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Science/Tech - Page 44

  • Ces Japonais nous proposent un avenir sombre!

     

    Le premier robot émotif

    Masayoshi Son, âtropn Softbank, nouveau robot  humanoïde Pepper.

    VIDEO - Les deux groupes vont mettre en vente en février prochain, au prix de 1.400 euros, “Pepper”, un petit humanoïde révolutionnaire qu’ils rêvent de voir entrer dans tous les foyers.

     L’image est peu commune : c’est un petit humanoïde blanc qui a accueilli Masayoshi Son, le patron de Softbank, lors d’une conférence de presse futuristique organisée ce matin à Tokyo. Le géant japonais de la téléphonie mobile y a présenté pour la première fois dans l’histoire de cette industrie un robot doté d’émotions, conçu par l’entreprise française Aldebaran Robotics.

    Baptisé “Pepper”, cet humanoïde d’environ un mètre de haut vise une cible jusqu’ici inédite pour le marché de la robotique: les particuliers. Fabriqué par le groupe taïwanais Foxconn, Pepper sera mis en vente à un prix de base de 198.000 yens (1.400 euros) à partir de février 2015, dans un premier temps au Japon. “C’est le prix des PC et cela doit permettre aux robots de faire leur entrée dans la même manière dans les maisons auprès des familles”, a lancé le PDG. “Nous voulons créer des robots personnels, qui travaillent et vivent avec les gens de façon autonome ", a expliqué l’ambitieux homme d’affaires qui est convaincu que les robots doués d’intelligence, de mémoire et de réflexion vont donner naissance à marché gigantesque de l’assistance ou de l’accompagnement.

    Tout droit sortis d’un manga

    D’un aspect très proche des deux robots précédemment conçus par Aldebaran, Nao et Romeo, Pepper s’en distingue car il n’est pas équipé de jambes, mais circule sur des roues. Le haut de son corps est celui d’un humanoïde, avec un torse, deux bras et un visage rond muni de deux grands yeux expressifs qui semblent tout droit sortis d’un manga.

    Insistant sur la “portée révolutionnaire” de ce nouveau produit, le PDG de SoftBank a particulièrement mis en avant la capacité de Pepper a comprendre les émotions humaines. Grâce à des capteurs et des algorithmes mis au point par Aldebaran, ce nouveau robot sait en effet, selon Masayoshi Son, analyser le comportement de ses interlocuteurs, en déduire leur état d’esprit et réagir en conséquence: " Pour la première fois dans l’histoire de la robotique, nous présentons un robot avec un coeur. C’est une date marquante pour l’humanité ", a-t-il martelé. " Pepper ne sait pas encore traiter toutes les émotions, mais c’est un premier pas: quand un membre de la famille est heureux, le robot le comprend et s’adapte ".

    Pour éprouver et faire progresser cette intelligence, Softbank se propose de “faire travailler” dès demain des exemplaires de “Pepper” dans au moins deux des boutiques qu’il exploite dans des quartiers à la mode de Tokyo. “Les consommateurs vont pouvoir toucher et intéragir avec le robot. Pepper va lui pouvoir mesurer le flux des visiteurs, observer leurs comportements et lire les émotions de nos clients”, a détaillé Masayoshi Son. Les deux machines vont profiter de cette interaction avec des humains pour analyser les réactions des consommateurs et emmagasiner de nouvelles informations dans une plateforme “dans les nuages”, à laquelle tous les robots de l’entreprise auront accès. Si Pepper détecte, par exemple, une émotion de joie lorsqu’il fait un pas de danse dans l’une des boutiques, il pourra transmettre cette info à un autre robot qui pourra générer le même comportement “positif” à plusieurs kilomètres de là.

    Intervenant aux côtés du PDG de SoftBank, Bruno Maisonnier, le président d’Aldebaran Robotics, dans lequel SoftBank avait pris une participation majoritaire en 2012, a pointé l’important bouleversement qu’allait connaître la robotique dans le futur : " Je pense que le rôle principal d’un robot est d’être un assistant pour les humains. Nous appelons cela un robot émotionnel. Cela va apporter une nouvelle dimension dans nos vies. " Le fondateur d’Aldebaran, qui emploie près de 500 personnes à Paris, a rappelé que son entreprise " était déjà un leader mondial de la robotique humanoïde, avec plus de 5000 robots Nao utilisés dans 70 pays pour la recherche, l’éducation ou l’aide aux enfants autistes ".

