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Savoir - Page 110

  • Voleur! profiteur!

    ... et, en plus, il ment comme il respire!

    Argent public: Emmanuel Macron fait déraper les dépenses de l’Elysée

    Voitures, repas, ménage… comment Emmanuel Macron fait déraper les dépenses de l'Elysée

     […]

    En 2018, 89.669 euros supplémentaires ont été déboursés pour l’achat de nouvelles voitures.

     […]

    Autre poste de dépenses important : les frais alimentaires. La facture est cette fois plus élevée de 500.000 euros. Le palais présidentiel explique cette fois avoir dû organiser beaucoup plus de repas de travail…

     […]

    Concernant les frais de ménage, ils ont eux aussi explosé depuis l’arrivée de Macron à l’Élysée, note L’Obs.

     […]

    À cela s’ajoutent les travaux entrepris dans le Palais. La salle des fêtes en tête. Sa rénovation qui a duré cinq mois a pesé lourd dans les finances, en particulier la nouvelle moquette rouge et or qui a elle seule a coûté pas moins de 300.000 euros.

     […]

    Capital

  • Radio Paris ment, radio Paris est musulman

    Laurent Obertone: "L’Observatoire national de la délinquance n’existera plus à partir de l’an prochain sur décision ministérielle, ses chiffres seraient trop dérangeants"

      ? @LaurentObertone lâche une bombe ?

        "L'Observatoire nationale de la délinquance n'existera plus à partir de l'an prochain sur décision ministérielle parce que ses chiffres seraient trop dérangeants".

     

        Ils pensent arrêter la fièvre en cassant le thermomètre. Quelle naïveté ! pic.twitter.com/EdP4xnS8qw

        — Romain Espino (@RomainEspino) November 1, 2019

     

        "L'Observatoire nationale de la délinquance n'existera plus à partir de l'an prochain sur décision ministérielle parce que ses chiffres seraient trop dérangeants", révèle @LaurentObertone, journaliste, dans "Conversations avec @BPetrover" pic.twitter.com/zPwdXf1NVe

        — i24NEWS Français (@i24NEWS_FR) October 31, 2019

    L’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ) et l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) qui en dépend vont être supprimés fin 2020, a annoncé ce mardi Matignon, confirmant une information de L’Opinion.

    […]

    Cet institut, créé en 1989 et baptisé INHESJ en 2010, visait à former des cadres et acteurs de la société civile sur "les différentes politiquespubliques en matière de sécurité et de justice, d’intelligence et de sécurité économique, ou encore de gestion des risques et des crises".

    […]

    Il est aussi chargé d’étudier les évolutions statistiques de l’ensemble du processus pénal, les faits constatés par les décisions de justice, l’exécution des peines et des sanctions pénales ainsi que la récidive au sein d’une structure nommée "Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales", qui sera également supprimée.

    LeFigaro (8 octobre 2019)

    GOUVERNEMENT: la lâcheté à tous les étages!!!

     

  • Protégez-là!

    (Elle était journaliste à Charlie, ce jour-là)

    Zineb El Rhazoui, vient de nous proposer ces quelques lignes inoubliables.

    À l’heure où les islamistes et leurs complices communautaristes s’émeuvent de cette "maman voilée humiliée devant son enfant", les pires sévices, mortels, me sont promis publiquement sur les réseaux sociaux, et personne ne s’en émeut à part vous tous, mes amis et soutiens laïques, humanistes et républicains.

    Comme si je n’étais pas moi aussi une maman, comme si mon enfant qui lirait un jour les menaces des défenseurs de l’islam, " Nik Ta mer la gross putte", " On te retrouvera égorgée dans ta baignoire", " Tu seras violée par tous les trous", n’en éprouverait aucun traumatisme, ceux qui volent au secours de la hijabiste du conseil régional se taisent sur ce que je vis au quotidien. Un silence qui en dit long sur les dégâts de la terreur islamique sur l’inconscient collectif français.

    Les menaces, les insultes, les humiliations publiques, les diffamations sont si nombreuses, quasi incessantes ces dernières semaines, que je n’ai même plus le temps de les compiler, même plus les moyens de les poursuivre toutes.

