industrie éolienne "une arme de destruction massive de l’environnement".

    Un bilan environnemental désastreux

    Bien que l’information, très biaisée, qui existe sur Internet essaie de faire croire au caractère recyclable des éléments constituant les éoliennes, seul le mât l’est réellement. La nacelle exige l’utilisation des fameuses terres rares que nous retrouvons dans les voitures électriques, les panneaux voltaïques et téléphones portables, si chers à la boboïtude conscientisée. Or rien de plus polluant, notamment sur le plan radioactif, que l’exploitation des terres rares.

    Il est curieux que les adversaires acharnés du nucléaire prônent des éoliennes dont la construction entraine l’accumulation de déchets radioactifs et de graves problèmes de santé pour les ouvriers chargés de l’extraction et les populations environnantes.

    La durée de vie des éoliennes étant brève, guère au-delà de 25 ans, que faire des stocks de pales à peu près impossibles à recycler et dont les composants se révèlent dangereux pour la santé? Et en songeant aux 14 000 éoliennes qui rouillent sur place en Californie, on frémit à ce qui nous attend en France et en Europe.

    Le "bilan carbone", si cher à notre époque, est absolument désastreux pour les éoliennes comme le montre l’auteur. Elles provoquent même un réchauffement local là où elles sont installées!

    Le bon élève doit imiter le cancre

    Le vent est certes inépuisable mais ce n’est pas le vent lui-même qui produit directement l’énergie. Et le vent souffle où et quand il veut, comme le savait la sagesse antique. Notre époque paraît avoir oublié cette vérité élémentaire. L’intermittence est un des nombreux talons d’Achille de notre symbole vert. Cette intermittence exige une régulation par l’utilisation de centrales thermiques. En d’autres termes, plus vous utilisez d’éoliennes plus vous devez recourir à des énergies fossiles. Le soi-disant " renouvelable " dépend totalement du non-renouvelable!

    On en arrive à cette situation ubuesque où la France, élève modèle de l’Europe en termes d’émissions de CO2, se voit enjointe d’imiter le modèle allemand qui émet 10 fois plus de CO2 par kWh produit.

    Divers chapitres sont consacrés aux problèmes subis par les riverains des éoliennes ou au massacre de grande ampleur des oiseaux et de chauves-souris, mais aussi, ce qui est moins connu, du monde marin.

    Dictature verte et capitalisme de connivence

    Un chapitre porte un titre significatif, " La nouvelle dictature verte ". Visiblement les règles de la démocratie ne s’appliquent pas pour les installations d’éoliennes. Le chapitre suivant qui fait allusion à une certaine Greta se penche sur le " capitalisme vert ". Derrière les jeunes filles aux nattes se cachent toutes les tares du capitalisme de connivence: exonérations d’impôts, subventions, tarifs subventionnés. Bref, toutes les joies du profit sans risque assuré par le contribuable qui n’en peut mais. Une belle bulle artificielle qui n’aurait jamais existé si le marché avait pu jouer son rôle.

    Et à l’horizon se profile un désastre économique, surtout pour notre pays qui bénéficie largement de la manne touristique: mais pour combien de temps? Touristes et éoliennes ne font pas vraiment bon ménage.

    En bref, les éoliennes, technologie obsolète et néfaste, ont détourné énergies et capitaux aux dépens de l’innovation et de la recherche, seules à même de trouver une solution à une trop grande dépendance à l’égard des énergies fossiles.

    Sans vouloir déflorer davantage le contenu d’un ouvrage très documenté, qui mérite la plus large diffusion, je ne peux que vous inviter à le lire au plus tôt!

    Fabien Bouglé, Éoliennes, la face noire de la transition écologique, éditions du Rocher, 2019, 240 p.

    Gérard-Michel Thermeau, docteur en Histoire, est professeur agrégé d'Histoire-Géographie et de Cinéma-audiovisuel dans un lycée de Saint-Etienne.