    Le patron d’Aldebaran Robotics a également expliqué que Pepper avait été conçu comme une plate-forme ouverte aux développeurs. " J’invite tous les développeurs, mais aussi les spécialistes de l’animation ou du design sonore à travailler avec nous. " Un kit de développement devrait bientôt être lancé, et une conférence de développeurs doit avoir lieu dès le mois de septembre. Des " ateliers Pepper " devraient également ouvrir leurs portes à Paris et Tokyo dans les prochains mois.

    En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/0203544504829-softbank-et-aldebaran-devoilent-le-premier-robot-emotif-1009789.php?xtor=AL-4003-%5BChoix_de_la_redaction%5D-%5Bsoftbank_et_aldebaran_devoilent_le_premier_robot_emotif%5D&PRYikqtIIC2ZvtWb.99

  • Nouveau vaisseau américain

    Dragon V2, nouveau vaisseau pour transporter des astronautes

    Cet engin destiné à transporter des astronautes américains a été présenté, jeudi, en Californie par le PDG milliardaire de SpaceX Elon Musk.

    Avec la précision d'un hélicoptère, il permet de se rendre dans l'espace. La société SpaceX a dévoilé, jeudi soir, son vaisseau Dragon V2. Il devrait pouvoir, d'ici trois ans, transporter des astronautes américains vers la Station spatiale internationale (ISS) et mettre fin à la dépendance des Soyouz russes.

    Ce sera la première fois que des astronautes seront lancés du sol américain depuis le dernier vol de la navette spatiale en juillet 2011. Depuis, les Etats-Unis dépendent exclusivement des vaisseaux Soyouz russes pour acheminer leurs astronautes à l'ISS au coût de quelque 70 millions de dollars le siège.

    Une présentation grand spectacle

    Le Dragon V2, capable de transporter sept astronautes, "représente vraiment un grand saut technologique", a déclaré le PDG et fondateur de SpaceX, le milliardaire Elon Musk, lors d'une présentation grand spectacle devant la presse au siège de la société à Hawthorne près de Los Angeles en Californie.

    Le Dragon V2 de couleur blanche a une forme en boule de gomme comme le Dragon 1 mais plus élancée. Le Dragon 1 fut le premier vaisseau privé en 2012 à s'amarrer à l'ISS pour y livrer du fret effectuant ensuite trois missions à l'avant-poste orbital dont la dernière récemment.

    Un vaisseau, qui n'utilisera pas de parachutes

    "Le Dragon V2 pourra se poser partout sur la Terre avec la précision d'un hélicoptère", a indiqué Elon Musk. Ainsi le nouveau vaisseau, qui n'utilisera pas de parachutes, sauf en cas de dysfonctionnement des rétrofusées, pourra être réutilisé très rapidement permettant d'importantes économies, a-t-il expliqué.

    SpaceX est l'une des quatre sociétés sélectionnées par la Nasa avec Boeing, Sierra Nevada et Blue Origin pour mettre au point un vaisseau capable de transporter des astronautes à l'ISS dans le cadre d'un partenariat entre le secteur privé et public.

     

     

     

  • Casque à réalité augmentée

    Le fabricant sud-coréen Samsung travaillerait sur un projet de casque à réalité augmentée sous Android, selon le site high-tech Engadget. À destination des joueurs, ce projet n'aurait toutefois rien à voir avec celui des lunettes connectées sur lequel planche également Samsung.

    Les développeurs travailleraient sur un casque connecté aux terminaux haut de gamme de la marque, comme le Galaxy Note 3 ou le Galaxy S5. Ce mystérieux périphérique disposerait d'un écran OLED et serait dans un premier temps connecté par fil à un téléphone ou une tablette. Aucun détail n'a cependant transpiré sur son mode de fonctionnement.

