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Science/Tech - Page 41

  • Aveugle, c'est 97% de perte de ses capacités dans la vie quotidienne

    Des lunettes a réalité augmentée pour les malvoyants

    Conçues pour les personnes malvoyantes et développées parallèlement par plusieurs équipes, des lunettes seront bientôt disponible pour un prix avoisinant celui d'un smartphone.

    La science et la mythologie fantasment depuis toujours sur le miracle de l'aveugle recouvrant la vue. Tel Hélios rendant la vue à Orion, les recherches actuelles en réalité augmentée appliquées à l'ophtalmologie approchent de solutions viables pour compenser la cécité. Une équipe de l'université d'Oxford travaille sur un dispositif non invasif: une simple paire de lunettes, qui permettrait d'exploiter les résidus visuels pour la détection des formes et des obstacles proches, serait sur le point d'être commercialisée.

    A travers le monde, 140 millions de personnes seraient atteintes d'un handicap visuel, aveugles au sens légal (acuité visuelle inférieure à 1/20) ou malvoyantes (acuité visuelle inférieure à 3/10 ou champ de vision réduit à moins de 10%). Seuls 5% d'entre eux disposent d'un équipement facilitant leur vie, loupe électronique ou lecteur de texte principalement, mais de nombreux laboratoires travaillent sur des dispositifs plus élaborés.

    Autonomie bien supérieure

    Des lunettes équipées de deux caméras, un écran projetant des silhouettes lumineuses sur l'intérieur des verres, et un petit ordinateur chargé de traiter l'image entre les deux. Tel est le principe de fonctionnement de l'appareil en cours de développement dans le laboratoire du Dr Stephen Hicks, spécialisé en neurosciences et prothétique visuelle. L'avantage du dispositif réside dans ses deux caméras qui, par l'intermédiaire d'un traitement informatique en temps réel, simulent la profondeur et la distance des objets pour la personne malvoyante. Plus pratique que la canne blanche et redonnant l'indépendance des chiens d'aveugles, ces lunettes apportent, de l'avis des testeurs, une véritable satisfaction et une autonomie bien supérieure.

    Lyn Oliver, 70 ans, atteinte d'une rétinite pigmentaire diagnostiquée depuis presque cinquante ans et disposant d'une vue très limitée, peut se déplacer dans un environnement en évitant les obstacles avec l'aide de son chien. Mais elle ne saurait être capable de décrire son environnement. "Avec les lunettes, je peux trouver mon chemin vers la porte, en contournant les tables, pour sortir", a-t-elle raconté à la BBC. "Je peux trouver les escaliers, et savoir quand ils se terminent."

    "Les gens les ont adorées", ajoute le Dr Hicks. "Grâce à elles, ils peuvent repérer les dangers sur le sol qui pourraient les faire trébucher. Ils sont plus indépendants et se déplacent beaucoup plus facilement. Ils peuvent voir certains détails des visages, et leurs propres mains. Ou leur chien, pour la première fois!"

    Avant 2015, une centaine de lunettes devraient être remises à des personnes malvoyantes pour une phase de tests à plus grande échelle. L'équipe espère pouvoir commercialiser le produit dans moins de deux ans. Lorsque le développement des prototypes sera arrivé à terme, les lunettes devraient être disponibles pour le prix d'un smartphone.

    "Je peux lire les panneaux d'affichage"

    En France, la société Essilor développe, en partenariat avec l'Institut de la vision, un prototype similaire, plus personnalisé et interactif, mêlant une correction optique à un dispositif de réalité augmentée. En fonction des maladies et des pathologies oculaires qui y sont liées, l'appareil s'adapte: l'utilisateur peut choisir la partie de l'écran sur laquelle il souhaite projeter l'image pour la faire correspondre avec les zones de l'œil moins détériorées. Il peut modifier le contraste, projeter en négatif, zoomer, et agir sur tous ces paramètres pour obtenir l'image la mieux adaptée à son handicap.

