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Savoir - Page 109

  • Bravo Madame et courage!

    Zineb El Rhazoui remporte le prix Simone Veil de la Région Île-de-France

    Un prix du public récompensant son courage et sa force dans ses combats pour la défense de la laïcité, la lutte contre toutes les formes d’obscurantisme et de l’égalité entre les femmes-hommes.

       

  • Les Français ne les supportent plus:

     je vais vous expliquer pourquoi…

    “C’est marrant“ un islamiste rentre à la préfecture, tue 4 personnes. On en parle deux-trois jours. Mais heureusement pour les biens pensants, un vieillard a voulu incendier une mosquée et là bien sûr c’est le tollé général dans les merdias! On nous en sert matin midi et soir en insistant bien sur le fait que cet homme âgé de 84 ans a été encarté RN si on voulait détruire l’image du RN l’occasion est bien trop belle.

    Loin d’approuver ce genre d’action, il faut quand même remettre l’église au milieu du village. Depuis 2012, ce sont 263 morts dans des attentats islamistes en France, alors que de l’autre coté, pas un seul mort. Faudrait quand même ne pas inverser les rôles!

    Comment en est on arrivé là? Et bien c’est très simple et cela va s’accentuer. Cela est du à la passivité de nos politiques et de notre pseudo-justice vis à vis des islamistes, qui poussent à bout le peuple Français, et qui les poussent à faire des exactions. Et à en croire ce que j’entends dans la rue, ce n’est pas prêt de diminuer.

    Pire, cela va s’accentuer et cela finira par un bain de sang, dans une guerre civile ethnique, alors bien sûr des décérébrés du style Bellatar vous diront que c’est de la faute du RN et des fachos. Que nenni c’est entièrement de leur faute. Quand j’entends les propos de ce clown triste qui ne fait rire que lui! Bellatar, proche de Macron, ose déclarer:” J’ENMERDE LE Front National”. Cela veut dire qu’il emmerde 25% des Français!

    Et bien moi je suis désormais certain que 61% des Français emmerdent Bellatar, car ils en ont marre de subir ces musulmans et qu’ils en ont rien à foutre de ces menaces. Comme quoi leurs enfants seront médecins, avocats, notaires etc. etc.

    Mes parents ont vécu 8 ans à Casablanca, jusqu’à la fin du concordat, et ils m’ont toujours vanté la beauté de la ville et la douceur de vie qui y régnait. 40 ans plus tard, ils y sont retournés et leur constat a été catastrophique, car les Marocains n’ont jamais rien entretenu. La ville est devenue une décharge publique. C’est d’ailleurs ce qu’ils font à Paris dans le quartier de Barbès ou à Saint Denis, dans le 93, si cher à ce Belattar, bien entendu franco-marocain comme beaucoup (encore une chose à supprimer la double nationalité).

    Car la vérité est que les musulmans, dans leur grande majorité, sont incapables de créer de la richesse.

    Alors plutôt que de vilipender le RN -ce qui est bien trop facile puisque tout le monde leur tombe sur le dos-, les musulmans feraient bien de balayer devant leurs portes et se demander pourquoi les Français ne les supportent plus. La première des raisons -et on le comprendra- ce sont les attentats.

    Comment accepter que chaque jour un Français au moins tombe sous les coups de couteaux de ces islamistes? Comment supporter que ces couards salopards rentrent dans une salle de spectacle et mitraillent des jeunes sans défense parfois à bouts touchants? Comment supporter qu’un salopard prenne un camion et écrase tous les enfants partis regarder un feu d’artifice?

    Alors oui M. Belattar TOUS les musulmans ne sont pas des terroristes je vous l’accorde.

    Mais d’une part tous les terroristes sont des musulmans et comme vous le déclarez haut et fort, vous n’êtes pas responsables des exactions de ces cinglés.

    Mais deux choses me dérangent. La première, c’est que vous soyez et que vous restiez bien silencieux lors de ces attentats, alors qu’habituellement vous n’hésitez pas à prendre la parole et vous avez le verbe haut et fort.