    Il s'agirait d'un casque essentiellement dédié aux jeux sous Android. La volonté de Samsung serait d'intégrer ce nouveau marché en cassant les prix, et ainsi de rivaliser avec les spectaculaires modèles d'Oculus, désormais la propriété de Facebook, ou encore le Morpheus de Sony.

    Ce projet de casque de réalité virtuelle fonctionnerait donc sous Android, à l'inverse du bracelet Gear Fit, de la montre Gear 2 ou du projet de lunettes connectées, tous sous Tizen, le nouveau système d'exploitation maison dédié aux objets connectés.

     

    futurologie, science, informatique, société

     

     

     

     

     

     

  • Vous pouvez le croire?

    Pas de risque électromagnétique avec la voiture électrique selon l’UE

    D’après une étude financée par l’Union européenne, les émissions électromagnétiques d’une voiture électrique sont à peine supérieures à celles d’une voiture thermique et sans impact sur l’environnement.

     

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    Une étude sur les ondes électromagnétiques induites par une voiture électrique

    L’Union Européenne a confié une étude sur les émissions électromagnétiques des véhicules électriques à l’Institut scandinave SINTEF. L’objectif était de connaitre le niveau des émissions électromagnétiques d’une voiture électrique et de voir si le niveau d’exposition du conducteur ou des passagers présentait un risque. Pour cela, le niveau des ondes électromagnétique est comparé au niveau de tolérance maximale fixé par la commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (International Commission on Non-Ionizing Radiation Protection – ICNRP).

    Les ondes électromagnétiques d’une voiture électrique 5 fois inférieures au seuil toléré

    Pas d’inquiétude à avoir, les niveaux mesurés dans une voiture électrique sont bien en deçà des niveaux tolérés par l’ICNRP. Le niveau des émissions d’ondes électromagnétiques ne dépasse pas 20% du seuil acceptable de l’ICNRP. Les mesures ont été faites au niveau du plancher du vehicule, à proximité des batteries et au démarrage du véhicule électrique, donc au plus proche de la source des ondes et lorsque les émissions sont les plus fortes.

    Le champ électromagnétique est en général égal à 10% du niveau ICNRP  pour une voiture thermique. Il n’y a donc pas beaucoup d’écart sur les émissions électromagnétiques entre une voiture électrique et une voiture thermique.

    D’autres mesures du niveau de champ électromagnétique ont été faites au niveau de la tête du conducteur de la voiture électrique. Dans ce cas le niveau d’exposition électromagnétique est inférieur à 2% du seuil ICNRP.

    La polémique sur le risque électromagnétique des véhicules électriques est close

    Le niveau d’exposition aux ondes électromagnétique serait donc très limité en voiture électrique et n’est pas un sujet d’inquiétude pour les chercheurs.

    Cette étude let fin à la rumeur de 2009 selon laquelle les Toyota Prius qui circulaient  présentaient un risque – voire, pouvaient provoquer des cancers – en raison du niveau d’ondes électromagnétiques. En fait, la majorité des ondes électromagnétiques induites par un véhicule sont liées à la rotation des roues, qu’il s’agisse d’une voiture électrique ou non.

     

     D'autres infos sérieuses et précises sur l'électromagnétisme?

     

  • Ils vont vous aider à retrouver la vue

    Pixium développe trois implants rétiniens conçus pour remplacer les photorécepteurs et restaurer la vision des personnes malvoyantes ou non voyantes, qui l’ont perdue suite à des pathologies dégénératives de l’œil telles que la rétinopathie pigmentaire ou la dégénérescence maculaire. Ces pathologies détruisent les photorécepteurs, des cellules spécialisées de la rétine qui transforment la lumière en un signal nerveux codé et transmis au cortex visuel du cerveau. Cependant, les cellules neuronales de la rétine qui forment le nerf optique (appelées cellules ganglionnaires rétiniennes) demeurent intactes et continuent de fonctionner normalement.

    Ces systèmes sont généralement composés de plusieurs éléments, dont :

    •L’implant rétinien : c’est une plaque d’électrodes placée à l’intérieur de l’œil, dans la rétine. Les électrodes reçoivent des informations visuelles d’un transmetteur sans fil et envoient des signaux électriques de stimulation aux cellules rétiniennes. Ces signaux arrivent, par le nerf optique dans le cerveau, au niveau du cortex visuel, où les images sont interprétées.