    "Un effort d'adaptation est nécessaire pour maîtriser le dispositif, mais il donne de bons résultats", explique le Pr Sahel, directeur de l'Institut de la vision. "De nombreuses modalités d'amélioration sont mises en places, profitant des technologies de l'image disponibles. Elles sont testées systématiquement, pour savoir si elles apportent un bénéfice réel aux malvoyants, et pour qu'ils puissent aider les chercheurs à améliorer les produits."

     

    "Je peux lire seul des panneaux d'affichage"

    Dans cette optique, Essilor s'est associé à ERDF pour proposer à plusieurs employés de l'entreprise souffrant d'un handicap visuel de tester les lunettes, et de participer à leur développement. Depuis un an et demi, Jean-Marc Croce, salarié chez ERDF, bénéficie du confort que procure l'appareil. "C'est un outil qui me rend beaucoup plus indépendant", explique-t-il au Figaro. "Je peux maintenant lire seul des panneaux d'affichage dans le métro, par exemple. Avant, j'étais obligé de demander à quelqu'un. Sur le plan professionnel, je suis en mesure de suivre les réunions qui s'appuient sur des présentations Powerpoint, ce qui m'était très difficile auparavant".

    De son propre aveu, les lunettes ne sont pas encore prêtes pour une commercialisation et des améliorations doivent encore être apportées, notamment pour alléger l'ensemble. Mais en tant que testeur de son deuxième prototype, il apprécie les progrès réalisés et l'accessibilité du dispositif. "En à peine une semaine, je pense qu'il est possible de le prendre en main", estime-t-il.

     

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  • Vous sentirez-vous plus en sécurité avec un robot derrière le comptoir d’un fast-food ?

     

    Dans un blog du Huffington Post Canada, Steven Burton écrit que les employés de la restauration rapide essaient de se syndiquer pour avoir un salaire à 15 dollars (10,20 euros) l’heure, des employeurs pensent à moins quand il s’agit du coût global en personnel et le plan est d’automatiser complètement la restauration rapide. Cela semble impossible à éviter dans un proche avenir, mais avec toutes les éclosions de maladies d’origine alimentaire liées à la restauration rapide au cours de ces dernières années, ces innovations seront plus sûres que des aliments préparés par l’homme ou bien risquerons-nous notre santé plus que nous ne le faisons déjà ?

    Le fast-food du futur prendra en charge le client entrant dans l’ordre d’arrivée dans une interface avec un écran tactile virtuel (c’est déjà en partie le cas en France). Les prix pourraient être un peu plus bas car certaines économies pourraient être faites par le client (Je ne mettrais ma main à couper à ce sujet).

    Une fois l’ordre saisi et le paiement reçu, des machines robotisées dans la cuisine passeront à l’action : cuisson des aliments et assemblage de la commande, mise en boîte et livraison de la commande chaude dans vos mains affamées.

    La technologie existe déjà. Des robots pour hamburgers, les Momentum Machines ont la capacité de couper les tomates, la laitue, les cornichons et les oignons juste avant qu’ils ne soient déposés sur le hamburger de sorte qu’ils sont plus croquants et plus savoureux. Les hamburgers sont également fraîchement hachés. Les robots les enveloppent dans un emballage et les envoient au client par un convoyeur vers l’avant.

    Contrairement à leurs homologues humains, votre commande sera prise correctement à chaque fois. Elle sera  honorée rapidement car ces robots fonctionnent à la vitesse de l’éclair et parce que ce processus n’implique pas de contact humain avec les aliments, il sera moins susceptible d’être contaminé. Après tout, les machines n’ont pas de cheveux qui peuvent tomber dans les aliments ou de bactéries sur leur peau comme Staphylococcus qui peut infecter les aliments. La meilleur est que le robot faisant votre nourriture n’aura pas froid, n’éternuera sur votre sandwich, puis l’enveloppera et vous le remettra ; comme cela s’est produit avec moi à plus d’une occasion.

