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Science/Tech - Page 43

  • Contraception : Découvrez la pilule télécommandée du futur

     

    Fini le calvaire de la prise à heure fixe et avec elle, le risque d'oublier qui concerne tant de femmes utilisant ce contraceptif quelque peu contraignant. Une nouvelle pilule pourrait bien voir le jour prochainement et fonctionnerait comme un implant sous-cutané que l'on peut activer et désactiver à la demande.

    Si les grossesses en cas d'oubli de pilule un jour restent rares, ces instants tête-en-l'air n'en sont pas moins facteurs de stress et de panique. Faut-il sauter un jour, doubler la prochaine prise, prendre une pilule du lendemain, s'abstenir de tout rapport sexuel ? Autant de question qui traversent l'esprit de l'oublieuse et font de ce moyen de contraception une chose bien plus compliquée qu'elle ne le devrait. Mais peut-être que le temps des rappels sur le portable et des frayeurs pourrait bientôt toucher à sa fin. Un nouveau contraceptif intégrant le dosage et le principe de la pilule ainsi que la simplicité et la durée de vie de l'implant ou du stérilet est actuellement à l'étude et, s'il s'avère efficace, pourrait être commercialisé dans les années à venir.

    Ce contraceptif révolutionnaire prendrait la forme d'une puce de 20 mm qui serait implantée sous la peau (dans le bras, les fesses ou le ventre) et pourvue d'une batterie de très faible courant électrique qui permettrait de délivrer chaque jour 30 microgrammes de lévonorgestrel, une hormone de synthèse déjà utilisée dans plusieurs contraceptifs. Elle serait protégée dans un petit réservoir pouvant contenir l'équivalent de 16 ans de traitement, soit le double de certains stérilets longue durée. Mais le véritable plus de cette pilule nouvelle génération réside dans le fait qu'elle pourra être activée ou éteinte quand on le veut, grâce à une télécommande. Ainsi, une femme désirant être enceinte pourra la désactiver puis la remettre en marche après son accouchement. Développé dans les laboratoires du prestigieux MIT (Massachussetts Institute of Technology) et financé par la Fondation Bill & Melinda Gates, qui encourage les nouveaux moyens de contraception comme le préservatif du futur Galactic Cap, pourrait être soumis à des tests pré-cliniques dès 2015 puis distribué sur le marché 3 ans plus tard s'ils sont concluants.

    Sachant que la pilule est de plus en plus délaissée chez les femmes, à cause des contraintes qu'elle implique mais aussi des récents scandales sanitaires autour des pilules de 3ème génération, au profit d'autres moyens comme le stérilet, l'implant, ou même des méthodes plus traditionnelles, ce système pourrait également représenter une alternative séduisante. Reste la question de la télécommande, qu'il ne faudra pas égarer, ou laisser à portée de mains malintentionnées !

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    NDLR: quand je pense que beaucoup de femmes et filles refusent que leur gosse soient vaccinés et qu'elles accepteraient avec grande joie ce truc électronique qui donne de l'électromagnétisme et bouzille les cellules du corps!

  • Obligeons les Japonais à faire des robots qui ressemblent à des machines et pas aux humains!

    Le consortium aux 100 robots que les Japonais viennent de lancer

    Le robot Pepper, conçu par le français Aldebarran robotics, a été présenté au Japon pour la première fois. L'actionnaire de référence de l'entreprise française étant la Soft Bank, un opérateur... japonais !

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    Plus de 300 sociétés japonaises se sont regroupés, le 1er juillet à Tokyo, pour lancer un consortium 100% robots. Son objectif ? Développer d'ici 2020 une centaine de robots dotés des dernières technologies. Baptisée i-RooBO Network forum, cette organisation (présidé par le professeur Tokuda de l'université de Keio) rassemble en fait deux grappes d'entreprises existantes : celle de Toshiba-Toyota-NTT et celle de petites entreprises spécialisées dans la robotique.

    Le consortium va développer en priorité des robots de compagnie, d'assistance ou de services, plutôt à destination du grand public. Pour financer ces projets, le consortium envisage de faire appel aux financements participatifs.