    •Une interface visuelle, qui prend la forme d’une paire de lunettes dotée d’une caméra. Celle-ci capture les images de l’environnement, qu’un ou plusieurs émetteurs transmettent à la puce électronique implantée dans l’œil (en plus de lui fournir de l’énergie).

    •Une unité de traitement du signal : il s’agitd’un ordinateur de poche. Cet élément, qui est en cours de développement (Dans le futur, Pixium a pour objectif d’utiliser un smartphone), fournit de l’énergie à tout le système et traite les données visuelles générées par la caméra. Il les transforme en signaux électriques qui seront ensuite transmis à la plaque d’électrodes.

    Pixium développe trois implants rétiniens conçus pour remplacer les photorécepteurs et restaurer la vision des personnes malvoyantes ou non voyantes, qui l’ont perdue suite à des pathologies dégénératives de l’œil telles que la rétinopathie pigmentaire.

     

     

    futurologie, société, santé, technologie, informatique

     

     

     

     

     

    Vous trouverez ci-dessous un aperçu des systèmes en cours de développement. Des informations plus détaillées sont disponibles dans les onglets dédiés.

    IRIS1 est un implant épi-rétinien, actuellement en phase d’essais cliniques dans le but d’obtenir un marquage CE en 2014.

    IRIS2 est un implant basé sur IRIS1, mais offrant une meilleure acuité visuelle (résolution accrue) grâce à plusieurs technologies de rupture.

    PRIMA est un implant sous-rétinien de nouvelle génération. Il repose sur des technologies révolutionnaires et a le potentiel d’améliorer significativement la vision par rapport à IRIS1 et IRIS2.

    http://www.pixium-vision.com/fr/

  • Ouf: je ne suis pas la seule à crier!

    Si je crains cette terrible catastrophe pour l'humain et les sociétés humaines en devenir, c'est parce que, en tant que voyante transgénérationnelle, j'ai vu cette terrible menace pour nos arrières-petits enfants...

    Peu à peu, je m'aperçois que d'autres aussi le sentent venir....

     

    www.legende-des-siecles.com

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    Stephen Hawking: Sous-estimer l’intelligence artificielle serait "la plus grave erreur de notre histoire"

    SCIENCE - Le scientifique britannique co-signe une tribune dans laquelle il alerte sur la potentielle menace pour l’humanité que constituerait l’invention de l’IA…

    L’intelligence artificielle fait fantasmer et trembler. D’Isaac Asimov à Transcendence avec Johnny Depp et Morgan Freeman, en passant par la série "Battlestar Galactica", les possibles dangers pour l’homme d’une machine intelligente ont déjà été explorés dans d’innombrables variations. Mais quand Stephen Hawking prend la plume pour alerter des dangers de l’intelligence artificielle, la science rejoint la science-fiction.

     "Nous sommes face à la meilleure, ou la pire chose qui puisse arriver à l’humanité"

     "Réussir à créer une intelligence artificielle serait le plus grand événement dans l’histoire de l’homme, écrit l’éminent physicien britannique, connu pour sa recherche sur les trous noirs. Mais ce pourrait aussi être le dernier, prévient-il dans une tribune cosignée dans le journal The Independent." Citant les voitures auto-pilotées, les assistants personnels comme Siri ou les armes autonomes qui décideraient de tuer sur un champ de bataille sans intervention humaine, Stephen Hawking avertit que ne pas prendre au sérieux ce qui est encore de la science-fiction pourrait être "la plus grave erreur de notre histoire".

     "On peut imaginer que cette technologie déjoue les marchés financiers, dépasse les chercheurs humains, manipule les dirigeants humains et développe des armes qu’on ne peut pas même comprendre", poursuit le scientifique. "L’incidence à court-terme de l’intelligence artificielle dépend de qui la contrôle, mais l’impact à long-terme dépend de la possibilité réelle de la contrôler." Stephen Hawking déplore le manque de recherche sérieuse sur ces questions, "alors que nous sommes face à la meilleure, ou la pire chose qui puisse arriver à l’humanité".