    Un problème potentiel de sécurité des aliments peut venir de l’incapacité des robots de se nettoyer. Les employés humains devront être vigilants quant à leur nettoyage afin de s’assurer qu’ils soient exempts de particules alimentaires qui peuvent permettre le développement de pathogènes.

     

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    Le reconnaissez-vous?

  • et, au mépris du danger.... avancer vers l'Inconnu...

    Le vaisseau supraluminique de la NASA inspiré de Star Trek, rêve ou réalité ?

    La Nasa explore déjà l’éventualité du voyage interplanétaire à l’aide de technologies avancées. L’une des méthodes étudiées actuellement est le mécanisme de Mark Rademaker, un moteur à distorsion. Mais des méthodes encore plus fantaisistes sont déjà imaginées par les scientifiques de la NASA, comme le " trou de ver ".

     

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    satellite hélios

     

    Mark Rademaker a collaboré avec Harold G.White, ingénieur de la Nasa, sur un " vaisseau spatial " : un moteur à distorsion, semblable à celui du vaisseau de Star Trek. Ce  moteur permettrait à l’homme d’aller bien plus vite que l’engin spatial le plus rapide du moment, le satellite Hélios, qui pourrait atteindre les 720.000 KM/H, et doit être lancé en 2018.

    La science a permis à l’homme de découvrir diverses méthodes (théoriques) permettant de contourner la barrière de la vitesse de la lumière, qui ne pourra jamais être dépassée selon Einstein.

    Les scientifiques n’acceptent pas ces limites et de nombreuses hypothèses ont été explorées pour éviter le problème. Par exemple, le fait de passer par un " trou de ver " permettrait de se déplacer instantanément à travers l’espace.

    Miguel Alcubierre, un ingénieur mexicain, a proposé en 1994 la théorie de possibilité d’allonger l’espace pour qu’il se contracte à l’avant d’un vaisseau spatial, et qu’il s’étende derrière lui. Ce qui permettrait à un vaisseau spatial de " surfer " à l’intérieur de l’espace comme une sorte de bulle à énergie négative qui ne traverserait pas le " mur de la lumière ". Dans ce cas, la bulle ferait seulement changer l’espace, ce qui concorde encore avec la théorie d’Einstein. Ce procédé a été appelé la métrique d’Alcubierre, comme son auteur.

    Mais cette théorie présente aussi des inconvénients. Selon certains physiciens, un tel vaisseau spatial peut dégager une énergie capable de détruire tout ce qui se trouve sur son passage.

    L’homme va-t-il se lancer à la conquête des étoiles d’ici quelques décennies ? Si on fait confiance à la NASA, cela pourrait bien arriver même si, il faudra attendre un bon moment

     

  • Ces Japonais nous proposent un avenir sombre!

     

    Le premier robot émotif

    Masayoshi Son, âtropn Softbank, nouveau robot  humanoïde Pepper.

    VIDEO - Les deux groupes vont mettre en vente en février prochain, au prix de 1.400 euros, “Pepper”, un petit humanoïde révolutionnaire qu’ils rêvent de voir entrer dans tous les foyers.

     L’image est peu commune : c’est un petit humanoïde blanc qui a accueilli Masayoshi Son, le patron de Softbank, lors d’une conférence de presse futuristique organisée ce matin à Tokyo. Le géant japonais de la téléphonie mobile y a présenté pour la première fois dans l’histoire de cette industrie un robot doté d’émotions, conçu par l’entreprise française Aldebaran Robotics.