    Le Japon est en train de se structurer pour conserver son avance en robotique. Premier utilisateur au monde de robots industriels, le pays voudrait organiser, en parallèle des jeux olympiques de 2020, les JO des robots. Le but, selon le premier ministre Shinzo Abe, est de se servir de cette vitrine pour réaffirmer le savoir-faire japonais.

     

  • La maison du futur

    À Versailles, 800 étudiants du monde entier inventent l’habitat de demain

    Le Solar décathlon, c’est 2 ans de préparation, 10 jours de construction et 2 semaines d’exposition, pour un seul gagnant.

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    Pour la première fois, le Solar Décathlon, compétition étudiante internationale, pose ses valises en France. À deux pas du château de Versailles, 800 étudiants inventent l’habitat de demain, avec un unique point commun: le soleil comme seule source d’énergie.

    Alors que de nombreux pays se sont mis à l’heure brésilienne pour suivre la coupe du monde du ballon rond, c’est une toute autre compétition internationale qui se joue aux portes de Paris, et vise à designer la "maison solaire" de demain. Un défi inédit que doivent relever les 800 étudiants participants: construire, en dix jours, des habitats innovants ayant pour seule source d’énergie le soleil. Éclairage, chauffage ou encore machine à café, tout, absolument tout, doit fonctionner grâce à l’énergie solaire. Objectif: l’autosuffisance. Cette année, 16 pays représentent leurs couleurs, et présentent, au cœur de "la cité du soleil", clin d’œil au roi jadis voisin, 20 projets d’habitats durables.

    Les visiteurs peuvent déambuler au cœur de leurs réalisations depuis le 28 juin, mais pour les étudiants en lice, le projet a débuté il y a plus d’un an. Après avoir soumis un avant-projet, 20 équipes ont été sélectionnées, et ont travaillé d’arrache-pied pour lever des fonds, penser leur structure, réaliser les plans et être prêts le jour J. Depuis la mi-juin, ils s’affairent sur le site, faisant souvent les "trois huit" pour finir à temps. Mis à part quelques tâches lourdes qu’il leur est légalement interdit de réaliser eux mêmes, tout a été fait par les étudiants. "C’est sportif!", résume Léa, une participante, casque de chantier à la main. "Avant de venir ici, certains étaient peut- être bricoleurs, mais aucun d’entre nous n’avait construit une maison!", résume Ouessanne, chef de l’équipe nantaise Philéas, qui regroupe des jeunes aux profils variés, venant notamment d’établissements comme Centrale Nantes, l’Ecole d’Architecture de Nantes ou encore l’Ecole supérieure du bois. Une autre équipe 100% française, Liv’-Lib, est également en lice, regroupant notamment des étudiants de l’Ecole nationale supérieure d’architecture Paris-Malaquais, de l’Université Paris Est Marne-la-Vallée (UPEM) ou encore de l’Ecole spéciale des travaux publics, du bâtiment et de l’industrie (ESTP Paris). Malgré les difficultés de dernière minute, tous s’accordent, entre deux visites, pour dire qu’il s’agit "d’une aventure humaine", "enrichissante" et "exaltante".

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    Tropika, le projet d’habitats conçus pour résister au climat tropical de l’équipe du Costa Rica. Tropika, le projet d’habitats conçus pour résister au climat tropical de l’équipe du Costa Rica.

     

    Pour sa première édition sur le sol français, le concours, créé en 2002 par le département d’Énergie de la Maison Blanche, a vu ses règles légèrement modifiées, mettant notamment l’accent sur "le logement collectif en zone urbaine dense", réalité partagée par de nombreuses villes européennes. Chaque équipe inscrit cependant son projet dans une zone géographique précise, et la réponse qu’il apporte aux besoins de ce territoire est particulièrement étudiée par le jury.

    Réhabilitation du patrimoine existant, logement d’urgence, extension d’habitat vertical… Chacun des vingt projets propose une réponse à un problème délimité par ses créateurs. L’équipe d’Ouessanne a choisi de redonner vie à un monument nantais à l’abandon. "Classé en raison de sa structure, innovante pour l’époque, ce bâtiment ne peut pas être détruit, mais il est depuis longtemps a l’abandon, et gâche un peu le paysage des riverains", explique la jeune ingénieur. Pour y remédier, elle et son équipe planchent depuis deux ans à un projet de réhabilitation en logements collectifs et conviviaux, réplicable à d’autres friches similaires.