    Et la deuxième ce sont -lors de ces attentats dont l’un a coûté la vie de ma fille Nathalie- ce sont les applaudissements qui ont retenti dans les banlieues et dans les prisons, dont 75% de la population est musulmane. Croyez-moi, ça je ne l’oublierai jamais, et si vous avez des enfants j’espère que vous le comprendrez!

    La seconde raison est très certainement les provocations que vos congénères font envers le peuple Français. Voyez-vous, moi j’ai grandi dans ce que l’on appelait “un quartier arabe” à l’époque. Il y avait une sorte de respect. Il n’y avait pas de délinquance, il n’y avait pas de voile, pas de djellabas. Il n y avait pas de prières de rue. Est-ce que les arabes de l’époque étaient moins pratiquants ou moins croyants que maintenant?

    Non je ne le crois pas, mais à l’époque, les arabes savaient remercier le pays qui les accueillaient et qui les nourrissaient. Ils avaient le respect de la nation et ne cherchaient pas à provoquer. Maintenant, c’est tout l’inverse.

    Alors cela fait bien longtemps, sûrement bien trop longtemps, que les Français se taisent, ne disent rien, et subissent en silence. Maintenant, ils arrivent, suite aux nombreux morts qu’ils ont eu a subir, à un point de non retour.

    Et ce n’est pas vos menaces qui vont les arrêter maintenant. Il va falloir que ces gens apprennent à vivre en France comme de vrais Français, sinon ce sera une guerre civile ethnique à laquelle nous ne pourrons pas échapper!

    Patrick Jardin

    https://ripostelaique.com

  • On les appelle les "juges rouges".

    Membres du tout jeune Syndicat de la magistrature, né dans la tourmente de Mai 68, ils revendiquaient pleinement la "part du juge" dans l’œuvre de justice. L’un des leurs, Oswald Baudot, alors substitut du procureur de la République à Marseille, adresse, en 1974, à ses jeunes pairs une harangue les appelant à faire pencher la justice en faveur des plus défavorisés.

    "La justice est une création perpétuelle. Elle sera ce que vous la ferez. N’attendez pas le feu vert du ministre ou du législateur ou des réformes, toujours envisagées. Réformez vous-mêmes. (…) La loi s’interprète. Elle dira ce que vous voulez qu’elle dise. Sans y changer un iota, on peut, avec les plus solides “attendus” du monde, donner raison à l’un ou à l’autre, acquitter ou condamner au maximum de la peine. Par conséquent, que la loi ne vous serve pas d’alibi. (…)

    Ne vous contentez pas de faire votre métier. Vous verrez vite que, pour être un peu utile, vous devez sortir des sentiers battus. Tout ce que vous ferez de bien, vous le ferez en plus. Qu’on le veuille ou non, vous avez un rôle social à jouer. Vous êtes des assistantes sociales. Vous ne décidez pas que sur le papier. Vous tranchez dans le vif. Ne fermez pas vos cœurs à la souffrance ni vos oreilles aux cris. (…) Ne soyez pas des arbitres indifférents au-dessus de la mêlée. Que votre porte soit ouverte à tous. Il y a des tâches plus utiles que de chasser ce papillon, la vérité, ou que de cultiver cette ­orchidée, la science juridique. (…)

    Soyez partiaux. Pour maintenir la balance entre le fort et le faible, le riche et le pauvre, qui ne pèsent pas d’un même poids, il faut que vous la fassiez un peu pencher d’un côté (…). Ayez un préjugé favorable pour la femme contre le mari, pour l’enfant contre le père, pour le débiteur contre le créancier, pour l’ouvrier contre le patron, pour l’écrasé contre la compagnie d’assurance de l’écraseur, pour le malade contre la sécurité sociale, pour le voleur contre la police, pour le plaideur contre la justice“.