    Baptisé “Pepper”, cet humanoïde d’environ un mètre de haut vise une cible jusqu’ici inédite pour le marché de la robotique: les particuliers. Fabriqué par le groupe taïwanais Foxconn, Pepper sera mis en vente à un prix de base de 198.000 yens (1.400 euros) à partir de février 2015, dans un premier temps au Japon. “C’est le prix des PC et cela doit permettre aux robots de faire leur entrée dans la même manière dans les maisons auprès des familles”, a lancé le PDG. “Nous voulons créer des robots personnels, qui travaillent et vivent avec les gens de façon autonome ", a expliqué l’ambitieux homme d’affaires qui est convaincu que les robots doués d’intelligence, de mémoire et de réflexion vont donner naissance à marché gigantesque de l’assistance ou de l’accompagnement.

    Tout droit sortis d’un manga

    D’un aspect très proche des deux robots précédemment conçus par Aldebaran, Nao et Romeo, Pepper s’en distingue car il n’est pas équipé de jambes, mais circule sur des roues. Le haut de son corps est celui d’un humanoïde, avec un torse, deux bras et un visage rond muni de deux grands yeux expressifs qui semblent tout droit sortis d’un manga.

    Insistant sur la “portée révolutionnaire” de ce nouveau produit, le PDG de SoftBank a particulièrement mis en avant la capacité de Pepper a comprendre les émotions humaines. Grâce à des capteurs et des algorithmes mis au point par Aldebaran, ce nouveau robot sait en effet, selon Masayoshi Son, analyser le comportement de ses interlocuteurs, en déduire leur état d’esprit et réagir en conséquence: " Pour la première fois dans l’histoire de la robotique, nous présentons un robot avec un coeur. C’est une date marquante pour l’humanité ", a-t-il martelé. " Pepper ne sait pas encore traiter toutes les émotions, mais c’est un premier pas: quand un membre de la famille est heureux, le robot le comprend et s’adapte ".

    Pour éprouver et faire progresser cette intelligence, Softbank se propose de “faire travailler” dès demain des exemplaires de “Pepper” dans au moins deux des boutiques qu’il exploite dans des quartiers à la mode de Tokyo. “Les consommateurs vont pouvoir toucher et intéragir avec le robot. Pepper va lui pouvoir mesurer le flux des visiteurs, observer leurs comportements et lire les émotions de nos clients”, a détaillé Masayoshi Son. Les deux machines vont profiter de cette interaction avec des humains pour analyser les réactions des consommateurs et emmagasiner de nouvelles informations dans une plateforme “dans les nuages”, à laquelle tous les robots de l’entreprise auront accès. Si Pepper détecte, par exemple, une émotion de joie lorsqu’il fait un pas de danse dans l’une des boutiques, il pourra transmettre cette info à un autre robot qui pourra générer le même comportement “positif” à plusieurs kilomètres de là.

    Intervenant aux côtés du PDG de SoftBank, Bruno Maisonnier, le président d’Aldebaran Robotics, dans lequel SoftBank avait pris une participation majoritaire en 2012, a pointé l’important bouleversement qu’allait connaître la robotique dans le futur : " Je pense que le rôle principal d’un robot est d’être un assistant pour les humains. Nous appelons cela un robot émotionnel. Cela va apporter une nouvelle dimension dans nos vies. " Le fondateur d’Aldebaran, qui emploie près de 500 personnes à Paris, a rappelé que son entreprise " était déjà un leader mondial de la robotique humanoïde, avec plus de 5000 robots Nao utilisés dans 70 pays pour la recherche, l’éducation ou l’aide aux enfants autistes ".

    Le patron d’Aldebaran Robotics a également expliqué que Pepper avait été conçu comme une plate-forme ouverte aux développeurs. " J’invite tous les développeurs, mais aussi les spécialistes de l’animation ou du design sonore à travailler avec nous. " Un kit de développement devrait bientôt être lancé, et une conférence de développeurs doit avoir lieu dès le mois de septembre. Des " ateliers Pepper " devraient également ouvrir leurs portes à Paris et Tokyo dans les prochains mois.