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    Philéas, le projet de réhabilitation d’une ancienne minoterie nantaise. Philéas, le projet de réhabilitation d’une ancienne minoterie nantaise.

    Cet ancrage dans un contexte spécifique se retrouve dans chacun des projets: alors que les Thaïlandais se sont attachés à construire un module résistant aux inondations, fréquentes dans la région sur laquelle ils ont décidé d’axer leur projet, les Chiliens ont voulu répondre à la demande existant, chez eux, pour un habitat d’urgence résistant aux séismes. "Après une catastrophe, au Chili, on loge les sinistrés de façon très précaire, et absolument pas durable", explique Sebastien, chef de l’équipe franco-chilienne Casa Fenix. Leur projet ambitionne de changer la donne. Leur proposition est simple: une maison en kit, faite de modules assemblables progressivement, par n’importe qui, à l’aide d’un simple manuel. "Dans les deux premières semaines suivant le sinistre, on peut déployer le module de survie", explique Sebastien. Celui remplace la tente ou la cabane de fortune, précaire, et abrite jusqu’à quatre personnes. Progressivement sont rajoutés autour de cet espace cuisine, salle de bain et pièce de vie, jusqu'à constituer une véritable maison autonome, pour un coup total de moins de 30.000€. A Versailles, il a fallu moins de 6 jours aux 16 étudiants ayant chaussé leurs gants, à raison de 8 heures par jour, pour faire sortir de terre la maison qui renaît de ses cendres. Un bon signal pour ce dispositif d’urgence, renforcé par l’acquisition par la ville de Valparaiso, dont est originaire l’équipe, de 500 modules similaires, pour reloger les victimes de l’incendie ayant ravagé les lieux en avril dernier.

    A l’issue des deux semaines d’exposition, un gagnant sera désigné par le jury, en fonction de 10 critères spécifiques mêlant notamment architecture, ingénierie et performance énergétique… D’où le "Décathlon", référence à la discipline olympique éponyme.

  • Aveugle, c'est 97% de perte de ses capacités dans la vie quotidienne

    Des lunettes a réalité augmentée pour les malvoyants

    Conçues pour les personnes malvoyantes et développées parallèlement par plusieurs équipes, des lunettes seront bientôt disponible pour un prix avoisinant celui d'un smartphone.

    La science et la mythologie fantasment depuis toujours sur le miracle de l'aveugle recouvrant la vue. Tel Hélios rendant la vue à Orion, les recherches actuelles en réalité augmentée appliquées à l'ophtalmologie approchent de solutions viables pour compenser la cécité. Une équipe de l'université d'Oxford travaille sur un dispositif non invasif: une simple paire de lunettes, qui permettrait d'exploiter les résidus visuels pour la détection des formes et des obstacles proches, serait sur le point d'être commercialisée.

    A travers le monde, 140 millions de personnes seraient atteintes d'un handicap visuel, aveugles au sens légal (acuité visuelle inférieure à 1/20) ou malvoyantes (acuité visuelle inférieure à 3/10 ou champ de vision réduit à moins de 10%). Seuls 5% d'entre eux disposent d'un équipement facilitant leur vie, loupe électronique ou lecteur de texte principalement, mais de nombreux laboratoires travaillent sur des dispositifs plus élaborés.

    Autonomie bien supérieure

    Des lunettes équipées de deux caméras, un écran projetant des silhouettes lumineuses sur l'intérieur des verres, et un petit ordinateur chargé de traiter l'image entre les deux. Tel est le principe de fonctionnement de l'appareil en cours de développement dans le laboratoire du Dr Stephen Hicks, spécialisé en neurosciences et prothétique visuelle. L'avantage du dispositif réside dans ses deux caméras qui, par l'intermédiaire d'un traitement informatique en temps réel, simulent la profondeur et la distance des objets pour la personne malvoyante. Plus pratique que la canne blanche et redonnant l'indépendance des chiens d'aveugles, ces lunettes apportent, de l'avis des testeurs, une véritable satisfaction et une autonomie bien supérieure.