    Poursuivi par le garde des sceaux d’alors, Jean Lecanuet, pour "manquement à l’obligation de réserve", Oswald Baudot comparaît le 28 janvier 1975 devant la commission de discipline du parquet. Mais, face à la mobilisation du Syndicat de la magistrature, le ministre renonce à le sanctionner.

    https://www.lemonde.fr

    C’est ainsi que passe la sale justice politique de ces juges rouges soumis à leurs turbulences idéologiques.

    https://ripostelaique.com

     

  • Gouvernement de sinistres crétins

    Djebbari (LREM): "Le Pen fantasme une France gauloise, blanche, hétérosexuelle, qui n’a jamais existé dans l’Histoir "

    INVITÉ RTL – Le secrétaire d’Etat en charge des Transports dénonce la France de Marine Le Pen qui "n’existe pas" selon lui.

    " Marine Le Pen fantasme une France qui n’existe pas ". Voici l’avis de Jean-Baptiste Djebbari concernant la présidente du Rassemblement national. Invité lors du Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI dimanche 3 novembre, le secrétaire d’Etat en charge des Transports dépeint la France de Marine Le Pen: une " France gauloise, blanche, hétérosexuelle si possible comme le disait Eric Zemmour. C’est une France qui n’a jamais existé dans l’histoire et elle construit cette utopie et elle dresse les gens les uns contre les autres, ça me paraît être totalement l’inverse de notre projet".

    Emmanuel Macron a instauré le duel de 2022 face à Marine Le Pen. Une bonne stratégie? " Quand je lis ou j’écoute Marine Le Pen, j’ai vraiment l’impression d’être à des années lumières de ce qu’elle propose (…) ".

    RTL

  • Manif: intimidations musulmanes devant CNews pour empêcher Zemmour de parler!

    EXTRAIT

    Contre Zemmour, donc contre la liberté d’expression. Faut pas toucher à l’islam, ils sont de plus en plus vindicatifs, hargneux et menaçants… Attendons demain les réactions des journaleux et des politiques…

    Qui osera dénoncer cette déclaration de guerre?

    https://ripostelaique.com

     

    VOYANCE FRANCE 2020

     

     

  • Les journalopes de CNews

    Surcharge de travail et pression, le quotidien que nous ont décrit les journalistes de CNews est loin de faire rêver. Le retour d’Éric Zemmour le 14 octobre dernier sur la chaîne d’info aurait pu être le catalyseur d’un mouvement social semblable à la mobilisation suscitée par l’arrivée de Jean-Marc Morandini en 2016. Pour l’heure, il n’en est rien.

    Plusieurs journalistes de CNews ont accepté de nous expliquer pourquoi la grève était inenvisageable, voire impossible dans cette entreprise qui pratique, selon l’un d’entre eux, “le management par la peur”. D’ailleurs, la plupart des personnes interrogées ont réclamé l’anonymat par peur de représailles.

    “Un pigiste, il ferme sa gueule et il travaille!”

    Si une nouvelle grève semble impossible aujourd’hui selon les salariés, c’est d’abord en raison de la structure actuelle de la rédaction. Celle-ci est composée pour une grande partie d’alternants et surtout de pigistes, des journalistes payés à la journée et qui peuvent à tout moment ne plus être rappelés. Un statut précaire qui ne leur permet pas d’élever la voix, de peur de perdre leur travail.

    “Quand tu es pigiste, il y a des choses que tu ne peux pas faire”, confie un journaliste qui partage ses semaines entre plusieurs chaînes d’informations en continu. “Si tu fais grève, tu es remplacé au planning et tu es blacklisté, donc je ne prendrais pas ce risque. C’est tellement précaire que tu n’as pas de moyen de pression, notre voix ne compte pas. On compte sur nos chefs pour faire remonter nos craintes.”