    En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/0203544504829-softbank-et-aldebaran-devoilent-le-premier-robot-emotif-1009789.php?xtor=AL-4003-%5BChoix_de_la_redaction%5D-%5Bsoftbank_et_aldebaran_devoilent_le_premier_robot_emotif%5D&PRYikqtIIC2ZvtWb.99

  • Nouveau vaisseau américain

    Dragon V2, nouveau vaisseau pour transporter des astronautes

    Cet engin destiné à transporter des astronautes américains a été présenté, jeudi, en Californie par le PDG milliardaire de SpaceX Elon Musk.

    Avec la précision d'un hélicoptère, il permet de se rendre dans l'espace. La société SpaceX a dévoilé, jeudi soir, son vaisseau Dragon V2. Il devrait pouvoir, d'ici trois ans, transporter des astronautes américains vers la Station spatiale internationale (ISS) et mettre fin à la dépendance des Soyouz russes.

    Ce sera la première fois que des astronautes seront lancés du sol américain depuis le dernier vol de la navette spatiale en juillet 2011. Depuis, les Etats-Unis dépendent exclusivement des vaisseaux Soyouz russes pour acheminer leurs astronautes à l'ISS au coût de quelque 70 millions de dollars le siège.

    Une présentation grand spectacle

    Le Dragon V2, capable de transporter sept astronautes, "représente vraiment un grand saut technologique", a déclaré le PDG et fondateur de SpaceX, le milliardaire Elon Musk, lors d'une présentation grand spectacle devant la presse au siège de la société à Hawthorne près de Los Angeles en Californie.

    Le Dragon V2 de couleur blanche a une forme en boule de gomme comme le Dragon 1 mais plus élancée. Le Dragon 1 fut le premier vaisseau privé en 2012 à s'amarrer à l'ISS pour y livrer du fret effectuant ensuite trois missions à l'avant-poste orbital dont la dernière récemment.

    Un vaisseau, qui n'utilisera pas de parachutes

    "Le Dragon V2 pourra se poser partout sur la Terre avec la précision d'un hélicoptère", a indiqué Elon Musk. Ainsi le nouveau vaisseau, qui n'utilisera pas de parachutes, sauf en cas de dysfonctionnement des rétrofusées, pourra être réutilisé très rapidement permettant d'importantes économies, a-t-il expliqué.

    SpaceX est l'une des quatre sociétés sélectionnées par la Nasa avec Boeing, Sierra Nevada et Blue Origin pour mettre au point un vaisseau capable de transporter des astronautes à l'ISS dans le cadre d'un partenariat entre le secteur privé et public.

     

     

     

  • Casque à réalité augmentée

    Le fabricant sud-coréen Samsung travaillerait sur un projet de casque à réalité augmentée sous Android, selon le site high-tech Engadget. À destination des joueurs, ce projet n'aurait toutefois rien à voir avec celui des lunettes connectées sur lequel planche également Samsung.

    Les développeurs travailleraient sur un casque connecté aux terminaux haut de gamme de la marque, comme le Galaxy Note 3 ou le Galaxy S5. Ce mystérieux périphérique disposerait d'un écran OLED et serait dans un premier temps connecté par fil à un téléphone ou une tablette. Aucun détail n'a cependant transpiré sur son mode de fonctionnement.

    Il s'agirait d'un casque essentiellement dédié aux jeux sous Android. La volonté de Samsung serait d'intégrer ce nouveau marché en cassant les prix, et ainsi de rivaliser avec les spectaculaires modèles d'Oculus, désormais la propriété de Facebook, ou encore le Morpheus de Sony.

    Ce projet de casque de réalité virtuelle fonctionnerait donc sous Android, à l'inverse du bracelet Gear Fit, de la montre Gear 2 ou du projet de lunettes connectées, tous sous Tizen, le nouveau système d'exploitation maison dédié aux objets connectés.

     

    futurologie, science, informatique, société