    Lyn Oliver, 70 ans, atteinte d'une rétinite pigmentaire diagnostiquée depuis presque cinquante ans et disposant d'une vue très limitée, peut se déplacer dans un environnement en évitant les obstacles avec l'aide de son chien. Mais elle ne saurait être capable de décrire son environnement. "Avec les lunettes, je peux trouver mon chemin vers la porte, en contournant les tables, pour sortir", a-t-elle raconté à la BBC. "Je peux trouver les escaliers, et savoir quand ils se terminent."

    "Les gens les ont adorées", ajoute le Dr Hicks. "Grâce à elles, ils peuvent repérer les dangers sur le sol qui pourraient les faire trébucher. Ils sont plus indépendants et se déplacent beaucoup plus facilement. Ils peuvent voir certains détails des visages, et leurs propres mains. Ou leur chien, pour la première fois!"

    Avant 2015, une centaine de lunettes devraient être remises à des personnes malvoyantes pour une phase de tests à plus grande échelle. L'équipe espère pouvoir commercialiser le produit dans moins de deux ans. Lorsque le développement des prototypes sera arrivé à terme, les lunettes devraient être disponibles pour le prix d'un smartphone.

    "Je peux lire les panneaux d'affichage"

    En France, la société Essilor développe, en partenariat avec l'Institut de la vision, un prototype similaire, plus personnalisé et interactif, mêlant une correction optique à un dispositif de réalité augmentée. En fonction des maladies et des pathologies oculaires qui y sont liées, l'appareil s'adapte: l'utilisateur peut choisir la partie de l'écran sur laquelle il souhaite projeter l'image pour la faire correspondre avec les zones de l'œil moins détériorées. Il peut modifier le contraste, projeter en négatif, zoomer, et agir sur tous ces paramètres pour obtenir l'image la mieux adaptée à son handicap.

    "Un effort d'adaptation est nécessaire pour maîtriser le dispositif, mais il donne de bons résultats", explique le Pr Sahel, directeur de l'Institut de la vision. "De nombreuses modalités d'amélioration sont mises en places, profitant des technologies de l'image disponibles. Elles sont testées systématiquement, pour savoir si elles apportent un bénéfice réel aux malvoyants, et pour qu'ils puissent aider les chercheurs à améliorer les produits."

     

    "Je peux lire seul des panneaux d'affichage"

    Dans cette optique, Essilor s'est associé à ERDF pour proposer à plusieurs employés de l'entreprise souffrant d'un handicap visuel de tester les lunettes, et de participer à leur développement. Depuis un an et demi, Jean-Marc Croce, salarié chez ERDF, bénéficie du confort que procure l'appareil. "C'est un outil qui me rend beaucoup plus indépendant", explique-t-il au Figaro. "Je peux maintenant lire seul des panneaux d'affichage dans le métro, par exemple. Avant, j'étais obligé de demander à quelqu'un. Sur le plan professionnel, je suis en mesure de suivre les réunions qui s'appuient sur des présentations Powerpoint, ce qui m'était très difficile auparavant".

    De son propre aveu, les lunettes ne sont pas encore prêtes pour une commercialisation et des améliorations doivent encore être apportées, notamment pour alléger l'ensemble. Mais en tant que testeur de son deuxième prototype, il apprécie les progrès réalisés et l'accessibilité du dispositif. "En à peine une semaine, je pense qu'il est possible de le prendre en main", estime-t-il.

     

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  • Vous sentirez-vous plus en sécurité avec un robot derrière le comptoir d’un fast-food ?

     

    Dans un blog du Huffington Post Canada, Steven Burton écrit que les employés de la restauration rapide essaient de se syndiquer pour avoir un salaire à 15 dollars (10,20 euros) l’heure, des employeurs pensent à moins quand il s’agit du coût global en personnel et le plan est d’automatiser complètement la restauration rapide. Cela semble impossible à éviter dans un proche avenir, mais avec toutes les éclosions de maladies d’origine alimentaire liées à la restauration rapide au cours de ces dernières années, ces innovations seront plus sûres que des aliments préparés par l’homme ou bien risquerons-nous notre santé plus que nous ne le faisons déjà ?