    Les craintes sont d’ailleurs bien réelles depuis le retour de Zemmour à l’antenne. Le sujet est régulièrement évoqué en interne. “Évidemment, on est tous outrés, on en parle entre nous et on est nombreux à ne pas être fier de ce qui se passe à CNews aujourd’hui”, poursuit un autre pigiste. “Je n’ai jamais entendu une personne me dire dans la rédaction que c’était une bonne chose la venue de Zemmour, mais notre voix n’est pas entendue car un pigiste il ferme sa gueule et il travaille” (sic).

    Le spectre de la grève d’iTélé en toile de fond

    En 2016, la rédaction avait fait front commun contre l’arrivée de Jean-Marc Morandini. Le présentateur avait été mis en examen pour “corruption de mineurs aggravée” après avoir organisé des castings dénudés et formulé des propositions sexuelles à de jeunes acteurs lors du tournage d’une websérie.

    La plus longue grève dans l’histoire de l’audiovisuel privé s’était soldée par un échec cuisant pour les salariés. Les 31 jours de mobilisation n’avaient pas permis de faire fléchir la direction “droite dans ses bottes”, qui a finalement su imposer Jean-Marc Morandini à l’antenne. Un mouvement qui avait fragilisé la chaîne, en perte de vitesse face à la concurrence. La chaîne d’information, qui avait dépassé les 1% de part d’audience quotidienne avant la grève, n’a depuis jamais réussi à reproduire de pareils scores.

    L’accord de sortie de grève prévoyait le remplacement de chaque journaliste ayant quitté la rédaction, mais la réalité est bien différente. Dans la rédaction, une aile entière de l’open-space est aujourd’hui désespérément vide et la poussière s’accumule sur ces anciens bureaux des services international et politique. Aucun salarié n’a été installé dans cet espace fantôme, comme si la direction voulait laisser volontairement à la vue de tous les stigmates de la grève.

    “On subit encore aujourd’hui la grève de 2016, et les anciens qui ont connu cet épisode sont conscients que ça a pu affaiblir la rédaction”, confie une pigiste. “On sait très bien qu’une autre grève peut être fatale à la chaîne. La raison nous dit de faire grève mais notre conscience nous dit de ne pas le faire pour ne pas fragiliser encore la chaîne”. Un nouveau bras de fer avec la direction ne semble pas aujourd’hui d’actualité, tant cette dernière est redoutée en interne.

    Serge Nedjar et “le management par la peur”

    Serge Nedjar à la tête de la chaîne est régulièrement pointé du doigt pour son management considéré comme très agressif par les salariés. “L’élément majeur c’est l’autoritarisme dont fait preuve cette direction et notamment Serge Nedjar”, explique une source syndicale. “En 2016, le bras de fer avec la direction avait démontré que Nedjar avait le soutien total de Vincent Bolloré et ne rendrait des comptes uniquement qu’à l’actionnaire. Si la rédaction de l’époque était toujours en grève aujourd’hui, la direction n’aurait toujours pas lâché!”

    Une direction ferme qui ne laisse pas de place au dialogue. “Nedjar c’est un serial-killer,” poursuit un autre journaliste qui connaît le patron de la chaîne depuis plusieurs années. “Il intervient en conférence de rédaction, il est tranchant et peut être terrible, c’est son seul moyen de défense. Il ne fait pas dans le compromis et le convaincre de changer d’idée est illusoire.”

    “Se battre contre Zemmour c’est se battre contre son propre camp”

    Pour beaucoup, la grève de 2016 aurait en quelque sorte vacciné les anciens salariés qui envisageraient de lancer un nouveau mouvement de protestation. “En 2016, la direction a voulu remettre au pas la rédaction avec un management par la peur et le signal envoyé à ceux qui sont restés dans la réaction a été bien reçu: ça restera comme ça et il n’y a pas d’espoir de changer les choses, c’est marche ou crève. Soit vous adhérez au projet, soit vous partez!”, confie une autre source syndicale. “Ça ne se traduit pas forcément par des menaces mais c’est une atmosphère tendue en permanence. Dans le cas de Zemmour, la direction à bien fait comprendre à ses salariés qu’aujourd’hui se battre contre Zemmour c’était se battre contre le groupe, se battre contre son propre camp.”