    Pour autant, je ne ressens pas que "ma vie a été détruite" comme le prétend la menteuse hijabisée. Au contraire, voir mon pays, celui que je lèguerai à mon enfant, sombrer dans cette aliénation islamiste, le voir trembler devant ce retour de l’inquisition sous une autre étiquette religieuse, me donne le courage de continuer, de me battre avec encore plus de force qu’auparavant. C’est mon devoir de femme, de citoyenne et de mère.

    Comme moi, ne cédez jamais à la terreur, ne faiblissez pas devant l’intimidation, ne soyez même pas effleurés par la calomnie des fascistes qui vous traitent de racistes, d’islamophobes, de "putes", "pédés" et autre injures qui vont avec et qui leur servent d’arguments. Résistez ! C’est vous les plus forts.

    Il va nous falloir être forts si nous voulons être les plus forts. En effet, l’ennemi est nombreux, conquérant, organisé et lourdement armé. Il est soutenu par l’appareil d’État et l’ensemble des traîtres, de ceux que nous appelons les collabos, et qu’Islamator appelle à châtier.

    Chose encourageante, le JDD du jour nous apprend que pour 61% des Français, l’islam est incompatible avec les valeurs de la France.

    http://www.fdesouche.com

    Par ailleurs, que les 61 % de Français qui ne veulent pas de l’islam arrêtent de voter, pour trop d’entre eux, pour les pires collabos qui nous imposent l’islam.

    Ne l’oublions jamais, l’envahisseur n’est fort que par la complicité des collabos. Si la peur change de camp, et s’il arrive quelques "mésaventures" à ces traîtres notoires, alors la peur changera de camp, et tout peut évoluer très rapidement. Un gouvernement mandaté par le peuple saurait se donner tous les moyens pour faire le ménage nécessaire, et sauver ainsi le pays. Cela serait coûteux, mais bien moins que si nous laissons les islamistes prendre possession du pays.

    Il est bien tard, mais il n’est pas trop tard“.

     

  • LAREM = VOLEURS!

    A rajouter aux autres exactions déjà indiquées ici

    Guadeloupe: le président LREM de la Région et sa vice-présidente, placés en garde à vue pour détournement de fonds publics

    http://www.fdesouche.com

     

    Un cadre LREM mis en examen dans une affaire de trafic de drogue international

    http://www.fdesouche.com

  • France, orange mécanique

    Lyon: Ils refusent de payer un euro pour passer dans la rue et se font frapper à coups de barre de fer.

    L’auteur a 124 antécédents judiciaires

    Le suspect avait décidé d’instaurer un "droit de passage". Pour "s’amuser".

    Un euro, demandé à chaque passant qui empruntait la rue Joseph Chalier dans le quartier de Mermoz à Lyon. Mais "le jeu" a tourné à la violente agression, rapporte ce mercredi la Sûreté du Rhône.

    Un dégénéré comme il y en a tant!

    L’homme de 36 ans, arrêté lundi soir à 19h45, venait de frapper quatre hommes à coups de barre de fer. La situation a dégénéré quand l’un des promeneurs, ne parlant pas le français, n’a pas compris ce qu’on lui demandait.

    Le trentenaire s’est mis à "insister lourdement pour se faire payer", indique la police lyonnaise. Sauf que l’interlocuteur ne comprenait toujours pas ses propos. Il a demandé à trois de ses amis de lui traduire. En vain.

    "Face à leur incompréhension, le mis en cause les a frappés violemment à l’aide d’une barre de fer", raconte-t-on à la Sûreté du Rhône. Les policiers de la BST sont intervenus rapidement pour l’arrêter mais en garde à vue, le suspect s’est montré "très virulent", faisant "l’apologie de tirs à la kalachnikov".

    www.20minutes.fr

     

  • Ponctionnaire con comme un balai, encore un!

    Le restaurateur Arnaud Bloquel et la bourde à 14 000 euros de l’URSSAF

    Par le Cercle Lafay.

    La médiatique affaire Arnaud Bloquel, le restaurateur à qui l’URSSAF a infligé un redressement de 14 000 euros au titre des avantages en nature parce qu’il mangeait … dans son propre restaurant, témoigne d’un phénomène qui est plus fréquent qu’on le croit : l’absurdité avec laquelle l’URSSAF réalise ses contrôles, la ridiculisant, et rendant difficile – voire impossible – la réalisation du vœu exprimé par Emmanuel Macron, président de la République, qui aimerait que l’URSSAF soit " l’amie de l’entreprise ", phrase prononcé le 9 octobre 2018.