    Le fast-food du futur prendra en charge le client entrant dans l’ordre d’arrivée dans une interface avec un écran tactile virtuel (c’est déjà en partie le cas en France). Les prix pourraient être un peu plus bas car certaines économies pourraient être faites par le client (Je ne mettrais ma main à couper à ce sujet).

    Une fois l’ordre saisi et le paiement reçu, des machines robotisées dans la cuisine passeront à l’action : cuisson des aliments et assemblage de la commande, mise en boîte et livraison de la commande chaude dans vos mains affamées.

    La technologie existe déjà. Des robots pour hamburgers, les Momentum Machines ont la capacité de couper les tomates, la laitue, les cornichons et les oignons juste avant qu’ils ne soient déposés sur le hamburger de sorte qu’ils sont plus croquants et plus savoureux. Les hamburgers sont également fraîchement hachés. Les robots les enveloppent dans un emballage et les envoient au client par un convoyeur vers l’avant.

    Contrairement à leurs homologues humains, votre commande sera prise correctement à chaque fois. Elle sera  honorée rapidement car ces robots fonctionnent à la vitesse de l’éclair et parce que ce processus n’implique pas de contact humain avec les aliments, il sera moins susceptible d’être contaminé. Après tout, les machines n’ont pas de cheveux qui peuvent tomber dans les aliments ou de bactéries sur leur peau comme Staphylococcus qui peut infecter les aliments. La meilleur est que le robot faisant votre nourriture n’aura pas froid, n’éternuera sur votre sandwich, puis l’enveloppera et vous le remettra ; comme cela s’est produit avec moi à plus d’une occasion.

    Un problème potentiel de sécurité des aliments peut venir de l’incapacité des robots de se nettoyer. Les employés humains devront être vigilants quant à leur nettoyage afin de s’assurer qu’ils soient exempts de particules alimentaires qui peuvent permettre le développement de pathogènes.

     

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    Le reconnaissez-vous?

  • et, au mépris du danger.... avancer vers l'Inconnu...

    Le vaisseau supraluminique de la NASA inspiré de Star Trek, rêve ou réalité ?

    La Nasa explore déjà l’éventualité du voyage interplanétaire à l’aide de technologies avancées. L’une des méthodes étudiées actuellement est le mécanisme de Mark Rademaker, un moteur à distorsion. Mais des méthodes encore plus fantaisistes sont déjà imaginées par les scientifiques de la NASA, comme le " trou de ver ".

     

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    Mark Rademaker a collaboré avec Harold G.White, ingénieur de la Nasa, sur un " vaisseau spatial " : un moteur à distorsion, semblable à celui du vaisseau de Star Trek. Ce  moteur permettrait à l’homme d’aller bien plus vite que l’engin spatial le plus rapide du moment, le satellite Hélios, qui pourrait atteindre les 720.000 KM/H, et doit être lancé en 2018.

    La science a permis à l’homme de découvrir diverses méthodes (théoriques) permettant de contourner la barrière de la vitesse de la lumière, qui ne pourra jamais être dépassée selon Einstein.

    Les scientifiques n’acceptent pas ces limites et de nombreuses hypothèses ont été explorées pour éviter le problème. Par exemple, le fait de passer par un " trou de ver " permettrait de se déplacer instantanément à travers l’espace.

    Miguel Alcubierre, un ingénieur mexicain, a proposé en 1994 la théorie de possibilité d’allonger l’espace pour qu’il se contracte à l’avant d’un vaisseau spatial, et qu’il s’étende derrière lui. Ce qui permettrait à un vaisseau spatial de " surfer " à l’intérieur de l’espace comme une sorte de bulle à énergie négative qui ne traverserait pas le " mur de la lumière ". Dans ce cas, la bulle ferait seulement changer l’espace, ce qui concorde encore avec la théorie d’Einstein. Ce procédé a été appelé la métrique d’Alcubierre, comme son auteur.

    Mais cette théorie présente aussi des inconvénients. Selon certains physiciens, un tel vaisseau spatial peut dégager une énergie capable de détruire tout ce qui se trouve sur son passage.

    L’homme va-t-il se lancer à la conquête des étoiles d’ici quelques décennies ? Si on fait confiance à la NASA, cela pourrait bien arriver même si, il faudra attendre un bon moment