    Laurent D’auria, délégué syndical de ”+ Libres”, évoque un autre point qui selon lui rend difficile une nouvelle grève après l’arrivée d’Eric Zemmour: “Il n’y a plus de leaders dans cette rédaction, c’est l’omerta et chacun ne pense plus qu’à soi” explique-t-il, tout en décrivant une rédaction au bord de la crise de nerf. “Au moment de la grève d’iTélé, il y avait des noms importants comme Olivier Ravanello, Florent Peiffer ou Antoine Genton qui ont vraiment lancé le mouvement. Aujourd’hui les leaders de la chaîne sont des gens comme Pascal Praud ou Romain Desarbres, plutôt connivents avec la direction et anti-grévistes. D’ailleurs qu’auraient-ils à gagner avec cette grève, eux qui ont déjà progressé grâce à la précédente?”.

    “Il n’y a plus forcément les mêmes tempéraments qu’avant”, rappelle un autre salarié de la chaîne, déjà présent en 2016. Il faut dire que près d’une centaine de journalistes avaient décidé de quitter la rédaction, impactant considérablement la chaîne.

    Des effectifs réduits et une pression grandissante

    La baisse des effectifs depuis le mouvement d’iTélé a provoqué une aggravation des conditions de travail, d’après plusieurs salariés interrogés. Ils pointent du doigt une direction qui demande “toujours plus, avec les mêmes moyens.” Une préoccupation bien plus importante que l’arrivée d’Eric Zemmour. “On est pas loin que ça parte en cacahuète parce qu’on a beaucoup trop de pression sur nos épaules et qu’on n’est pas assez nombreux, ça ne peut pas marcher”, explique un autre salarié de la chaîne, qui confie que les audiences en progression du concurrent LCI n’arrangent pas les choses.

    Les petites mains de l’antenne sont d’ailleurs condamnées à manger quotidiennement sur leurs claviers d’ordinateur. La pause déjeuner étant proscrite dans le bocal, le réacteur d’une chaîne d’information où la plupart des vidéos sont montées avant leur diffusion dans les JT.

    “Par moment, en période de rush, tu n’as même pas le temps de manger devant ton ordinateur. On nous dit ‘Il y a cette information à traiter une urgence donc vous mangerez plus tard’”. En fin de compte on ne mange pas, on ne termine jamais à l’heure et nos heures supplémentaires ne sont jamais payées”, affirme une pigiste qui n’a pas “d’autre choix” que d’accepter ces conditions de travail “pour payer son loyer”. 

    “Il y a deux populations qui sont restées à CNews”, analyse Laurent D’auria. “Ceux qui en ont profité pour évoluer et gravir les échelons en remplaçant les grévistes et ceux qui n’avaient pas la possibilité de faire autrement et devaient payer leurs factures en fin de mois. Parmi les gens qui sont restés, parce qu’ils n’avaient pas le choix, plusieurs sont au bout du rouleau et souffrent aussi des critiques du public.”

    Ces “anciens” de la chaîne sont difficiles à mobiliser car ils sont conscients que les temps sont durs et les emplois rares dans le secteur de l’audiovisuel. D’ailleurs, même à Canal+, la situation est loin d’être rose. Le groupe a annoncé en juillet dernier un plan de départ volontaire qui concernera près de 500 personnes au total (soit environ 20% des effectifs de Canal en France).

     

    Plutôt qu’une grève, un salarié de la chaîne confie déjà réfléchir à utiliser son droit de retrait. “Nos journalistes sur le terrain se font insulter, l’image de la chaîne est entachée. Si cette hostilité devient physique et non plus verbale, je me poserai sérieusement des questions. Je ne fais pas mon travail de journaliste pour me faire frapper.”

    Sollicitée par Le HuffPost, la chaîne CNews n’a pour l’heure pas donné suite à nos demandes d’interview.

    https://www.huffingtonpost.fr

     

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