    Dans les faits, on peut comprendre que le chef d’un restaurant mange sur son lieu de travail, où il passe ses journées entières. On l’imagine mal prendre sa voiture pour aller dans un fast-food… Et on peut aussi penser qu’il ne se sert pas à chaque repas un menu gastronomique.

    Peu importe, pour les inspecteurs zélés de l’URSSAF : un chef d’entreprise a l’obligation de déclarer ses repas comme avantage en nature. Faute de quoi ils redressent. Et puisque le restaurant est gastronomique, la somme exigée atteint les étoiles :  l’avantage en nature est évalué à 107 euros par repas, le prix moyen d’un dans son établissement. Soit une note très salée de 14 000 euros.

    Un redressement délirant qui a même fait réagir le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin, qui dénonce une " situation absurde issue d’une règle obsolète ! ". Pour le ministre, il faut changer tout cela. Et, tel le roi soignant les écrouelles, il va demander à l’URSSAF de reconsidérer le cas de ce chef cuisinier.

    Le problème est que, si choquante que soit cette histoire, le redressement n’est pas totalement infondé. En effet, pour les dirigeants de société, l’avantage en nature sur la nourriture ne peut être évalué qu’en fonction de sa valeur réelle et non forfaitaire. Par souci de simplicité, l’inspecteur s’était donc contenté de réintégrer dans le montant des cotisations le prix d’un repas moyen dans ce restaurant. Le chef a eu beau expliquer à l’inspecteur qu’il mangeait des pâtes ou se préparait des plats peu coûteux d’une valeur d’environ 6 euros, rien ne pouvait faire échec à ce redressement.

    Ce redressement a donc des fondements juridiques sérieux. De là à ce que les inspecteurs URSSAF taxent un médecin offrant un doliprane à sa femme ou un électricien changeant une ampoule chez lui… Des tweets mi amusés, mi choqués l’envisagent.

    Cette affaire surmédiatisée est la partie visible de l’iceberg : neuf contrôles sur 10 se soldent par un redressement. Le think tank Le Cercle Lafay, qui œuvre pour l’amélioration des relations entre l’URSSAF et les entreprises, recense des dizaines de cas ahurissants, dont les victimes n’ont pas eu la chance d’être repérées par le ministre des Comptes publics : l’épouse d’un restaurateur qui le remplace au pied levé parce qu’il est parti aux urgences (cas flagrant, aux yeux des URSSAF, de travail dissimulé), tout comme des laissés-pour-compte à qui Emmaüs verse un petit pécule, que l’URSSAF s’empresse de grever de charges sociales …

    Malgré une communication lénifiante (" les URSSAF sont au service des entreprises " …), les URSSAF œuvrent dans un cadre juridique arriéré se traduisant par une extraordinaire insécurité juridique pour les entreprises. L’affaire Bloquel n’en constitue qu’un exemple.

    Une autre surprise vient de ce que les instances des URSSAF sont composées aussi de représentants du monde patronal, très souvent atones face à de telles aberrations.

    Le ministre a raison de vouloir changer ces règles absurdes.

    Il ne cesse d’ailleurs de le dire, chaque fois que l’actualité met en relief les comportements abusifs des URSSAF.

    Un cadre juridique sain devrait permettre un réel dialogue avant, pendant et après le contrôle afin d’éviter ce genre d’aberration qui ne peut que ternir l’image des organismes de recouvrement et désespérer un peu plus les entrepreneurs.

    Ainsi, le cotisant devrait pouvoir avoir recours à un supérieur hiérarchique de l’inspecteur en cas de difficultés lors de la vérification.

    J'ai moi aussi connu cela: je travaillais pour un magazine à qui je faisais les mots croisés. En tant que travailleur indépendant déclarée, je payais mes cotisations à l'URSSAF et donc, je faisais une facture mensuelle au magazine.

    Figurez-vous qu'un jour, le rédac-chef m'a demandé les numéros de toutes mes factures parce que l'URSSAF voulait leur compter des cotisations comme à un employé. J'ai même fourni mon numéro de cotisante URSSAF.

    Rien à faire, le magazine à été condamné par l'URSSAF à payer les cotisations sur mes factures -comme si j'étais journaliste- et l'a obligé à me faire un bulletin de salaire!

    Honte à ces crétins!